Title: III - LA PROPHYLAXIE DES ANOMALIES CONGENITALES
1III - LA PROPHYLAXIE DESANOMALIES CONGENITALES
- A) La prophylaxie primaire ? aborde les causes
- B) Conseil génétique préconceptionel,
prénatal, postnatal - C) La planification de la grossesse
- préférable avant 35 ans
- en état de santé
- supplémentation de lacide folique (800µg/j)
- 1-2 mois avant de la conception
- et 2 mois après la conception.
-
2III - LA PROPHYLAXIE DESANOMALIES CONGENITALES
- D) La connaissance et lévitement des facteurs
tératogènes - - Vaccination antirubéolique des jeunes femmes
- - Le contrôle du diabète sucré ou de lépilépsie
- - lévitement les boissons alcooliques
- - Le renoncement aux cigarettes
- - lévitement de nimporte quel medicament
- - lévitement des irradiations diagnostiques.
- E) La prophylaxie secondaire
- F) Diagnostic prénatal / screening néonatal
précoce
3IV - LA PROPHYLAXIE DES MALADIES GENETIQUES
- Cest lensemble des mesures pour
- La connaissance et évitement des causes des
maladies génétiques - Le dépistage des familles et personnes avec
risque génétique élevé - Le diagnostic précoce des personnes malades.
4LES DIRECTIONS DE LA PROPHYLAXIE DES MALADIES
GENETIQUES
- A) Prophylaxie Primaire
- lévitement de lapparition des maladies
génétiques. - (a) La prophylaxie de lapparition et/ou
transmission des mutations. - (b) La prophylaxie de lapparition de la
maladie chez personnes saines mais avec
prédisposition génétique pour maladie. - B) Prophylaxie Secondaire
- le dépistage précoce de la maladie
- (c) la prévention de la naissance dun enfant
avec un génotype anormal chez couples avec risque
génétique augmenté. - (d) la prévention des manifestations des
maladies génétiques ou des complications chez un
enfant avec une maladies génétique.
5A) LA PROPHYLAXIE PRIMAIRE
- 1/ La prévention de lApparition des mutations
- La connaissance et lévitement des agents
mutagènes. - La majorité des mutations sont spontanées ? des
erreurs de la réplication ou distribution des
chromosomes ? la fréquence ? avec lage - Diminution de lâge reproductif
- femmes ? lt 35 - 38 ans ? risque ? enfants avec s.
Down - hommes ? lt 45 ans ? risque ? enfants avec
mutations génique (ex. neurofibromatose 1
achondroplasie).
6A) LA PROPHYLAXIE PRIMAIRE
U.M.F IASI
- La prévention de la Transmission des mutations
- Conseil génétique ? évaluation du risque
génétique - Le diagnostic pré-symptomatique (avant la
reproduction) chez personnes saines qui ont des
mutations dominantes qui se manifestent
tardivement (ex. ADPKD la maladie polychistique
rénale des adultes avec transmission AD) - Le dépistage des hétérozygotes sains (qui ont
des mutations récessives) ? Na Na 25 enfants
malades - Lévitement des mariages consanguins ? ?
fréquence de la rencontre des hétérozygotes.
7A) LA PROPHYLAXIE PRIMAIRE
- 2/ La prévention de lapparition des maladies aux
personnes saines avec Prédisposition génétique. - La connaissance des facteurs génétiques (gènes)
qui déterminent la PG ? recherche - Lidentification des personnes saines avec PG
- ex.
- Lidentification des mutations des gènes BRCA1 et
BRCA2 ? PG pour cancer du sein - La preuve de lhyperglycémie provoquée en DZ.
- Lévitement des facteurs environnementaux qui
transforment la PG ? maladie.
8B) LA PROPHYLAXIE SECONDAIRE
- 1/ La prévention de la Naissance dun enfant avec
génotype anormal chez couples avec risque
génétique ?, par - contracéption volontaire (temporaire/définitive)
adoption - la fécondation in vitro (FIV) ? donneurs de
gamètes, - diagnostic préimplantatoire,
- screening et diagnostic prénatal.
9B) LA PROPHYLAXIE SECONDAIRE
- 2/ La prévention des MANIFESTATIONS ou
COMPLICATIONS - de la maladie chez un enfant né avec une maladie
génétique, par - screening néonatal ? le dépistage précoce des
nouveau- nés avec génotype anormal mais sans
signes cliniques de maladie en période néonatale
(ex., phénylcétonurie) - diagnostic postnatal précoce
- diagnostic pré-symptomatique.
10C) LE CONSEIL GENETIQUE (CG)
- CG processus de communication par qui les
patients et leurs parents avec risque pour une
maladie génétique sont informés et conseillés
regardant - - la maladie et ses conséquences,
- - les voies par quoi la maladie peut être
ammeliorée ou evitée, - - la probabilité (RISQUE) de lapparition ou
transmission de la maladie dans la famille.
- Le patient / la famille sont aidés
- Pour comprendre
- la maladie diagnostic, évolution, les
possibilités de soin - la nature génétique - mode de transmission, la
gravité de la maladie et le risque de récurrence - les options et les alternatives reproductives
- Pour prendre une décision informée
- Pour avoir la meilleure correction de la maladie/
risque génétique
11D) LE SCREENING DES MALADIES GENETIQUES
- Screening génétique
- Lidentification dans une population dune
maladie ou un génotype anormal (qui ne se
manifeste pas cliniquement), - Nécéssite des méthodes simples, rapides, moins
chères mais avec une sensibilité augmentée, - Permet le DEPISTAGE des personnes apparement
saines qui probablement ONT la maladies.
12D) LE SCREENING DES MALADIES GENETIQUES
- Les tests de screening
- Ne posent pas le diagnostic de maladie
- Mais identifient un groupe populationnel, a qui
on devrait faire des tests diagnostiques - Objectifs
- La prévention des processus pathologiques
(dgntrtm) - Pour prendre une décision reproductive informée
13D) LE SCREENING DES MALADIES GENETIQUES
-
- Screening de la population
- Prénatal ATN, sdr. Down
- Néonatal phénylcétonurie hypothyroidie
congénitale. - Postnatal personnes saines qui ont des
mutations - - hétérozygotes (Na ou X NX a) pour une maladie
récessive fréquente (thalassémie, mucoviscidose
dystrophie musculaire Duchenne, etc) - - dans futur ? lidentification de la
susceptibilité individuelle aux maladies communes
(médecine prédictive).
14D) LE SCREENING DES MALADIES GENETIQUES
- Screening familial
- Le dépistage précoce de la maladies aux parents
sains de degré I II dun malade, pour prévenir
lapparition de la maladie ou pour prendre une
décision reproductive informée - présymptomatique (ADPKD hypercholestérolémie
familiale, maladie Huntington cancer de sein ou
côlon) - Personnes saines avec des an. chromosomiques
équilibrées - hétérozygotes en maladies récessives
(mucoviscidose dystrophye musculaire Duchenne)
15E) LE SCREENING PRENATAL
- Lidentification des Grossesse avec risque
génétique / malformatif ? - Doit être suivi par lapplication des méthodes de
diagnostic invasives, qui ne peuvent pas être
utilisés à toutes les grossesses (risque
davortement précoce ?). - PRINCIPE
- déterminer la concentration des marqueurs
biochimiques foetaux dans sérum maternel
écographie foetale ? pour le dépistage des
foetus avec - anomalies du tube neural (ATN),
- syndrôme Down (et autres aneuploïdies).
16F) LE SCREENING PRENATAL DU SDR. DOWN (SD)
- INDICATION chez grossesse avec âge gt 35 ans
(risque 3). - Mais
- seulement 5 des grossesses sont aux femmes avec
âge gt35 ans - seulement 25-30 des enfants avec SD ont des
mères avec - âge gt35 ans
- Nécessite une extension des SPN à toutes les
grossesses
17F) Le screening sérique pour Sdr. Down a 16
semaines de grossesse.
- TRIPLE TEST (TT)
- AFP ? - baisses de 25,
- E3u ? - baisses de 25,
- HCG ? - se double.
- TT est positif dans 5 des grossesses
18F) Le screening sérique pour Sdr. Down a 16
semaines de grossesse.
- Aux grossesses avec test positif ? obligatoire
AMNIOCENTESE - ? FISH interphasique et/ou caryotype.
- Test faux positif dans 5 des grossesses ?
foetus normal - Les valeurs des marqueurs sont influencés par
- lâge de grossesse, le poids de la grossesse, la
gémélarité etc.. - Test faux negatif dans 5 des grossesses ? foetus
avec SD.
19F) Le screening sérique pour Sdr. Down a 16
semaines de grossesse.
- La patiente doit savoir que
- le triple test est seulement un test de
screening et NON un de diagnostic - Les valeurs normales DIMINUENT la probabilité que
le foetus soit trisomique, mais NEXCLUENT PAS
totalement le SD (!!!) -
- Le diagnostic CERTAIN peut être établit seulement
par amniocentèse et lanalyse cytogénétique - Le triple test identifie seulement 60 des
enfants avec SD
20F) Le screening sérique pour Sdr. Down a 16
semaines de grossesse.
- Les performances du triple test (60 SD) peuvent
augmenter a 70 si est déterminé un quatrieme
marqueur - linhibine A (?) ou béta-HCG (?) quadruple
test (QT) - Lapplication des tests de screening (TT ou QT)
à 16 semaines de grossesse 3 semaines pour
caryotype ? une période longue dattente et
danxiété !!!
21G) Le screening sérique pour Sdr. Down a 12
semaines de grossesse.
- Détection précoce par double test
- PAPP-A (la protéine plasmatique A associée à la
grossesse) ? - béta-HCG (sous-unité béta libre de lHCG) ? ?
- détecte 60 des grossesses avec SD.
- Les résultats peuvent être ameliorés par la
détection - Dautres marqueurs sériques linhibine A AFP
E3u - marqueur sonographique la clarté nuquale 3 mm
- TEST INTEGRE PAPP-A ßHCG inhibine A AFP
uE3 - clarté nuquale ? détection de 80 , avec 3
faux positif
22G) Le screening sérique pour Sdr. Down a 12
semaines de grossesse.
- Détection précoce (trim. I) a
- Des avantages psychologiques
- Des désavantages frais augmentés.
- Le fait que
- ¾ des cas de SD sont nés par grossesse jeunes
(!) - Le test integré détecte 80 des cas
- sont des arguments forts pour la généralisation
du test à toutes les grossesses.
23H) LE SCREENING NEONATAL
- phénylcétonurie
- Lhypothyroïdie congénitale,
- La galactosémie,
- Lhyperplasie congénitale surrénalienne.
- mucoviscidose, hémoglobinophaties, dystrophie
musculaire Duchenne, la déficience en
a-1-antitrypsine maladies qui NE peuvent PAS
être traitées, seulement ameliorées conseil
génétique et DPN.
- Pour MALADIES MONOGENIQUES
- fréquentes,
- qui ne peuvent pas être
- diagnostiquées clinique a la naissance,
- qui ont des conséquences sévères,
- qui ont un traitement coûteux
24H) SCREENING NEONATAL POUR PHENYLCETONURIE (PKU)
- PKU - maladie RA,
- fréquente (113.000 n.n),
- Produite par la déficience de phénylalanine-hydrox
ylase ? - ? concentration plasmatique de phénylalanine et
de phénylpyruvate (phénylcétone), - ? tyrosine.
- La maladie NE peut PAS etre identifiée clinique
dans les premiers mois de vie. - Sans traitement ? RM profond
- Le RM peut être prévenu par une diète pauvre en
phénylalanine, dans les premières semaines de la
vie ? le niveau sérique de la phénylalanine
presque normal.
25H) SCREENING NEONATAL POUR PHENYLCETONURIE
- Le dosage de la phénylalanine dans une goutte de
sang (spectrophotométrie ou le test Guthrie) - Tests positifs ? DIAGNOSTIC le dosage
quantitatif de la phénylalanine et tyrosine dans
le plasma. - La sensibilité du test 95 spécificité 100
26I) LE DIAGNOSTIC PRENATAL
- acte medical complexe, qui permet le dépistage du
foetus de nombreuses anomalies congénitales et
maladies génétiques - Assure lévitement de la naissance dun enfant
avec une affection génétique ou malformative
grave - Les techniques de DPN sont coûteuses, invasives
(risque pour avortement) mais les bénéfices sont
grands
27 TECHNIQUES DE DIAGNOSTIC PRENATAL
techniques de DPN période (semaines) maladies
Ecographie foetale 10 18 Anomalies congénitales
la biopsie des villosités chorioniques 10 - 12 Anomalies chromosomiques
Amniocentèse 15 - 18
- liquide ATN (détermination AFP)
- cellules Anomalies chromosomiques Maladies métaboliques (analyses enzymatiques) Maladies moléculaires (analyses de lADN)
Cordocentèse 18 - 21 Anomalies chromosomiques Maladies hématologiques et moléculaires
28BIOPSIE DE VILLOSITES CHORIONIQUES S 10 - 12
G Risque avortement 2
AMNIOCENTESE S 15 -17 V Risque avortement 0,5-1
CORDOCENTESE S 17 - 40 G Risque avortement 2-3