Title: Fonctions mentales suprieures
1- Fonctions mentales supérieures
- Et
- De la sensation à la perception
2Fonctions mentales supérieures
- Les ondes cérébrales et électroencéphalogramme
- Cerveau en constante activité électrique
- Les tracés obtenus sont appelés ondes cérébrales
- Sert à diagnostiquer et localiser de nombreux
types de lésions cérébrales, tels des tumeurs,
les accidents vasculaires cérébraux - Déséquilibres homéostatiques
- Épilepsie
- Dues à des décharges torrentielles et rythmiques
de groupes de neurones cérébraux - Aucun autre message ne peut être analysé par les
différentes structures du cerveaux pendant
lactivité anarchique de ces neurones - Atteint 1 de la population (300 000 personnes au
Canada)
3Fonctions mentales supérieures
- Conscience
- Perception consciente des sensations
- Déclenchement volontaire et maîtrise des
mouvements - Capacité associée au traitement mental supérieur
(mémoire, logique jugement) - Déséquilibres homéostatiques
- Coma
- Absence totale et prolongée de réponse aux
stimulus sensoriels. - Le coma nest pas un sommeil profond
- Mort cérébrale
- Coma irréversible
4Fonctions mentales supérieures
- Sommeil et cycle veille sommeil
- Inconscience partielle à laquelle on peut mettre
fin par une stimulation - Diminution de lactivité corticale
- Les activités du tronc cérébral subsistent
- Le dormeur conserve un contact avec
lenvironnement
5Fonctions mentales supérieures
- Types de sommeil
- Sommeil lent
- 4 stades suivis du sommeil paradoxal
- Sommeil paradoxal (90 minutes après
lendormissement) - Augmentation de la température corporelle, des
fréquences respiratoires et cardiaques et de la
pression artérielle - Le cerveau consomme une grande qtée doxygène, 30
à 40 de plus que létat de veille - Malgré le MOR ou REM, les muscles squelettiques
sont paralysés ce qui empêche deffectuer en
réalité les mouvements du rêve - Les rêves ont lieu durant le sommeil paradoxal
- Par contre, les cauchemars et les terreurs
nocturnes se produisent au cours des stades 3 et
4 du sommeil lent.
6Fonctions mentales supérieures
- Organisation du sommeil
- Sommeil suit un rythme de 24 heures
- Lhypothalamus fixe lordre dans lequel se
déroulent les stades du sommeil et notre horloge
biologique (qui sy trouve) régit le centre qui
induit le sommeil - Il y a 4 à 5 périodes de sommeil paradoxal par
nuit - Il commence à toutes les 90 minutes
- Chaque période sallonge p/r à la précédente
- Il passe de 5 minutes à 20 à 50 minutes
- Les rêves les plus longs ont surtout lieu juste
avant le réveil - Les rêves se déroulent en temps réel et non en
accéléré
7Fonctions mentales supérieures
- Importance du sommeil
- Le stade 4 du sommeil lent et le sommeil
paradoxal jouent un rôle important mais différent - Stade 4 sommeil réparateur
- Suite à un manque de sommeil, le sommeil lent
dure plus longtemps que normal et est concentré
au début de la nuit (besoin à combler) - Privation de sommeil
- Instabilité émotionnelle
- Troubles de la personnalité pouvant aller
jusquaux hallucinations - Le stade paradoxal permettrait lanalyse de la
journée et de sattaquer par le rêve aux
problèmes émotionnels
8Fonctions mentales supérieures
- Importance du sommeil (suite)
- Influencé par diverses substances
- Alcool et somnifères diminuent le sommeil
paradoxal mais non le sommeil lent - Certains tranquillisants diminuent le sommeil
lent mais pas le sommeil paradoxal - Besoin de sommeil
- Diminue avec lâge
- Le sommeil paradoxal varie également avec lâge
- 50 pour le nourisson et se stabilise à 25 à
lâge de 10 ans
9Fonctions mentales supérieures
- Déséquilibres homéostatiques
- La narcoleptie
- Les narcoleptiques tombent inopinément endormies
au beau milieu de la journée - Les épisodes durent environ 15 minutes et sont
souvent provoqués par des circonstances agréables
(plaisanterie, partie de carte) - Linsomnie
- Incapacité chronique dobtenir la quantité ou la
qualité de sommeil nécessaire à laccomplissement
des activités quotidiennes - Lutilisation de médicaments diminue la qualité
du sommeil - Lapnée du sommeil
- Cessations temporaires de la respiration pendant
le sommeil - Les personnes atteintes se réveillent par le
manque doxygène provoqué par lapnée.
10Fonctions mentales supérieures
- La mémoire
- Stockage et rappel dinformations ou capacité de
se souvenir du passé - Essentielle à lapprentissage, au façonnement du
comportement et à la conscience
11Fonctions mentales supérieures
- Les deux stades de la mémoire
- Mémoire à court terme
- Mémoire de travail
- Oubli rapide
- Limitée à 7 ou 8 unités
- Peut être augmentée en regroupant les éléments en
unités - Mémoire à long terme
- Semble illimitée
- Capacité de stocker et de récupérer linformation
décline avec les années - Souvenir pas nécessairement conservé dans sa
forme originale élimination de détails ou même
ajouts - Cortex choisit 5 de linformation qui lui est
transmise et la stocke temporairement dans la
mémoire à court terme
12Fonctions mentales supérieures
- Facteurs influençant le transfert de la mémoire à
court terme vers la mémoire à long terme - État émotionnel
- Apprentissage repose sur la vigilance, la
motivation, létonnement et la stimulation. - Devant un évènement bouleversant. car fait
intervenir - Répétition
- Favorise le stockage
- Association
- Lier les nouvelles données à celles déjà stockées
- Mémoire automatique
- Consolidation mnésique
- Le sommeil paradoxal y joue un rôle
- Les informations doivent avoir été préalablement
acquises. - On ne peut donc pas remplacer un couors par
lécoute dune cassette
13Fonctions mentales supérieures
14Notre survie dépend non seulement de la sensation
mais aussi de la perception.
- La perception détermine nos réactions aux
stimulus et elle contribue ainsi, comme la
sensation à notre survie
15Système somesthésique
- Laire somesthésique reçoit des influx des
extétocepteurs, des propiocepteurs et des
intérocepteurs - Intégration nerveuse comprend trois niveaux
- Niveau des récepteurs
- Niveau des voies ascendantes
- Niveau de la perception
16Système somesthésique
- Niveau des récepteurs
- Pour quil y ait sensation, un stimulus doit
exciter un récepteur - Voies ascendantes (faisceaux ascendants)
- Font parvenir les influx aux régions appropriées
du cortex cérébral qui se charge de la
localisation du stimulus et de la perception. - Perception
- Linterprétation des influx sensitifs a lieu dans
le cortex cérébral - La capacité de reconnaître et dapprécier les
sensations transmises dépend de la situation
précise des neurones cibles dans les aires
sensitives et non de la nature du message.
17Système somesthésique
- La douleur
- Signale limminence ou la survenue dune lésion
- Transmission et perception de la douleur
- Récepteurs dans tous les tissus et tous les
organes - Réagissent à tous les stimulus nocifs (ce qui
peut endommager les tissus)
18Système somesthésique
- Transmission et perception de la douleur
- Douleur somatique (peau, muscles, et
articulations) - Douleur somatique superficielle
- Aiguë et cuisante
- Pousse à crier
- Issue de lépiderme ou des muqueuses, elle tend à
être brève - Douleur somatique profonde
- Brûlante et persistante
- Stimulation de nocicepteurs des couches profondes
de la peau, des muscles ou des articulations - Indique toujours une destruction tissulaire
19Système somesthésique
- Transmission et perception de la douleur
- Douleur viscérale
- Stimulation de récepteurs situés dans les organes
des cavités thoraciques et abdominales - Déclenchée par un étirement extrême des tissus,
une ischémie, des substances chimiques irritantes
et des spasmes musculaires - Les influx de la douleur somatique et et
viscérale utilisent les mêmes tractus ascendants
de la moelle épinière et laire somesthésique
peut les confondre. DOULEUR PROJETÉE
20Système somesthésique
- Transmission et perception de la douleur
- Seuil de la douleur
- Est le même pour tout le monde nous percevons la
douleur à partir de la même intensité de
stimulus. La chaleur est perçue comme
douloureuse entre 44 et 46 C (intervalle où elle
commence à endommager les tissus). - La tolérance à la douleur
- Variable dune personne à lautre
21Les sens la vision
- Les récepteurs sensoriels
- Les récepteurs sensoriels cutanés les
propiocepteurs, sont petits et disséminés dans
lorganisme - Les récepteurs sensoriels spécifiques (sont
regroupés dans des organes volumineux et
complexes (yeux et oreilles), soit dans des amas
localisés (calicules gustatifs et épithélium de
la région olfactive de la muqueuse du nez).
22Les sens la vision
- Structure
- Conjonctive
- Tapisse les paupières et se replie sur la face
antérieure du bulbe de lil - Sécrète un mucus lubrifiant qui prévient la
dessiccation de loeil. - Appareil lacrymal
- Glande lacrymale
- Libère continuellement une solution saline
(larmes) qui contiennent des lysozymes - Canalicules lacrymaux
- Conduits lacrymo-nasal
23Les sens la vision
- Structure
- Bulbe de lil comporte trois tuniques, est
rempli de liquide (forme) - Tunique fibreuse (sclère) blanc de loeil et
cornée (fenêtre qui laisse pénétrer la lumière
dans lil) - Très exposée et souvent lésionnée, elles a une
capacité de régénération exceptionnelle et elle
peut être remplacée chirurgicalement - Peut être greffée car pas de vaisseaux sanguins
donc à labri du système immunitaire
24Les sens la vision
- Structure
- Bulbe de lil comporte trois tuniques (suite)
- Tunique intermédiaire est la choroïde
- Membrane nutritive fortement vascularisée
- Empêche la lumière de diffuser à lintérieur de
lil. Se modifie pour former 2 structures
constituées de muscles lisses - Corps ciliaire attache le cristallin et en
modifie la courbure pour sadapter à la distance
des objets - Iris Comporte des cellules pigmentaires
responsables de la couleur des yeux et la pupille
qui laisse pénétrer la lumière et la régit pour
nous permettre de voir le plus clairement
possible
25Les sens la vision
- Structure
- Bulbe de lil comporte trois tuniques (suite)
- Tunique sensitive La rétine
- 2 couches externe un épithélium pigmentaire qui
absorbent les excès de lumière et interne une
couche de neurones (bâtonnets et cônes
photorécepteurs). - Tache aveugle (disque du nerf optique) aire où
se connecte le nerf optique et où il ny a pas de
cellules photoréceptrices. - Fossette centrale une minuscule dépression qui
contient seulement des cônes (acuité visuelle
maximale
26Les sens la vision
- Structure
- Cristallin Lentille biconvexe transparente
et flexible - Humeur aqueuse
- Liquide situé devant le cristallin
- Sécrété par lépithélium du corps ciliaire
- Contribue à la pression intraoculaire
- Fournit des nutriments au cristallin et à la
cornée qui sont dépourvus de vaisseaux sanguins - Corps vitré
- Substance gélatineuse située à larrière du
cristallin - Renforce lintérieur du bulbe de lil et
lempêche de saffaisser
27Les sens la vision
- Accommodation
- Processus par lequel lil focalise pour les
objets rapprochés (à moins de 6 m) - Le cristallin modifie sa convexité pour permettre
aux rayons divergents soient focalisés sur la
rétine
28Les sens la vision
- Champs visuels et voies visuelles
- Linterprétation visuelle se fait dans le lobe
occipital où se trouve laire visuelle - Chaque côté du cerveau reçoit des informations
des deux yeux - Vision binoculaire
- Les deux yeux reçoivent des images quelque peu
différentes - Leurs champs visuel de chevauchent
considérablement - Permet la vision stéréoscopique ou vision du
relief (3D) car les aires visuelles du cortex
fusionnent les images légèrement différentes
envoyées par les deux yeux
29Les sens la vision
- Réflexes oculaires
- Muscles internes (ciliaires, radiaires et
circulaires de liris) - Ajustements du cristallin, et de la pupille
- Gouvernés par le système nerveux autonome
- Muscles externes (du bulbe)
- Mouvement des yeux, convergence
- Innervés par des neurofibres somatiques
- Réflexes des pupilles
- Pupillaire contraction des pupilles causée par
la lumière - Accommodation des pupilles contraction lors de
lobservation dobjets rapprochés (pour images
plus nettes)