Les mfaits de lalcool sur la sant - PowerPoint PPT Presentation

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Les mfaits de lalcool sur la sant

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Et c'est facile d'y tomber : c'est socialement accept de boire (trop m me) ... Et c'est facile d'y tomber : c'est socialement accept de boire (trop m me) ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Les mfaits de lalcool sur la sant


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Les méfaits de lalcool sur la santé
  • Introduction

Lalcool fait parti de notre société il est
pour beaucoup un élément indispensable aux fêtes,
et autres réjouissances. Mais pour certains il
est tous simplement indispensable, seul, à
nimporte quel moment, tel une drogue, il créé
une dépendance. A cause de son effet inhibiteur
sur le comportement, leuphorie quil induit et
les bons moments entre amis quon lui doit on a
tendance à oublier les nombreux dommages( parfois
irréparables ) quil cause à notre organisme et
même à celui de nos proches.
2
Les effets de lalcool sur le corps humain
Effets physiques de lalcool à long terme
Dommages au cerveau, au pancréas et aux reins.
Pression artérielle élevée, risques dhémorragie
cérébrale Atteinte du muscle cardiaque
Hépatites alcoolique et cirrhose du foie.
Cancer (estomac, bouche, larynx et sophage).
Impotence et stérilité Vieillissement prématuré.
3
Les effets de lalcool sur le cerveau humain
Lalcool est une substance dite psychotrope
cest-à-dire qui a une influence sur le cerveau
et part de là une influence sur le comportement
et les émotion du consommateur. Les dégât
deviennent très vite graves et irréversibles ils
sont nombreux - Confusion mentale -Destruction
des cellules nerveuses - Moins de gène et faux
sentiments de sécurité (vulnérabilité aux
actes sexuelles non protégés - Altération des
sentiments (colère,peur, exubérance des
sentiments - Diminution de lattention -
Ralentissement des réflexes
4
5 des femmes enceintes consomme quotidiennement
1 verre dalcool Ce qui est reconnu
formellement Labsorption dalcool est toxique
pour le ftus pendant la durée de toute la
grossesse 1g dalcool ingéré par la mère
correspond à la même équivalence absorbée par le
foetus
Conséquences - Déficits au niveau de la mémoire
- Habileté à s'exprimer supérieure à la
compréhension, ce qui leurre parfois
l'entourage- Difficulté à saisir les concepts
abstraits (argent, temps, mathématiques) -
Difficulté à généraliser, donc capacité de
résolution de problèmes réduite et répétition des
mêmes erreurs - Faible capacité de
discrimination - Difficulté à communiquer -
Capacité d'anticipation faible - Faible
compréhension des règles sociales -
Socialisation superficielle par inhabileté, et
excessive aucune crainte des étrangers -
Inhabileté à s'investir dans des jeux structurés
- Persévération et, à l'occasion, repli sur soi
et comportements d'autostimulation -
Hypersensibilité sensorielle (sons-toucher-goût-od
orat-vision) - Hyperactivité - Impulsivité -
Faible tolérance au stress et aux changements -
Comportements intrusifs - Tendance à ne pas
coopérer en faisant preuve d'immaturité - Peu
d'autonomie - Déficits au niveau de toutes les
sphères de la motricité et au niveau de la
coordination visuo-motrice - Aberrations au
niveau de la résistance à la douleur (ex. un
enfant SAF/EAF pourra se faire écraser un doigt
sans émettre une plainte, mais hurlera lors du
brossage des cheveux) - Troubles de
l'attention/concentration pour lesquels les
psycho stimulants (ex. Ritalin) ont une
efficacité relative.
Action de l'alcool sur le ftus L'alcool
traverse sans peine le placenta et entre en
contact avec l'embryon et le ftus, entravant
ainsi le processus de formation des cellules et
des tissus. De tous les organes, c'est le cerveau
qui se trouve le plus affecté, car il est le
premier à se former et sa formation ne sera
complète qu'après sa naissance. Des recherches
faites sur les cerveaux de personnes atteintes du
SAF ont clairement démontré des malformations
importantes. Certains enfants vont dire qu'ils
ont l'impression d'avoir des trous ou des murs
dans leur tête...
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Témoignage dun alcoolique
  • Je vais tout simplement vous raconter mon
    histoire
  • Voilà à 18 ans j'avais donc tout pour réussir
    j'ai eu mon bac mon permis de conduire une petite
    amie bref tout était rose..... Tout???Non pas
    tout en fait je sortais souvent avec mes copains
    faut dire qu'on étaient nombreux une bonne équipe
    de jeunes qui aimaient sortir ici et là tous les
    samedis...jusque là rien de bien dramatique vous
    allez me dire mais le gros problème avec moi
    c'est que je n'arrivais jamais à m'arrêter de
    boire et le pire dans tout ça c'est que j'était
    le seul à avoir le permis...Souvent en rentrant
    je reprenais le volant ivre mort, je ramenais mes
    copains dans un état plus que pitoyable...
  • Je ne trouvais pas ce comportement étrange pour
    moi le samedi était le jour ou tout le monde
    buvait (c'est en tous cas l'image que j'en avais)
    et je ne faisais que faire comme tout le monde.
  • J'ais fini par perdre tous mes copains les uns
    après les autres lassés par mes folles nuits
    d'ivresse et j'en ais connu d'autres qui eux
    buvaient autant voir plus encore que moi...
  • Je filais tout droit en enfer, sans m'en rendre
    compte car l'alcool me rendais aveugle du mal que
    je pouvais faire autour de moi et quand je m'en
    rendais compte je me réfugiais dans l'alcool,
    bref un cercle vicieux qui n'a pas de fin (ni de
    soif).
  • Je vivais dans un autre monde et croyant être
    heureux je me détruisais jours après jours
    persuadé que je vivais normalement
  • Jai fini ma course contre un poids lourd et 2
    autres véhicules sur l'autoroute un samedi soir
    alors que je ne savais même pas ou j'aillais...
  • Dieu merci je n'ais blessé ni tué personne mais
    je me suis réveillé sans me rappeler ce que
    j'avais fais la veille en cellule de dégrisement
    la police au réveil c'est pas génial quand au
    petit déjeuné c'était une fiche de procès verbal
    avec mon taux d'alcool dans le sang (environ 2g
    par litre) j'ai eu droit un une annulation de 2
    ans du permis de conduire et une amende
    forfaitaire
  • Grande à été ma peur et c'est depuis ce jour là
    que j'ais décider d'arrêter de boire et j'en suis
    fier aujourd'hui, je ne me souviens plus de la
    date exacte mais c'était en juin 1999 depuis je
    n'ais pas retouché une goutte d'alcool ce poison
    me tuerai....

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Témoignage dune alcoolique
  • Bonjour. Je m'appelle C. et je suis une femme. Eh
    oui ! L'alcool touche aussi les femmes, bien que
    nous soyons moins nombreuses que les hommes. Un
    soir, en rentrant, j'ai voulu prendre un petit
    remontant et j'ai pris un porto. Mon mari ne boit
    pas ce n'est donc pas lui que j'ai copié. Mais
    voilà, de soir en soir, subrepticement, l'aide
    ponctuelle est devenue habitude. Je suis passée
    à une consommation régulière d'alcool, oh, non
    pas que j'y prenais du plaisir (certains oui,
    mais pas moi), mais parce que je devenais
    dépendante. J'ai augmenté les quantités, petit à
    petit. J'étais toujours sous antidépresseurs et
    en tant que médecin, j'étais très au courant et
    très consciente du risque que je prenais en
    buvant de l'alcool. Mais face à quelque chose de
    plus fort que soi, aucune raison ne tient.Au bout
    de quelques temps, je me disais le matin
    aujourd'hui, c'est fini, tu ne boiras pas , mais
    l'alcool était plus fort que moi. Je ressentais
    l'état de manque. Je n'étais bien que quand
    j'avais bu un verre. C'est une vraie drogue,
    drogue dangereuse car facile à se procurer. Il
    n'y avait jamais d'alcool chez moi personne
    n'aurait pu se douter... Mais c'était plus fort
    que moi j'allais à l'épicerie du quartier et je
    m'achetais une petite bouteille que je buvais en
    partie. Le reste, je le vidais.Paradoxalement, je
    n'ai jamais accepté de boire. Certains le font
    avec goût. Moi je vomissais souvent après une
    prise d'alcool, parce que je n'aime pas le goût
    et parce que je ne voulais pas boire. Je voulais
    m'en sortir. Mais c'était plus fort que moi. Au
    bout de 3-4 ans d'horreur, j'ai demandé à mon
    généraliste proposez-moi n'importe quoi, mais
    je veux sortir de là . J'étais à bout. Il m'a
    envoyé dans un centre de désintoxication. Là, le
    sevrage a pu se faire. Sans ce milieu protégé, ce
    n'est pas possible. J'y suis restée un
    mois.Pendant ce séjour, j'ai eu une voisine de
    chambre qui connaissait une association d'aide
    aux alcooliques, la croix bleue. Cette amie m'a
    dit avant que je ne sorte Attention !
    Surtout, ne t'arrête pas en si bon chemin, sinon
    tu vas replonger. Vas dans une association . J'y
    suis allée et j'ai vu que mon amie avait
    raison.Je suis allée à toutes les rencontres de
    la croix bleue. Je m'y suis fait des amis. Quand
    on boit, on a un sentiment profond de solitude.
    C'est très réconfortant de voir qu'on peut encore
    avoir des amis. J'ai suivi en plus une thérapie
    individuelle de soutien. Depuis, je suis délivrée
    de l'alcool. Je n'en bois plus une goutte, même
    si, quand j'invite des amis chez moi, je sors des
    "apéro" et du vin (d'autres personnes guéries
    préfèrent sortir des jus de fruits).N'importe qui
    est à la merci de l'alcool. Ce n'est pas le
    niveau social qui joue. C'est un piège parce que
    c'est insidieux, ça arrive sans qu'on s'en rende
    compte. Et c'est facile d'y tomber c'est
    socialement accepté de boire (trop même). Un
    conseil limitez-vous à un verre quand vous
    sortez ! N'acceptez pas de vous resservir
    prenez des jus de fruits à la place. Ne suivez
    pas les "mauvais" copains.

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  • Bonjour. Je m'appelle C. et je suis une femme. Eh
    oui ! L'alcool touche aussi les femmes, bien que
    nous soyons moins nombreuses que les hommes. Mon
    histoire a commencé alors que j'étais médecin
    anesthésiste, mariée. Nous avions une petite
    fille. A la suite de graves problèmes de santé de
    mon mari et de mon père et à cause de ma vie
    professionnelle stressante, j'étais déprimée. On
    m'a prescrit des antidépresseurs.
  • Un soir, en rentrant, j'ai voulu prendre un petit
    remontant et j'ai pris un porto. Mon mari ne boit
    pas ce n'est donc pas lui que j'ai copié. Mais
    voilà, de soir en soir, subrepticement, l'aide
    ponctuelle est devenue habitude. Je suis passée
    à une consommation régulière d'alcool, oh, non
    pas que j'y prenais du plaisir (certains oui,
    mais pas moi), mais parce que je devenais
    dépendante. J'ai augmenté les quantités, petit à
    petit. J'étais toujours sous antidépresseurs et
    en tant que médecin, j'étais très au courant et
    très consciente du risque que je prenais en
    buvant de l'alcool. Mais face à quelque chose de
    plus fort que soi, aucune raison ne tient.
  • Je me suis mise à boire même à midi et même des
    alcools forts (whisky...). Avec le recul, je me
    rends compte de l'importance d'avoir une vie
    équilibrée. Veillez à votre hygiène de vie
    loisir, détente, amitiés, sport, rires entre
    amis, sommeil... au lieu de vous "défoncer" le
    samedi soir pour évacuer le stress ! On a
    l'impression à tort qu'il faut de l'alcool pour
    faire la fête. L'alcool nous désinhibe on a
    l'impression qu'on a plus de confiance en soi,
    qu'on est plus fort, plus léger. En réalité, on
    veut toujours être mieux on ne s'accepte pas
    on n'accepte pas nos limites.
  • Au bout de quelques temps, je me disais le matin
    aujourd'hui, c'est fini, tu ne boiras pas ,
    mais l'alcool était plus fort que moi. Je
    ressentais l'état de manque. Je n'étais bien que
    quand j'avais bu un verre. C'est une vraie
    drogue, drogue dangereuse car facile à se
    procurer. Il n'y avait jamais d'alcool chez moi
    personne n'aurait pu se douter... Mais c'était
    plus fort que moi j'allais à l'épicerie du
    quartier et je m'achetais une petite bouteille
    que je buvais en partie. Le reste, je le vidais.
  • Paradoxalement, je n'ai jamais accepté de boire.
    Certains le font avec goût. Moi je vomissais
    souvent après une prise d'alcool, parce que je
    n'aime pas le goût et parce que je ne voulais pas
    boire. Je voulais m'en sortir. Mais c'était plus
    fort que moi. Certains sont dépendants sans être
    conscients d'eux-mêmes. Moi non j'étais très
    lucide sur le fait de faire souffrir ma famille
    et ça renforçait ma douleur et mon mal-être. Je
    pleurais, je disais que je ne recommencerais
    plus, mais je n'y arrivais pas.
  • Au bout de 3-4 ans d'horreur, j'ai demandé à mon
    généraliste proposez-moi n'importe quoi, mais
    je veux sortir de là . J'étais à bout. Il m'a
    envoyé dans un centre de désintoxication. Là, le
    sevrage a pu se faire. Sans ce milieu protégé, ce
    n'est pas possible. J'y suis restée un mois.
  • Pendant ce séjour, j'ai eu une voisine de chambre
    qui connaissait une association d'aide aux
    alcooliques, la croix bleue. Cette amie m'a dit
    avant que je ne sorte Attention ! Surtout, ne
    t'arrête pas en si bon chemin, sinon tu vas
    replonger. Vas dans une association . J'y suis
    allée et j'ai vu que mon amie avait raison.
  • Je suis allée à toutes les rencontres de la croix
    bleue. Je m'y suis fait des amis. Quand on boit,
    on a un sentiment profond de solitude. C'est très
    réconfortant de voir qu'on peut encore avoir des
    amis. J'ai suivi en plus une thérapie
    individuelle de soutien. Depuis, je suis délivrée
    de l'alcool. Je n'en bois plus une goutte, même
    si, quand j'invite des amis chez moi, je sors des
    "apéro" et du vin (d'autres personnes guéries
    préfèrent sortir des jus de fruits).
  • N'importe qui est à la merci de l'alcool. Ce
    n'est pas le niveau social qui joue. C'est un
    piège parce que c'est insidieux, ça arrive sans
    qu'on s'en rende compte. Et c'est facile d'y
    tomber c'est socialement accepté de boire (trop
    même). Un conseil limitez-vous à un verre quand
    vous sortez ! N'acceptez pas de vous resservir
    prenez des jus de fruits à la place. Ne suivez
    pas les "mauvais" copains.

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Un ptit quiz pour la route
  • Médicalement on dit que lalcool est un
  • Neuroleptique
  • Psychotrope
  • Narcotique
  • A partir de quelle dose quotidienne lalcool
    devient-il toxique pour le ftus?
  • quelque soit la dose
  • à partir dun verre environ
  • après deux verres
  • Quelle est la dose dalcool maximale autorisée
    dans la sang en France?
  • 1g par Litres
  • 0.5g par litres
  • 0.75g par litres

9
Grégoire BELLENOT
Seconde 9
Marie CHUPIN
Maëliss GUILLAUME
Maxime CHABROUD
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