Chapitre 2 La mesure du bnvolat organis - PowerPoint PPT Presentation

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Chapitre 2 La mesure du bnvolat organis

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Mesurer un objet = l'inscrire dans l'ordre du quantifiable, en valuer la ' ... Deux unit s de mesures envisageables : l'unit de temps et l'unit mon taire. ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Chapitre 2 La mesure du bnvolat organis


1
Chapitre 2La mesure du bénévolat organisé
  • Réflexions théoriques et pratiques

2
La mesure du bénévolat organisé
  • Cette communication est le prolongement dun
    travail de recherche mené au sein de la Maison
    des Sciences de lHomme en 2000 par le LEN-CEBS
    avec le concours de lÉSEAC (IEP de Grenoble) et
    du CLERSÉ (Université de Lille) pour la DIES.
  • Aussi doit-elle beaucoup aux apports de Didier
    Bévant et de Lionel Prouteau...

3
La mesure du bénévolat
  •  Mesurer un objet linscrire dans lordre du
    quantifiable, en évaluer la "grandeur " à laune
    dune référence, dun étalon.
  • Exclusion du travail domestique
  • Deux unités de mesures envisageables lunité de
    temps et lunité monétaire.
  • Mais cette mesure engendre une réduction
    inévitable et des risques.

4
Plan du chapitre
  • La mesure du bénévolat et son contexte
  • La mesure du bénévolat en question
  • La mesure du bénévolat en pratique

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La mesure du bénévolat et son contexte
  • Cette idée de  mesurer le bénévolat  survient
  • dans un contexte marqué par deux mouvements
  • convergents
  • 1- Une meilleure prise en compte des "effets
    sociétaux  positifs ou négatifs des activités du
    secteur marchand.
  • 2- Une reconnaissance plus affirmée des effets
    économiques des activités du secteur non marchand.

6
Les outils de mesure économique contestés (1)
  • Travaux fondateurs de Tobin et Nordhaus (1972)
    sur le PNB élargissant la conception de la
    richesse (éco. domestique, éco. souter-raine,
    valorisation du temps libre, sommeil?) et
    intégrant effets externes négatifs. gt mesure of
    economic Welfare (MEW).
  • La New Economics Foundation complétant le PIB
    avec dautres indicateurs gt Index of Sustainable
    Economic Welfare (ISEW).

7
Les outils de mesure économique contestés (2)
  • Au plan international, le PNUD calcule un
    indicateur "macro" de développement humain (IDH,
    Sen)...
  • LOCDE publie en 2001 un rapport  Du bien-être
    des nations le rôle du capital humain et
    social 
  • Le PNUE en partenariat avec des ONG, des
    entreprises, etc. engage la  Global reporting
    initiative  au plan micro...

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Les outils de mesure économique contestés (3)
  • Un cabinet anglais SustainAbility suggère la
     Triple bottom line  conjuguant approche
    sociale, environnementale et économique.
  • La réflexion des comptables canadiens et celles
    des experts comptables anglais fait avancer
    lévaluation microéconomique et conduit à
    lémergence de la norme AA 1000 -2000 de
    lInstitute for Social and Ethical.

9
Lactivité non marchande mieux identifiée et
reconnue
  • En France, le rapprochement entre bénévolat et
    activité productive est encouragé par deux
    rapports récents
  • Le rapport Boissonnat qui évoque un  contrat
    dactivité  incluant emploi, formation, activité
    indépendante et associative
  • Le rapport Supiot qui propose de fonder  l état
    professionnel  des personnes sur une notion plus
    large que lemploi incluant explicitement le
    bénévolat associatif...

10
Lactivité non marchande mieux identifiée et
reconnue
  • Rien détonnant donc à ce que le Conseil National
    de lInformation Statistique étudie cette
    question (Rapport n 44, Nov. 1998)
  • et que lidée de la réalisation dun compte
    satellite de la Comptabilité Nationale portant
    sur lactivité associative ait pu être évoquée.
    Il est vrai que lenjeu est non négligeable...

11
Les chiffres de lemploi associatif (Tchernonog,
LES, 2001)
  • 1 650 000 personnes sont salariés dune
    association
  • La présence de nombreux temps partiels ramène ces
    emplois à 907 000 EPT
  • 36 de ces emplois sont des emplois précaires
  • 42 de ces emplois sont aidés
  • On dénombre aussi 14,5 millions de bénévoles
    correspondant à 716 000 EPT.

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Part de lemploi du SSBL dans l emploi total
  • Le secteur sans but
  • lucratif représente
  • environ 4,8 de
  • lemploi total, en 1995.
  • La France est en
  • position moyenne mais
  • le développement du
  • SSBL dans les PECO
  • reste très faible.

Source The Johns Hopkins Comparative Nonprofit
Sector Project, Phase 2
13
  • Un taux de bénévoles
  • variant de 5 pour 1000
  • habitants à 25 pour 1000
  • dans lUnion européenne.
  • Mais Quatre fois moins
  • de ressources bénévoles
  • dans les pays dEurope
  • centrale et orientale.

Source The Johns Hopkins Comparative Nonprofit
Sector Project, Phase 2
14
Part du volontariat en de l emploi natio- nal
non agricole
Source SALAMON L.S., WOJCIECH SOKOLOWSKI S.
Baltimore Johns Hopkins Institute for Policy
Studies, (2001).
15
  • Un apport en ressources
  • bénévoles plus important
  • en France et en Allema-
  • gne.
  • Davantage de dons dans
  • les PECO et aux Etats-
  • Unis.
  • Davantage de subventions
  • publiques en Belgique et
  • en Irlande.

Part des ressources bénévoles dans lensemble des
ressources
Source The Johns Hopkins Comparative Nonprofit
Sector Project, Phase 2 et calculs
16
Part du SSBL dans le PIB (Estimation 1995)
  • De grandes
  • différences
  • quantitatives entre
  • les pays...

Source The Johns Hopkins Comparative Nonprofit
Sector Project, Phase 2 et calculs Population et
sociétés n 326
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Plan du chapitre
  • La mesure du bénévolat et son contexte
  • La mesure du bénévolat en question

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La mesure du bénévolat en question
  • Une telle mesure ne va pas de soi. Un certain
  • nombre dacteurs la souhaitent et la mettent
  • même déjà en uvre.
  • Dautres au contraire, ne la souhaitent pas et
  • manifestent de vives réticences.
  • Les arguments en faveur dune mesure du bénévolat
  • Les arguments opposés à la mesure du bénévolat.

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Les arguments en faveur dune mesure du
bénévolat (1)
  • Les chercheurs et les statisticiens publics
    espèrent ainsi
  • mieux identifier le poids économique de cette
    ressource pour la société
  • enrichir les matériaux empiriques utiles à la
    connaissance du secteur non lucratif.

20
Les arguments en faveur dune mesure du
bénévolat (2)
  • Les associations peuvent y trouver un moyen
  • daffirmer leur légitimité
  • de révéler la vérité des coûts des services
    quelles rendent
  • de souligner leffet de levier quelles sont
    susceptibles de mettre en uvre à partir des flux
    monétaires dont elles disposent.

21
Les arguments en faveur dune mesure du
bénévolat (3)
  • Les Pouvoirs publics peuvent y trouver dans une
    visée instrumentale un moyen de mieux identifier
    la capacité des associations
  • à mobiliser la société civile
  • à collecter des ressources
  • à jouer certains rôles dans les politiques
    publiques.

22
Les arguments en faveur dune mesure du
bénévolat (4)
  • Finalement, comme lenquête de terrain la
    confirmée, les bénévoles apparaissent bien
    souvent comme les acteurs les moins intéressés
    par cette question.
  • Tout au plus, pourraient-ils y trouver une
    meilleure visibilité de leur action et une
    matière à reconnaissance en attendant dautres
    formes de prise en compte.

23
Les arguments en faveur dune mesure du
bénévolat (5)
  • Finalement, cest le débat politique qui est ici
    essentiel.
  • Lignorance de pans entiers de lactivité humaine
    dans lespace des indicateurs économiques fait
    courir un risque majeur à notre société celui
    dun divorce croissant entre gain de PIB et gain
    de bien-être pour la population.

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Les arguments en faveur dune mesure du
bénévolat (6)
  • La performance économique des acteurs est évaluée
    en dehors de toute compta-bilité patrimoniale.
    Elle ignore le capital de départ dans plusieurs
    de ses dimensions capital naturel, humain,
    social. Le coût éventuel de sa destruction ne
    compte pas. Pas davantage ne sont comptés comme
    investissement son entretien et son
    développement.

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Les arguments opposés à une mesure du bénévolat
(1)
  • Au delà, de réserves conceptuelles ou
    idéologiques sur le champ de léconomie, les
    statisticiens et les comptables sinquiè-tent de
    lintroduction déléments hétéro-gènes, souvent
    peu fiables au sein de leurs comptes.
  • Dans ce cas leur préférence va plutôt vers
    labstention afin déviter la contamination de
    leurs agrégats et de leurs indices.

26
Une tradition économique ancienne
  • Nous ne pourrons  aborder aucune discussion sur
    laccroissement relatif de la richesse chez les
    différentes nations si nous navons un moyen
    quelconque, quelque imparfait quil soit,
    dévaluer la somme de cet accroissement  MALTHUS
    R.A., (1820) cité par MEDA D., (2001) Cahiers du
    management.

27
Loubli délibéré des services
  •  Il faut prendre le plus grand soin dembrasser
    seulement, dans la définition (), les objets
    dont laccroissement ou la diminution peuvent
    être susceptibles dévaluation et la ligne
    qu il est le plus naturel et le plus utile de
    tracer nettement est celle qui sépare les objets
    matériels des objets immatériels  MALTHUS,
    (1820) id.

28
Les arguments opposés à une mesure du bénévolat
(2)
  • Si les associations constituent avant tout un
    moyen commode aux yeux des Pou-voirs publics pour
    relayer leur action au moindre coût, une certaine
    opacité peut être souhaitable
  • Une trop grande clarté soulignerait non seulement
    les apports volontaires en nature mais aussi les
    économies fiscales réalisées et les effets
    redistributifs induits.

29
Les arguments opposés à une mesure du bénévolat
(3)
  • Les responsables dassociations peuvent craindre
  • les tensions entre bénévoles et la
    rigidifi-cation de lorganisation du travail

30
Les ressources salariés et bénévoles des
associations
Défense intérêts économiques et développement
local
26,6
Education, formation, insertion
21,7
Source Tchernonog V. LES-MATISSE, Enquête 1999.
Opinion, expression
74,9
Loisirs, éducation pop., tourisme social
58
Sports
75,6
Culture
54,2
Salariés
56
21,9
Santé
Bénévoles
44
Action sociale
22,9
Action caritative et humanitaire
69,5
0
50 000
100 000
150 000
200 000
250 000
300 000
350 000
400 000
450 000
Equivalent temps
plein
31
Les arguments opposés à une mesure du bénévolat
(3)
  • Les responsables dassociations peuvent craindre
  • les tensions entre bénévoles et la
    rigidifi-cation de lorganisation du travail
  • les effets pervers en termes de désincitation
  • la modification de lesprit inspirant laction
    collective au sein des associations
  • Le renforcement de linstitutionalisation et/ou
    de linstrumentation des associations.

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Les arguments opposés à une mesure du bénévolat
(4)
  • Lassimilation aux catégories du monde marchand
    peut faire craindre aux bénévoles
  • la corruption de limage quils veulent donner
  • la comparaison des engagements et des efficacités
    relatives
  • la remise en cause de leur liberté
    instrumentalisée.

33
Les arguments opposés à une mesure du bénévolat
(5)
  •  Justifier le bénévolat, cest-à-dire le don, et
    sa contribution sociétale, par une valeur
    monétaire, cest-à-dire, quon le veuille ou non,
    par une référence au marché, quel incroyable aveu
    dimpuissance à faire prévaloir d autres valeurs
    que celles de léconomie marchande !  GADREY J.,
    La Monde, 23 janvier 2002.

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Plan du chapitre
  • La mesure du bénévolat et son contexte
  • La mesure du bénévolat en question
  • La mesure du bénévolat en pratique

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III- La mesure du bénévolat en pratique
  • Les réticences des principaux intéressés vont
    rendre lopération de mesure du bénévolat plus
    délicate
  • Pourtant, des pratiques existent déjà montrant
    que la mesure du bénévolat est possible quoique
    difficile.

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Les difficultés de la mesuredu bénévolat (1)
  • Trois séries dobstacles rendent la démar-
  • che de mesure du bénévolat organisé
  • difficile
  • Les obstacles psychologiques
  • Les obstacles épistémologiques
  • Les obstacles techniques.

37
Les obstacles psychologiques
  • Limage de lassociation ne peut être réduite à
    une simple organisation productive. Elle est
    largement civique et lunité active est dabord
    un citoyen avant dêtre un agent économique.
  • De même le bénévolat est surtout lexpres-sion
    dun engagement et lapport de temps repose sur
    une convention irréductible à celle du travail
    salarié.

38
Les obstacles épistémologiques (1)
  • Le bénévolat nest pas un concept scientifique
    mais un construit social, une catégorie
    opératoire, fruit dune laïcisation du
    paterna-lisme et dune "dépolitisation" de
    lentraide issue de lassociationnisme
    ouvrier.(Barthélémy)
  • Cest un mot récent accompagnant lidéologie
    associative (Poujol, 1996) qui parvient pourtant
    aujourdhui à une reconnaissance juridique.

39
Les obstacles épistémologiques (2)
  • Le bénévolat un Objet Social Mal Identifié
  • Chéroutre M-T. (1989), donne une définition avec
    trois critères
  • activité volontaire,
  • non rémunérée,
  • tournée vers autrui.
  • Mais aucun de ces critères ne permet la
    définition de frontières claires...

40
Les obstacles épistémologiques (3)
  • Face à un bénévolat apparaissant comme une forme
    intermédiaire dans un continuum de statuts allant
    de linactivité au salariat typique, le
    positionnement du curseur pour une définition
    satisfaisante et difficile.
  • Deux possibilités également défendables selon la
    raison pour laquelle on mesure
  • stricto sensu avec homogénéité gt exhaustivité
  • Lato sensu avec exhaustivité gt homogénéité

41
Les obstacles techniques (1)
  • Ils sont liés aux caractéristiques du bénévolat.
  • La plasticité du bénévolat (bénévolat ponctuel,
    occasionnel, latent mais mobilisable)
  • La flexibilité du bénévolat horaires changeants
    et variables
  • Les activités relationnelles visant à coller aux
    demandes et au rythme des personnes
  • La variance des intensités de travail amplifiée
    par une tolérance envers les moins productifs.
  • gt Méfiance par rapport aux conversions en ETP.

42
Les obstacles techniques (2)
  • Ils sont liés à la difficulté de la valorisation.
  • Il nexiste pas toujours de substitut salarié au
    travail effectué par les bénévoles et donc il ny
    a pas de prix de marché pertinent
  • Le bénévolat ne peut être assimilé à une
    ressource totalement gratuite gt Consommations
    intermé-diaires (Blanchet, 1990).
  • gt Mesure très sensible aux choix métho-
  • dologiques qui doivent donc être explicités.

43
Les voies vers une mesure du bénévolat
  • Le registre du don ou de léchange (Prouteau,
    1999) nexclut pas le calcul économique.
  • Lassociation est une organisation qui suit une
    démarche rationnelle par rapport à son objectif
    (hiérarchie, gestion des ressources)
  • Le bénévolat est un mode daffectation du temps
    pour le bénévole qui présente donc pour celui-ci
    un coût dopportunité.

44
Lamorce dune reconnaissance juridique
  • Congé de représentation et de formation
  • Prise en compte par les ASSEDIC
  • La circulaire fiscale de mars 2001 qui permet une
    déduction fiscale en compensation de frais
    engagés au profit dassociations
  • Rémunération des dirigeants associatifs (cf.
    Derosier) et proposition du CNVA dune validation
    de trimestres pour la retraite.

45
Les modes de mesure du bénévolat la
quantification
  • La quantification du bénévolat très loin dêtre
    généralisée commence à se répandre.
  • Forme élémentaire inventaire, liste, catégories
    intégrant la disponibilité des personnes
  • Forme rudimentaire calcul ponctuel individuel,
    évaluation moyenne par sondage
  • Forme construite quantification explicitement
    organisée (déclaration, tableaux de présence).

46
Les modes de mesure du bénévolat la valorisation
  • La valorisation du bénévolat suppose la
    quantification mais nen découle pas
    auto-matiquement.
  • En théorie deux approches coexistent
  • la mesure au coût du marché mais référent
    justement évité par les bénévoles (GRONAU, 1980)
  • la mesure sur le coût d opportunité "le manque
    à gagner"

47
La mesure du bénévolat (1)
  • La valorisation du bénévolat suppose la
    quantification mais nen découle pas
    auto-matiquement.
  • Lidentification à un travail nest pas absente
    des discours (continuité vie active, alternative,
    dette)
  • La valorisation la plus fréquente à partir du
    SMIC (évaluation minimum, sans charge)
  • Parfois adoption dun multiple du SMIC plus
    proche dun indicateur moyen que dun souci de
    différenciation.

48
La mesure du bénévolat (2)
  • A côté de la mesure les pratiques dévalua-tion
    sont beaucoup plus répandues.
  • 1- Evaluation interne
  • dans la carrière du bénévole (recrutement,
    formation, incitation)
  • par le bénévole lui-même (satisfaction,
    efficacité collective)
  • de manière croisée entre salariés et bénévoles
  • par une fédération ou un mouvement.

49
La mesure du bénévolat (3)
  • A côté de la mesure les pratiques dévalua-tion
    sont beaucoup plus répandues.
  • 2- Evaluation externe
  • par les administrations partenaires ou de tutelle
    (diplôme, qualitatif et quantitatif)
  • par les partenaires privés (normes contrôles,
    performances) (Cf. Bévant, 2000)
  • par les usagers, les donateurs, les citoyens
    (reconnaissance, signe distinctif, image de
    marque).

50
CONCLUSION
  • Pour la définition conventionnelle
  • ne pas compter comme facteur de production ce qui
    se situe délibérément dans un autre registre
  • délimiter le champ en fonction de lobjectif de
    la mesure.
  • Pour la méthode privilégier les critères
    objectivistes (pratiques, tâches) aux critères
    subjectivistes (énoncés généraux, perceptions des
    acteurs).

51
Bibliographie sommaire
  • Bévant D., Noguès H., Prouteau L., (2001), La
    mesure du bénévolat organisé, Rapport final,
    Len-Cebs/Msh Ange Guépin, Nantes, 79 p.
  • CLERSÉ, ÉSEAC, LEN-CEBS, (2001), La mesure du
    bénévolat organisé, Rapport de synthèse DIES,44
    p.
  • Prouteau L. (1999), Economie du comportement
    béné-vole Théorie et étude empirique,
    Economica, 273 p.
  • Tchernonog V., (2000), Logiques associatives et
    financement du secteur associatif éléments de
    cadrage, rapport MIRE, Fondation de France,
    Les-Matisse, Paris, 100 p.
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