Title: Nom de la pr
1Recommandations canadiennes pour les pratiques
optimales de soins de l'AVC Recommandation
6 Sujets choisis sur la prise en charge de
l'AVC
Nom de la présentation
Date
(mise à jour en 2008)
2Section 6 des recommandations
- Sujets choisis sur la prise en charge de l'AVC
- 6.1 Évaluation de la dysphagie
- 6.2 Dépistage et prise en charge de la
dépression post-AVC - 6.3 Atteinte cognitive et démence dorigine
vasculaire - 6.4 Évaluation et soins de la douleur à lépaule
36.1 Évaluation de la dysphagie
- Chez les patients ayant subi un AVC, il faut
vérifier la capacité de déglutir en utilisant un
protocole simple, valide et fiable, applicable à
leur chevet, dans le cadre de leur évaluation
initiale et avant de commencer à leur administrer
des médicaments, des liquides ou des aliments par
la bouche. - Il faut surveiller étroitement les patients qui
ne sont pas alertes dans les 24 premières heures
suivant lAVC et vérifier la présence de
dysphagie, selon le tableau clinique.
46.1 Évaluation de la dysphagie
- Les patients ayant subi un AVC et qui présentent
des caractéristiques de dysphagie ou daspiration
pulmonaire doivent subir un examen clinique
complet de leur capacité de déglutition par un
orthophoniste ou un spécialiste dûment formé qui
donnera son opinion, à savoir si le patient est
capable davaler sans danger et sil faut
modifier la consistance des aliments et des
liquides qui lui sont donnés. - On référera les patients exposés à un risque de
malnutrition, y compris ceux qui souffrent de
dysphagie, à un diététiste pour évaluation et
traitement continu. - L'évaluation du statut nutritionnel doit se faire
à laide doutils ou déchelles de mesure validés
appliqués à la nutrition.
5Exigences pour le système
- Lélaboration et lapplication de programmes
éducatifs pour former le personnel concerné afin
quil puisse procéder à un dépistage hâtif des
problèmes de déglutition chez les patients ayant
subi un AVC. - Laccès à des professionnels de la santé dûment
formés pour des évaluations en profondeur, tels
que des orthophonistes, des ergothérapeutes et
des diététistes.
6Indicateurs de rendement choisis
- Proportion de patients ayant subi un AVC dont le
dossier fait mention dune évaluation initiale
pour dépistage de la dysphagie durant
lhospitalisation. - Proportion de patients ayant subi un AVC, qui ont
obtenu de mauvais résultats lors du dépistage
initial et qui reçoivent alors une évaluation
plus approfondie par un orthophoniste ou un autre
professionnel de la santé dûment formé. - Délai médian entre larrivée du patient au
service durgence et lévaluation initiale de la
déglutitionpar un clinicien dûment formé (en
minutes).
76.2 Dépistage et prise en charge de la dépression
post-AVC
- On peut considérer que tous les patients ayant
subi un AVC sont à risque élevé de dépression. Au
moment de la première évaluation, léquipe
clinique doit déterminer si le patient a des
antécédents de dépression ou sil présente des
facteurs de risque à cet égard. - Il faut chercher à repérer chez tous les patients
ayant subi un AVC des signes de dépression au
moyen dun outil validé. - Le dépistage doit se faire à tous les points de
transition et chaque fois quune manifestation
clinique lindique.
86.2 Dépistage et prise en charge de la dépression
post-AVC
- Les points de transition peuvent inclure les
suivants - au moment de ladmission en soins actifs,
particulièrement si lon note des signes de
dépression ou de changement dhumeur - avant le congé du service de soins actifs ou
pendant le début de la réadaptation si le patient
est transféré dans un cadre de réadaptation en
milieu hospitalier - périodiquement au cours de la réadaptation en
milieu hospitalier - périodiquement à la suite du congé avec retour
dans la communauté.
96.2 Dépistage et prise en charge de la dépression
post-AVC
- Les patients jugés à risque de dépression à
partir dun outil de dépistage doivent être
référés à un psychiatre ou à un psychologue qui
poussera plus loin lévaluation et le diagnostic. - Il faut prendre en charge les patients qui
présentent des symptômes dépressifs légers en
assurant un suivi attentif et en commençant le
traitement seulement si la dépression persiste. - Les patients chez qui un trouble dépressif est
diagnostiqué devraient faire lobjet dun essai
dantidépresseurs, sauf sils sont
contre-indiqués.
106.2 Dépistage et prise en charge de la dépression
post-AVC
- On ne recommande pas une catégorie
dantidépresseurs plutôt quune autre toutefois,
si on tient compte des effets secondaires, les
inhibiteurs du recaptage de la sérotonine (IRS)
seraient préférables dans cette population de
patients. - Aux patients chez qui la tendance à pleurer est
grave, persistante ou problématique, les
antidépresseurs recommandés sont les inhibiteurs
du recaptage de la sérotonine (IRS). - Il faut offrir un suivi tout au long du
traitement, qui doit durer au moins six mois, si
lon obtient de bons résultats.
116.2 Dépistage et prise en charge de la dépression
post-AVC
- Il faut chercher à dépister la présence dun
délire hypoactif chez tous les patients qui
présentent des symptômes dépressifs apparents. - Lutilisation systématique dantidépresseurs
prophylactiques nest pas recommandée après un
AVC.
126.2 Dépistage et prise en charge de la dépression
post-AVC
- Les patients devraient être renseignés, recevoir
des conseils et avoir loccasion de sexprimer
sur les répercussions de lAVC sur leur vie. - Aux patients manifestement anxieux, une
psychothérapie devrait être offerte. - Les besoins psychosociaux et de soutien
particuliers des patients et de leurs personnes
soignantes devraient être régulièrement réévalués
dans le cadre du rétablissement et de la gestion
à long terme de lAVC.
13Exigences pour le système
- La formation en évaluation et dépistage de la
dépression post-AVC, pour les fournisseurs de
soins de première ligne et de soins de santé en
général dans le continuum des soins. - Laccès en temps opportun à des cliniciens
qualifiés capables dévaluer la gravité de la
dépression. - Laccès en temps opportun aux traitements
spécialisés de gestion de la dépression post-AVC
(médicaments et conseils, selon les besoins). - Un processus pour la surveillance continue de
tout patient chez qui un trouble dépressif est
diagnostiqué pendant le processus de référence.
14Indicateurs de rendement choisis
- Proportion des patients ayant subi un AVC pour
lesquels la documentation indique quune
évaluation ou un test de dépistage de la
dépression a été réalisé, en milieu de soins
actifs ou de réadaptation après un épisode dAVC
aigu, soit de façon informelle, soit à laide
dun outil structuré. - Proportion des patients ayant subi un AVC
orientés en vue dune évaluation ou dune
intervention supplémentaire à cause dun
diagnostic présumé de dépression après un épisode
dAVC aigu. - Proportion des patients ayant subi un AVC traités
aux antidépresseurs un mois, trois mois, six mois
et un an après lépisode dAVC.
156.3 Atteinte cognitive et démence dorigine
vasculaire
- Il faut considérer que tous les patients
présentant des facteurs de risque vasculaires et
ceux qui ont subi un AVC ou une ischémie
cérébrale transitoire (ICT) cliniquement
manifeste sont exposés à un risque élevé
datteinte cognitive dorigine vasculaire. - Les facteurs de risque vasculaire comprennent
- l'hypertension
- l'âge gt 65 ans
- l'hyperlipidémie le diabète
- l'AVC clinique
- les signes dAVC silencieux ou de maladie de la
substance blanche aux épreuves de neuro-imagerie - l'atteinte d'organes cibles
- les anomalies cognitives ou fonctionnelles
cliniquement manifestes ou signalées lors de
lanamnèse.
166.3a Évaluation
- Il faut soumettre tous les patients présentant
des facteurs de risque vasculaires à un dépistage
de latteinte cognitive à laide dun outil
validé. - Le dépistage de latteinte cognitive chez un
patient doit porter sur les domaines suivants
Domaine Domaine
Niveau d'éveil Langage
Niveau de vigilance Agnosie
Niveau d'attention Fonction visuospatiale et perceptuelle
Orientation Praxie
Mémoire Fonctions exécutives
176.3a Évaluation
- Le questionnaire Montreal Cognitive Assessment
est jugé plus sensible pour latteinte cognitive
que le mini-examen de létat mental chez les
patients souffrant dune atteinte cognitive
dorigine vasculaire. Son utilisation est
recommandée lorsquon soupçonne une atteinte
cognitive dorigine vasculaire. - Une validation additionnelle est requise pour le
Montreal Cognitive Assessment et dautres
instruments de dépistage, comme le protocole de 5
minutes qui figure dans les normes
dharmonisation pour lévaluation de latteinte
cognitive dorigine vasculaire.
Éléments du protocole de 5 minutes pour le dépistage de latteinte cognitive dorigine vasculaire
Test des cinq mots (mémoire à court et à long terme)
Test dorientation en six points
Test de fluidité phonémique à une lettre (lettre F)
Montreal Cognitive Assessment (www.mocatest.org)
Normes dharmonisation pour lévaluation de
latteinte cognitive dorigine vasculaire du
National Institute of Neurological Disorders et
du Réseau canadien contre les accidents
cérébrovasculaires (http//stroke.ahajournals.org/
cgi/reprint/37/9/2220)
186.3a Évaluation
- Il faut également effectuer un dépistage de la
dépression dans la mesure où celle-ci sest
révélée susceptible de contribuer à latteinte
cognitive chez les patients ayant subi un AVC. Il
faut utiliser un outil de dépistage validé pour
la dépression. - On fera subir des évaluations cognitives ou
neuropsychologiques plus approfondies, selon le
cas, chez les personnes qui présentent une
atteinte cognitive lors dun test de dépistage,
pour mieux orienter la prise en charge.
196.3b Synchronisation
- Selon la gravité du tableau clinique, il faudra
évaluer périodiquement lhistorique et (ou) les
anomalies à limagerie, chez tous les patients
jugés à risque élevé à légard dune atteinte
cognitive pour déceler les déficits perceptuels
et cognitifs, la dépression, le délire ou les
anomalies fonctionnelles. - Les sujets qui ont subi une ICT ou un AVC doivent
subir une évaluation de dépistage et, selon le
cas, une évaluation plus approfondie de leur état
cognitif et perceptuel aux différentes étapes de
transition tout au long du continuum des soins
de l'AVC.
206.3b Synchronisation
- Les étapes de transition comprennent
- le moment de la consultation à lurgence, lorsque
des problèmes cognitifs, perceptuels ou
fonctionnels sont notés - le moment de ladmission à lunité de soins
actifs, particulièrement en présence de signes de
délire - le moment du congé vers le domicile au départ de
lunité des soins actifs ou durant la période
initiale de réadaptation, si le patient est
transféré dans un centre de réadaptation à titre
de patient hospitalisé - périodiquement durant la phase de réadaptation en
cours dhospitalisation, selon les progrès du
patient, et pour aider à la planification du
congé - périodiquement après le congé pour retourner dans
la communauté les évaluations seront alors
faites par le professionnel de la santé dans la
communauté, selon les besoins, les progrès et les
objectifs courants du patient.
216.3c Prise en charge
- Il faut gérer énergiquement tous les facteurs de
risque vasculaire pour atteindre une maîtrise
optimale. - Les patients qui manifestent des atteintes
cognitives lors du processus de dépistage doivent
être référés à un professionnel de la santé
détenant des connaissances précises dans ce
domaine pour une évaluation cognitive,
perceptuelle ou fonctionnelle plus approfondie
afin de - déterminer la gravité de latteinte et limpact
des déficiences sur le fonctionnement et la
sécurité du patient lors des activités,
instrumentales et autres, de la vie quotidienne - appliquer les mesures correctives et les
stratégies dintervention compensatoires ou
adaptativesqui simposent.
226.3c Prise en charge
- On recommande une approche multidisciplinaire
regroupant, entre autres, un ergothérapeute, un
neuropsychologue, un psychiatre, un psychologue,
un gériatre, un orthophoniste et un travailleur
social. - Une approche individualisée axée sur le patient
est à envisager pour faciliter la reprise des
activités souhaitées, comme le retour au travail,
les activités de loisirs, le bénévolat, la
gestion des finances personnelles, les tâches
domestiques et autres activités instrumentales de
la vie quotidienne.
236.3c Prise en charge
- Les stratégies dintervention incluant la
réadaptation doivent être adaptées selon les
atteintes cognitives et les restrictions
fonctionnelles et selon les capacités cognitives
restantes repérées dans le cadre dune évaluation
en profondeur et conçues en fonction des besoins
et des objectifs des patients et des personnes
soignantes. - Un entraînement stratégique ou compensatoire
semble être efficace pour le traitement de
lapraxie post-AVC et devrait être envisagé. - Les preuves de lefficacité des interventions
précises axées sur latteinte cognitive
résultant dun AVC sont limitées et devraient
faire lobjet de recherches plus approfondies.
246.3c Prise en charge
- Un entraînement axé sur lattention pourrait
avoir un effet positif sur certains paramètres
spécifiques et ciblés et doit être appliqué chez
les patients appropriés. - Les stratégies compensatoires peuvent être
utilisées pour améliorer les paramètres liés à la
mémoire. - Les patients qui présentent des signes de
dépression ou danxiété lors du dépistage doivent
être vus et pris en charge par un professionnel
de la santé mentale dûment formé.
256.3c Prise en charge
- Pharmacothérapie
- On doit adresser les patients qui présentent des
signes datteinte cognitive dorigine vasculaire
à un médecin expert de ces atteintes pour une
évaluation plus approfondie et des
recommandations quant au traitement. - On peut envisager les inhibiteurs de la
cholinestérase pour la prise en charge de
latteinte cognitive dorigine vasculaire
diagnostiquée à laide des critères diagnostiques
du National Institute of Neurological Disorders
and Stroke (NINDS). - On dispose de preuves acceptables selon
lesquelles la galantamine entraîne des résultats
légèrement positifs sur la fonction cognitive et
le comportement dans la maladie dAlzheimer et la
maladie vasculaire cérébrale mixte. Elle peut
être envisagée comme option thérapeutique. - On dispose de preuves acceptables selon
lesquelles le donépézil entraîne des résultats
légèrement positifs sur les paramètres cognitifs
et globaux avec des avantages moins marqués sur
les paramètres fonctionnels. Il peut être
envisagé comme option thérapeutique.
26Exigences pour le système
- Lenseignement au public avec l'ajout des
anomalies cognitives aux signes avant-coureurs de
lAVC. - Lenseignement aux professionnels de toutes les
spécialités afin quils soient plus sensibles au
fait que les patients présentant une maladie des
petits vaisseaux doivent subir un dépistage des
facteurs de risque de lAVC et de latteinte
cognitive. - Une formation professionnelle continue pour
assurer les compétences lors de ladministration
de tests de dépistage, leur interprétation et la
prise en charge de latteinte cognitive. - Une prise de conscience accrue parmi les médecins
de famille quant au fait que les patients
présentant des facteurs de risque vasculaires qui
ne sont pas corrigés sont exposés à un risque
élevé de déficits cognitifs. - Des programmes de prise de conscience accrus à
lintention du public, axés sur lhypertension
non traitée, les autres facteurs de risque
vasculaires et leur lien avec la démence.
27Indicateurs de rendement choisis
- Pourcentage de personnes ayant subi un AVC et qui
subissent un dépistage cognitif rapide à chaque
étape de transition tout au long du continuum des
soins de l'AVC dans la communauté, après le congé
hospitalier et en tout temps lorsquon soupçonne
un changement de létat cognitif dun patient. - Pourcentage de personnes ayant subi un AVC et qui
sont dirigés vers une évaluation cognitive ou
neuropsychologique plus approfondie durant
lhospitalisation, durant la réadaptation en
cours dhospitalisation, dans les unités de soins
ambulatoires (séances de prévention de lAVC) ou
après le retour du patient dans la communauté. - Pourcentage damélioration du contrôle de
lhypertension artérielle et autres facteurs de
risque vasculaire chez les patients présentant
une atteinte cognitive dorigine vasculaire.
286.4 Évaluation et soins de la douleur à lépaule
- Il faudrait évaluer tous les patients ayant subi
un AVC pour la douleur à lépaule et, en présence
de signes avant-coureurs, mettre en place des
stratégies pour réduire au minimum la douleur à
lépaule et les traumatismes articulaires. - Les facteurs qui contribuent à la douleur à
lépaule ou lexacerbent doivent être déterminés
et gérés de manière appropriée. - Le personnel et les personnes soignantes doivent
recevoir une éducation sur la manière appropriée
de manipuler un bras hémiplégique. - Il faudrait envisager lutilisation dune écharpe
- pour le bras.
296.4 Évaluation et soins de la douleur à lépaule
- Des stratégies de protection des articulations
devraient être adoptées pour réduire au minimum
les traumatismes articulaires. - Lépaule ne devrait pas être passivement
manipulée au-delà de 90 degrés de flexion et
dabduction à moins que lomoplate ne soit
tournée vers le haut et lhumérus pivoté
latéralement. - Les poulies verticales ne devraient pas être
utilisées. - Le membre supérieur doit être manipulé avec soin
lors des activités fonctionnelles. - Le personnel devrait positionner les patients,
quils soient couchés ou assis, de manière à
réduire le plus possible le risque de
complications telles que la douleur à lépaule. - La douleur à lépaule et les limitations dans
lamplitude des mouvements devraient être
soignées par des techniques douces détirement et
de mobilisation axées en particulier sur la
rotation et labduction externe.
30Exigences pour le système
- Des soins structurés de lAVC dans des unités
dAVC qui disposent de la masse critique de
personnel ayant reçu une formation spécialisée
travaillant en équipe interdisciplinaire durant
létape de réadaptation post-AVC. - Lévaluation initiale par des cliniciens
expérimentés en AVC et en réadaptation dédiée à
lAVC. - Laccès en temps opportun aux services de
réadaptation spécialisés et interdisciplinaires. - Laccès en temps opportun à la réadaptation du
type et de lintensité adaptés à la personne qui
a survécu à un AVC.
31Indicateurs de rendement choisis
- Durée du séjour en hôpital de soins actifs et en
réadaptation en milieu hospitalier des patients
souffrant de douleur à lépaule (comparée aux
patients sans douleur à lépaule). - Proportion des patients avec AVC éprouvant une
douleur à lépaule dans un hôpital de soins
actifs, en réadaptation en milieu hospitalier ou
après le congé vers la communauté. - Proportion des patients avec AVC signalant une
douleur à lépaule au suivi après 3 et 6 mois. - Changement de lintensité de la douleur à partir
de la ligne de base jusquà des périodes
définies de mesure de la douleur.
32Conseils de mise en vigueur
- Former un groupe de travail, avec si possible des
intervenants à l'échelle locale et régionale,
ainsi qu'une personne ayant survécu à l'AVC et sa
famille. - Effectuer une analyse des lacunes pour comparer
les pratiques actuelles à l'aide de l'outil
d'analyse de l'écart des Recommandations
canadiennes pour les pratiques optimales de soins
de l'AVC (2008). - Cerner les forces, les défis et les occasions.
- Cerner deux ou trois priorités d'action.
33Conseils de mise en vigueur
- Établir des champions à l'échelle locale et
régionale. - Cerner les besoins en matière de formation
professionnelle et mettre au point un plan de
formation professionnelle. - Penser à utiliser des ateliers locaux ou
régionaux pour se concentrer sur les sujets
choisis de prise en charge de l'AVC. - Accéder à des ressources comme les experts de la
Stratégie canadienne de lutte contre l'AVC, la
Fondation des maladies du cœur, les
personnes-ressources provinciales et les groupes
de soutien pour le rétablissement post-AVC.
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