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Diapositive 1

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ETIREMENTS ACTIFS. R flexe d'inhibition post- isom trique ( contracter- rel cher ) ... tirements actifs r alis s en d but de s ance, pas d'effets sur la pr vention ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Diapositive 1


1
LES ETIREMENTS EN QUESTION
2
  • Langage courant vertus croyance
  • Habitude -Rituel- Avant- Pendant- Après et/ou
    lentraînement ,la compétition
  • Expérimentations Publications scientifiques
    récentes (Cometti Miller)
  • Nouvelles conduites détirements

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  • LE MUSCLE SQUELETTIQUE RAPPELS
  • ETIREMENT ET REPONSE NEURO-MUSCULAIRE
  • EFFET IMMEDIAT OU AIGU DES ETIREMENTS AVANT
    OU APRES
  • EFFET A PLUS LONGUE ECHEANCE
  • CONSEQUENCES PRATIQUES
  • CONCLUSIONS

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LE MUSCLE SQUELETTIQUE
  • Composition 3 types de tissus
  • Tissus musculaires ( protéines myosine-actine )
  • Tissus conjonctifs ( maintien la structure
    transmet la force)
  • Tissus nerveux

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ORGANISATION
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ANATOMIE DU MUSCLEORGANISATION
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LUnité contractile le sarcomèreLe squelette
cellulaire cyto squelette
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MYOSINE
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ACTINE
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ETIREMENTS ET REPONSE NEURO-MUSCULAIRE
  • 1. Étirements passifs
  • Réflexe myotatique
  • Réflexe tendineux
  • Réflexe dinhibition réciproque
  • 2. Étirements actifs
  • Réflexe dinhibition post-isométrique

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ETIREMENTS PASSIFS
  • - Réflexe à létirement ( réflexe myotatique)
  • étirement rapide

contraction
récepteur FNM sensible à la vitesse et force
détirements
  • Rôle protége détirements brusques
  • Pratique dans tout travail détirements ne pas
    mettre en jeu ce réflexe par une mise en tension
    brutale mais agir progressivement et lentement

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ETIREMENTS PASSIFS
  • Réflexe myotatique inverse ( réflexe tendineux)
  • Récepteurs organes tendineux de Golgi
  • Activés quand tension trop importante ou trop
    longue
  • Action relâchement du muscle
  • Pratique une mise en tension préalable du
    muscle favorisera son relâchement puis son
    étirement

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ETIREMENTS PASSIFS
  • Réflexe dinhibition réciproque (méthode
    détirements statiques actifs) la contraction
    dun muscle entraîne un relâchement réflexe de
    son antagoniste
  • Principe létirement du muscle est provoquée
    par la contraction lente et
  • progressive de son antagoniste

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ETIREMENTS ACTIFS
  • Réflexe dinhibition post- isométrique (
    contracter- relâcher )
  • Basé sur le principe de facilitation
    neuro-musculaire (PNF) Kabbat en 1958 et
    protocole de Solverborn (1982)
  • Principe contraction statique et dintensité
    modérée dun muscle durant quelques secondes
    induit un relâchement accentué dudit muscle .
    Ainsi un muscle se laisse mieux étirer si il a
    été préalablement contracté ( série de
    contraction relâchements)
  • Protocole 4 temps
  • Articulation en position extrême
  • Contraction isométrique maximale du muscle
    agoniste , 4 à 5 sec
  • Relâchement 1 à 2 sec
  • Allongement lent et progressif 20sec

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CRAC (CRINHIBITION RECIPROQUE)
  • Contraction Agoniste
  • Relâchement
  • Agoniste étiré
  • Contraction de lantagoniste

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LA BOUCLE GAMA
  • Réflexe qui passe par le SNC
  • Permet de réguler le réflexe myotatique et par
    conséquent la raideur des muscles au repos
  • Pratique ce circuit est fortement favorisé par
    les expirations forcées

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PRATIQUE
  • La finesse du dosage de la force détirement
    nécessite de concentrer toute son attention sur
    cette seule activité

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LE MUSCLE SQUELETTIQUE ET LA CROISSANCE
  • Croissance en longueur des os précède la
    croissance en longueur des muscles
  • Enfant hyperlaxe ou enfant hypolaxe
  • Problèmes de croissance ( Osgood Schlätter)
    rééducation

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QUE SE PASSE-T-IL LORSQUE LON REALISE UN
ETIREMENT MUSCULAIRE ?
  • Rupture des ponts résiduels entre actine et
    myosine
  • Mise en tension de la structure conjonctive
    (sarcolemne, périmysium, endomysium, aponévrose,
    fascia)
  • Mise en tension de la structure tendineuse
  • Mise en jeu des circuits inhibiteurs diminuant
    lexcitabilité des motoneurones du muscle étiré
    lentement

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EFFETS DEMONTRES EFFETS SUPPOSES DES ETIREMENTS
  • Plus de croyances que de faits observés et
    confirmés
  • Phénomène de mode doutre-atlantique dans les
    années 80 ( stretching de Bob Anderson)
  • Échauffer
  • Prévenir les blessures
  • Faciliter la récupération
  • Redonner la mobilité articulaire et la souplesse
    musculaire

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EFFETS RECHERCHES EFFETS PRODUITS
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  • Actuellement trois effets induits par les
    étirements sont reconnus
  • 1) Une chute du tonus musculaire ( effet
    neurologique)
  • 2) Une diminution de la raideur accompagnée dune
    facilité à lallongement ( effet analgésique)
  • 3) Effet analgésiant (élévation du seuil de la
    douleur a létirement donc danger )

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EFFETS IMMEDIATS OU AIGUS
  • 1. Échauffement et élévation de la température
    musculaire
  • Pompe mécanique ( alternance contraction-
    relâchement)
  • Étirement /tension/coupe la circulation
  • Stretching pas la meilleure façon daugmenter
    la température
  • En pratique séries de contractions
    concentriques contre des résistances légères

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EFFET IMMEDIAT OU AIGU
  • 2. Étirements force et puissance musculaire
  • - Étirement prolongé diminue lactivation et la
    force volontaire (pendant 1 h après létirement
    quelque soit la technique utilisée)
  • - Diminution de force explosive lors
    dexercices de sauts verticaux ( tous niveaux,
    Hommes, Femmes)

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EFFET IMMEDIAT OU AIGU
  • 3. Prévention des blessures musculaires
  • - Les étirements réalisés avant lexercice
    nont pas dincidence sur le risque dapparition
    de lésions musculaires ( effet de prévention des
    blessures lié à la récupération dans les séances
    dentraînement et entre les entraînements et non
    aux étirements)
  • - Effet analgésiant des étirements donc à
    proscrire avant lexercice

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EFFET IMMEDIAT OU AIGU
  • A savoir les étirements passifs induisent des
    tensions musculaires parfois plus importantes que
    les tensions maximales donc sollicitent les
    fibres musculaires de la même façon que
    lentraînement en force, favorisant les
    micro-traumatismes au sein des fibres.

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EFFET IMMEDIAT OU AIGU
  • 4. Récupération
  • - Étirements statiques compriment les
    capillaires et compromettent la vascularisation
    en post effort
  • - A savoir douleur et baisse de force liées
    aux courbatures sont aussi prononcées voire plus
    lorsque la séance dentraînement est précédée et
    ou suivie dune session détirements et ce
    jusquà 72h après la séance
  • - Étirements et courbatures affectent les mêmes
    structures au sein de la fibre musculaire

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EFFET IMMEDIAT OU AIGU
  • 5. Pratique
  • - Les étirements ne doivent pas être réalisés
    en début de séance car ils entraînent une baisse
    de force et de puissance ( sport à dominante
    pliométrique)
  • - Pas détirements sur muscles courbatus
  • - Pas de footing lents de récupération car
    traumatisants

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EFFETS à LONG TERME
1.Amplitude articulaire La pratique des
étirements amène une augmentation immédiate de
lamplitude articulaire - par un relâchement
dorigine neuromusculaire - par une adaptation
de la visco- élasticité et une diminution de la
raideur passive au sein de lunité tendon
muscle.
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EFFETS à LONG TERME
  • A savoir la répétition des étirements, à long
    terme, permet clairement de maintenir un gain au
    niveau de lamplitude articulaire. Lexplication
    est une augmentation de la tolérance à
    létirement dont les mécanismes sont encore peu
    connus mais inclus probablement des processus
    neurologiques périphériques et centraux

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EFFETS à LONG TERME
  • Effet bénéfique sur les capacités de restitution
    élastique de lunité tendino musculaire (
    intéressant dans les sports incluant des cycles
    étirements raccourcissements)

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EFFETS à LONG TERME
  • 2. Prévention des lésions de surcharge de
    lappareil locomoteur
  • Meilleure compliance tendineuse, permet
    dabsorber des quantités dénergie supérieures (
    sports à dominante pliométrique)
  • Moins de charge sur lappareil musculaire
    contractile

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CONSEQUENCES PRATIQUES
  • Dans léchauffement
  • Pas détirements dans les sports de force
    dexplosivité, de vitesse, et détente
  • Pour les disciplines exigeants des amplitudes,
    des positions extrêmes lalternance de
    contractions musculaires de lagoniste et de
    lantagoniste suffit à étirer les muscles
  • Après lentraînement ou la compétition
  • Les étirements améliorent peu ou pas du tout la
    récupération ( ils augmenteraient même les micro
    traumatismes lies à leffort)
  • Footing lent de décrassage est aussi
    traumatisant car amplitude trop faible pour
    favoriser un effet de pompe
  • Electro stimulation préférable en post effort (ou
    vélo, balneo)

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(No Transcript)
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CONSEQUENCES PRATIQUES
  • Les étirements doivent faire partie dune
    séquence dentraînement
  • Pour travailler la souplesse donc augmenter les
    amplitudes articulaires
  • Pour augmenter les micro traumatismes musculaires
    ( excentrique) de façon à optimiser la
    reconstruction musculaire consécutive ( attention
  • aux délais de récupération)
  • LES ETIREMENTS DOIVENT ETRE INTEGRER DANS LA
    PLANIFICATION DE LENTRAINEMENT

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QUESTION
  • Quel protocole dapplication est le plus efficace
    pour utiliser au mieux les étirements ?
  • Pas de réponse définitive mais des
    principes de travail à adapter en fonction
  • .du moment dans la saison
  • .du moment dans la semaine
    dentraînement
  • .du moment dans lentraînement
  • .du moment dans la compétition

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(No Transcript)
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BIBLIOGRAPHIE
  • Les limites du stretching pour la performance
    sportive les effets physiologique des
    étirements. Gilles Cometti .Sport Med n150 mars
    2003 p24-28
  • Lettres des entraineurs numéro 39 . Miller
    Christian (directeur du laboratoire de
    biomécanique de lINSEP )
  • Longueurs et pointes . Nathalie Guissard (unité
    de recherche en neurophysiologie Université Libre
    de Bruxelles )
  • Guide des Étirements du sportif. Christophe
    Geoffroy Ed Vigot
  • http//prevost.pascal.free.fr/pratique/stretch
  • http//www.cdbf75.com

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  • MERCI DE VOTRE ATTENTION

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MODELE DE HILL
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  • CC responsable de la tension active sous contrôle
    nerveux.
  • CEP CES responsable de la tension passive
    influencée par la caractéristique des matériaux
    (tissu conjonctif collagène)

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MODELE DE HILL ( 1)
3 Composants
CEP éléments parallèles ( enveloppe
fibreuse,aponéphrose)
CES éléments séries ( tendons, ligne Z, ponts
actine- myosine)
CC éléments contractiles ( sarcoméres)
CC CV ( composante visqueuse) CG ( composante
de force)
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MODELE DE HILL (2)
44
Statiques
Statiques passifs myotatiques
Neuro musculaires ( PNF )
Contraction relâchement Réflexe dinhibition post
isométrique
Statiques actifs Réflexe dinhibition
45
ANATOMIE DU MUSCLEORGANISATION
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