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TRAIT

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PARTIE II Charte des Droits fondamentaux de l'Union. PARTIE III Politiques et ... et le Conseil amendent et adoptent le budget selon la proc dure cod cision ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: TRAIT


1
TRAITÉ OU CONSTITUTION?
 traité établissant une Constitution pour
l'Union européenne 
2
STRUCTURE DE LA CONSTITUTION
  • Introduction (préambule)
  • PARTIE I Objectifs, valeurs et institutions
  • PARTIE II Charte des Droits fondamentaux de
    lUnion
  • PARTIE III Politiques et fonctionnement de
    lUnion
  • PARTIE IV Dispositions générales et finales
  • ANNEXES Protocoles et déclarations,
  • les protocoles sont juridiquement contraignants,
    les déclarations ne le sont pas
  • les protocoles et déclarations antérieurs sont
    caducs, sils ne sont ni repris ni reformulés

3
LA CONSTITUTION ETABLIT LUNION EUROPEENNE
  • LUnion européenne est ouverte à tous les États
    européens qui respectent ses valeurs et qui
    sengagent à les promouvoir en commun (I-1)
  • Les États prennent toute mesure générale ou
    particulière quimpliquent les obligations qui
    découlent de la Constitution ou des actes des
    institutions (I-5)
  • La Constitution et le droit adopté par les
    institutions de lUnion priment le droit des
    États Membres (I-6)
  • Le présent traité est conclu pour une durée
    illimitée (I-446). Un État peut se retirer,
    moyennant un délai de deux ans (I-60.3)
  • LUnion a la personnalité juridique (I-7)

4
LES OBJECTIFS DE L'UNION
  • LUnion a pour objectifs
  • de promouvoir la paix, ses valeurs et le
    bien-être des peuples (I-3.1)
  • doffrir à ses citoyens un espace de liberté, de
    sécurité et de justice sans frontières
    intérieures et un marché intérieur où la
    concurrence est libre et non faussée (I-3.2)
  • dÅ“uvrer pour le développement durable fondé sur
    une croissance économique équilibrée et sur la
    stabilité des prix, une économie sociale de
    marché hautement compétitive, qui tend au plein
    emploi et au progrès social, et un niveau élevé
    de protection et damélioration de la qualité de
    l'environnement. Elle promeut le progrès
    scientifique et technique. (I-3.3)
  • de combattre l'exclusion sociale et les
    discriminations et de promouvoir la justice et la
    protection sociales, l'égalité entre les femmes
    et les hommes, la solidarité entre les
    générations et la protection des droits des
    enfants, (I-3.3)
  • de promouvoir la cohésion économique, sociale et
    territoriale, et la solidarité entre les États
    membres. (I-3.3)
  • de respecter la diversité culturelle et
    linguistique et de veiller à la sauvegarde et au
    développement du patrimoine culturel européen.
    (I-3.3)
  • Dans ses relations avec le reste du monde,
    l'Union affirme et promeut ses valeurs et ses
    intérêts . Elle contribue à la paix, à la
    sécurité, au développement durable de la planète,
    à la solidarité et au respect mutuel entre les
    peuples, au commerce libre et équitable, à
    l'élimination de la pauvreté, et à la protection
    des droits de l'homme, en particulier ceux des
    enfants, ainsi qu'au strict respect et au
    développement du droit international, notamment
    au respect des principes de la charte des Nations
    Unies.(I-3.4)
  • LUnion poursuit ses objectifs par des moyens
    appropriés, en fonction des compétences qui lui
    sont attribuées dans la Constitution. (I-3.5)

5
LES FINANCES DE LUNION EUROPENNE
  • Le montant total du budget européen pour 2005,
    après deuxième lecture du Parlement européen et
    lettres rectificatives, sélève à 116,55
    milliards d en crédits dengagement pour 2005.
    (voir en annexe p.28 la contribution de la
    France)
  • Jusquen 2006 les perspectives financières fixe
    le plafond à 1,24 du revenu national brut
    (décision 2000/597 CE du Conseil et Communication
    COM (2001) 801 final de la Commission).
  • Les prochaines perspectives financières 2007-2013
    seront adoptées à lunanimité par le Conseil.
    Avec la Constitution, le Conseil européen pourra
    autoriser le Conseil à adopter le  cadre
    financier pluriannuel  à la majorité qualifiée
    (I-55.4).
  • De nouvelles ressources propres peuvent être
    définies par le Conseil à lunanimité (I-54.3).
  • La Commission reste responsable de lexécution du
    budget européen et de lélaboration de
    lavant-projet de budget annuel. Le Parlement
    européen et le Conseil amendent et adoptent le
    budget selon la procédure codécision et peuvent
    le cas échéant lui demander de soumettre une
    nouvelle proposition (I-56 et III-404).
  • Les États membres donneront à lUnion les
    ressources nécessaires à ses objectifs et ses
    politiques (I-54.1).

6
INSTITUTIONS DE LUNION EUROPEENNE
  • Le Parlement européen (I-20)
  • Plafonné à 750 membres avec un minimum de 6 et
    maximum de 96 par État de façon dégressivement
    proportionnelle (I-20.2)
  • Voir en annexe les répercussions pour le cas de
    la France.
  • Il élit son président et le président de la
    Commission
  • Le Conseil européen (I-21)
  • Composé des chefs dÉtat ou de gouvernement des
    États membres de l'UE et des Présidents de la
    Commission et du Conseil européen (I-21.2)
  • Se prononce par consensus sauf exception (I-21.4)
  • Le Président du Conseil européen (I-22)
  • Il est élu à la majorité qualifiée par le Conseil
    européen pour deux ans et demi. (I-22)
  • Le Conseil des ministres (I-23)
  • Un ministre par État membre (I-23.2)
  • Statue à la majorité qualifiée sauf exception
    (I-23.3)

7
INSTITUTIONS DE LUNION EUROPEENNE
  • La Commission (I-26)
  • Un membre par État pour la première Commission
    suite à lentrée en vigueur de la Constitution
    (I-26.5)
  • Par la suite, seulement 2/3 des États seront
    représentés (I-26.6)
  • Le président le ministre des affaires étrangères
    et les autres membres de la Commission sont
    soumis, en tant que collège, à un vote
    dapprobation du Parlement européen, puis nommé
    par le Conseil européen à la majorité qualifiée.
  • Le ministre des Affaires étrangères de lUnion
    (I-28)
  • Également vice-président de la Commission, il est
    nommé par le Conseil européen à la majorité
    qualifiée avec laccord du président de la
    Commission (I-28.1 et 2)
  • Il préside le Conseil des affaires étrangères et
    il assume au sein de la Commission les
    responsabilités qui incombent à cette dernière
    dans le domaine des relations extérieures (I-28.3
    et 4)
  • La Cour de justice (I-29)
  • Au moins un juge par pays (I-29.2)
  • Juridiction suprême pour l'ensemble de la
    législation européenne (III-375.3)
  • Des tribunaux spécialisés peuvent être créés à la
    majorité qualifiée (III-359)

8
LES COMPÉTENCES DE L'UNION
  • Les compétences exclusives de l'UE (I-13)
  • les États membres ne peuvent plus agir sauf s'ils
    sont habilités par l'Union
  • Les compétences partagées (I-14)
  • A partir du moment où l'UE exerce sa compétence,
    les États ne peuvent plus exercer la leur (sauf
    pour les domaines de la recherche, du
    développement technologique, de lespace, de la
    coopération au développement et de laide
    humanitaire I-14.3 et 4)
  • Les compétences de coordination (I-15 et 17)
  • LUnion peut mener des actions d'appui, de
    coordination ou de complément au moyen dactes
    juridiques obligatoires, mais sans formellement
    imposer une harmonisation

9
LES COMPÉTENCES EXCLUSIVES (I-13)
  • L'Union douanière (I-13.1)
  • Les règles de concurrence dans le cadre du marché
    intérieur
  • La politique monétaire pour les États membres qui
    ont adopté l'euro
  • La politique commerciale commune
  • La conservation des ressources biologiques de la
    mer dans le cadre de la politique commune de la
    pêche
  • Accord international dont la conclusion est
    prévue dans un acte législatif de lUnion ou
    susceptible daffecter des règles communes ou
    den altérer la portée (I-13.2)

10
LES COMPÉTENCES PARTAGÉES (I-14)
  • Le marché intérieur
  • La politique sociale et de l'emploi (pour les
    aspects définis dans la Partie  III)
  • La cohésion économique, sociale et territoriale
  • L'agriculture et la pêche (à l'exclusion de la
    conservation des ressources biologiques de la
    mer)
  • L'environnement
  • La protection des consommateurs
  • Les transports
  • Les réseaux transeuropéens
  • L'énergie
  • L'espace de liberté, de sécurité et de justice

11
LES COMPÉTENCES DE COORDINATION (I-15 et 17)
  • Les politiques économiques et sociales (I-15)
  • L'industrie
  • La protection et l'amélioration de la santé
    humaine
  • Lindustrie
  • La culture
  • Le tourisme
  • L'éducation, la jeunesse, le sport et la
    formation professionnelle
  • La protection civile
  • La coopération administrative
  • En théorie, dans ces domaines de coordination,
    lUnion ne peut pas légiférer sur le contenu du
    système national, mais elle prend des mesures
    pour assurer la coordination des politiques des
    États membres et notamment de lemploi en
    définissant les lignes directrices de ces
    politiques. (I-15.2)

12
LES COMPÉTENCES DE L'UNION ENMATIERE DE
POLITIQUE ETRANGERE(I-16 et 40)
  • LUnion européenne conduit une politique
    étrangère et de sécurité commune (I-40.1), le
    Conseil européen identifie les intérêts
    stratégiques de lUnion et fixe les objectifs
    (I-40.2)
  • La politique étrangère et de sécurité commune est
    exécutée par le ministre des Affaires étrangères
    de lUnion, le Président du Conseil européen et
    par les États Membres, en utilisant les moyens
    nationaux et ceux de lUnion (I-22.2 et I-40.4)
  • Avant dentreprendre toute action sur la scène
    internationale ou de prendre tout engagement qui
    pourrait affecter les intérêts de lUnion chaque
    État membre consulte les autres au sein du
    Conseil européen ou du Conseil (I-40.5)
  • En plus des cas visés à la Partie III le Conseil
    peut être autorisé à statuer à la majorité
    qualifiée par une décision du Conseil européen
    adoptée à lunanimité (I-40.7)
  • Le Parlement européen est consulté et tenu
    informé des principaux aspects et des choix
    fondamentaux de la politique étrangère et de
    sécurité commune (I-40.8)

13
ET EN MATIERE DE POLITIQUE DE SECURITE ET DE
DEFENSE (I-16 et 40)
  • La politique de sécurité et de défense commune
    fait partie intégrante de la politique étrangère
    et de sécurité commune. Elle assure à lUnion une
    capacité opérationnelle sappuyant sur des moyens
    civils et militaires (I-41.1)
  • La politique de lUnion naffecte pas le
    caractère spécifique de la politique de certains
    États membres, elle respecte les obligations de
    lOTAN et elle est compatible avec la politique
    arrêtée dans ce cadre (I-41.2)
  • Les États membres sengagent à améliorer
    progressivement leurs capacités militaires et il
    est institué une Agence européenne de défense
    (I-41.3)
  • Les décisions sont adoptées par le Conseil
    statuant à lunanimité (I-41.4)
  • Le Parlement européen est consulté et tenu
    informé des principaux aspects et des choix
    fondamentaux de la politique de sécurité et de
    défense commune (I-41.8)

14
LES INSTRUMENTS JURIDIQUES DE LUNION
  • Actes législatifs (I-34)
  • Adoptés sur proposition de la Commission
    conjointement par le Conseil et le Parlement
    européen dans 95 des cas
  • Lois - obligatoires et directement applicables
    (I-33.1 elles remplacent les anciens règlements)
  • Lois-cadres - lient les États-membres quant au
    résultat à atteindre (I-32 elles remplacent les
    anciennes directives)
  • Actes non législatifs (I-35)
  • Adoptés par le Conseil européen (I-35.1), le
    Conseil, la Commission ou la BCE (I-35.2 et 3)
  • Règlements et décisions (I-35.2) peuvent être
    obligatoires et directement applicables ou lier
    quant au résultat à atteindre
  • Recommandations et opinions (I-32 et I-34.2) -
    non-contraignants

15
LES INSTRUMENTS JURIDIQUES DE LUNION
  • Règlements délégués pour des éléments
    non-essentiels de la législation (I-36)
  • Une loi ou une loi-cadre peut déléguer à la
    Commission le pouvoir de compléter ou de modifier
    certains éléments non essentiels de ladite loi ou
    loi-cadre
  • Le Parlement européen et le Conseil peuvent
    exprimer des objections dans le délai fixé par la
    loi ou loi-cadre
  • Actes dexécution (I-37)
  • Dans les cas où une exécution uniforme est
    requise, des compétences dexécution sont
    conférées à la Commission et dans certains cas
    spécifiques au Conseil

16
LA PROCÉDURE DE CODECISION
Procédure supranationale de décision introduite
par le traité de Maastricht en matière
législative, la procédure de codécision repose
sur le principe de la parité entre le Parlement
européen et le Conseil décidant à la majorité
  • La Commission dispose du monopole de linitiative
    législative (I-34 et III-396)
  • Le Parlement peut adopter des amendements (I-34
    et III-396)
  • Voir en annexe p26-27 lévolution du nombre de
    députés français au Parlement européen.
  • Le Conseil des ministres statue à la majorité
    qualifiée (I-25)
  • le Conseil statue à lunanimité lorsque la
    Commission rejette un amendement (III-396.9)
  • A défaut daccord entre le Parlement européen et
    le Conseil des ministres à lissue des trois
    lectures successives lacte est réputé non adopté
    (III-396.13)

17
EVOLUTION DE LA PROCEDURE DE CODECISION
Introduite par le Traité de Maastricht en 1993,
la codécision passe avec la Constitution de 15 à
89 bases légales
18
DOUBLE MAJORITÉ AU SEIN DU CONSEIL DES MINISTRES
  • 55 des États avec un minimum de 15 États
    représentant 65 de la population (I-25.1)
  • Le système de pondération fixant la majorité
    qualifiée à 232 sur 321 voix pour 25 États
    membres reste dapplication jusquen 2009.
  • Un minimum de quatre États est nécessaire pour
    constituer une minorité de blocage (I-25.1).
  • Exemple
  • Sur proposition de la Commission (I-25.2),
    lUnion européenne peut imposer à tous les États
    membres une décision ou une réglementation à
    laquelle sopposent la France, l'Allemagne et
    le Royaume-Uni, peu importe quils représentent
    plus de la moitié de la contribution au budget de
    lUnion et presque la moitié de la population

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ADOPTION DE LA CONSTITUTION
  • Unanimité des États membres dans le cadre dune
    conférence intergouvernementale CIG (droit de
    veto garanti) (Traité de Nice TUE 48)
  • Ratification par tous les États membres (Traité
    de Nice TCE 313 et IV-447.2)
  • La Constitution abroge tous les traités
    antérieurs (IV-438)
  • Si 80 ont ratifié à l'issue d'un délai de deux
    ans, une solution politique doit être trouvée à
    lunanimité (déclaration politique)

20
PROCÉDURES DE RÉVISION DE LA CONSTITUTION
  • Procédure ordinaire de révision exigeant une
    ratification
  • Une proposition est faite par un État membre, le
    Parlement européen ou par la Commission (IV-443.1
    et IV-445.1)
  • Le Conseil européen décide de convoquer
    préalablement une  Convention  ou directement
    une  Conférence des représentants des
    gouvernements  (CIG) (IV-443.2). Tous les États
    membres doivent ratifier laccord conformément à
    leurs règles constitutionnelles respectives
    (IV-443.3)
  • Procédure simplifiée exigeant une ratification
  • Sur la partie III, titre III relatives aux
    politiques et actions internes de lUnion le
    Conseil européen peut adopter une décision
    européenne - procédure simplifiée (IV-445.2)
    qui doit être approuvée par les États membres
    conformément à leurs règles constitutionnelles
    respectives (IV-445.2)

21
MODIFICATIONS SANS RATIFICATION
  • Procédure de révision simplifiée sans
    ratification
  • Le Conseil européen peut adopter une décision
    remplaçant l'unanimité par la majorité qualifiée,
    sans modification formelle de la Constitution
    (IV-444) ce sont les  passerelles . Un
    Parlement national peut notifier son opposition
    (IV-444.3)
  • Élargissement des compétences sans révision
    formelle
  • Pour atteindre les objectifs visés par la
    Constitution et sur proposition de la Commission,
    le Conseil des ministres peut prendre les mesures
    appropriées non prévues par la Constitution.
    Cest la  Clause de flexibilité  prévue à
    larticle I-18.1

22
OÙ SONT LES PEUPLES DANS LA CONSTITUTION DE
L'UNION ?
  • Si les peuples peuvent, lors des scrutins
    nationaux, modifier la position de leur pays au
    sein du Conseil des ministres, ce changement peut
    navoir aucune influence sur la majorité au
    Conseil et sur les lois en vigueur quils
    souhaiteraient modifier, adopter ou abroger.
  • Chaque peuple, y compris le peuple français, peut
    élire des représentants au Parlement européen
    tous les cinq ans, mais cela peut être sans
    incidence sur la majorité au niveau européen.
  • Un changement de majorité qui résulte des
    élections nationales ne permet pas de changer la
    loi ou de modifier lorientation des politiques
    même au niveau national dans un sens différent de
    celui du droit européen qui prime sur le droit
    national.
  • Une loi européenne à laquelle un peuple et la
    totalité de ses représentants élus au niveau
    européen et national seraient unanimement opposés
    peut leur être imposée au travers de la procédure
    de codécision.
  • Une loi européenne qui ne disposerait plus de la
    majorité qualifiée au Conseil nécessaire ou de la
    majorité absolue au Parlement pour être adoptée
    reste en vigueur aussi longtemps que de telles
    majorités ne peuvent pas être réunies pour
    adopter sa modification ou sa suppression, même
    si la majorité des peuples le souhaite.

23
OÙ SONT LES PARLEMENTS NATIONAUX DANS LA
CONSTITUTION DE L'UNION ?
  • Dans le protocole sur le rôle des parlements
    nationaux
  • La transmission des projets dactes législatifs
    sur lesquels ils peuvent adresser en retour un
    avis motivé dans un délai de six semaines
  • Les ordres du jour et résultats des sessions du
    Conseil
  • Les propositions de révision selon la procédure
    simplifiée à laquelle ils peuvent sopposer dans
    les six mois
  • Dans le protocole sur lapplication des
    principes de subsidiarité et de proportionnalité
  • Si pour une proposition dacte législatif, plus
    dun tiers des Parlements nationaux (17 voix sur
    50 possibles) estime que le principe de
    subsidiarité nest pas respecté, lauteur de la
    proposition incriminée (la Commission dans la
    procédure ordinaire) doit la réexaminer mais
    reste libre de la maintenir, de la modifier ou de
    la retirer.

24
DU TRAITE DE NICE A LA CONVENTION
  • Dans la déclaration numéro 23, arrêtée le même
    jour que le traité de Nice, les Chefs dÉtat
    soulignaient quune fois ce dernier ratifié
    lUnion aurait achevé les changements
    institutionnels nécessaires à ladhésion de
    nouveaux États membres et exprimaient le souhait
    que sengagent un débat et un processus qui
    devront notamment porter sur les questions
    suivantes
  • comment établir, et maintenir ensuite, une
    délimitation plus précise des compétences entre
    l'Union européenne et les États membres, qui soit
    conforme au principe de subsidiarité
  • le statut de la Charte des droits fondamentaux de
    l'Union européenne, proclamée à Nice,
    conformément aux conclusions du Conseil européen
    de Cologne
  • simplifier les traités afin qu'ils soient plus
    clairs et mieux compris, sans en changer le sens
  • le rôle des parlements nationaux dans
    l'architecture européenne.

25
DE LA CONVENTION A LA CONSTITUTION
  • Dès la mise en place de la Convention par le
    Conseil européen de Laeken qui a confié la
    présidence à Valery Giscard dEstaing lobjectif
    a été détourné pour aboutir au présent traité
    pour une Constitution européenne.
  • La volonté dimposer une intégration de plus en
    plus étroite a conduit à privilégier des méthodes
    qui facilitent la prise de décision au niveau
    supranational au détriment de la démocratie et
    notamment dans son expression au niveau national.
  • La Constitution fait l'objet d'un référendum dans
    de nombreux États dont la France
  • C est à vous de décider ce que sera  lavenir
    de lEurope  en votant oui ou non à la
    Constitution

26
Représentation Française au Parlement européen
des voix
Nombre de députés
27
La France et lAllemagne en sièges au Parlement
européen
Total 434 518 567
626 732 750
750
28
La contribution de la Franceau budget européen
La France est le deuxième contributeur net au
budget européen à hauteur de 17 des crédits de
paiements. Sa contribution est appelée à croître
fortement du fait des nombreux élargissements en
cours et à venir.
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