Title: Diapositive 1
1Développer nos compétences en littératie un
défi porteur davenir
Rapport québécois de lEnquête internationale sur
lalphabétisation et les compétences des adultes
(EIACA), 2003
Présentation de Francine Bernèche
Bertrand Perron Institut de la statistique du
Québec Direction Santé Québec Mai 2006
2PLAN DE LA PRÉSENTATION
- Historique et objectifs
- Concepts et méthodologie
- Portrait global
- Scolarité
- Langue maternelle et statut dimmigration
- Emploi
- Formation et apprentissage
- Technologies de linformation
- Activités de lecture
- Conclusion
3- Bref historique
- Une première enquête, lEnquête internationale
sur lalphabétisation des adultes (EIAA), a été
effectuée en 1994 dans une vingtaine de pays,
dont le Canada. - LEnquête internationale sur lalphabétisation et
les compétences des adultes (EIACA) a été menée
en deux vagues la première sest déroulée en
2003 dans six pays (Bermudes, Canada, État
mexicain du Nuevo Le?n, États-Unis, Norvège et
Suisse) et la seconde, en 2005 dans plusieurs
autres pays. - Quelques objectifs de lEIACA
- Comparer le niveau et la répartition des
compétences de la population adulte de différents
pays. - Proposer un premier portrait de lévolution de
deux compétences la compréhension de textes
suivis et la compréhension de textes
schématiques. - Identifier les sous-groupes de la population
enregistrant de faibles compétences. - Mettre au jour les liens entre chacune des
compétences mesurées et la réussite économique et
sociale individuelle. - Produire la connaissance nécessaire permettant
lorientation des politiques publiques afin que
celles-ci puissent influencer positivement le
niveau et la répartition des compétences au sein
de la société (Statistique Canada et OCDE, 2005).
Bernèche et Perron (dir.) 2006, p. 21-22.
4- Objectifs de la présentation
- Présenter les faits saillants des résultats
québécois de lEnquête Internationale sur
lalphabétisation et les compétences des adultes
(EIACA), menée en 2003. - Fournir des exemples permettant dadapter
linformation transmise aux profils de compétence
en littératie de la population du Québec,
notamment les personnes se classant à un très
faible niveau dans ce domaine. - Déterminer les variables les plus importantes
dans linterprétation des résultats québécois en
littératie et identifier des groupes cibles parmi
la population québécoise de 16 à 65 ans. - Structure de lenquête
- Maître duvre de lenquête Statistique
Canada. - Population visée ensemble de la population
québécoise de 16 ans et plus. - Base de sondage base de données du
recensement canadien de 2001. - Échantillon 4 166 répondants au Québec
incluant des échantillons supplémentaires pour
les 16-24 ans, les 25-64 ans, les
anglophones et les immigrants.
Bernèche et Perron (dir.) 2006, p. 33-35.
5Définition de la littératie
La littératie peut être définie comme
laptitude à comprendre et à utiliser
linformation écrite dans la vie courante, à la
maison, au travail et dans la collectivité en vue
datteindre des buts personnels et détendre ses
connaissances et ses capacités (Dictionnaire
actuel de léducation, 2005, p. 841).
Bernèche et Perron (dir.) 2006, p. 27.
6Schéma dopérationnalisation de la littératie
Concept
Littératie
4 Domaines de compétence
Indicateurs
Compréhension de textes suivis
Numératie
Compréhension de textes schématiques
Résolution de problèmes
Mesures soumises aux répondants
Tâches de lecture et décriture
Tâches de lecture et décriture
Tâches de lecture et de calcul
Tâches de lecture et de choix de solutions
Scores de compétence 0 à 500 points
Données
Niveaux de compétence échelles avec niveau de 1
à 5 (sauf 1 à 4 pour la résolution de problèmes)
Bernèche et Perron (dir.) 2006, p. 29.
7Scores et niveaux de compétence (Compréhension
de textes suivis et schématiques, numératie)
500
0
225
275
325
375
400
100
200
300
COMPÉTENCES
TRÈS FAIBLES
ÉLEVÉES
SOUHAITÉES
FAIBLES
En compréhension de textes suivis, une personne
peut
Au niveau 1 Lire un texte court et repérer
un élément dinformation identique ou semblable à
celui donné dans la question. Au niveau
2 Faire des déductions simples et comparer
des renseignements tirés de textes
incluant certains éléments de distraction. Au
niveau 3 Lire un texte relativement dense
et long, y repérer plusieurs éléments et les
apparier en faisant des déductions
simples. Au niveau 4/5 Faire des déductions
complexes et traiter des renseignements plus
abstraits repérés dans des textes
relativement longs comportant plusieurs éléments
de distraction.
Bernèche et Perron (dir.) 2006, p. 32.
8Niveaux de compétence par domaine, population de
16 à 65 ans, Québec, 2003
Source Enquête internationale sur
lalphabétisation et les compétences des adultes
(EIACA), 2003.
Bernèche et Perron (dir.) 2006, p. 52.
9Niveau 1 Compréhension de textes suivis
16 des 16-65 ans (environ 800 000 personnes) ne
dépassent pas ce niveau
Tâches Lecture dun texte relativement court
pour repérer un élément dinformation identique
ou semblable à linformation donnée dans la
question.
Quel est le nombre maximal de jours pendant
lesquels vous devriez prendre ce médicament?
- Appariement simple
- Repérage dun seul élément dinformation énoncé
textuellement sur létiquette. - Référence unique au nombre de jours sous la
rubrique Posologie .
- Information simple
- Question sur un nombre de jours.
- Pas délément de distraction (information
plausible mais incorrecte) - aucune autre mention dun nombre de jours sur
létiquette.
Statistique Canada et OCDE, 2005, p. 289.
10Niveau 2 Compréhension de textes schématiques
33 des 16-65 ans (environ 1 700 000 personnes)
se classent à ce niveau
Tâches Appariement dun élément dinformation
exigeant des déductions de faible niveau et
regroupement de caractéristiques à partir de
linformation contenue dans un document.
Dans quel pays, à part les Pays-Bas, les femmes
sont-elles en minorité dans lenseignement?
- Appariement moyennement difficile
- Connaissance préalable de la définition dune
minorité. - Repérage des pays comptant moins de 50 de
femmes enseignantes. - Exclusion des Pays-Bas parmi les pays trouvés.
- Information simple
- Question demandant dindiquer un pays.
- Éléments de distraction simples entourant
linformation demandée.
Statistique Canada et OCDE, 2005, p. 293.
11Niveau 3 Compréhension de textes schématiques
35 des 16-65 ans (environ 1 800 000 personnes)
atteignent ce niveau
Tâches Intégration déléments dinformation
présents dans plus dun document et examen de
tableaux ou graphiques assez complexes comportant
des renseignements superflus ou non pertinents.
Décrivez le rapport entre les ventes de feux
dartifice et les blessures attribuables aux feux
dartifice.
- Appariement relativement difficile
- Examen et comparaison de linformation contenue
dans les deux diagrammes. - Intégration de linformation en déduisant la
relation entre les deux ensembles.
- Information relativement difficile
- Question sur une tendance ou une similitude dans
les données. - Élément de distraction la tâche contient à la
fois linformation donnée et linformation
demandée. - Exemple déterminer la période comparable, les
deux diagrammes ne couvrant pas la même période.
Statistique Canada et OCDE, 2005, p. 294.
12Niveau 4/5 - Numératie
15 des 16-65 ans (environ 750 000 personnes) se
classent à ce niveau
Tâches Compréhension de données mathématiques
de nature abstraite incluses dans des textes
complexes et réalisation de plusieurs étapes en
vue de trouver des solutions à des problèmes.
Comparez le pourcentage de changement du niveau
de dioxine de 1975 à 1985 avec le pourcentage de
changement de 1985 à 1995. Quel pourcentage de
changement est le plus élevé? Expliquez votre
réponse.
- Appariement difficile
- Prise en compte de différentes caractéristiques
de la tâche - Taux de variation à exprimer en pourcentage.
- Pourcentages dentités inférieures à lunité.
- Base de calcul variant dune paire à lautre
(1975-1985 vs 1985-1995). - Utilisation de méthodes mathématiques formelles.
- Information difficile
- Transformation et interprétation de
linformation intégrée au graphique. - Référence à une notion abstraite (taux de
variation).
Statistique Canada et OCDE, 2005, p. 306.
13- Comparaison du Québec avec lensemble du Canada,
- population de 16 à 65 ans, 2003
- Le Québec présente des scores moyens inférieurs à
ceux du Canada - en compréhension de textes suivis (275 contre
281) et en compréhension de textes schématiques
(273 contre 281). - Les scores moyens observés au Québec se situent
dans la partie supérieure du niveau 2, tandis que
ceux du Canada correspondent au niveau 3. - Les scores moyens obtenus au Québec ne diffèrent
pas significativement de ceux obtenus au Canada - en numératie (269 contre 272) et en résolution
de problèmes (271 contre 274). - Les scores moyens observés se situent au
niveau 2, tant au Québec quau Canada. - La proportion des personnes se classant au niveau
3 ou plus est plus faible au Québec quau Canada
dans les trois principaux domaines de compétence,
soit - 51 contre 58 en compréhension de textes
suivis, - 49 contre 57 en compréhension de textes
schématiques et
Bernèche et Perron (dir.) 2006, p. 55 et 58.
14Niveaux de compétence en compréhension de textes
suivis, population de 16 à 65 ans, Québec et
provinces canadiennes, 2003
Niveau 1 différence significative avec le
Québec.
Coefficient de variation entre 15 et 25
interpréter avec prudence. Source Enquête
internationale sur lalphabétisation et les
compétences des adultes (EIACA), 2003.
Bernèche et Perron (dir.) 2006, p. 56.
15Évolution 1994-2003, population québécoise de 16
à 65 ans
Bernèche et Perron (dir.) 2006, p. 54.
16Évolution 1994-2003, population québécoise de 16
à 65 ans (suite)
Bernèche et Perron (dir.) 2006, p. 54.
17Scores moyens en compréhension de textes suivis
selon le sexe (16-65 ans) et lâge (16 ans et
plus), Québec et Canada, 2003
Différence non significative entre le
Québec et le Canada. Source Enquête
internationale sur lalphabétisation et les
compétences des adultes (EIACA), 2003.
Bernèche et Perron (dir.) 2006, p. 61.
18Niveaux de compétence en compréhension de textes
suivis selon le plus haut niveau de scolarité
atteint, population de 16 à 65 ans, Québec, 2003
Coefficient de variation entre 15 et 25
interpréter avec prudence. Coefficient de
variation supérieur à 25 estimation imprécise
fournie à titre indicatif seulement. Source
Enquête internationale sur lalphabétisation et
les compétences des adultes (EIACA), 2003.
Bernèche et Perron (dir.) 2006, p. 81.
19Scores moyens en compréhension de textes suivis
selon la langue maternelle et le plus haut
niveau de scolarité atteint, population de 16 à
65 ans, Québec, 2003
Différence significative avec les francophones et
les anglophones. Différence significative entre
francophones et anglophones.
Source Enquête internationale sur
lalphabétisation et les compétences des adultes
(EIACA), 2003.
Bernèche et Perron (dir.) 2006, p. 180 et 184.
20Personnes () se classant aux niveaux 1 et 2
selon le statut dimmigration, la langue
maternelle et la langue dévaluation, population
de 16 à 65 ans Québec, 2003
Différence non significative.
Coefficient de variation entre 15 et 25
interpréter avec prudence. Source Enquête
internationale sur lalphabétisation et les
compétences des adultes (EIACA), 2003.
Bernèche et Perron (dir.) 2006, p. 193-194
(scores moyens).
21Niveaux de compétence selon la situation
actuelle vis-à-vis de lactivité, population de
16 à 65 ans, Québec, 2003
Proportion de la population de 16 à 65 ans en
emploi selon le niveau de compétence, Québec,
2003
Coefficient de variation entre 15 et 25
interpréter avec prudence. Coefficient de
variation supérieur à 25 estimation imprécise
fournie à titre indicatif seulement. Source
Enquête internationale sur lalphabétisation et
les compétences des adultes (EIACA), 2003.
Bernèche et Perron (dir.) 2006, p. 110-111.
22Formation structurée et apprentissage informel
- Population des adultes en discontinuité de
scolarisation - Personnes de 16 à 65 ans, soit celles ayant
dépassé la période de fréquentation scolaire
obligatoire, sauf -
les 16-24 ans aux études à temps plein sans
soutien financier de lemployeur
- 16-19 ans tous les cycles détudes.
- 20-24 ans études postsecondaires
(universitaires ou non) seulement.
Participation à des cours, à des programmes ou à
dautres activités structurées comme des ateliers.
Activités dapprentissage menées en dehors dun
cadre structuré.
- Mode actif par exemple, aller à des
conférences ou à des congrès
assister à des exposés ou à des séminaires ne
faisant pas partie dun cours. - Mode passif par exemple, lire des manuels ou
des revues apprendre au moyen de la
télévision, de lordinateur ou dInternet.
Bernèche et Perron (dir.) 2006, p. 146 et 150.
23Participation à la formation et à
lapprentissage selon lâge et le niveau de
scolarité, population de 16 à 65 ans en
discontinuité de scolarisation, Québec, 2003
Source Enquête internationale sur
lalphabétisation et les compétences des adultes
(EIACA), 2003.
Bernèche et Perron (dir.) 2006, p. 151.
24Personnes () participant à la formation ou à
lapprentissage selon le classement sur les
échelles de compétence, population de 16 à 65
ans, Québec, 2003
Source Enquête internationale sur
lalphabétisation et les compétences des adultes
(EIACA), 2003.
Bernèche et Perron (dir.) 2006, p. 163.
25Utilisation dInternet au moins une fois au cours
de lannée selon diverses caractéristiques,
population de 16 à 65 ans, Québec, 2003
Source Enquête internationale sur
lalphabétisation et les compétences des adultes
(EIACA), 2003.
Bernèche et Perron (dir.) 2006, p. 219.
26Personnes () se classant au niveau 3 ou
plus selon lindice dusage dInternet (par
quartile), population de 16 à 65 ans, Québec, 2003
Source Enquête internationale sur
lalphabétisation et les compétences des adultes
(EIACA), 2003.
Bernèche et Perron (dir.) 2006, p. 225.
27Fréquence des activités de lecture en milieu de
travail, population en emploi de 16 à 65 ans,
Québec, 2003
Source Enquête internationale sur
lalphabétisation et les compétences des adultes
(EIACA), 2003.
Bernèche et Perron (dir.) 2006, p. 120.
28Personnes () se classant au niveau 3 ou plus
selon lindice de la fréquence de la lecture en
milieu de travail et le plus haut niveau de
scolarité atteint, population en emploi de 16 à
65 ans, Québec, 2003
Source Enquête internationale sur
lalphabétisation et les compétences des adultes
(EIACA), 2003.
Bernèche et Perron (dir.) 2006, p. 94.
29Fréquence de la lecture de livres selon diverses
caractéristiques, population de 16 à 65 ans,
Québec, 2003
Coefficient de variation entre 15 et 25
interpréter avec prudence. Source Enquête
internationale sur lalphabétisation et les
compétences des adultes (EIACA), 2003.
Bernèche et Perron (dir.) 2006, p 232.
30Personnes () se classant au niveau 3 ou plus
selon lindice de la fréquence et de la variété
de la lecture (par quartile), population de 16 à
65 ans, Québec, 2003
Source Enquête internationale sur
lalphabétisation et les compétences des adultes
(EIACA), 2003.
Bernèche et Perron (dir.) 2006, p 236.
31Populations cibles chez les 16 à 65 ans, Québec,
2003
Bernèche et Perron (dir.) 2006, p. 53 et 69.
32Populations cibles chez les 16 à 65 ans, Québec,
2003 (suite)
Bernèche et Perron (dir.) 2006, p. 69 et 98.
33Propension à se classer au niveau 3, 4 ou 5 en
compréhension de textes suivis selon certaines
caractéristiques (modèle de régression
logistique), population de 16 à 65 ans, Québec,
2003
Résultats (rapports de cotes) de leffet
simultané de 4 variables sociodémographiques
( ) Catégorie de référence. Source
Enquête internationale sur lalphabétisation et
les compétences des adultes (EIACA), 2003.
Bernèche et Perron (dir.) 2006, p. 94-96.
34Propension à se classer au niveau 3, 4 ou 5 en
compréhension de textes suivis selon certaines
caractéristiques (modèle de régression
logistique), population de 16 à 65 ans, Québec,
2003
Résultats (rapports de cotes) pour chaque
variable ajoutée une à une aux 4 variables
sociodémographiques précédentes
( ) Catégorie de référence. Source
Enquête internationale sur lalphabétisation et
les compétences des adultes (EIACA), 2003.
Bernèche et Perron (dir.) 2006, p. 123-126,
163-164, 196-200 et 225-228.
35Conclusion
- Bien comprendre les compétences mesurées
portée et limites de lEIACA
- Tendance à lamélioration des compétences au
Québec - Bonne performance des 16-25 ans
- Effets de générations? (importance de la
scolarité des parents)
- Encore place à lamélioration
- Le Québec demeure généralement sous la moyenne
canadienne - Atteinte du niveau souhaité de compétence pour
environ 50 de la population - Ajustement du marché du travail
- Importance de la scolarité
- Niveau de compétence des étudiants
- A scolarité égale, compétences souvent égales
- Les facteurs associés de la littératie ou
limportance de demeurer actif - Travailler, se former, lire, utiliser
lordinateur, participer à la vie civique
- Groupes cibles davantage susceptibles
dafficher de très faibles compétences - Les 66 ans et plus (perte de compétences?)
- Les non diplômés
- Les immigrants allophones (importance de la
maîtrise du français ou de langlais?)
36Références bibliographiques
Bernèche, F., et B. Perron, dir. (2006).
Développer nos compétences en littératie un
défi porteur davenir. Rapport québécois de
lEnquête internationale sur lalphabétisation et
les compétences des adultes, 2003, Québec,
Institut de la statistique du Québec, 256 p. En
ligne http/www.stat.gouv.qc.ca.
Legendre, R. (2005). Dictionnaire actuel de
léducation, 3e éd., Montréal, Guérin
Éditeur, 1 584 p.
Statistique Canada et Organisation de coopération
et de développement économiques (OCDE) (2005).
Apprentissage et réussite. Premiers résultats de
lEnquête sur la littératie et les compétences
des adultes, Ottawa et Paris, Ministère de
lIndustrie et OCDE, 338 p. En ligne
http/www.stat.can.ca.
Statistique Canada et Ressources humaines et
Développement des compétences Canada (RHDCC)
(2005). Miser sur nos compétences. Résultats
canadiens de lEnquête internationale sur
lalphabétisation et les compétences des adultes
2003, Ottawa, Ministre de lIndustrie, 246 p. (no
89-617-XIF au catalogue). En ligne
http/www.stat.can.ca.
37Ont collaboré à lanalyse des données et à la
rédaction du rapport Francine Bernèche
(ISQ) Sylvain Bourdon (Université de
Sherbrooke) Hélène Desrosiers (ISQ) Éric Gagnon
(ISQ) Éric Lacroix (CEFRIO) Bertrand Perron
(ISQ) Magali Robitaille (UQAM) Issouf Traoré
(ISQ) au traitement des données Brigitte
Beauvais (ISQ) Maxime Boucher (ISQ) Jean-François
Cardin (ISQ) Lyne Desjardins (ISQ) Robert
Courtemanche (ISQ) Jean Pignal et son équipe
(Statistique Canada) à la mise en pages du
rapport et de la présentation Power Point Andrée
Roy (ISQ)