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Diapositive 1

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Variable expliqu e : taux de retour sur investissement des actionnaires. ... Probl me d'agence : relation principal-agent entre actionnaires et dirigeants. ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Diapositive 1


1
La structure organisationnelle et la performance
économique un test de lhypothèse de
multidivision.
Henry Ogden Armour David J. Teece Ewewlina
Grzegorzak, François-Xavier Baud, Antoine Ydraut
2
  • Introduction.
  • Objectif
  • démontrer lefficacité supérieure de la
    structure multidivisionelle pour les
  • organisations en phase dextention.
  • Cadre
  • -entreprises du secteur petrolier
  • -pendant la periode 1955-1973
  • Approches théoriques des formes
    multidivisionelles (M-form)
  • Chandler (1962) Williamson (1970, 1975),
    études sur les difficultés organisationnelles des
    entreprises qui grandissent en taille.
  • Principaux problèmes daprès Williamson
  • - Accumulation du manque de contrôle
  • - Désordres entre les prises de décisions
    opérationnelles et stratégiques.
  • Solution présumée la M-form.
  • Contributions à cette solution
  • -ladoption de cette forme organisationnelle va
    affecter de façon significative leur efficacité,
  • -une inefficacité opérationnelle durable a dû
    avoir lieu,

3
  • Modèle économétrique
  • 28 entreprises des firmes pétrolières.
  • Echantillon couvrant 19 années de 1955 à 1973.
  • Variable expliquée taux de retour sur
    investissement des actionnaires.
  • Variables explicatives taille, structure,
    risque, capitul et croissance.
  • Résultats
  • 1955-1968 M-firm influence significative sur
    la performance.
  • 1969-1973 performance supérieure en ne
    persistant pas.
  • Capitul corrélation positive, pas très
    significatif.
  • Taille de la firme corrélation positive, pas
    significatif.
  • Risque corrélation positive, pas
    significatif.
  • Croissance corrélation positive, pas très
    significatives.

4
  • Apports et limites.
  • La forme organisationnelle dépend très largement
    de la stratégie de marché adoptée par les firmes
    à un horizon relativement long.
  • U-form
  • Fabrication dun seul bien ou service et où
    lautorité décisionnelle (stratégie et
    opérations) appartient à un groupe relativement
    restreint.
  • M-form
  • Dissociations des décisions de court terme (au
    niveau de la division) et des décisions
    stratégiques (direction centrale noyau
    dexperts).
  • Mintzberg (1983) larticulation entre
    comportements et structure.
  • Complexité croissante des structures.

5
Conclusion
  • M-form mène vers une performance et efficacité
    supérieure des organisations en phase dextension
    de leur taille mais seulement dans la période
    dimplémentation de la nouvelle forme
    organisationnelle.

6
The business firmas a political coalitionJames
G. March (1962)
  • Charles BAIN Université Paris
    I
  • Liba BARTOSOVA Master 2 pro COSI
  • Nicolas ZANELLI 30/11/2005

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Introduction
  • James G. March
  • Lorganisation une somme dintérêts diverses et
    complexes
  • Thèse de départ Toute forme dorganisation est
    caractérisée par les conflits et les différents
    interêts qui la composent

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Plan
  • Introduction
  • I Les systèmes de conflit
  • II La théorie des systèmes de conflit
  • III La firme vue comme une coalition politique

9
Partie ISystèmes de conflit
10
Economie contre politique
Partie I Systèmes de conflit
La vision économique de l organisation la
firme
La vision politique de lorganisation
administrations, associations
Systèmes de conflit Toutes formes dorganisations
11
Les postulats des systèmes de conflit
Partie I Systèmes de conflit
  • Le niveau de décision élémentaire autonome
  • Présence dun conflit

Toutes organisations satisfaisant ces deux
conditions est un système de conflit
12
Partie II La théorie des systèmes de conflit
13
Deux types de théories
Partie II La théorie de systèmes de conflit
  • Théorie économique
  • gt attribution dun but dominant négocié
  • Théorie politique
  • gt processus de décisions comparant
    explicitement les
  • utilités de chaque option élémentaire

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Théorie économique (1/2)
Partie II La théorie de systèmes de conflit
  • 2 hypothèses pour lattribution dun but dominant
  • 1 Existence dune hiérarchisation des
    préférences commune
  • 2 Choix par le système de la solution
    alternative préférée
  • But constant et significatif
  • Aide à la décision pour lallocation de
    ressources rares
  • Exemple de larbre

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Théorie économique (2/2)
Partie II La théorie de systèmes de conflit
  • Objectif de la firme
  • Maximisation du profit
  • gt qualités prédictives faibles
  • Fonction plus générale
  • gt théories macroéconomiques de la firme
    uniquement

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Théorie politique (1/2)
Partie II La théorie de systèmes de conflit
  • 2 conditions pour le processus de résolution des
    conflits
  • Décision finale S décisions élémentaires
  • Hiérarchisation des préférences commune pour
    chaque décision élémentaire

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Théorie politique (2/2)
Partie II La théorie de systèmes de conflit
  • Formation de coalition par groupe dintérêts
  • Allocations des ressources et contrôle du système
    selon les coalitions
  • marchandage, compromis, négociation, incohérence,
    conflits
  • Jeu de pouvoir, lutte interne, opportunisme,
    désaccentuation des ordres, coopération

18
Partie III La firme vue comme une coalition
politique
19
La révision de la théorie de la firme
Partie III La Firme vue comme coalition
politique
  • MARCH veut montrer que le comportement de la
    firme ressemble plus à celui dune coalition
    politique (organisation) que de celui dun simple
    entrepreneur, comme le définie la théorie
    classique.
  • Dans larticle il esquisse une révision de la
    Théorie de la firme et plus particulièrement la
    Théorie des Objectifs de la firme, utilise le
    critère de la coalition dominante
  • Le degré concentration de droit de propriété
    détermine la configuration du groupe, cadre
    structurelle

20
La Théorie de la firme comme une coalition
politique
Partie III La Firme vue comme coalition
politique
  • Théorie supposée
  • La Firme est une coalition politique
  • Le Directeur est lacteur principal
  • Les objectifs et la composition sont à négocier
  • Il y a un ensemble de participants, ayant
    certaines revendications sur le système
  • Ex le paiement pour leur participation à la
    coalition
  • Ces exigences
  • Influencent le résultat de la négociation,
    renforcent ou affaiblissent le pouvoir de
    négociation du directeur
  • sont où compatibles entre les différents
    participants selon les conditions externes
  • Si complémentaires on peut définir le coût
    marginal dun participant à une coalition
  • Tributaires de 2 propriétés dynamiques, varient
    avec lexpérience et la perception de la
    pertinence du problème

21
La force de la coalition
Partie III La Firme vue comme coalition
politique
Le poids de la coalition est déterminée Selon
lenvironnement impliqué
  • Exemple de coalition gouvernementale
  • en démocratie la partie avec plus de 50 des
    électeurs sera capable de faire tout ce qui est
    permis dans le système, ce qui nest pas le cas
    de la partie minoritaire
  • Lalternative business coalition
  • a un rendement différent selon le système
    économique où elle opère
  • différents participants ont une différente valeur
    marginale assignée pour une différente
    coalition
  • objectif du directeur choisir une coalition
     complémentaire  telle quelle maximisera sa
    propre utilité

22
La coalition politique
Partie III La Firme vue comme coalition
politique
Constat cette description de comportement de la
firme ressemble plus à celle dune coalition
politique quà la théorie de lentrepreneur
  • Dautres raisons
  • Les organisateurs de la coalition sont lélément
    central
  • Cette Th se focalise sur la solution des
    problèmes de coalition de CT qui nest pas unique
  • Limportance des exigences politiques, des
    rémunérations et de la médiation séquentielle
  • Linfluence des contraintes institutionnelles sur
    la solution du problème de coalition
  • Empiriquement
  • Vérifié elle est plus conforme aux attitudes
    observées lors le prise de décisions daffaires
  • En particulier cette th est plus consistante que
    les autres avec les caractéristiques largement
    observées de la prise de décision daffaires

23
Linformatique bouleverse le potentiel théorique
vérification empirique
Partie III La Firme vue comme coalition
politique
Facilite létude du comportement de la
firme comme coalition politique
  • R.M. CYERT et J.G. MARCH ont utilisé cette
    théorie lors de lélaboration des modèles
    comportementaux sur la prise de décision dans la
    firme
  • 3 modèles spécifiques parmi dautres
  • Cyert March et Moore Modèle de tarification
    discrétionnaire et de réapprovisionnement dans
    une grande surface
  • Cyert, Feigenbaum, March - Modèle de
    détermination des outputs dans le duopole et de
    prise de décision dans le modèle American Can
    industry
  • Cohen Cyert et March Soelberg ont développé un
    modèle général de détermination de prix et
    doutputs dans les oligopoles modernes

24
Théorie des Organisations
 The Dynamics of Franchise Contracting 
Francine Lafontaine
Céline Bouvier Johann Wider
Master COSI 2006
25
Présentation de létude
  • Nature de la relation Contrat de franchise

 Accord contractuel entre deux entreprises
indépendantes dans lequel le franchisé paie au
franchiseur le droit de vendre ses produits ou le
droit dutiliser des ses marques dans un endroit
donné pour une période de temps spécifiée 
  • Données utilisées
  • Échantillon de taux de royalties et de taxes de
    franchise portant sur 1000 nouveaux contrats de
    franchise chaque année entre 1980 et 1992.
  • Méthode employée Économétrie
  • Cadre de la théorie Théorie de lagence

26
Comment sélectionner le(s) bon(s)
co-contractant(s)?
  • Auto-sélection diversité de contrats de
    franchise offerts, le bon co-contractant va
    lui-même se sélectionner.
  • Le franchiseur peut ainsi faire varier sa
    sélection de franchisés en fonction de ses
    besoins.
  • Les spécificités du secteur sont moins
    déterminantes que les spécificités des firmes.
  • Cas de faillite proche contrat rendu plus
    attractif.

27
Quelles incitations mettre en place?
  • Ajuster motivations franchiseur/franchisé
    (hasard moral)
  • Contrats stipulent de nombreux aspects
    incitatifs, en plus des taxes et royalties
    durée de laccord, affectation à un territoire
    exclusif, stipulations dachat dinputs au
    franchiseur.
  • Problèmes dincitation barrières à lentrée et
    à la sortie faibles.
  • Une solution paiements fixes à la place des
    royalties (taxe hebdomadaire ou mensuelle).
    Permet suivi plus important et plus précis de
    lactivité du franchisé.

28
Quels dispositifs de contrôle et de règlement des
conflits (afin déviter la renégociation)?
  • Termes du contrat rarement renégociés pendant la
    période contractuelle.
  • Le changement des termes contractuels nest pas
    lié aux spécificités dun secteur, dun type de
    firme, de leur maturité ou de leur implantation
    sur le marché. Seules jouent les spécificités des
    firmes.
  • La stabilité dans les termes du contrats
    provient des coûts dajustement induits.
  • Une certaine autonomie opérationnelle. Le
    contrôle semble sexercer par les clauses et les
    termes du contrat.

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The effect of organizational form on quality
the case of franchisingSteven C Michael 2000
Paulin DE BOYSSON et Mathieu COLLET
30
Présentation de létude
  • La franchise, en tant que forme dorganisation,
    ne peut atteindre un niveau de qualité de service
    équivalent à celui dune organisation intégrée
  • Une relation de type Principal Agent
  • Un Franchiseur Principal et un Franchisé/Salarié
    Agent
  • Une asymétrie dinformation en faveur du
    franchisé
  • La franchise, quel intérêt?
  • Un contrat qui permet de supprimer les coûts
    dagence
  • Des bénéfices plus importants
  • Méthode empirique
  • Qualitéi ß0 ß1 nb dunitési ß2 pourcent de
    franchisési ß3 croissancei ß4 dispersioni
    ei
  • Régression dune équation de qualité, variable
    explicative le nombre de franchises
  • Deux industries où la franchise est un contrat
    courant hostellerie et restauration

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La sélection des parties
  • Larbitrage salarié/franchisé
  • Le salarié, rémunéré par un salaire, est
    sélectionné sur des critères stricts et formé par
    lentreprise
  • Le contrat de franchise comporte de nombreux
    mécanismes incitatifs
  • Lintérêt de la franchise augmente avec la
    distance
  • La franchise diminue de manière conséquente le
    phénomène dantisélection
  • Il satisfait les contraintes de participation et
    dincitation
  • Le franchisé investit ses propres ressources et
    doit respecter un cahier des charges
  • Deux revers à lutilisation de la franchise
  • Lemployé est cependant mieux formé et les
    critères de sélection sont plus stricts
  • La qualité est difficilement contractualisable

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Le problème dincitation
  • La franchise, solution de premier rang en matière
    dincitation
  • Dans son mode de fonctionnement la franchise
    comporte des modes dincitation basés sur le fait
    que le franchisé investit ses propres ressources
    (Rubin)
  • La propriété
  • La division des revenus
  • Le droit de vendre
  • Les opportunités de développement (gestion de
    plusieurs sites)
  • Les récompenses
  • La présence dune externalité vient ternir le
    tableau
  • La marque comme externalité négative
  • Le bénéfice résultant dun effort sur la qualité
    nest pas entièrement capturable par celui qui
    fournit cet effort
  • Le franchisé a tendance à diminuer le coût de
    fonctionnement de son site, au détriment de la
    qualité du service pour le consommateur, pour
    maximiser ses revenus

33
Le mode de contrôle
  • La franchise réduit le risque dopportunisme mais
    ne garantit pas une prestation équivalente à une
    forme dorganisation intégrée
  • Il est nécessaire de renforcer les modes de
    contrôle sur les aspects suivants
  • La qualité
  • La liberté du franchisé (free-riding selon Steven
    Michael)
  • Outils et mesures de contrôle
  • Déterminer avec précision le statut du franchisé
    (marge de manuvre)
  • Établir des standards (qualité, prix, etc.) et
    former les franchisés
  • Mettre en place un réseau de représentants "
    contrôleurs "
  • Élaborer une politique de sanctions ex
    résiliation

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Comment réussir une opération dexternalisation
  • Nature de la relation lexternalisation
  • fait de confier une activité à un prestataire
    extérieur après lavoir réalisée en interne
    (Barthélemy, 2001 )
  • Méthodes employées
  • La théorie des organisation et la théorie des
    ressources
  • Données utilisées
  • Étude empirique dune quinzaine dopérations
    dexternalisations

35
Q1 Comment sélectionner les bons
co- contractants ? (Problèmes et difficultés de
sélection, coûts)
  • Selon le Cadre théorique
  • Théorie des coûts de transaction
  •  Coût de transaction et coûts de production 
  • Théorie des Ressources
  •  Le cur de métier 
  • Les apports de lempirique
  • Hégémonie de la TDR, coûts de transition, cas
    particulier

36
Synthèse des apports des deux théories
37
Q2 Quelles incitations à mettre en
place ? Quel est le problème dincitation Quels
sont les mécanismes ?
  • Le contrat permet de mettre en place des outils
    dincitation
  • Le contrat classique
  • Le contrat néo-classique
  • Le contrat relationnel
  •  Le succès dune opération dexternalisation
    repose sur ladéquation entre le niveau de
    risques contractuels et le type de contrat
    utilisé.  ( Williamson, 1985)
  • Lincitation va dépendre du degré de la relation
    entre lentreprise et son partenaire.

38
(No Transcript)
39
Q3 Quels dispositifs de contrôle et de
règlement des conflits pour éviter la
renégociation ?Que faut il contrôler ?Y a-t-il
des problèmes dobservabilité ?Quels sont les
mécanismes ?
Le contrôle direct est remplacé par le contrôle
indirect du contrat.
  • Méthode ABC (Activity Based Costing)
  • Loffre du prestataire est-elle toujours
    satisfaisante ?
  • Problèmes dobservabilité
  • Les paramètres qualitatifs difficile à
    contrôler
  • Cellule de pilotage
  • Interface entre les utilisateurs internes et le
    prestataire

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Integration of the sales force an empirical
examination
  • Erin Anderson
  • David C. Schmittlein
  • Rand Journal of Economics Vol 15, n3, Automne
    1984

41
Intégration des Forces de Vente
  • Nature de la relation
  • Fabricant des composants éléctroniques, agent
    de vente et force de vente interne. (Principal
    Agent)
  • Données utilisées
  • --Directeurs commerciaux de 16 fabricants
    élétroniques connus dans la liste de Audit of
    Brand Recognition 1980.
  • --145 questionnaires exploités sur 172 rendus.
  • Période étudiée 1980-1984
  • Méthode employée
  • Mesure de 5 variables et 2 interactions
  • TSA, UEU, UDEP, TD, SIZE, ZUEUTSA, ZUDEPTSA
  • Cadre théorique sous-jacent
  • Théorie des coûts de transaction (O. Williamson)

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Sélection des partenaires
  • --UDEP, SIZE, TSA sont des variables
    significatives et qui impactent positivement sur
    lintégration des forces de vente.

Agent de vente
Force de vente intégrée
  • Entreprise de petite taille, vente de
    gros.
  • Faible spécificité humaine des actifs.
  • Besoin dexploiter nouveau marché.
  • Entreprise de grande taille, demande élevée.
  • Spécificité humaine des actifs élevée.
  • Difficulté d évaluation des personnels
    commerciaux.

Forme combinaison
43
Quelles incitations mettre en place ?
- A accepter les règles internes.
- A sinvestir dans lentreprise et à acquérir le
niveau de connaissances requis (caractéristiques
techniques, applications).
44
Dispositif de contrôle, de renégociation et de
règlement des conflits ?
45
LE MANAGEMENT JAPONAIS
  • LE MODÈLE J DE AOKI

Lyes MOHAMEDI Marion LOQUES
46
PRÉSENTATION DU MODÈLE
  • Comparaison firme J et firme A.
  • Écart de productivité en fonction de
    lorganisation du travail et de la production.
  • Firme J coordination souple et rapide des
    activités pour les adapter aux évolutions des
    marchés.

47
SPÉCIFICITÉS DE LA FIRME JAPONAISE
  • 1. Organisation de la production et du travail
  • Coordination horizontale entre les unités
    opérationnelles. 
  • Système du kanban.
  • Organisation en groupes de travail et partage de
    linformation.

48
SPÉCIFICITÉS DE LA FIRME JAPONAISE
  • 2. Gestion des ressources humaines
  • Politique de recrutement. 
  • Mécanismes dincitation.
  • Rôle du département du personnel.
  • 1er principe de dualité

49
SPÉCIFICITÉS DE LA FIRME JAPONAISE
  • 3. Contrôle par les banques
  • 2 faits caractéristiques
  • Lien étroit entre banque principale et
    entreprise.
  • Actionnariat individuel peu présent.
  • 2ème principe de dualité le modèle

WDIR
50
COMPARAISON FIRME J / FIRME A
COORDINATION
51
COMPARAISON FIRME J / FIRME A
COMPÉTENCES
52
COMPARAISON FIRME J / FIRME A
GESTION DES ALÉAS
53
COMPARAISON FIRME J / FIRME A
MÉCANISMES DINCITATION
54
PERTINENCE DES MODÈLES
  • MODÈLE H cas extrêmes
  • Environnement stable.
  • Environnement très variable et incertitude.
  • MODÈLE J cas intermédiaire
  • Lenvironnement change constamment, mais pas trop
    fortement.

55
PERTINENCE DES MODÈLES
Faible
Forte
Irréversibilité des investissements
56
Quest-ce que la gouvernance dentreprise?
  • Dang-Khoa SOURN
    Université Paris I
  • Laurent HERAULT
    Master 2 Pro COSI

  • 30/11/2005

57
PLAN
  • Cadre théorique de la corporate governance
  • Différences entre modalités de contrôle et
    dincitation des dirigeants
  • Lien entre forme de propriété et performance

58
Cadre théorique de la corporate governance
  • Définition ensemble des procédures qui
    régissent à la fois le fonctionnement et le
    contrôle des entreprises. Cest une extension des
    théories des droits de propriétés, de lagence et
    des coûts de transactions.
  • Problème dagence relation principal-agent
    entre actionnaires et dirigeants. Normalement les
    dirigeants sont censés entreprendre toute action
    utile aux actionnaires.
  • Les dirigeants ont des intérêts propres qui
    peuvent diverger de ceux des actionnaires. Les
    décisions dinvestissement et de financement
    quils vont prendre sont fonction de leurs
    intérêts personnels et cela va avoir un impact
    sur les performances de lentreprise.
  • Objectifs pour limiter ces dérives
  • - Aligner les intérêts entre
    dirigeants et actionnaires
  • - Améliorer linformation aux
    actionnaires
  • - Inciter les actionnaires à
    défendre leurs propres intérêts
  • Moyens
  • - LEtat doit jouer doit jouer
    un rôle de garantie morale sur les marchés
  • - Mécanisme de contrôle externe
  • - Mécanisme de contrôle interne

59
Différences entre modalité de contrôle et
dincitation des dirigeants
60
Modalités de contrôle et dincitation des
dirigeants Les mécanismes externes
Les entreprises publiques souffrent dune moindre
efficacité des mécanismes externes.
61
Modalités de contrôle et dincitation des
dirigeants Les mécanismes internes
Défaillance des mécanismes internes liés à la
complexité des relations avec les pouvoirs
publics la multiplicité des contrôles des
contrôles a posteriori
62
Modalités de contrôle et dincitation des
dirigeants
  • Linefficacité des entreprises publiques est liée
    à
  • Des mécanismes externes Le manque de discipline
    au niveau financier et le manque de concurrence
  • Des mécanismes internes La complexité des
    relations avec les pouvoirs publics et les
    stratégies différentes selon les majorités en
    place la multiplicité des contrôles avec des
    objectifs différents des contrôles a posteriori
    et donc un rôle affaibli des conseil
    dadministration.

63
Lien entre forme de propriété et performances
  • Définition de la performance
  • Privé La performance est simple elle se
    calcule en fonction de lévolution de la valeur
    boursière et des résultats économiques de
    lentreprise.
  • Public La performance est difficilement
    descriptible car elle doit non seulement prendre
    en compte la réussite économique de lentreprise
    mais aussi le respect de la stratégie définie par
    la puissance publique. Elle se calcule en
    fonction des résultats macro-économiques.

64
Lien entre forme de propriété et performances
  • Lefficacité des entreprises publiques est une
    question plus que jamais dactualité suite à tous
    les problèmes engendrés par les privatisations.
  • Les arguments selon lesquels lentreprise
    publique est moins efficiente sont les suivants
  • - Les problèmes de contrôle et dincitations des
    entreprises publiques
  • - La stratégie est définie par lÉtat, donc
    problème dautonomie qui empêche une stratégie
    cohérente à long terme
  • - La redistribution des gains et des pertes
  • Les arguments en faveur de lentreprise publique
    Atteindre les objectifs de politique
    macro-économiques à moindre coût
  • - Les recettes fiscales
  • - Elles sont plus efficaces en présence de
    défaillances de marché et permettent datteindre
    des objectifs en terme de bien être et pas
    seulement de profit
  • - Elles permettent une redistribution en faveur
    des plus démunis en jouant sur les prix
  • - Sauvegarder le contrôle de la nation sur les
    secteurs clés
  • - Permettent la mise en uvre dune politique de
    stabilisation
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