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2. L' conomie sociale en Tunisie : Pr sentation des principales composantes et structures ... Situation actuelle dans les structures professionnelles ... – PowerPoint PPT presentation

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1
Léconomie sociale en Tunisie Dr. OULED
ABDALLAH Belaid Expert en Économie
sociale janv. 2007
2

  • Plan
  • 1. Introduction
  • 1.1Objectifs du rapport.
  • Définition de léconomie sociale
  • 1.3.Les tendances macro-économiques récentes
    tendances macro- sociales et indicateurs
    socio-économiques
  • Chapitre II
  • 2. Léconomie sociale en Tunisie Présentation
    des principales composantes et structures
  • 2.1. Les associations en Tunisie
  • 2.1.1. Définition d'une Association
  • 2.1.2. Classification selon la loi 92-25
    (1992) et classification du Ministère des
    Affaires Sociales, de Solidarité et des Tunisiens
    à létranger Guide 2004
  • 2.1.3.Cadre juridique des associations
  • 2.1.4.Approche quantitative des associations
    dans léconomie sociale
  • 2.1.5.Répartition des associations selon le
    Centre dInformation, de Formation, dÉtude et de
    Documentation sur les Associations (IFEDA)

3
  • 2.1.6.Le rôle des associations dans le
    développement des petites activités génératrices
    de revenus micro crédits
  • 2.1.7.Lemployabilité des associations par le
    biais du Fonds National de lemploi 21-21
  • 2.2. Les coopératives, les groupements
    professionnels et les structures agricoles
  • 2.2.1. Définition de la coopérative
  • 2.2.2. Situation actuelle dans les structures
    professionnelles
  • 2.2.2.1. Les structures professionnelles de
    base
  • 2.2.2.1.1.Les coopératives de services
    agricoles de base (régionales et locales)
  • 2.2.2.1.2.Les coopératives non agricoles
  • 2.2.2.1.3. Les groupements dintérêt collectif
  • 2.2.2.1.4.Groupements de propriétaires
    dolivettes

4
  • 2.2.2.1.5.Groupements de conservation des eaux
    et du sol
  • 2.2.2.1.6.Groupements forestiers dintérêt
    collectif
  • 2.2.2.1.7.Autres structures
  • 2.2.2.1.8.Groupements de développement dans le
    secteur de lagriculture et de la pêche
  • 2.2.2.2. Structures des coopératives centrales
  • 2.2.2.2.1. Les coopératives centrales agricoles
  • 2.2.2.2.2. LUnion Centrale des Coopératives
    Viticoles
  • 2.2.2.3. Structures interprofessionnelles
  • 2.2.2.4. Les chambres dagriculture
  • 2.2.2.5. Les Comités de Développement
  • 2.3. Les Fondations et les Mutuelles
  • 2.3.1. Les fondations
  • 2.3.2. Les mutuelles en Tunisie

5
  • Chapitre III
  • 3. La politique Tunisienne pour renforcer
    l'économie sociale
  • 3.1.L'économie sociale à travers les plans de
    développement
  • 3.2.Le Fonds National de lEmploi
  • 3.3.Le Ministère des Affaires sociales, de
    Solidarité et des Tunisiens à lÉtranger la
    Direction Générale de la Promotion Sociale
    (DGPS)
  • 3.4.La Banque Tunisienne de Solidarité (BTS)
  • 3.5.Le Centre dInformation, de Formation,
    dÉtude et de Documentation sur les associations
    (IFEDA)
  • 3.6.Mécanisme dappui aux initiatives
    économiques des femmes Projet dappui à la
    micro- entreprise et à lentreprenariat féminin
  • 3.7.Prix présidentiels pour encourager les
    composantes de léconomie sociale

6
  • - Mécanisme dappui aux initiatives économiques
    des femmes  Projet, dappui à la micro-
    entreprise et à lentreprenariat féminin
  • VI - Les différentes composantes de léconomie
    sociale en Tunisie  Bonnes Pratiques
  • 1- Fondation El Kef pour le Développement
    régional
  • 2- Fondation Tunisienne pour le Développement
    Communautaire
  • 3- Mutuelle de la santé 
  • 4- Association Tunisienne dAide aux Sourds
  •  5. Union Nationale de la Femme Tunisienne
  • 4.6.Coopérative de services agricoles  ESSAADA T
    éboulba
  • V- Conclusion générale 

7
  • Depuis lindépendance en 1956, la Tunisie a donc
    opté pour la promotion de ses ressources humaines
    pour assurer son développement.
  • En effet, actuellement la Tunisie est en train de
    se transformer dune économie protégée en une
    économie nouvellement industrialisée et ouverte

8
Les associations, les coopératives,
les mutuelles, les fondations,, toutes ces
formes déconomie sociale ont été très
influencées par les tendances économiques et les
stratégies de développement.
9
Économie sociale quelques indicateurs
  • les associations environ 9000 associations
    (512 a A.C.S , 260 A .D)
  • Les coopératives 201 C.S.A, environ 37923
    adhérents, 07 C. Centrales.
  • Les groupements dintérêt collectif plus de
    3000( 219000 familles)
  • Groupement de propriétaires dolivettes 64

10
  • Groupements de conservation des eaux et du sol
    216 (1427 bénéficiaires)
  • Groupements forestiers dintérêt collectifs30
  • Comité de développement 230
  • Groupements de développement dans le secteur de
    lagriculture et de la pêche171

11
  • Les fondations 03
  • et les mutuelles 48 260 000 adhérents et 600 000
    bénéficiaires des prestations

12
  • Encadré 01  LES ASSOCIATIONS
  • ? Le secteur associatif en Tunisie est dispersé.
    Il intervient dans plusieurs secteurs, milieux et
    régions. Il collabore avec plusieurs intervenants
    publics (Ministère des affaires sociales, de
    solidarité et des tunisiens à létranger 
    Ministère de la santé publique Ministère des
    Affaires de la Femme, de la Famille, de lEnfance
    et des Personnes Agées Ministère de lintérieur
    et du développement local  Ministère des
    finances  premier ministère (centre IFEDA)

13
  • ? La plupart des associations interviennent au
    niveau local (environ 5130  81). Les
    associations daction de développement dans les
    écoles constituent la partie principale dans ce
    secteur associatif

14
  • ? Lemployabilité du secteur associatif en
    Tunisie mérite dêtre étudiée. Aucun rapport -à
    notre connaissance- mentionne leffectif total
    des actifs occupés dans ce secteur. Cela peut
    être expliqué par labsence de la communication
    entre les associations et le secteur concerné par
    lemploi. Ajoutons que les données statistiques
    de lInstitut National de la Statistique
    nindiquent pas le secteur de léconomie sociale
    dans les secteurs dactivités

15
  • ? La participation de la femme dans les comités
    de direction des associations est très faible
    (6356 femmes membres contre 47577 hommes, environ
    11,7). Par contre leffectifs des adhérentes
    est très important (261285 femmes contre 365351
    hommes) (Enq.IFEDA)

16
  • ? Le secteur associatif est très ancien. Environ
    314 associations crées dés la colonisation
    jusqu'à la fin de lannée 1960. (Enquête IFEDA )

17
  • ? La répartition des ressources des associations
    montrent que ce secteur, en plus de
    lautofinancement (7), des dons (18), des
    subventions étrangères (7), bénéficie dautres
    sources de financement à savoir les subventions
    gouvernementales (soit environ 31) . Ajoutons 3
    des frais de remboursement des crédits le taux
    dintérêt des crédits est très faible (5).

18
  • ?Ces ressources vont influencer les dépenses des
    associations dont les frais de gestion occupent
    la première place (40) et la rémunération du
    personnel la deuxième place (23).
  • Malgré les subventions accordées aux
    associations, la mise à la disposition des
    associations des personnels payés par lEtat et
    les autres dispositifs de renforcement (fonds
    21-21), les frais de gestion et la rémunération
    du personnel paraissent comme obstacle devant la
    réalisation des objectifs des associations

19
  • ? Les difficultés des associations sont surtout
  • - Manque de ressources humaines 23,6
  • - Manque de ressources financières 90,1
  • - Absence dun local 19,3
  • - Problème de communication avec
    ladministration 4,3
  • - Moyens de transports 28,6
  • - Autres difficultés 7,6.

20
  • Encadré 02 Les coopératives et les groupements
    professionnels
  • ? Le secteur des coopératives et structures
    professionnelles mérite dêtre étudié entant que
    secteur demploi des jeunes (surtout les diplômés
    de lenseignement supérieur les sortants des
    centres de formation agricoles et techniques) et
    régulateur de la production agricole

21
  • ? Daprès un rapport intitulé  Tunisie Examen de
    la politique agricole 2006  (Banque Mondiale),
    les associations professionnelles agricoles en
    général sont sous contrôle dinstitutions gérées
    par lEtat, avec une indépendance financière très
    limitée.

22
  • ? Selon le même rapport, le secteur coopératif
    stagne. Même si quelques-unes se portent très
    bien, principalement celles engagées dans la
    collecte du lait ou la production de vin, la
    majorité dentre elles ne sont pas performantes
    ou inactivesLe chiffre daffaire des
    coopératives de lait, de fruits et de légumes est
    à la baisse .

23
  • ? La Tunisie a connu la création des
    coopératives de services et du commerce (1964 et
    1968) mais les informations sur ces structures ne
    sont pas disponibles et méritent dêtre
    approfondies

24
  • ?Les dirigeants ne sont pas qualifiés et ni les
    membres de la coopérative ou du conseil ne
    participent à leur gestion.
  • A cause de leurs pratiques de gestion
    bureaucratiques, les coopératives ont des
    difficultés à concurrencer les opérateurs
    privés 

25
  • ? Les coopératives centrales jouent un rôle
    important dans le marché des céréales. Le chiffre
    daffaires annuel moyen total a été de 190
    millions de DT sur les trois dernières années.
    Loffice des Céréales délègue 54 de son monopole
    de collecte des céréales à trois coopératives
    centrales (CCGC, COCEBLE et CCSP)

26
  • ? Loi n 94 du 18 octobre 2005, relative aux
    sociétés mutuelles de services agricoles va
    participer à la réorganisation du secteur des
    coopératives de la coopérative à la société
    mutuelle.

27
  • ?Le rôle de la fédération Nationale des
    coopératives est de regrouper les coopératives,
    parmi ses activités  la formation,
    lorganisation des ateliers de réflexions sur la
    gestion et le fonctionnement des coopératives,
  • sur le plan des activités réalisées les données
    quantitatives ne sont pas disponibles.

28
  • Les fondations
  • Les fondations sont assimilées a des
    associations, elles interviennent surtout pour 
    - Améliorer les conditions de vie,
  • - Améliorer les sources de
    revenus habitat, électricité, eau potable,

29
(No Transcript)
30
  • nous citons 
  • - la fondation ATLAS pour lauto
    développement et de la solidarité.
  • - la fondation El Kef pour le
    développement régional.
  • - la fondation Tunisienne pour le
    Développement Communautaire

31
(No Transcript)
32
  • Encadré 03 les fondations
  • ? Malgré limportance accordée aux fondations
    dans le monde, ce secteur est très mal identifié
    en Tunisie.
  • ?La création des fondations en Tunisie nest pas
    indiquée dans les textes juridiques et le cadre
    juridique organisant la vie associative na pas
    mentionné la création des fondations

33
  • En 1956, la Tunisie a éliminé EL AHBES   cest
    une forme traditionnelle dexploitation des
    terres ou des biens publics et privés pour
    lintérêt des orphelins, des handicapés, des
    malades, des personnes âgées pauvres... , et EL
    AWKAF publics (structures publiques qui gèrent EL
    AHBES)
  • ? En 1957 (18-07-1957), abolition dEL AHBES
    privés

34
  • ? Le secteur des fondations mérite une étude
    approfondie surtout au niveau de la
    réglementation afin dencourager la création de
    ces composantes de léconomie sociale et
    renforcer leurs rôles

35
  • -Les mutuelles en Tunisie 
  • Le secteur des mutuelles est organisé par un
    cadre juridique qui date depuis 1954.

36
  • Nous signalons lexistence des mutuelles pendant
    la colonisation  la mutuelle de lAgence
    National du Tabac - ETTAOUEN-1904 et la
    mutuelle -ETTADHAMEN- pour les orphelins du
    personnel de lenseignement de la République
    Tunisienne 1946.
  • Actuellement ,environ 48 mutuelles constituent ce
    secteur. Elles sont repartis comme suit 
  • - 15 mutuelles dans le
    secteur public.

37
  • - 18 mutuelles dans le
    secteur semi- étatique.
  • - 13 mutuelles dans le
    secteur privé.
  • Toutes ces mutuelles sont normalement adhérentes
    à lUnion Nationale des Mutuelles UNAM avec
    environ 260 000 adhérents et 600 000
    bénéficiaires des prestations des ces mutuelles.

38
  • Encadré n04  les mutuelles
  • ? Le cadre juridique qui organise le secteur est
    très ancien et mérite dêtre révisé. (1954-
    1961-1984), doù la non adéquation entre la
    réglementation et les mutations socio-économiques
    qua connues la Tunisie.

39
  • ? Ces mutuelles offrent des services et
    prestations à environ 259.359 adhérents sans
    compter les adhérents de la mutuelle des
    accidents scolaires et universitaires qui couvre
    2.197.277 adhérents.
  • ? Malgré la situation financière positive, ce
    secteur soufre de beaucoup de problèmes et
    nécessite un diagnostic rationnel

40
  • ? Certaines mutuelles nont pas des règlements
    intérieurs et norganisent pas des assemblées
    générales pour assurer la participation active
    des adhérents.
  • ? Daprès les documents consultés, le taux
    dencadrement dans les mutuelles est faible

41
  • ? LUnion Nationale des Mutuelles joue un rôle
    important dans le regroupement de ces structures,
    mais le taux dadhésion est faible  sachant que
    suite à la réforme de lassurance maladie, ces
    mutuelles sont appelées à se regrouper autour de
    cet organisme.
  • ? Létude dimpact du secteur des mutuelles sur
    la vie sociale et économique des adhérents mérite
    dêtre entamée en profondeur ainsi que
    lidentification des nouveaux besoins et attentes
    des adhérents

42
  • - La politique Tunisienne pour renforcer
    l'économie sociale
  • Le Fonds National de l'Emploi 21-21
  • Les interventions du fonds ont touché depuis sa
    création jusqu'à la fin 2005, prés de 504.160
    bénéficiaires, pour des crédits de 416.387
    millions de Dinars. 76,8 des bénéficiaires ont
    le niveau primaire, 16,1 ont le niveau
    secondaire et 7,1 ont le niveau supérieur

43
  • la Direction Générale de la Promotion Sociale
    (DGPS)
  • joue un rôle essentiel pour renforcer les
    associations surtout à caractère social.
  • A titre dexemple, en 2007, le Ministère a
    accordé aux associations 279.000MD(O1euros
    1,806DT) réparties comme suit 
  • Associations de protection des enfants abandonnés
    avec unité de vie 184.000 MD,
  • Associations de protection des familles à besoins
    spécifiques 15.000 MD,
  • Associations de santé mentale 35.000 MD,
  • Associations de prévention et de dintégration
    sociale 45.000 MD.  

44
  • La Banque Tunisienne de Solidarité (BTS)
  • le nombre des associations autorisées à accorder
    des micros crédits est 248 à la fin du mois
    davril 2007. Elles ont accordés 234.047 crédits
    avec une enveloppe globale de 188,205 MD.
    Ajoutons que ces associations de développement
    ont bénéficié des indemnités dinstallations
    (15.000D) (achat de matériels de bureaux ..

45
  • Le Centre dInformation, de Formation, dÉtude et
    de Documentation sur les associations (IFEDA)
  • Le centre  IFEDA  a été créé en avril 2002 pour
    être au service des associations, afin de les
    aider à faire évoluer leurs méthodes de travail.

46
- Prix présidentiels pour encourager les
composantes de léconomie sociale
  • Le prix du président de la république pour la
    promotion de la famille comporte trois
    catégories 
  • 1- Le prix national médaille dor.
  • 2- Le prix spécial pour les ONGs qui opèrent dans
    le domaine de la protection de la famille
    émigrée  médaille dor (4000D)
  • 3- médaille dargent (3000D) et médaille de
    bronze (2000D).

47
  • - Mécanisme dappui aux initiatives économiques
    des femmes  Projet, dappui à la micro-
    entreprise et à lentreprenariat féminin.
  • Le Mécanisme dappui aux initiatives économiques
    des femmes est un outil au sein du Ministère des
    Affaires de la Femme, de la Famille, de lEnfance
    et des Personnes Agées créé pour servir la micro
    entreprise de femmes à travers le renforcement
    des capacités, léchanges dexpériences et
    lappui technique, financier et institutionnel
    aux partenaires.
  • .

48
  • Conclusion générale 
  • A partir de ce rapport sur la situation de
    léconomie sociale en Tunisie, nous pouvons
    dégager les conclusions suivantes 
  • - la prolifération et la diversité des
    composantes de léconomie sociale en Tunisie
    associations, coopératives, mutuelles,
    fondations 

49
  • - le manque de synchronisation et de synergie
    entre les différentes structures 
  • la faible connaissance des mesures dimpact des
    composantes de léconomie sociale sur le plan
    économique et social malgré les politiques
    nationales pour renforcer le rôle de ces
    structures 

50
  • Le concept déconomie sociale nest pas très
    répandu en Tunisie, surtout chez certains
    responsables des structures.
  • Le rapport a démontré la richesse de
    lexpérience tunisienne en matière déconomie
    sociale.
  • Les associations interviennent dans plusieurs
    secteurs surtout dans la promotion sociale.
    Aussi, une évolution remarquable au niveau des
    associations de développement qui accordent des
    micro-crédits

51
  • Les coopératives (201) et les structures
    interprofessionnelles sont nombreuses, mais
    certaines dentre elles rencontrent des problèmes

52
  • Le secteur des mutuelles en Tunisie (48
    mutuelles) est très actif - daprès les données
    disponibles- mais il rencontre des problèmes de
    gestion et dorganisation (cadre juridique très
    ancien..).

53
  • Le nombre des fondations en Tunisie est faible,
    sachant quelles sont assimilées à des
    associations surtout après labolition dEL
    AHBES et EL AWKAF.

54
  • La faible connaissance des mesures dimpact des
    composantes de léconomie sociale sur le plan
    économique et social malgré les politiques
    nationales pour renforcer le rôle de ces
    structures

55
  • Les difficultés et les contraintes rencontrées
    par les composantes de léconomie sociale sont
  • des difficultés liées à la faible capacité des
    ressources humaines et financières.
  • Des difficultés dordre psychosociologique
    concernant la relation entre les ONG et la
    population (refus dadhésion à des associations,
    faible intérêt pour le travail associatif, faible
    contribution)

56
  • des difficultés organisationnelles et
    managériales liées au faible niveau de formation
    et de compétences des intervenants et la
    faiblesse au niveau des méthodes de gestion et de
    travail

57
  • Recommandations  
  • - renforcer le réseau déjà
    crée pour regrouper et aider les composantes de
    léconomie sociale en Tunisie 
  • - Favoriser une synergie entre
    les différentes composantes de léconomie
    sociale 
  • - Promouvoir une culture
    defficacité en terme de restructuration des
    actions .
  • - Développer les compétences
    des acteurs de léconomie sociale locaux,
    régionaux et centraux 
  • - Encourager la création dun
    espace déconomie sociale( lieu de rencontre,
    foire pour la commercialisation, Lieu
    culturelcinéma,théâtre, documentation sur
    léconomie sociale)

58
  • Merci
  • Dr. OULED ABDALLAH Belaïd
  • Expert en économie sociale
  • Docteur en sociologie
  • Maître Assistant en Sciences du Travail à
  • lInstitut National du Travail et des Etudes
    Sociales
  • e-mail  Belaïdouled_at_yahoo.fr
  • Tel 216 98 256 480
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