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Prsentation PowerPoint

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Les techniques qui s'av rent les plus efficaces et politiquement ... Ajuster ad quatement le volume d'application selon. le degr d'infestation. Effectuer un ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Prsentation PowerPoint


1
(No Transcript)
2
  • LA PLANTE ET SON IMPACT
  • RECHERCHE DÉVELOPPEMENT (1994-2005)
  • LE PLAN DACTION COLLECTIF PROVINCIAL
    (2006-2010)
  • PÉRIODE DE QUESTIONS

3
  • LA PLANTE ET SON IMPACT

4
Zones du Québec potentiellement infestées
5
Problématiques
  • Les techniques qui s'avèrent les plus
    efficaces et politiquement
  • écologiques tout en étant viables
    économiquement jusqu'à présent
  • consistent à faucher ou extraire
    manuellement les plants avant
  • que le pollen apparaisse.
  • Ces techniques, faute d'efficacité doivent
    être répétées toutes
  • les saisons et cest ici que débute un
    cercle vicieux.
  • Une des problématiques est que les terrains
    accidentés ne peuvent
  • être fauchés convenablement. Les nombreux
    obstacles le long des
  • routes infestées empêchent également un
    fauchage efficace.
  • De plus au fil des saisons, l'herbe à poux
    a maintenant tendance à
  • pousser à l'horizontale plutôt qu'à la
    verticale pour éviter d'être
  • fauchée.

6
Problématiques
  • Donc si le plant nest pas supprimé avant qu'il
    ne produise
  • ses fleurs, celui-ci par pollinisation
    fera éventuellement germer
  • de nouveaux plants.
  • Par le fait, le réservoir de graines dans le
    sol ne cesse
  • daugmenter, car la majorité des
    plants peuvent compléter leur
  • cycle de vie et laisser tomber des
    milliers de nouvelles graines.
  • Après des dizaines dannées de contrôles
    mécaniques
  • nous pouvons en venir à la
    conclusion que le fauchage
  • noffre pas un contrôle efficace de lherbe à
    poux.
  • Faute de contrôle efficace, cette plante a su
    simposer au fil des
  • années et domine maintenant outrageusement les
    abords
  • routiers de presque la totalité de lAmérique du
    nord.
  • Face à ces problématiques, le développement
    d'alternatives
  • plus efficaces devient donc une priorité.

7
Le Pollen
  • La petite Herbe à poux contribue pour plus du
    tiers de la
  • quantité totale des pollens
    allergènes présents dans
  • lenvironnement. (Comptois et Gagnon
    1990)
  • Un grand nombre de personnes, plus de 10 de
    la population du
  • Québec, soit 850 000 Québécois, 2,3
    millions de Canadiennes
  • et de Canadiens ainsi que plus de
    10 millions d'Américains,
  • souffrent d'allergies saisonnières du
    mois de juillet au mois
  • doctobre. (Toupin 1992)
  • La production très abondante de pollen
    dAmbrosia et les
  • allergènes actifs qui le composent
    (antigènes E et K) font en
  • sorte quil provoque des réactions
    allergiques.

8
LIndice Pollinique-
  • Lindice pollinique
  • La mesure de la concentration de pollen dans
    lair, lindice pollinique, se fait à partir de
    capteurs de pollen. Différentes méthodologies
    sont employées pour effectuer le décompte des
    grains de pollens.
  • Des capteurs de pollens sont notamment situés à
    Montréal et à Québec et les résultats du décompte
    sont diffusés auprès de la population à titre
    dinformation préventive.

9
Capteur de pollen du Laboratoire dAérobiologie
10
Impact Social
  • Les réactions causées par ces allergies sont
    responsables de
  • 3 000 000 de jours dactivités
    restreintes.
  • 500 000 jours de repos au lit.
  • 400 000 jours d'absences au niveau scolaire
    ou professionnel.
  • Selon le Service de lEnvironnement de la CUM
  • Plus de 200 000 personnes de la Communauté
    Urbaine de
  • Montréal sont affectées par l'herbe à
    poux. (1998)

11
Impacts socio-économiques
ASTHME ALLERGIQUE Coût annuel dhospitalisation
au Québec 77 MILLIONS
ACHATS ANTIHISTAMINIQUES Au Québec Fièvre des
foins (août à octobre) 80 millions
10 -12 de la population Québécoise souffre
dallergies
12,47 des jeunes âgés entre 12 et 19
ans souffrent dallergies respiratoires
89 des Rhinites allergiques sont causées par
le POLLEN
12
Impacts socio-économiques
  • Lasthme au Québec
  • 831 décès annuels
  • 311 500 consultations en cabinet privé et
    clinique externe
  • 86 784 visites à lurgence
  • 25 000 journées dhospitalisation
  • Lasthme est responsable de quart des absences
    scolaires
  • Entre 5 et 10 de la population en souffre

13
RECHERCHE DÉVELOPPEMENT ÉVALUATION
POTENTIELLE DU PRODUIT ÉVALUATION ET VALIDATION
DE LA TECHNOLOGIE DAPPLICATION VALIDATION DES
BREVETS (PRODUIT ET TECHNOLOGIE) PROCÉDURE
DHOMOLOGATION FÉDÉRALE PRODUIT TECHNOLOGIE
VAPORISATIONS EXPÉRIMENTALES
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RECHERCHE DÉVELOPPEMENT (1998-2005)
  • Dr Alan Watson, Professeur Université McGill -
    Rapports de recherches
  • Dr A. Di Tommasso, Professeur U. Cornell, N.Y. -
    Rapports de recherches
  • Dr. Alain Meilleur, Professeur U de M - Rapport
    de recherche
  • M. Mario St Georges, Biologiste M.Sc.,
    G.R.E.B.E. Inc. - Aérobiologie
  • M. J - P Beaumont, Biologiste, MTQ Rapport de
    recherche
  • M. Malcolm Stewart, Consultant Homologation
    Fédérale
  • M. Aaron Spreng, Consultant Recherches
    Références


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(No Transcript)
16
  • VAPORISATIONS EXPÉRIMENTALES 2004-2005
  • OBJECTIFS
  • Choisir la meilleure technologie dapplication
    pour chaque type dinfestation tout en conservant
    lefficacité et la sélectivité de notre produit.
  • Compiler différentes statistiques relatives au
    rendement temporel des opérations de
    vaporisations.
  • Mesurer la viabilité économique des opérations
    pour les gestionnaires des zones infestées.
  • Développer une logistique dopération adaptée aux
    besoins des intervenants.
  • Établir un plan daction viable afin deffectuer
    dès la saison prochaine, une vaporisation à
    léchelle Provinciale qui servira de modèle à
    notre entreprise à léchelle Mondiale.

17
N o s p a r t e n a i r e s 2 0 0 4
-
  • Ministère
    des Transports du Québec M. Gilles Milette
  • Hydro
    Québec M. François Gauthier

  • Boisbriand M. Robert Langlois
  • Gatineau
    M. Frédéric Tremblay
  • Longueuil
    Arrondissement Brossard Mme. Thérèse Malo
  • Montréal
    M. Jean-Jacques Lincourt / M. Serge Valiquette
  • Québec
    M. René Pronovost
  • Repentigny
    Mme. Marjolaine Auger
  • Sorel /
    Tracy M. François Poitier
  • Terrebonne
    M. Jacques Beauchamp

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(No Transcript)
19
Aucun effet sur les graminées
20
Efficace Sélectif
21
Avant / Après , île DOrléans, MTQ
22
3 heures après
Avant
23
EFFICACITÉ SÉLECTIVITÉ 2004 Bilan
dobservation complété par nos partenaires
Municipaux. La compilation des fiches
d'observation démontre hors de tout doute que les
différentes techniques d'application utilisées
ont très bien fonctionnée malgré une intervention
tardive et un degré d'infestation élevé.
L'efficacité du produit est proportionnel à la
qualité et à l'uniformité de la vaporisation. Si
le produit est appliqué selon le mode d'emploi au
bon moment, les résultats sont parfaits. La
sélectivité du produit en général a été à l'image
des résultats dans le passé. Peu de végétaux sont
affectés par les applications, et la plupart
d'entre eux sont considérés comme des mauvaises
herbes.
24
VAPORISATIONS EXPÉRIMENTALES 2005

SÉLECTIVITÉ
AÉROBIOLOGIE
TECHNOLOGIES DAPPLICATION
25

AVEC LA COLLABORATION DE Dr. Alain
Meilleur Professeur à lUniversité de
Montréal Spécialiste en gestion de la végétation
26
VAPORISATIONS EXPÉRIMENTALES 2005 Volet
Sélectivité Ce volet expérimental proposé par
Santé Canada et lAgence de Réglementation de
Lutte Antiparasitaire (ARLA) est requis pour
obtenir lhomologation dun nouveau produit
écologique à venir, pour le contrôle des végétaux
indésirables à feuilles larges comme lherbe à
puce et le pissenlit. Le protocole de recherche
établi par lARLA (Santé Canada) consiste à
vérifier la sélectivité de nos produits sur
différentes espèces de graminées.
27

AÉROBIOLOGIE
AVEC LA COLLABORATION M. Mario St Georges
Biologiste M.Sc. G.E.R.B.E. Inc.
28
VAPORISATIONS EXPÉRIMENTALES 2005 VOLET
AÉROBIOLOGIE
Le volet expérimental daérobiologie mis en
place par HerbaNatur Inc. pour la saison 2005
consiste à prélever des échantillonnages à partir
de 6 capteurs de pollen et de mesurer le taux de
pollen produit par lAmbrosia sur différents
sites traités à laide de notre herbicide
écologique comparativement à des sites voisins
non-traités. Cet exercice a été répété sur 4
sites régionaux différents et un rapport sera
produit avec les différentes données qui auront
été récoltées au cours des mois de juillet, août,
septembre et octobre 2005.
29
STATIONS DAÉROBIOLOGIE 2005
30
TECHNOLOGIES DAPPLICATION EN COLLABORATION
AVEC Le Ministère des Transports du Québec ET 16
partenaires Municipaux

31

N o s p a r t e n a i r e s 2 0 0 5

  • Boisbriand
  • Châteauguay
  • Lévis
  • Longueuil
    Arrondissement Brossard
  • Longueuil
    Arrondissement St-Hubert
  • Longueuil
    Arrondissement St-Lambert
  • Ministère des
    Transports du Québec
  • Montréal
  • Otterburn Park
  • PortNeuf
  • Québec
  • Repentigny
  • Rosemère
  • Terrebonne
  • Trois
    Rivières
  • Victoriaville

32
  • Technologies dapplication 2005
  • Sept types de technologies d'application ont été
    utilisés
  • Jets Manuels (fusil pression longue portée)
  • Jets Manuels (applicateur de jardin de type
    Lesco)
  • Jet latéral fixe
  • Rampe de pulvérisation latérale ajustable
  • Double jets obliques
  • Triple jets latéraux à portée restreinte
    (prototype)
  • Rampe de pulvérisation hydraulique (MTQ)

33
Avant / Après (conférence de presse, Ville de
Lévis, 2005)
34
BILAN DES OPÉRATIONS EXPÉRIMENTALES
2005 Contrôle et suppression écologique de
l'Ambrosia Les opérations de dépistages et de
vaporisations sur le territoire de nos seize
partenaires Municipaux participants se sont
généralement bien déroulées. Nous avons acquis,
grâce à votre participation, énormément
d'expérience et de savoir - faire au cours de ces
opérations expérimentales. Plus de 5,000
kilomètres linéaires ont été inspectés, et en
grande partie, contrôlés avec succès. Plusieurs
situations survenues au cours de nos essais sur
le terrain, en contexte avec la performance et la
qualité de nos opérations, nous ont permis
d'ajuster sur - Ie - champ, certaines lacunes qui
avaient été observées. Nous avons supprimé
quantitativement plus d'herbe à poux au cours de
la saison 2005 que toutes les interventions de
contrôles effectuées dans les différentes
municipalités au cours des dix dernières années
réunies.
35
(No Transcript)
36
(No Transcript)
37
Conclusion Nous pouvons dorénavant compter sur
une technologie à l'image de notre produit. Il
est possible dès la saison prochaine d'accomplir
ce que l'on a désespérément tenté d'accomplir au
cours des 20 dernières années. En combinant
notre technologie au programme de gestion
intégrée et durable des dépendances vertes déjà
établie par la majorité des intervenants, la
suppression de l'Ambrosia à l'échelle Provinciale
et Nationale est dorénavant possible tout en
respectant notre environnement.
38
(No Transcript)
39
(No Transcript)
40
Produit Technologie
Marque de commerce breveté
Adios Ambros est un herbicide écologique pour le
contrôle et la suppression de lAmbrosia. Totale
ment naturel, il n'engendre aucun effet négatif
pour la santé publique et l'environnement. Il
est sélectif ayant ainsi la propriété de
sattaquer majoritairement aux plants dherbe à
poux. Il laisse ainsi intact la majorité des
autres végétaux.
41
Produit Technologie
Notre produit démontre une efficacité
remarquable. Nos rapports de recherches
présentés à Santé Canada afin dhomologuer notre
produit ainsi que les nombreux témoignages
apportés par nos partenaires de recherches sont
plus que concluants. Applicable par
vaporisation, il agit immédiatement au contact de
la plante. Quelques minutes après la
vaporisation, il est possible de constater
visuellement leffet du produit. 48 heures
seulement après lapplication du produit la
plante est totalement séchée et noircie.
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  • LE PLAN DACTION COLLECTIF PROVINCIAL
    (2006-2010)

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ASSOCIATIONS PRO ACTIVES Association de Lutte
Contre lAmbrosia (A.L.C.A.) Coalition
Alternative aux Pesticides (C.A.P.)
(Présentation 3 avril) Association Pulmonaire
DIRECTION DE LA SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC
(D.S.P.) La Table Québécoise sur lHerbe à
Poux (T.Q.H.P.) Membres de la table D.S.P. (1
représentant par région) INTERVENANTS
MUNICIPAUX (1 représentant par
région) ENVIRONNEMENT QUEBEC AGRICULTURE
QUÉBEC MINISTÈRE DES AFFAIRES MUNICIPALES M.T.Q.
C-N HYDRO QUÉBEC A.L.C.A.
ASSOCIATIONS RESPONSABLES MUNICIPAUX Fédération
Municipalités Québec (F.M.Q.) Union des
Municipalités du Québec (U.M.Q.) (Kiosque 27-28
avril) Association des Responsables dEspaces
Verts du Québec (A.R.E.V.Q.) Membre
(Présentation le 5 avril) Association
Québécoise Gestion de la Végétation (A.Q.G.V.)
Membre
INTERVENANTS GOUVERNEMENTAUX MUNICIPALITÉS MINIST
ÈRE DES TRANSPORTS C-N, HYDRO QUÉBEC
44
(No Transcript)
45
La Stratégie
  • La stratégie du plan daction collectif
  • Mobiliser les gestionnaires responsables de
    lentretien
  • des zones potentiellement infestées.
  • Localiser et cartographier les zones infestées
    avant ou
  • pendant la première vaporisation.
  • Préparer la logistique dapplication pour
    desservir
  • les régions affectées.
  • Observer le développement de la plante et
    respecter le début
  • de la fenêtre d'intervention.
  • Débuter la vaporisation lorsque 10 de la
    population locale
  • aura produit ses épis.
  • Vaporiser les zones infestées avant la
    maturation
  • des organes reproducteurs.

46
La Stratégie
  • La stratégie du plan daction collectif
  • Ajuster adéquatement le volume dapplication
    selon
  • le degré d'infestation.
  • Effectuer un suivi consciencieux de la
    qualité des vaporisations.
  • Vérifier quotidiennement la venue de nouveaux
    plants
  • dans les zones vaporisées.
  • Évaluer les possibilités deffectuer une
    deuxième vaporisation
  • si nécessaire.
  • Rédiger un rapport complet des observations
    recueillies.
  • Améliorer si nécessaire la logistique des
    opérations suite
  • à ce rapport.
  • Répéter rigoureusement toutes ces étapes année
    après année.

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Prévision des Résultats
  • En respectant les règles annoncées dans La
    Stratégie
  • du Plan dAction Collectif nous aurons
    l'opportunité de






  • Court terme - Réduire le
    taux de pollen considérablement
  • et ainsi
    soulager des milliers de gens et ce dès
  • la
    première vaporisation massive.
  • - Améliorer la
    logistique du Plan d'action collectif
  • - Localiser et
    mieux cibler les zones infestées.
  • Moyen terme - Après 5 ans, le
    réservoir de graines viables
  • dans le
    sol aura diminué denviron 10 à 15 .
  • - Les
    allergies au pollen de l'Ambrosia seront

  • histoire du passé.
  • - Le
    volume d'application nécessaire pour

  • contrôler les zones infestées devrait également

  • diminuer au fil des ans.

48
Prévision des Résultats
Long terme - Après 15 ans, le
couvert végétal environnant
devrait avoir pris la place
de l'Ambrosia.
- Après 20 ans presque la moitié du
réservoir
de graines viables dans le sol devrait avoir
été
épuisé. -
Après 40 ans, le réservoir de graines devrait

être presque épuisé.
- Des millions de gens vont mieux
respirer.
aura alors triomphé, Adieu Ambrosia !
49
CAMPAGNE THÉMATIQUE DU PLAN DACTION COLLECTIF
50
La mission de notre entreprise
Notre objectif Redonner à tous ceux qui
souffrent dallergies respiratoires, une
meilleure qualité de vie. Notre
engagement Offrir une technologie et un service
de premier ordre en harmonie avec notre
environnement.
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(No Transcript)
52
  • PÉRIODE DE QUESTIONS
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