COMPTE-RENDU FORUM MEDICAL DE RANGUEIL 2005 - PowerPoint PPT Presentation

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COMPTE-RENDU FORUM MEDICAL DE RANGUEIL 2005

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Title: COMPTE-RENDU FORUM MEDICAL DE RANGUEIL 2005


1
COMPTE-RENDU FORUM MEDICAL DE RANGUEIL2005
  • J. BALTHAZAR E. BARTRINA
  • N. CHEVALIER JP CARME J. MARTINEZ

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SOMMAIRE
  • D M LA
  • A I T
  • Ostéoporose
  • Dermatite atopique du Nourrisson
  • Pathologie musculaire et rhumatismes
    inflamatoires
  • Les marqueurs ferriques
  • Consultation du premier trimestre de grossesse
  • Les plaintes en médecine générale
  • Insuffisance rénale du sujet âgé

3
D M L A
  • Atteinte de la vision centrale
  • 3 formes
  • Précoce on gagne 3 à 4 ans dévolution par un
    traitement vitaminique ( Vit E Vit C zinc
    beta carotène) .
  • - Exsudative l faut détruire la membrane
    néo-vasculaire choroïdienne par LASER ou VISUDINE
  • Atrophique Il na a pas de traitement
    efficace actuellement
  • Lévolution est inexorable vers le scotome
    central
  • Il faut faire une rééducation basse vision
  • Prévention
  • À partir de 65 ans, acheter La Dépêche et
    regarder tous les jours une grille de mots
    croisés

4
A I T
  • Un AIT doit être considéré comme un AVC pour
    lequel les mécanismes de fibrinolyse ont
    fonctionné
  • La moitié récidive dans les 48 heures
  • gt hospitaliser si le patient est vu avant la 48
    heure
  • gt bilan en externe sil est vu après
  • Bilan ECG, ECHO carotides, Scanner ou IRM
    cérébral, biologie
  • Jamais de traitement avant scanner (causes
    hémorragiques moins fréquentes, mais dramatiques)
  • Aspirine de 75 à 500 mg aussi efficace
  • Tél Urgences AVC Rangueil 05 61 32 25 49 et
    05 61 32 26 49

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OSTEOPOROSE
  • Il nexiste pas de traitement supérieur aux
    autres. Les labo présentent des biais
    statistiques pour pouvoir positionner leur
    produit (hanche, vertèbre)
  • Globalement se repérer par décennie
  • De 50 à 60 ans traitement hormonal
  • De 60 à 70 ans les SERM (Evista, Optruma)
  • De 70 à 80 ans les biphosphonates (Fosamax,
    Actonel)
  • Après 80 ans Calcium Vit D si insuffisance
    dapport alimentaire
  • A venir
  • Bonviva et Protelos idem les autres
    biphosphonates, pas plus efficaces
  • FORSTEO (parathormone) très cher et très
    efficace à réserver aux spécialistes

6
Dermatite Atopique du Nourrisson
  • Cest une peau réactive à lenvironnement
  • Inutile de faire des tests dallergie
  • Seuls les cas sévères sont des eczémas
  • LAVER
  • gt Donner un bain par jour, sans dépasser 33
    sous peine de dessecher la peau
  • gt Le bain ne doit pas dépasser 10 minutes
  • gt Laver avec un nettoyant sans savon, sans
    parfum (pain surgras ou savon liquide Lipikar,
    Syndet, Atoderm moussant, gel surgras au Cold
    Crène Avène)
  • Pas dantiseptique

7
APPLIQUER
  • Sur la zone enflammée (centrale) un
    dermocorticoïde
  • Faible (nourrisson) Tridesonit, Locapred
  • Moyen (enfants) Diprosone, Locatop
  • Sur la xérose (en périphérie) un émollient sans
    parfum, sans lanoline Lipikar baume, AtodermPP,
    Lexomega, Trixera crème, ou une préparation
    magistrale remboursée
  • Glycérolé damidon 20 gr
  • Excipial lipolotion neutre (UE) qsp 200 gr
  • PMR à usage thérapeuthique
  • Dexeryl contient de la lanoline
  • PER OS
  • RIEN
  • ou antihistaminique si troubles du sommeil
    (prurit) Atarax sirop 1càc pour 10 Kg

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  • Conseils divers
  • La température de la chambre ne doit pas dépasser
    19
  • Mettre des saturateurs sur les radiateurs
  • Lenfant ne doit pas être trop couvert, ne doit
    pas porter de laine au contact de la peau
  • Les sous-vêtements doivent être en coton et lavés
    sans assouplissant
  • Les dermocorticoïdes
  • Ils ne sont pas toxiques en cures intermittentes
  • Ils sont moins à risque que les corticoïdes per
    os
  • Les échecs viennent dun traitement insuffisant
    ne pas hésiter à tartiner
  • Larrêt du dermocorticoïde sera brutal pour des
    questions dobservance
  • Reprise du dermocorticoïde à la moindre rechute
  • Contre indication herpès ou surinfection
  • PROTOPIC traitement immunosuppresseur très
    efficace réservé aux spécialistes chez lenfant gt
    2 ans et en 2 intention. Risque cancer de la
    peau et lymphome

9
Pathologie musculairePoint de vue du neurologue
(Dr Arné-Bes)
  • -Linterrogatoire est capital
  • Recherche des plaintes (faiblesse,
    fatigabilité permanente ou en fin de journée,
    crampes, difficultés à la décontraction,
    myalgies).
  • Installation des troubles brutale, liées à
    leffort, progressive.
  • Contexte général altération, problème
    endocrinien, prise de toxiques, familial.
  • -Examen inspection des loges musculaires (face,
    ceintures scapulaires, mollets) à la recherche
    dune amyotrophie.
  • exercice marche sur pointes, talons,
    saccroupir.
  • recherche de myotonies serrer la main et
    décontraction lente
  • -Paraclinique TSH, CPK, LDH, Aldolases (à
    distance dun effort) EMG
  • Scanner musculaire (aspect vide dans
    la myopathie)
  • Biopsie, étude génétique

10
TABLEAUX CLINIQUES
  • RHABDOMYOLYSE épisode aigu de myalgies, fièvre,
    CPK gt 300N
  • Causes traumatiques, exercice musculaire intense
  • toxiques stupéfiants, alcool, statines,
    bétabloquants
  • MYALGIES D EFFORT Intolérance à leffort
  • - Myopathies métaboliques (glycogénoses, etc.)
  • DEFICIT MOTEUR PREDOMINANT
  • -Myasthénie fatigabilité à leffort, dysphagie
  • EMG
  • -Myosites inflammatoires biopsie
  • -Dystrophies musculaires myopathies localisées
    (ceintures, faciales, scapulo-humérale, des
    membres)
  • -Atteinte neurogènes chroniques (corne
    antérieure)

11
PATHOLOGIE MUSCULAIREPoint de vue du
rhumatologue (Dr LAROCHE)
  • Limagerie est importante écho, TDM, IRM.
  • La biopsie musculaire guide le diagnostic
  • -Tableau de polymyosite myalgies, arthralgies,
    CPK , CRP , EMG et biopsie.
  • -Dermatomyosites aspect violacé du visage et des
    chevilles, décontraction lente des doigts.
    Syndrome paranéo.
  • -Autres connectivites Gougerot, lupus, PR, BBS.
  • -PPR myalgies des ceintures, matinales
    syndrome inflammatoire
  • grande corticosensibilité (en faveur du
    diagnostic).
  • -Douleurs pseudo-musculaires entésopathies
    psoriasiques (plastron sternal, sacro-iliaques,
    talons).
  • Fibromyalgie souvent reliée à un syndrome
    dépressif.
  • diagnostic différentiel avec
    Gougerot, diabète phosphoré, hépatite
    C.

12
PATHOLOGIE MUSCULAIREPoint de vue de
linterniste (Pr. ARLET)
  • Trois tableaux
  • Arthromyalgies
  • -polyarthrosiques
  • -polyenthésopathiques hommes, sportifs
  • -maladies auto-immunes Gougerot, femmes
  • test à la compresse, ACAN, biopsie salivaire
  • Polymyalgies test accroupi (diagnostic
    différentiel avec hystérique). Elévation de TGO,
    puis CPK, CPK MB.
  • Amylose, sarcoïdose, médicaments, thyroïde,
    hypophyse, stéatose hépatique chez lhomme.
  • Polyalgiques S.P.I.D. épuiiiiisé .

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RHUMATISME INFLAMMATOIRE DEBUTANTET POLYARTHRITE
RHUMATOIDE(Pr. CANTAGREL)
  • Nécessité d une prise en charge précoce de la
    PR précocité des lésions radiologiques et
    structurales (lt2 ans), apparition des
    biothérapies (anti-TNF) qui ont prouvé leur
    efficacité sur la prévention des lésions
    structurales.
  • Définition dun RID critères de lACR peu
    adaptés (polyarthralgies) pour certains cest
    une atteinte monoarticulaire gonflée et
    inflammatoire depuis moins de 2 ans.
  • Comment identifier les patients dont lévolution
    sera défavorables?
  • Schéma évolutif dun RID

Transitoire
Arthrite
AP non érosive
Permanente
AP pauci érosive
AP érosive
AP érosive sévère
à identifier très tôt
14
PRISE EN CHARGE D UN RID
  • 1 étape preuves de linflammation
  • clinique, difficile gonflement articulaire
    douloureux
  • VS CRP, manquent dans 25 des PR
  • Echographie articulaire, IRM
  • 2 étape diagnostique, recherche une infection,
    une arthrite cristalline, un lupus ou une
    vascularite.
  • FNS, transaminases, gamma GT, tests urinaires,
    hémocultures, frottis urétral et cervical,
    sérologies hépatiques et VIH, liquides
    articulaires, ACAN.
  • Eléments prédictifs du passage à la chronicité
    dun RID ou de son évolution vers un rhumatisme
    érosif score avec des critères
  • -cliniques durée des symptômes gt 6 mois(),
    raideur matinale gt 1 heure, douleur à la
    compression des MTP(), arthrite gt 3 groupes
    articulaires ()
  • -radiologiques érosions sur les Rx des mains ou
    pieds ().
  • -biologiques Facteurs rhumatoïdes positifs (),
    anticorps anti-protéines citrullinées (Ac anti
    CCP) .

15
Stratégie thérapeutique dune PR débutante
  • Trois objectifs rémission, protection
    structurale, protection de la fonction (qualité
    de vie)
  • Traiter précocement fenêtre dopportunité où le
    traitement sera le plus efficace.
  • Traiter activementplusieurs stratégies
  • -successive méthotrexate, puis salazopirine,
    puis Arava
  • -additive Métho, puis M S, puis
    MSPlaquenil
  • -combinatoire conventionnelle
    MSprednisolone, MciclosporinePred
  • -combinatoire récente Manti-TNF
  • Résultats rémission obtenues à 2 ans avec toutes
    les stratégies
  • -protection structurale meilleurs avec anti-TNF
    et prednisolone
  • -qualité de vie stratégies addictives
  • Rôle du généraliste suivi des problèmes
    infectieux induits par le traitementtuberculose,
    plaies infectées lanti-TNF doit être arrêté
    pour effectuer des prélèvements (masque les
    signes infectieux), alors que la corticothérapie
    doit être poursuivie.
  • Faire un bilan avant linstauration de toute
    corticothérapie.

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CONDUITE A TENIR DEVANT UNE ANOMALIE DE LA
FERRITINE(Pr. ARLET)
  • -Très bonne valeur prédictive dune carence en
    fer lorsquelle est basse (le fer sérique ne se
    dose plus). Les causes dhypoferritinémie (lt 30)
    doivent être recherchées chez la femme en
    activité génitale et par les endoscopies
    digestives.
  • -Une carence en fer nest pas toujours synonyme
    de ferritinémie basseelle peut être normale ou
    élevée on saide alors du myélogramme
    (coloration de Perls).
  • -Lexploration dune asthénie peut aboutir à une
    ferritine élevée syndrome inflammatoire
    (300-400), cytolyses (hépatites, myolyses,
    nécroses tumorales, infections), rarement
    hémochromatose (si doute coeff. Sat. Sidéro.).
  • -Rares cas de ferritinémies très élevées (gt 10
    000) hémochromatoses évoluées, maladie de Still
    de ladulte, syndrome dactivation macrophagique.
  • -Devant une hyperferritinémie modérée (100) non
    expliquée penser au syndrome dysmétabolique
    (hépatopathie et morphotype), au syndrome
    génétique cataracte-hyperferritinémie.

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NOUVEAUX MARQUEURS FERRIQUES(Pr. ADOUE)
  • Deux marqueurs à retenir
  • -Ferritine protéine de stockage du fer dans tous
    les organes (30-100ng/ml, B60)
  • -Récepteur soluble de la transferrine (TfRs)
    forme tronquée du récepteur à la
  • transferrine (protéine porteuse du fer), contenu
    dans toutes les cellules estime le fer de
    passage , fonctionnel (0.83-1.76 mg/l, B60).
  • Hiérarchie de prescription
  • - ferritine indicateur de choix du stock en fer
    (déficit ou surcharge), en-dehors dun syndrome
    inflammatoire
  • basse dans les anémies microcytaires
    hypochromes, NN, 3 T de G, âgé, sportif de haut
    niveau.
  • - En-dehors du contexte biologique et clinique,
    le RST est un bon marqueur dune anémie
    inflammatoire

ferritine
normale ou élevée
basse
Syndrome inflammatoire ?
carence
RST élevé RST normal ou bas INFLAMMATION
2 intention
Linflammation induit la carence PRESCRIRE DU FER
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CONSULTATION AU PERMIER TRIMESTRE DE GROSSESSE
  • Permet la prescription des examens et la
    datation, lorientation vers la maternité.
  • PAS DE DATATION au premier et deuxième mois SANS
    ECHO à 12 SA
  • PAS DE DECLARATION TROP PRECOCE (mauvaise
    datation perturbe la G)
  • PROPOSER LE DEPISTAGE DE LA TRISOMIE 21 APRES
    ECHO 12 SA entre 15 et 18 SA avec mesure de la
    clarté nucale faite dans de bonnes conditions
    longueur cranio-caudale45 à 85 mm en coupe
    longitudinale stricte
  • (responsabilité légale du MG)
  • marqueurs tumoraux PAPP-A béta-HCG
  • Attention si béta-HCG augmentées, risque
    toxémique, hypertension au 3 T
  • Si antécédents daccouchement prématuré, prévoir
    prélèvement vaginal à 15 SA si gardnerella
    prescrire FLAGYL 1,5 g/j, 7j.

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PLAINTES EN MEDECINE GENERALE
  • La prescription de médicaments est une activité
    importante du médecin généraliste, soit
    directement par lui-même ou sur lindication dun
    spécialiste.
  • Importance de connaître les règles de
    prescription AMM, surveillances biologiques.
  • Savoir documenter notre choix thérapeutique ou
    le non respect du choix du spécialiste TENUE
    RIGOUREUSE DU DOSSIER MEDICAL.
  • Le généraliste est co-responsable avec le
    spécialiste
  • Toujours argumenter les décisions prises et les
    non décisions dans le dossier médical.
  • Traçabilité du dossier médical informatique ou
    papier.
  • Noter toujours linformation donnée au patient et
    lexplication bénéfice-risque.
  • En conclusion importance du dossier médical,
    examen clinique systématique du patient, quelque
    soit la plainte.

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INSUFFISANCE RENALE DU SUJET AGE
  • -Prévalence de lIRC sous-éstimée
  • -Prévalence d lIRC terminale augmente de 5par
    an
  • PRISE EN CHARGE MEDICALE signal dalarme cl. lt
    40 ml/mn voire avis spécialisé.
  • DIAGNOSTIC ET TRAITEMENT des COMPLICATIONS et des
    COMORBIDITES
  • système cardio-vasculaire HTA
  • anémie
  • malnutrition protéino-énergétique
  • anomalie phosphocalcique
  • Acidose et hyperkaliémie
  • recherche de facteurs aggravants sténose artère
    rénale, obstacle prostatique, infections
    urinaires.
  • CORRECTION DE LHTA cible 130/80
  • IEC, ARA II en 1 intention doser créat K 5
    jours après
  • diurétiques furosémide

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INSUFFISANCE RENALE DU SUJET AGE
  • CORRECTION DE LANEMIE ciblr Hb à 12 g/100 ml
  • EPO
  • STATUT MARTIAL, FOLATES
  • CORRECTION HYPOCALCEMIE
  • Calcium sans phosphore carbonate de calcium
  • Chéla teur du phosphore RENAGEL
  • Vit D Un alpha
  • CORRECTION DE LACIDOSE BINA
  • ETAT NUTRITIONNEL
  • Normoprotidique 0,8 mg /kg/j,Normosodé
  • EVITER LES TRAITEMENTS AGGRAVANTS aminosides,
    diurétiques distaux, AINS, biguanides, fibrates,
    produits de contrastes iodés (IRM)
  • La correction de lHTA et de lanémie peut
    permettre de différer la suppléance en dépit de
    clearance très basse lt 15 ml/mn.

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INSUFFISANCE RENALE DU SUJET AGE
  • SUPPLEANCE
  • 2/3 dialysés gt 60 ans
  • à Larrey 25 gt 75 ans et même gt 90 ans
  • SI CLEARANCE lt 10 ml/mn
  • 15 ml/mn chez diabétique
  • Hémodialyse 3 f / semaine de durée 4 h
  • Dialyse péritonéale possible à domicile,
    assurée par IDE (3 à 4 échanges /j)
  • Greffe rénale -indiquée au-delà de 60-70 ans,
    pronostic vital meilleur quavec hémodialyse
  • - transplantations avec donneur âgé gt 60 ans
    sont de plus en plus fréquentes et
    satisfaisantes.
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