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Diapositive 1

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Learning as peripheral participation in communities of practice: a reassessment of key ... Psychologie ergonomique : tendances actuelles (pp. 119-140) ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Diapositive 1


1
Université P. Mendès-France  U.E. 9 M1 
Didactique professionnelle 12- Le travail
collectif des enseignants  Des perspectives de
recherche. michel.grangeat_at_upmf-grenoble.fr
http//web.upmf-grenoble.fr/sciedu/grangeat/
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Michel Grangeat LSE-UPMF-IUFM Grenoble
Le travail collectif des enseignants références
Fuller, A., Hodkindson, H., Hodkindson, P.,
Unwin, T. (2005). Learning as peripheral
participation in communities of practice a
reassessment of key concept in work place
learning. British Educational Research Journal,
311, 49-68. Gibouin, A. (2004). Construction de
référentiels communs dans le travail coopératif.
In J.-M. Hoc F. Darses (Eds.), Psychologie
ergonomique  tendances actuelles (pp. 119-140).
Paris PUF. Grass, A., Grangeat, M. Allenet,
B. (2007). Analyse de lactivité de médecins 
pratiques de prescription de neuroleptiques.
_at_ctivités, 3 (4), 30-45. Hodkinson, P.,
Hodkinson, H. (2004). The significance of
individuals dispositions in workplace learning
a case study of two teachers. Journal of
Education and Work, 17 (2), 167-182. Rogalski,
J. (2005). Le travail collaboratif dans la
réalisation des tâches collectives. In J. Lautrey
J. F. Richard (Éds), Lintelligence (pp.
147-159). Paris Hermès.
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Michel Grangeat LSE-UPMF-IUFM Grenoble
Le modèle opératif commun
  • La plupart des chercheurs mettent en évidence
    limportance de lélaboration
  • dun modèle opératif commun,
  • dun référentiel commun,
  • dune représentation opérative partagée.
  • la représentation fonctionnelle, commune aux
    acteurs, qui oriente et contrôle lactivité que
    ceux-ci exécutent collectivement.
  • Ce système de représentations communes a 5
    caractéristiques
  • Il est dynamique
  • Il est organisé
  • Il comporte des aspects internes et externes
  • Il inclut des zones de doutes et dincertitudes
  • Il permet la régulation métacognitive de
    lactivité collective
  • Gibouin (2004)?
  • Rogalski (2005)?

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Michel Grangeat LSE-UPMF-IUFM Grenoble
Le modèle opératif commun aspects dynamiques
  • Le modèle opératif commun est évolutif
  • il dépend de lactivité réalisée collectivement
    par les agents il est tributaire de leur
    rapport à la tâche, à la situation, de la manière
    dont ils redéfinissent la tâche et dont ils
    estiment quils ont atteints leurs buts.
  • il dépend de la situation dans laquelle évoluent
    les acteurs il est tributaire des circonstances
    et de lorganisation du travail collectif.
  • il dépend de linsertion de chaque acteur dans
    le collectif il est tributaire de lévolution
    de ce que chaque individu pense de la manière
    dont ses collègues se représentent la tâche
    collective et leur tâche individuelle.
  • Question modification du modèle opératif commun
    dans un secteur scolaire qui promeut les
    interactions entre professionnels de différentes
    catégories.

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Michel Grangeat LSE-UPMF-IUFM Grenoble
Le modèle opératif commun organisation
  • Le modèle opératif commun est organisé
  • représente la part commune des modèles opératifs
    des individus il est tributaire des
    conceptualisations de chacun et des interactions
    permettant les échanges entre individus.
  • contient lensemble des informations détenues
    par les acteurs il est complémentaire des
    modèles individuels et permet lélaboration dune
    compétence du collectif.
  • catégorise les tâches selon quelques dimensions
    essentielles il est constitué comme un modèle
    opératif individuel, autour de dimensions, de
    concepts pragmatiques, de schèmes et
    dinvariants.
  • Question identification du modèle opératif
    commun et de ses différents composants selon
    différentes structures de travail collectif (e.g.
    co-enseignement entre enseignants et intervenants
    extérieurs).

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Michel Grangeat LSE-UPMF-IUFM Grenoble
Le modèle opératif commun internalisation,
externalisation
  • Le modèle opératif commun a des aspects internes
    et externes
  • appuyé sur les modèles opératifs des individus
    il comporte des représentations
    (conceptualisations, motivations, connaissances,
    suppositions, croyances) propres aux individus.
  • parlé entre acteurs durant la réalisation de la
    tâche il est externalisé dans les échanges
    (verbaux ou non-verbaux) à propos des tâches à
    réaliser, des manières de surmonter les
    événements imprévus et des conséquences
    identitaires qui en résultent parfois.
  • référé à des supports matériels les outils
    cognitifs opératifs (e.g. logiciels, plannings,
    maquettes) contribuent à lélaboration et à la
    modification des représentations individuelles et
    collectives .
  • Question identification de la nature (ou des
    effets) des ressources matérielles, des outils
    partagés, qui sous-tendent lélaboration du
    référentiel commun des enseignants.

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Michel Grangeat LSE-UPMF-IUFM Grenoble
Le modèle opératif commun doutes et incertitudes
  • Le modèle opératif commun est supposé partagé
  • il comporte une large part dincertitude les
    acteurs ne sont jamais certains des informations
    quils partagent et des conclusions qui en ont
    été tirées par leurs collègues.
  • la part commune entre les acteurs est instable
    comme le système est dynamique, évolutif, et que
    le collectif peut changer (rotation du
    personnel), les agents ont à entretenir le
    terrain commun.
  • lidentité des représentations communes est un
    leurre souvent la compatibilité des
    représentations ou des manières de faire est
    suffisante au long de laction, celles-ci
    sajustent graduellement.
  • Question prise en compte de la part
    dincertitude qui est inscrite dans leur activité
    par les enseignantes/ts (individus et collectifs).

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Michel Grangeat LSE-UPMF-IUFM Grenoble
Le modèle opératif commun régulation
métacognitive
  • Le modèle opératif commun participe à la
    régulation métacognitive (sauf si le groupe se
    ferme sur lui-même, se crispe sur ses propres
    certitudes ou ses compromis avec la procédure)
  • la régulation métacognitive de laction comme
    lindividu, le collectif ( une entité)
    conceptualise ses propres manières dagir,
    apprend sur son fonctionnement, ses tâches et ses
    stratégies.
  • les interactions sociales si les échanges
    verbaux entre acteurs sont promus, chaque
    individu peut se distancier de son propre point
    de vue et peut atteindre une conduite réfléchie
    de laction.
  • lextension de lenvironnement si les échanges
    entre services ou entre institutions sont promus,
    chaque individu peut comprendre comment sa tâche
    est insérée dans un projet plus large.
  • Question évolution de lactivité réflexive
    denseignantes/ts selon la situation (échanges de
    service, co-enseignements, ateliers danalyse de
    lactivité).

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Michel Grangeat LSE-UPMF-IUFM Grenoble
Le modèle KEOPS des compétences
Daprès Rogalski et Durey (2004)?
Culture et expérience du collectif des
professionnels
Expériences antérieures de la personne
Programmes Missions prescrites officiellement
Connaissances Savoirs du métier ou de la théorie
Savoir faire Règles d'action identifiées comme
étant efficaces
Objectifs Buts, intentions du professionnel
Évidences tirées de la situation par le
professionnel
situation de classe, détablissement, de secteur
scolaire
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Michel Grangeat LSE-UPMF-IUFM Grenoble
Apprendre sur le lieu dexercice
Daprès Rogalski (2003)?
La personne, le professionnel le collectif
Résultats des apprenants Atteinte des objectifs
collectifs prévus
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