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Le programme de travail du mouvement Sant

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VOULONS NOUS D UNE SANTE A DEUX VITESSES ??? Apr s 30 ans de planification l chec est patent : les in galit s n ont jamais t aussi importantes et s ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Le programme de travail du mouvement Sant


1
Le programme de travail du mouvement Santé
pour Tous
VOULONS NOUS DUNE SANTE A DEUX VITESSES
??? Après 30 ans de planification l échec est
patent les inégalités n ont jamais été aussi
importantes et s aggravent chaque fois que
l Etat Ferme un Hôpital VOULONS NOUS DUNE SANTE
PRIVATISEE ?? LA SANTE NEST PAS UNE MARCHANDISE
! La santé est un droit. Le droit à la
protection de la santé est le résultat de
décisions politiques prises démocratiquement au
nom de la dignité de lhomme
2
Sommaire
  • PROGRAMME DE TRAVAIL
  • AXE 1 DES DISCRIMINATIONS SANITAIRES
    INSUPPORTABLES
  • AXE 2 LES PROBLEMES DE QUALITE DE PRISE EN
    CHARGE
  • AXE 3 UN SYSTEME SANITAIRE QUI NEGLIGE DES
    POPULATIONS IMPORTANTES
  • AXE 4 UNE OFFRE SANITAIRE QUI NE PREND PAS EN
    COMPTE LES BESOINS SANITAIRES DE LA POPULATION
  • AXE 5 UNE OFFRE SANITAIRE INSUFFISANTE ET
    INEGALEMENT REPARTIE
  • AXE 6 UNE APPROCHE SANITAIRE QUI NEGLIGE LA
    PREVENTION DES FACTEURS DE RISQUE CONNUS
  • AXE 7  OBJECTIFS A PLUS LONG TERME
  • CONCLUSION Lhumain au centre pour une
    politique de santé respectant tous les citoyens

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Contribuer à lélaboration des schémas
dorganisation départementaux dintervention
sociale et médico-sociale.
  • Des schémas d'organisation départementaux,
    arrêtés pour cinq ans, sont destinés à
  • apprécier la nature, le niveau et l'évolution des
    besoins du secteur,
  • dresser un bilan qualitatif et quantitatif de
    l'offre,
  • déterminer les perspectives et les objectifs de
    développement de cette offre,
  • préciser le cadre de la coopération et de la
    coordination à mettre en œuvre entre les
    établissements et services sociaux et
    médico-sociaux et entre ces structures et les
    établissements de santé,
  • définir les critères d'évaluation des actions
    conduites.
  • A chaque schéma départemental est annexée la
    programmation pluriannuelle des actions à mettre
    en œuvre en termes de création, transformation ou
    suppression de structures  Centres d'aide par le
    travail (CAT)  Foyers d'hébergement  Foyers
    occupationnels ou foyers de vie  Maisons
    d'accueil spécialisé (MAS) et Foyers d'accueil
    médicalisé (FAM)
  • Notre région compte les départements les plus
    faiblement équipés
  • (Corse, Bouches du Rhône, Vaucluse, Var et Alpes
    Maritimes).

4
Contribuer à lélaboration des schémas
départementaux dorganisation en psychiatrie
(Circ 21 décembre 1987).
  • Des schémas d'organisation départementaux sont
    destinés à
  • apprécier la nature, le niveau et l'évolution des
    besoins du secteur,
  • dresser un bilan critique du fonctionnement des
    secteurs
  • faire des propositions
  • Développer des services de soins de suite et
    dhébergement de personnes âgées
  • Développer des centres de soins publics (Zones
    périurbaines défavorisées).
  • infirmières en milieu scolaire et universitaire
  • centres médico-psychologiques (Suicide, problèmes
    nutritionnels,..)
  • centres spécialisés de soins aux toxicomanes
  • centres dalcoologie
  • centres de dépistage anonyme et gratuit
  • centres de prévention du diabète et de
    l hypertension

5
CONTRIBUER A LELABORATION DES SROS
  • Aujourdhui, les choix sanitaires relève de la
    décision de quelques  experts 
  • des groupes de travail thématiques qui
     permettent à lARH détablir un diagnostic
    partagé ,
  • et de  préciser des grandes orientations 
    sur les thèmes concernés.
  • un Comité restreint dexperts se réunit ,   dans
    les  territoires de santé retenus pour les
    activités liées aux plateaux techniques , afin
    délaborer des  projets médicaux de territoire 
    sans  multiplier les lieux de concertation .
  • ces décisions sont communiquées en direction des
    élus (maires, députés, sénateurs, conseillers
    généraux et régionaux) afin  dassurer au mieux
    les réorganisations indispensables ce doivent
    avoir lieu bien avant la réalisation des
    projets 
  • Enfin vient le temps de la communication avec les
    usagers usagers membres des CA des
    établissements, les associations défendant les
    usagers atteints dune pathologie particulière,
    les associations généralistes et les associations
    de victimes.
  • De fait, les groupes de travail existants
    comptent un très faible nombre de représentants
    dusagers jugés non subversifs (Exemple  Comité
    départemental de la Ligue contre le cancer 
    lUnion Régionale de la Mutualité Française
    PACA).
  • Nous voulons créer les conditions dune
    contribution citoyenne plus large !

6
CONTRIBUER A LELABORATION DES SCHEMA REGIONAUX
DORGANITION SANITAIRE
  • Favoriser le rapprochement entre loffre de soins
    somatiques et psychiatriques en particulier pour
    les urgences, la prise en charge des enfants,
    adolescents et personnes âgées.
  • Assurer la cohérence territoriale de toutes les
    activités liées aux  plateaux techniques 
    (Chirurgie, anesthésie, réanimation,
    obstétrique, pédiatrie, imagerie, biologie,
    explorations ..) .
  • Identifier différents niveaux de prise en charge
    depuis la proximité jusquau niveau
    inter-régional, notamment pour laccès aux soins
    de proximité ou de premier recours précisant les
    complémentarités et les coordinations à mettre en
    place avec le secteur ambulatoire.
  • Articuler les soins hospitaliers, le secteur
    ambulatoire et les services médico-sociaux
  • Nous voulons UNE MEDECNE RENOUVELEE INSCRITE DANS
    UN PROJET DE SOCIETE
  • qui ne se résume pas à des objectifs
    quantifiés de loffre de soins

7
Influencer les choix collectifs par nos analyses
et nos propositions
  • Aujourdhui, seules les données démographiques et
    budgétaires orientent les choix sans tenir compte
    de la localisation géographiques des personnes
    très âgées ou de lexistence de certaines
    pathologies pourtant massivement répandues
    (Alzheimer,).
  • Nous souhaitons élaborer une réflexion sur ces
    problématiques afin dadopter des positions
    argumentées susceptibles de faire contrepoids et
    influencer lorientation générale et les
    décisions particulières inscrites dans le Schéma
    Régional.
  • Nous proposons de partir des besoins et non pas
    de loffre existante, en prenant en compte les
    données épidémiologiques et géographiques.
  • mettre en place une véritable démocratie
    sanitaire réellement participative
  • définir les besoins de la population dans chaque
    discipline
  • élaborer une classification des structures de
    soins utilisable
  • exiger les moyens financiers et humains pour
    chaque niveau détablissement sanitaire

8
Organiser loffre de soins par des réseaux de
santé.
  • Difficile de faire comprendre à une
    administration les pratiques en rupture
  • NON à lexercice solitaire et à la
    responsabilité individuelle du médecin.
  • NON au paiement à lacte.
  • NON à la concurrence entre praticiens, OUI à la
    coopération.
  • NON au rapport dominé / dominant et au pouvoir
    du savoir médical.
  • NON à la quête insensée de reconnaissance par
    largent.
  • NON à la survalorisation du progrès
    technologique.
  • NON à lhospitalo-centrisme.
  • NON au tout curatif se préoccuper de ce qui
    rend les gens malades.

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AXE 1 DES DISCRIMINATIONS SANITAIRES
INSUPPORTABLES
10
AXE 1 DES DISCRIMINATIONS SANITAIRES
INSUPPORTABLES
  • EXEMPLES
  • Ouvrez la bouche dun enfant et devinez la CSP
    des parents .
  • Mesurez le poids dun enfant et devinez le taux
    de chômage de son canton.
  • 7,4 dobèses chez les ouvriers non qualifiés.
    0,4 pour les enfants de cadres.
  • Un ouvrier vit en moyenne 7 ans de moins qu un
    cadre.
  • (Le mauvais résultat en Europe)
  • On vit moins longtemps dans le Nord Pas de Calais
    que dans la région PACA.
  • 12 000 morts par an pour un motif lié au travail
    (1 cancer sur 4).
  • Cf Gérard SALEM.

11
(No Transcript)
12
(No Transcript)
13
(No Transcript)
14
Les populations fragiles ou précaires
(immigrants, chômeurs,) plus exposées, moins
prises en charge
  • Selon une étude récente de lURCAM, la densité de
    médecins généralistes
  • lt 100 / 100 000 h dans les 3 ième 9 ème, 10 ième
    11 ième 13 ième, et 14 ième
  • gt 200 pour 100 000 dans les 1er, 6 ième et 8 ième
    arrondissements.
  • Pour les spécialistes, la répartition de loffre
    de soins est encore plus inégale
  • gt 500 médecins spécialistes pour 100 000 dans le
    6ième arrondissement
  • lt 77 spécialistes pour 100 000 habitants dans les
    4 arrondissements moins dotés.
  • De même pour les auxiliaires médicaux ou les
    chirurgiens dentistes, installés sur une sorte de
    couloir qui part du 8 ème arrondissement en
    direction du 1er.

15
Des populations moins bien prises en charge
16
Les détenus un accès aux soins problématique
  • 3 Etudes réalisées par l'Observatoire Régional de
    la Santé qui concernent la prison des Baumettes à
    Marseille ont évalué les besoins sanitaires
  • entre 3 et 15 la proportion de détenus
    infectés par le virus VIH
  • entre 10 et 33 pour l'hépatite C
  • insécurité physique, perméabilité aux trafics
    les jeunes deviennent toxicomanes en prison
  • Pour ces personnes exposées à d'importants
    risques épidémiologiques, infectieux et
    psychologiques existent de grandes difficultés
    d'accès à des soins.
  • Le soin, quand il existe, n'est jamais
    individualisé
  • Le soin nest pas un droit, cest une faveur, au
    bon vouloir des gardiens
  • En protégeant le milieu carcéral, c'est
    l'ensemble de la société que l'on protège.

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Toxicomanes cesser la criminalisation
  • Le principal motif de détention est représenté
    par les infractions à la législation sur les
    stupéfiants qui représentent près de 20 des
    incarcérations.
  • La toxico-dépendance dans lagglomération de
    Marseille est estimée (Source ORS) à 5700
    personnes 4663 - 6853 soit un taux de 6,4 pour
    1000 5,18 - 7, 61 . Sur Nice, la population
    est estimée à 4500 personnes 3255 - 5826 soit
    un taux de 8,80 pour 1000. Les toxicomanes sont
    nécessairement en mauvaise santé et en
    particuliers ceux qui sont incarcérés
  • pathologies infectieuses (70 pour la
    prévalence de l'hépatite C, 25 pour le syndrome
    HIV)
  • maladies mentales, perte de sommeil, d'appétit
  • handicaps physiques, pertes des dents et
    problèmes de chicot
  • maladies parasitaires, abcès liés aux
    injections, blessures
  • Avec la défonce comme médication principale, la
    maladie n'existe pas ni pour eux ni pour la
    société qui rejette, stigmatise, criminalise et
    rejette. Pour un toxicomane s'ouvrent deux voies
    la voie médicale et la voie pénale. Mais le
    fait d'être en prison ne permet plus aujourd'hui
    de marquer une pause tant la prison est perméable
    au trafic (50 des toxicomanes incarcérés
    consomment quotidiennement de l'héroïne).

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AXE 2 Les problèmes de qualité
de prise en charge
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Le problème des urgences
  • Lindicateur le plus évident des insuffisances de
    prise en charge se révèle dans les services
    durgence hospitaliers.
  • 4 patients sur 5 admis aux urgences relèvent de
    la bobologie (Pronostic vital non engagé). Ils
    font appel aux urgences parce que le médecin de
    famille ne répond pas.
  • Faute dune prise en charge en amont,
    toxicomanes, alcooliques, psychotiques en
    situation de crise mais sans lésion physique
    grave, vont aux urgences il nexiste pas de
    prise en charge suffisante en amont Le rapport
    daccréditation de juin 2004 du Centre
    Hospitalier Spécialisé Montperrin à Aix en
    Provence, mentionnne une file active de 14 500
    patients, pour 4 400 entrées au cours de l'année
    écoulée.
  • Les urgences représentent le dernier endroit où
    le soin est gratuit et complet.

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Refus de soins une pratique généralisée ?
  • Une enquête téléphonique anonyme menée auprès de
    230 dentistes libéraux choisis de manière
    aléatoire dans 11 villes de France.
  • Dans 35,3 des cas, les dentistes ont refusé de
    soigner un bénéficiaire de la CMU.
  • Les patients sont orientés sur les centres de
    santé

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Les dépassements tarifaires
  • Une enquête de la CNAMTS montre que des
    bénéficiaires de la CMU-C paient une partie de
    ses soins
  • Soins dentaires
  • un RAC moyen de 132 euros pour 6 des patients
  • Médecine générale
  • 8,7 des consultants ont eu RAC moyen de 15
    euros
  • Spécialistes
  • 9,9 des patients ont eu reste à charge moyen
    de 25 euros.

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Le refus de soin une violation de la loi
  • La question des refus de soins concerne le
    secteur dentaire et un certain nombre de
    spécialités qui travaillent en tarifs libres et
    incitent les clients à sadresser à un autre
    professionnel en fixant un RDV à une date
    lointaine.
  • Les cas de refus catégoriques existent. Ils sont
    vécus comme une humiliation. Parfois, la sécurité
    sociale intervient à l'amiable par le biais
    du praticien conseil.

Nous exigeons la mise à disposition dun service
dédié aux difficultés dapplication de la CMU
et des règlements conventionnels
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Le problème des files dattente
  • Les centres de soins publics sont surchargés
    plusieurs mois dattente pour une place en maison
    de retraite ou la prise en charge de lhandicap
    lourd
  • Avec le développement des consultations privées à
    l hôpital, il faut aujourdhui des mois pour
    obtenir un rendez vous à lhôpital public (Sauf à
    payer plus cher).
  • Chez certains spécialistes exerçant en libéral,
    un rendez vous s obtient plusieurs semaines
    après la demande (Sauf à payer.)
  • Le délai dobtention dun rendez-vous pour un
    examen Scanner, IRM reste, en moyenne, supérieur
    à 30 jours (dune journée à plus de trois mois)
  • Au 1er mars 2005, le parc français,
    officiellement composé de 700 scanners, ne
    représentait que 25 du parc allemand, 45 du
    parc italien et moins de 90 du parc espagnol.
    Concernant les IRM, avec 333 machines, le parc
    français représente seulement 27 du parc
    allemand, 60 du parc italien et 80 du parc
    espagnol.
  • Après des années de pénurie,
  • la protection de la santé pour tous prise en
    charge par la collectivité nest plus assuré.

Nous demandons la suppression du secteur II en
ville et des lits privés dans lhôpital public.
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Les évènements médicaux indésirables 
conséquences prévisibles et évitables de la
concentration des risques
  • La prévalence des infections nosocomiales est de
    6,9 - étude RAISIN 2001 infections sur site
    opératoire (1,93 pour 162 151 interventions
    chirurgicales surveillées - étude RAISIN
    1999-2000) et les infections en service de
    réanimation (entre 13 et 22 , tout type
    dinfection).
  • Les interventions injustifiées 24 - 26 pour
    les coloscopies, 2 à 20 pour les interventions
    pour cataractes (données 2000) et 30 pour les
    poses dendoprothèses pour anévrisme abdominal
    (données 2001)
  • Les prescriptions inappropriées.20 pour les
    radiographies de la cheville chez les patients
    consultant aux urgences pour traumatisme léger de
    la cheville, 20 à 35 pour les prescriptions
    antibiotiques prescrites en prophylaxie ou en
    curatif (données 2002- 2003), 52 à 76 pour les
    prescriptions de bilan préopératoire.
  • Lexcès de prescription médicamenteuse liée à
    labsence de formation continue des médecins,
    victimes de la désinformation ou de la corruption
    généralisée par lindustrie pharmaceutique.
  • Les effets indésirables liés aux médicaments.
    10,3 des patients présentent un effet
    indésirable au cours de leur hospitalisation.
    Parmi ces événements, 25 sont évitables et 1,4
    sont une cause probable du décès. 3,2 des
    admissions sont liées à des effets indésirables.
  • Les défauts du circuit du médicament. nombre
    important de non-conformités à toutes les étapes
    du circuit du médicament lincidence est
    denviron une erreur de prescription, de
    dispensation ou dadministration par patient et
    par journée dhospitalisation.

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Les évènements médicaux indésirables 
conséquences prévisibles et évitables de la
concentration des risques
  • Le système sanitaire est à lorigine de nombreux
    évènements non souhaités  infections,
    intoxications iatrogéniques, protocoles
    inadaptés.
  • La fréquence des événements indésirables graves
    liés aux soins varierait, selon la méthode de
    détection employée, entre 10 et 15 , du nombre
    total de patients traités (23,5 millions de
    patients admis aux urgences en 2004).
  • Dans les enquêtes officielles (DREES), la
    fréquence des événements indésirables évitables,
    nest  que  de 4 à 6 .
  • 5 de 23 millions plus d1 millions
    dincidents graves et évitables dans nos hôpitaux
    !

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Les évènements médicaux indésirables 
conséquences prévisibles et évitables de la
concentration des risques
  • Les rapports publiés par la haute autorité de
    santé (anciennement ANAES) ne permettent pas de
    se faire une idée de la qualité de la prise en
    charge pour la plupart des établissements
    sanitaires de notre région.
  • Nous exigeons la mise en place de véritables
    indicateurs de la qualité des soins dans tous les
    établissements sanitaires recevant des fonds
    publics

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Des indicateurs de qualité en soins intensifs
  • Prise en charge tardive ou non respect de la
    prise en charge prévue
  • Prise en charge dans un délai supérieur à 15
    jours
  • Annulation dexamens
  • Retards ou reports dune intervention
  • Admissions ou réadmissions non programmées suite
    à une prise en charge
  • Retours non programmés en unité de soins
    intensifs, en salle opératoire
  • Retours non programmés dans les 24 à 72 heures
    heures en service durgences
  • Longueur du séjour en service durgences
    supérieur à 4 heures, 6 heures
  • Admission non programmée suité à une endoscopie
    (système urinaire, digestif ou respiratoire)
  • Admission non programmée suité à catheterisation
    cardiaque
  • Réadmission non programmée dans les 31 jours
    pour tout événement liée à la prise en charge.
  • Changement de la prise en charge suite à une
    mauvaise interprétation dimagerie
  • Infections nosocomiales contractées
  • nombre dinfections profondes de lappareil
    respiratoire / patients pris en charge 100
    (Cible 0,25 )
  • nombre dinfections de lappareil urinaire
    traitées/ patients pris en charge 10 (Cible
    0,5 )
  • nombre dinfections / opération de la hanche
    (arthroplastie)
  • nombre dinfections / appendectomie

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Des indicateurs de qualité soins de suite
  • Soins de suite
  • Contrôle du poids  perte ou prise de poids non
    programmée
  • Chutes
  • Tranfers en unité de soins intensifs
  • Décompensation cardiovasculaire
  • Traitement de fractures
  • Saignement gastro - intestinal
  • Infection
  • Soins à domicile
  • Transferts non programmées
  • Problèmes cardiaques
  • Problèmes liés à la pose de Cathéters
  • Problèmes endocrinologiques, Problèmes
    gastrointestinaux
  • Blessures
  • Iatrogénie
  • Problèmes médicaux
  • Problèmes respiratoires
  • Visite non programmée de services hospitaliers
    ou de gérontologie
  • Urgences, Départements MCO, Maison de retraite,
    pour mauvaise prise en charge à domicile

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Des indicateurs de qualité en psychiatrie
  • Agressions
  • Nombre de journées dhospitalisation comportant
    un événement dauto-mutilation
  • Nombre de journées dhospitalisation comportant
    un événement dagression physique
  • Transfers en unité de soins aigüs
  • Dans les 24 à 72 heures suite à ladmission en
    psychiatrie
  • Admissions ou réadmissions non programmées suite
    à une prise en charge
  • Retours non programmés en unité de soins
    psychiatriques dans les 15 jours, les 30 ou les
    60 jours
  • Réclusion forcée Adultes et adolescents
  • Nombre de jours de réclusion forcée sur le
    nombre total de journées
  • Moins dune heure, Moins de 6 heures, Moins de
    12 heures

30
AXE 3 Des populations importantesmal prises en
charge
31
Prise en charge des personnes âgées
  • Accroître le nombre et la médicalisation en
    établissements
  • On nous promet 10 000 nouvelles places en
    établissement.
  • La médicalisation supplémentaire coûte très cher.
  • Les établissements, sont médicalisés à 1,018 par
    établissement. On propose à 1,030.
  • 20 dencadrement supplémentaire soit 15 000
    emplois créés. Cela coûte 1 milliards 200
    millions.
  • La seule montée de la médicalisation en
    établissement consomme lintégralité de
    lenveloppe annoncée par le gouvernement pour
    2005
  • Accroître massivement les effectifs de soignants
    à domicile
  • On nous avait annoncé 17 000 créations demplois
    au niveau des services de soins infirmiers à
    domicile  il nen a été créé que 6000.
  • 160 000 nouveaux cas par an pour la seule maladie
    dAlzheimer en France, donc 15 000 à 18 000 en
    région PACA, il convient évidemment daccroître
    considérablement les moyens des établissements
    psychiatriques, en lien avec des réseaux de
    soins.
  • (150 infirmiers libéraux pour 100 000 habitants
    en région paca, et 162 dans le Var et les Bouches
    du Rhône, 135 dans le vaucluse et les Alpes
    maritimes et 100 dans les Alpes contre 72 en
    France)
  • Nous exigeons le développement du service public
    pour la prise en charge
  • à domicile ou en établissement des personnes âgées

32
(No Transcript)
33
Prise en charge des personnes handicapées
  • Accroître le nombre détablissements
  • L'accueil des adultes handicapés en établissement
    notre région moins bien que la moyenne,
  • 30 places en CAT pour 10 000 adultes 7 places
    en MAS ou en FAM pour 10 000 adultes
  • Les solutions répondent mal aux besoins du
    handicapé et de sa famille (Accueil temporaire ou
    plus régulier).
  • Il nexiste que 836 places dans des structures
    pratiquant laccueil temporaire (Besoin de répit
    des aidants, cas durgence, préparation du
    passage à la vie en établissement, accueil
    séquentiel,.. ).
  • Les places réservées à laccueil temporaire sont
    occupées par des résidents permanents.
  • Le trop faible nombre de places daccueil conduit
    les familles à rechercher des solutions à
    létranger (En Belgique). 3500 français
    souffrants de déficience mentale et de troubles
    du comportement sont actuellement accueillis dans
    129 établissements belges, sur financements
    français
  • Accroître massivement les effectifs de soignants
    à domicile
  • Les familles en charge d un Poly-handicap
    associant déficience motrice et déficience
    mentale sévère ou profonde, entraînant une
    restriction extrême de lautonomie et des
    possibilités de perception dexpression ou de
    relations  (Décret du 27 octobre 1989) exigeant
    le recours à des techniques spécialisées pour le
    suivi médical, éducatif qui nécessitent une
    assistance technique et humaine pour les actes de
    la vie courante et pour les soins sont confrontée
    à de grandes difficultés.
  • Le suivi éducatif est le plus souvent nettement
    insuffisant, faute de moyens.
  • La prise en charge est rompue brutalement à
    loccasion du passage à lage  adulte .
  • Nous exigeons le développement du service public
    pour la prise en charge
  • à domicile ou en établissement des personnes
    handicapées

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Non au  tout médicament 
  • La France se place au 1er rang mondial pour une
    consommation des psychotropes en pleine expansion
  • 105 entre 1970 et 1990 (Zarifian, 1996)

35
(No Transcript)
36
La santé des jeunes
  • Par manque de moyens et de volonté, notre région
    est négligente vis à vis de la prévention et de
    léducation sanitaire
  • DENTS
  • la proportion denfants nayant aucune dent
    permanente atteinte par une carie 35 (1993).
  • les mauvaises dentitions sont observées chez les
    enfants des classes sociales moins favorisées
  • ANOMALIES VUE ET AUDITION
  • le dépistage des anomalies visuelles et auditives
    est fondamental pour le développement des
    apprentissages et lintégration scolaire.
  • MALADIES INFECTIEUSES
  • 6 enfants sur 10 porteurs de Streptocoque
    Pneumoniae dans les crèches ( manque dhygiène
    taux de vaccination faibles ). Cette situation
    prend une importance préoccupante dans un
    contexte de résistance aux antibiotiques.
  • ACCIDENTS (piétons, 2 roues ou noyades, chutes,
    brûlures, pratique de sports),
  • Ils sont responsables de 40 des décès après un
    an (800)
  • nombre daccident 2 fois la moyenne européenne.

37
(No Transcript)
38
La santé des adolescents la médecine
scolaire, universitaire, militaire exclues du
SROS ?
  • ACCIDENTS (piétons, 2 roues, pratique de
    sports),
  • Ils sont responsables 12 des hospitalisations
    ainsi que de nombreuses séquelles handicapantes
    (déficiences, incapacités handicaps
    surmortalité accidentelle des CSP défavorisées.
  • TROUBLES DU COMPORTEMENT
  • concernent 10 à 20 des adolescents (Maux de
    tête, insomnies, addictions prises de risque,
    violence, fatigue, difficulté dadaptation,
    troubles dans le développement de la vie
    affective, tentatives de suicide, anorexie,
    boulimie.
  • OBESITE 
  • surpoids et obésité touche 15 des garçons et 18
    des filles entre 7 et 9 ans. Agent causal 
    usage immodéré de la télévision et des jeux vidéo
    et grignotage daliments sucrés.

39
(No Transcript)
40
VHC, SIDA
  • Prévalence de linfection par le VHC en région
    PACA.
  • 1,8 soit 80 000 personnes infectées
  • (Enquête en Centres d Examen de Santé 1994
    (n1536)
  • 1,2 chez les femmes en terminaison de grossesse
    en 1994
  • (n10232) (Enquête PREVAGEST).
  • Prévalence du VIH
  • 166 par million en 1996, 130 par million en 1997
    et 79 par million en 1998. (Evalvih)
  • Des pratiques très ciblées sont à lorigine de
    ces infections.
  • 37 toxicomanies  32 transfusions  20
    maladies nosocomiales  11 autres (tatouage,
    percing, relations sexuelles,) (Étude réalisée
    par la Direction des Hôpitaux et l AP-HP auprès
    de patients traités pour lhépatite C dans 103
    services hospitaliers en France (1998, - n1965).

41
AXE 4 UNE OFFRE SANITAIRE QUI NE PREND PAS EN
COMPTE LES BESOINS DE LA POPULATION
42
La CNS (mars 2001) identifie 8 priorités de
santé.
  • 1. - Lutte contre le cancer Dépistage
    généralisé (Cancer du sein, du côlon..).
  • 2. Pathologies chroniques Maladies cardiaques,
    diabète, asthme, insuffisance rénale,
    mucoviscidose Création consultations et unités
    de soins palliatifs.
  • 3. Pathologies infectieuses Sida, hépatites
    information, dépistage, pôles de référence.
  • 4. Maladies émergentes et orphelines Maladie de
    Creutzfeldt-Jakob, maladies génétiques.
  • 5. Pratiques addictives Prévention, prise en
    charge globale (Réseaux tabagisme, alcoolisme,
    drogues Développement des médicaments de
    substitution..
  • 6. Démence 500 000 cas en France, forte
    augmentation (Vieillissement).
  • 7. Populations fragiles Programmes ciblés
    (jeunes, femmes, détenus).
  • 8. Actions d'intérêt général greffes, lutte
    contre la douleur, unités de soins palliatifs

43
(No Transcript)
44
(No Transcript)
45
Le plan régional de santé publique
  • Il propose de  développer de nouvelles modalités
  • daction et de coordination 
  • Elaboration d un plan local de santé
  • Evaluation de lincidence de facteurs
    environnementaux
  • Mise en réseau des partenaires
  • Organisation de la permanence des soins
  • Analyse de la situation locale
  • Ateliers locaux de santé avec les communautés
    dagglomérations
  • Soutien de la dynamique associative
  • Implication de la population dans la démarche de
    santé

46
Le plan régional de santé publique
  • Il propose 6 objectifs stratégiques
  • Réduire les risques liés à lenvironnement et au
    travail
  • Favoriser les comportements bénéfiques pour la
    santé
  • Adapter les modalités de prise en charge
    sanitaire et médico-sociale
  • Préparer les réponses aux situations d urgence
  • Observer pour mieux connaître, prévoir et agir
  • Développer de nouvelles modalités daction et de
    coordination

47
DES OBJECTIFS ET DES PLANS TROP NOMBREUX
  • AVEC QUELS MOYENS ?

48
OBJECTIFS PLETHORIQUES
  • 5 plans stratégiques nationaux
  • Plan national contre le Cancer
  • Plan national de lutte pour limiter limpact sur
    la santé de la violence, des comportements à
    risques et conduites addictives
  • Plan national pour améliorer la qualité de vie
    des personnes atteintes dune maladie chronique
  • Plan national santé environnement
  • Plan national maladies rares

49
OBJECTIFS PLETHORIQUES ?
  • De multiples plans nationaux
  • Plan national  Nutrition santé 
  • Plan de lutte contre les drogues illicites, le
    tabac et l alcool
  • Plan national de lutte contre le VIH/SIDA et IST
  • Plan national hépatites virales
  • Plan Alzheimer et maladies apparentées
  • Stratégie nationale dactions face a suicide
  • Programme de réduction des risques
    cardio-vasculaires
  • Programme de prise en charge de lasthme
  • Programme de prise en charge du diabète de type
    II
  • Programme de lutte contre la douleur
  • Plan Autisme
  • Programme national de développement de soins
    palliatifs
  • Plan périnatalité, proximité - sécurité - qualité
  • Programme dorganisation des soins des personnes
    âgées fragiles
  • Plan pour améliorer la prise en charge sanitaire
    des personnes détenues
  • Plan BIOTOX, Plan PIRATOX, Plan PIRATOME
  • Plan de lutte contre la pandémie de grippe
    aviaire
  • Plan de lutte contre une épidémie de SRAS

50
OBJECTIFS PLETHORIQUES
  • De multiples plans locaux
  • Plan Régional de Santé Publique
  • Plan Régional dAccès à la Prévention et aux
    Soins
  • Plan Régional Santé Environnementale
  • Projet dAction Stratégique de lEtat en Région
  • Programme de santé scolaire
  • Plan daction relatif aux situations durgence

51
AXE 5 UNE OFFRE SANITAIRE INSUFFISANTE ET
INEGALEMENT REPARTIE
52
La politique sanitaire actuelle dépenser moins
Numerus clausus, fermeture de places en hôpital,
fermeture dhôpitaux aux coûts gt moyenne
53
NON à la fermeture des hôpitaux de proximité
  • Pertuis
  • Vaison la Romaine
  • Valréas
  • Saint Agrève..
  • Pour en savoir plus
  • http//www.coordination-nationale.org/regions.htm

54
QUE FAIRE ?
  • Définissons les besoins de la population dans
    chaque discipline
  • Analysons la disposition géographique de chaque
    établissement, de chaque professionnel de santé
    en tenant compte du temps de transport réel sur
    chaque bassin de vie
  • Exigeons des moyens financiers et humains tels
    que chaque niveau d établissement de santé
    puisse envisager son avenir autrement quen
    termes de survie

55
Réfléchir sans a-priori
  • Le statut juridique dun établissement ne préjuge
    pas de son activité. Existent
  • des établissements de grande taille, au
    recrutement large, plutôt urbain, avec une
    activité diversifiée à forte technicité
    comprenant aussi lenseignement et la recherche
  • (Gros CH, et CHRU)
  • des établissements de petite taille spécialisés
    en chirurgie, installés en ville
  • (CLCC, PSPH, Centres Hospitaliers et petit CHRU)
  • des établissements de taille moyenne avec une
    activité peu technique (maternité, pédiatrie,
    néonatologie) et un service d urgences
  • (PSPH, Centres hospitaliers et CHRU)
  • des centres hospitaliers de proximité situés dans
    des villes moyennes installés dans des zones
    moins peuplées et moins favorisées, réalisant une
    activité peu technique (radiologie..), centrée
    sur les personnes âgées.
  • PSPH et centres hospitaliers)

56
Réfléchir sans a-priori
  • Il ny a pas de lien entre la taille dun
    établissement et la qualité du soin
  • Les 400 Hôpitaux de proximité ne sont pas à
    lorigine des difficultés financières de la
    sécurité sociale (Ils représentent 5 des
    dépenses)
  • Les hôpitaux de proximité jouent un rôle
    essentiel auprès des personnes âgées dans des
    bassins de vie isolés il faut repenser les
    services quils proposent
  • Les maternités peuvent être maintenues jusqu à
    100 accouchements par an
  • La mortalité croît avec la distance du centre
    hospitalier dans les cas durgence vitale
  • Pourquoi accepter un retard dans l équipement
    sanitaire (IRM, Scanner, défibrillateurs..)

57
La mortalité croît avec la distance du centre
hospitalier dans les cas durgence vitale
  • PREVOIR UNE ORGANISATION HIERARCHISEE DANS LES
    CAS DE
  • Cardiopathies aiguës
  • Intoxications
  • Comas profonds
  • Détresses respiratoires
  • Syndrômes infectieux aigus
  • Accidents néonataux (hémorragie de la délivrance)

58
Urgences
  • Il est inacceptable de trouver des patients de
    plus de 45 min dun centre de niveau 1.
  • Il est inacceptable de trouver des patients de
    plus de 1h30 min dun centre de niveau 2.
  • Il est inacceptable que la poursuite dune
    réanimation d une personne âgée ne se décide au
    regard des disponibilités de places en service de
    réanimation et non de létat du patient.
  • Maillage à 4 niveaux travaillant en réseau
  • Niveau local unité sanitaire rurale de
    proximité
  • Petites urgences non vitales (Maison médicale
    regroupant des médecins généralistes 24/24)
  • Lits dhôpital à proximité pour des pathologies
    ne nécessitant pas davis spécialisé
  • Présence d une infirmière 24/24
  • Un appareil de radiologie conventionnelle et de
    la télémédecine
  • Service de gériatrie, de soins de suite de
    réadaptation, de prévention, de prsychiatrie
  • Niveau 1 CH
  • Service durgences hospitalières appuyé sur un
    plateau technique géré par des médecins
    urgentistes
  • Spécialistes (anesthésistes-réanimateurs,
    cardiologues, chirurgiens..) pour des pathologies
    courantes.
  • Scanner, IRM

59
Accidents néonataux objectifs
  • Toute femme enceinte est prise en charge par une
    équipe obstétricale en moins de 45 min
  • Aucune femme naccouche dans une structure
    éloignée de 1h30 dun service de soins
    intensifs.
  • Maillage à 4 niveaux travaillant en réseau
  • Centre périnatal de proximité
  • préparation et suivi des grosses ne peut
    remplacer une maternité
  • Maternité de niveau 1
  • grosses non compliquées obstétricien -
    anesthésiste, pédiatre capable de réaliser des
    césariennes et les soins en urgence ( un dépôt
    de sang)
  • Maternité de niveau 2
  • dotée d un service de soins intensifs néonatals
    permettant de prendre en charge une partie des
    grosses à risque
  • Maternité de niveau 3
  • dispose de toutes les spécialités permettant de
    prendre en charge les grosses pathologiques

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Bassins de vie en PACA
61
(No Transcript)
62
(No Transcript)
63
AXE 6 Prévenir les facteurs de risque connus
64
Le Cancer
  • Les produits nocifs doivent être interdits
    (Classe 1 et 2 CIRC)

65
(No Transcript)
66
Lasthme et les allergies
  • les protéines du lait de vache,
  • larachide,
  • lœuf,
  • le poisson,
  • la moutarde,
  • le tabagisme maternel pendant la grossesse,
  • lenvironnement bactérien, mycosique et
    endotoxique  maisons surchauffées, mal aérées,
    trop humides, animaux domestiques, plantes
    vertes,
  • composées organiques volatils,
  • dioxyde dazote

67
AXE 7 A plus long terme..
68
QUELS PRINCIPES DACTION ?
  • Lexpérience néerlandaise de fixation des
    priorités de santé (comité DUNNING- 1992)
  • Critères dévaluation dun programme ou dune
    procédure médicale
  • Nécessité pour la communauté
  • Efficacité médicale
  • Efficience (rapport coût efficacité)
  • Ne peut pas être laissé à la responsabilité
    individuelle

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QUELS PRINCIPES DACTION ?
  • Lexpérience suédoise et norvégienne (Swedish
    Parliamentary Priorities Commission- 1992)
  • 3 principes (par ordre d importance décroissant
    )
  • Egal respect de la dignité humaine
  • Priorité aux besoins sanitaires des plus démunis
  • Rapport coût / efficacité acceptable
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