Libralisation des mouvements de capitaux et crises financires - PowerPoint PPT Presentation

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Libralisation des mouvements de capitaux et crises financires

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Les fondements de l'explosion des mouvements internationaux de capitaux ... Dispositif prudentiel d'ad quation des fonds propres; adopt en 2004, sous le vocable de B le II ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Libralisation des mouvements de capitaux et crises financires


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Libéralisation des mouvements de capitaux et
crises financières
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Deux vagues de globalisation financière
  • Intégration financière forte fin 19è siècle
  • Fin du 20è siècle croissance des transactions
    financières internationales et des mouvements
    internationaux de capitaux.
  • Deux nouveautés
  • entrées nettes de capitaux dans les pays en
    développement
  • importance prédominante des flux privés.

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Les fondements de lexplosion des mouvements
internationaux de capitaux
  • libéralisation économique
  • multilatéralisation du commerce
  • dans les pays industrialisés
  • et dans les pays en développement.
  • révolution des technologies de l'information et
    des communications
  • transformation de l'industrie des services
    financiers à l'échelle mondiale.
  • les nouvelles technologies ? de plus en plus
    difficile pour les pouvoirs publics d'exercer un
    contrôle sur les flux de capitaux internationaux,
    à l'entrée ou à la sortie.

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Une évolution qui comporte des risques
  • Libéralisation des marchés de capitaux ?
    augmentation du volume et de la volatilité des
    flux de capitaux
  • phénomène en constante évolution et dans une
    certaine mesure irréversible.
  • Points positifs hausse de l'investissement,
    accélération de la croissance, amélioration du
    niveau de vie dans bien des pays.
  • Points négatifs coûteuses crises financières.

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Les risques
  • Les risques liés à la libéralisation des
    mouvements de capitaux transnationaux sont
    semblables à ceux de la déréglementation des
    institutions financières internes.
  • Toute la question est de savoir comment conduire
    la libéralisation de manière à en limiter les
    risques et à en tirer le maximum de bénéfice.

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Théorie 1 définitions
  • Les flux de capitaux dette, investissement de
    portefeuille, investissement direct (long terme)
    et placements immobiliers
  • flux d'un pays à un autre s'enregistrent au
    compte de capital et d'opérations financières de
    la balance des paiements.
  • Les sorties correspondent aux achats d'avoirs
    extérieurs par les résidents, qui remboursent en
    outre leurs emprunts à l'étranger
  • les entrées sont le fait d'étrangers qui
    investissent sur les marchés financiers du pays
    d'accueil, y acquièrent des propriétés
    immobilières, ou accordent des prêts aux
    résidents de ce pays.
  • déréglementer les mouvements de capitaux le
    fait de lever toutes les restrictions qui pèsent
    sur ces transactions, autrement dit de laisser
    les capitaux entrer et sortir du pays sans
    contrôle ni entrave.

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rappels
  • Système de retraites deux formes
  • Par répartition (pay as you go)
  • Par capitalisation (pension funds) fonds de
    pension
  • Risque variance, variabilité
  • Un titre risqué un titre (action ou une
    obligation) dont la valeur sur le marché peut
    augmenter beaucoup ou baisser beaucoup.
  • Rendement anticipé dun titre gain espéré par le
    détenteur du titre
  • Rendement espéré est lié au risque dune action

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Rappels suite
  • Diversification de portefeuille détenir des
    actifs sur des entreprises dans des secteurs
    différents, de pays différents et comportant des
    degrés de risque variés (bons du Trésor risque
    très faible projets innovants plus risqués)
  • Taux de croissance dune économie correspond à
    peu près au rendement moyen des investissements
    dans le pays

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Rappels suite1
  • Marché en concurrence parfaite efficacité
  • Concurrence parfaite
  • Atomicité
  • Transparence - information parfaite
  • Libre entrée
  • Homogénéité des produits

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Théorie 2 fonctions des mouvements de capitaux
  • la mobilité internationale des capitaux permet
    aux pays qui ont des ressources d'épargne
    limitées d'attirer des financements pour leurs
    projets d'investissement internes,
  • les investisseurs peuvent diversifier leurs
    portefeuilles
  • ? les risques sont plus largement répartis et
  • ?les échanges intertemporels -des biens
    aujourd'hui en échange de biens demain - s'en
    trouvent favorisés.

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Théorie 3 Lissage intertemporel
  • Les ménages, les entreprises et même des pays
    entiers peuvent emprunter lorsque leurs revenus
    sont faibles et rembourser lorsqu'ils sont élevés
  • lisser leur courbe de consommation.
  • atténuer les fluctuations du cycle économique
  • Exemple, en période de récession en évitant aux
    ménages et aux entreprises d'avoir à limiter trop
    radicalement leur consommation et leurs
    investissements, ce qui réduirait encore
    davantage la demande intérieure, lorsque la
    production et le revenu intérieurs ont chuté.

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Théorie 4 diversification des portefeuilles
  • En prêtant à l'étranger, les ménages et les
    entreprises peuvent diversifier les risques liés
    aux perturbations qui menacent uniquement leur
    propre pays.
  • Les entreprises peuvent se prémunir contre les
    coûts et les chocs de productivité en
    investissant dans des filiales réparties dans
    plusieurs pays.
  • La mobilité du capital peut ainsi permettre aux
    investisseurs d'obtenir des taux de rendement,
    corrigés du risque, plus élevés.
  • En retour, les taux de rendement plus élevés
    peuvent encourager l'épargne et l'investissement
    propices à l'accélération de la croissance
    économique

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Cas particulier Investissements Directs
Etrangers
  • Arguments en faveur de la libéralisation des
    entrées directes de capitaux
  • transfert de technologies
  • pratiques de gestion efficaces
  • les flux d'investissements directs sont moins
    sujets à des revirements soudains en cas de
    panique que les prêts bancaires.

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Théorie 5 problèmes d'information
  • la libre circulation des capitaux est-elle
    synonyme d'affectation efficace des ressources?
  • le fonctionnement des marchés financiers est
    faussé par le manque d'informations complètes
  • ? les transactions donnent souvent des résultats
    qui menacent la prospérité générale.
  • Sur les marchés financiers l'information est
    imparfaite - asymétrique
  • l'une des parties à la transaction (par exemple
    le responsable de l'instruction du dossier de
    prêt) a beaucoup moins d'information à sa
    disposition que l'autre partie (l'emprunteur, qui
    est plus enclin à prendre des risques).
  • antisélection, aléa moral et comportement
    grégaire.

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Théorie 6 Alea moral et sélection adverse -
définitions
  • Cadre principal - agent
  • Aléa moral, hasard moral risque lié à
    limpossibilité pour le principal dobserver
    laction de lagent.
  • Sélection adverse, anti-séléction risque lié à
    limpossibilité pour le principal dobserver les
    caractéristiques de lagent.

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Théorie 7 Alea moral sur les marchés financiers
  • un créancier ne peut pas vérifier si l'emprunteur
    investit dans un projet risqué ou complètement
    sûr, et si l'emprunteur est protégé par un statut
    de responsabilité limitée ou par d'autres formes
    de garantie,
  • il peut en résulter une quantité excessive
    d'investissements dans des projets risqués.
  • Le cas extrême de l'aléa moral se présente
    lorsqu'une entreprise ou une banque ayant une
    valeur nette négative emprunte afin de risquer le
    tout pour le tout, autrement dit investir dans
    une entreprise qui peut lui rapporter gros (et
    donc la sauver de la faillite), avec une faible
    probabilité de réussite.
  • À terme, les prêteurs finissent par refuser
    d'accorder du crédit, de sorte que la masse
    d'argent investie est inférieure à ce que
    demanderait la logique économique.

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Théorie 8 Alea moral suite
  • Autre risque créé par les garanties publiques
    accordées aux institutions financières.
  • Prêteur en dernier ressort
  • risque que les investisseurs s'attendent à être
    renfloués par l'État
  • et prennent des risques excessifs

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Théorie 9 antisélection
  • Les prêteurs ont des informations incomplètes sur
    la solvabilité - ou la qualité de la signature -
    des emprunteurs.
  • ? ils n'acceptent de prêter de l'argent à un
    certain taux d'intérêt que si ce titre reflète la
    qualité moyenne des entreprises (ou emprunteurs)
    qui émettent des titres.
  • Ce prix est en général inférieur au juste prix du
    marché pour les entreprises de haute qualité,
    mais supérieur au juste prix du marché pour les
    entreprises de faible qualité.
  • Les dirigeants des entreprises de haute qualité,
    réalisant que leurs coûts d'emprunt sont
    excessifs, évitent d'emprunter sur le marché.
  • Les seules entreprises qui souhaitent emprunter
    sont celles dont la qualité est moindre.
  • ? beaucoup de projets potentiellement rentables
    sont négligés
  • Mais les projets moins payants des entreprises de
    piètre qualité finissent par être financés
  • ? les ressources de léconomie ne sont pas
    employées à bon escient.

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Théorie 10 comportements grégaires
  • Les prêteurs peuvent être portés à se comporter
    de manière grégaire, c'est-à-dire à suivre
    aveuglément les actions de ceux qui, pensent-ils,
    sont mieux informés, par exemple à propos de la
    probabilité de faillite de telle ou telle banque.
  • gestionnaires de fonds qui imitent les décisions
    d'investissement d'autres gestionnaires
  • le comportement grégaire peut être  rationnel 
    lorsque les bénéfices obtenus par un agent optant
    pour une certaine ligne de conduite augmentent
    parce que d'autres agents adoptent le même
    comportement.
  • Par exemple, il se peut que les cambistes, pris
    individuellement, soient incapables d'épuiser les
    réserves de la banque centrale et de forcer la
    dévaluation de la monnaie, mais si un grand
    nombre de cambistes vendent simultanément, il se
    peut que la dévaluation se produise, moyennant
    quoi le premier agent qui a donné un ordre de
    vente est récompensé de sa décision.
  • ? risque d'amplifier les mouvements des prix et
    de précipiter des crises soudaines.

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Théorie 11 mesures daccompagnement
  • La libéralisation financière externe, comme la
    libéralisation interne, n'améliore l'efficacité
    que lorsqu'elle s'accompagne de politiques
    appropriées
  • permettant de limiter l'aléa moral et
    l'antisélection
  • et den circonscrire les conséquences.
  • politiques d'accompagnement surveillance et
    réglementation prudentielle
  • dispositif de prêteur en dernier ressort afin
    de circonscrire les perturbations pouvant mettre
    en danger l'ensemble du système.
  • adoption de normes internationalement reconnues
    de comptabilité, d'audit et d'information
    financière
  • gestion des sociétés selon des règles bien
    établies
  • protéger les investisseurs et les prêteurs de la
    fraude et des pratiques déloyales.

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Libéralisation des mouvements de capitaux et
crises financières-1
  • Risques liés à la libéralisation interne
  • intensifie la concurrence dans le secteur
    financier
  • rend les intermédiaires plus vulnérables aux
    conséquences des prêts irrécouvrables et des
    mauvaises pratiques de gestion.
  • les banques peuvent développer leurs activités à
    risques à un rythme qui dépasse de loin leur
    capacité de gestion.
  • les banques en difficulté peuvent risquer le
    tout pour le tout en s'engageant dans des
    projets d'investissement risqués avec l'aide de
    financements coûteux.
  • En donnant aux banques l'accès à des instruments
    dérivés complexes, elle peut compliquer
    l'évaluation du bilan des banques ainsi que la
    surveillance, l'évaluation et la limitation des
    risques, toutes tâches qui incombent aux
    autorités de contrôle.

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Risques de la libéralisation financière externe
  • Peut amplifier les effets de politiques
    malavisées.
  • Si les banques et leurs clients accumulent des
    dettes extérieures importantes sans couverture,
    une crise monétaire ou une dévaluation peuvent
    miner leur solvabilité.
  • Exemple années 1990, les banques des pays
    émergents ont emprunté en dollar à des taux
    dintérêt faibles pour prêter en monnaie locale à
    des taux dintérêt plus élevés. Quand les
    capitaux étrangers se retirent, monnaie locale
    dévaluée crise de solvabilité.
  • la libéralisation des mouvements de capitaux peut
    obliger les autorités à relever les taux
    d'intérêt brutalement pour défendre un taux de
    change fixe attaqué,
  • dangereux lorsque le système bancaire est déjà
    fragilisé.

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Risques ou avantages?
  • la libéralisation financière, qu'elle soit
    interne ou externe, rétrécit les marges et laisse
    moins de place aux pratiques douteuses de gestion
    ou de crédit.
  • les banques et les autres intermédiaires ont la
    possibilité de faire des profits en évaluant avec
    soin et en gérant prudemment des investissements
    à risques.
  • mais il devient plus facile d'exploiter de
    manière imprudente ou frauduleuse les nouvelles
    possibilités qui sont ouvertes.
  • Le fond du problème réside non pas dans la
    libéralisation financière, mais plutôt dans les
    lacunes de la surveillance et de la
    réglementation prudentielles.

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Considérations systémiques
  • Dans un monde idéal, ceux qui investissent
    assumeraient les risques liés à leurs
    investissements.
  • Les banques et les autres intervenants sur les
    marchés financiers feraient des choix
    d'investissement prudents et seraient forcés par
    leurs actionnaires et leurs clients à adopter des
    normes optimales de comptabilité, d'audit et
    d'information financière.
  • Dans le monde réel les techniques de gestion des
    risques sont déficientes,
  • les pratiques d'audit et de comptabilité ne sont
    pas optimales
  • d'autres distorsions nuisent gravement à
    l'aptitude des banques à gérer le risque
  • ? des règles prudentielles strictes peuvent
    jouer un rôle particulièrement important.

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La réglementation prudentielle
  • vise plusieurs objectifs
  • 1) inciter davantage les banques (et les autres
    intervenants sur les marchés financiers) à mieux
    reconnaître les risques qu'ils prennent
  • 2) permettre aux autorités de surveiller les
    courants qui pourraient menacer la stabilité du
    système, de manière à pouvoir corriger la
    situation si nécessaire.
  • Exemple encourage les banques à constituer des
    provisions pour l'éventualité où elles perdraient
    soudain accès aux financements extérieurs (à la
    suite, par exemple, d'une variation des taux
    d'intérêt mondiaux, ou d'une crise dans un pays
    voisin).

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La réglementation prudentielle aujourdhui
  • Dispositif prudentiel dadéquation des fonds
    propres adopté en 2004, sous le vocable de Bâle
    II
  • se substitue au ratio Cooke, conclu en 1987 et
    entré en vigueur en 1993.
  • le principe de base reste le même respecter un
    ratio de 8 des engagements bancaires pondérés
    sur le montant des capitaux propres
  • pour chaque 100 euros de crédit accordés, cette
    règle impose à la banque d'en financer au minimum
    8 euros sur ses fonds propres, les 92 euros
    restants pouvant provenir d'autres sources de
    financement comme les dépôts des épargnants, des
    emprunts effectués par la banque, des
    financements interbancaires, etc.
  • Mais lévaluation des actifs est affinée en
    fonction du risque supposé de chaque engagement
  • effets procycliques sur le crédit et lactivité
    économique.

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La banque centrale prêteur en dernier ressort
  • La banque centrale doit servir de prêteur en
    dernier ressort pour éviter la paralysie de
    marchés financiers à court de liquidités en cas
    de détresse générale.
  • Leçon de la crise de 1929
  • Mais cette fonction de garde-fou, bien
    qu'essentielle, crée aussi un aléa moral.

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Prerequisits à la libéralisation financière
  • 1. Léquilibre des fondamentaux
  • une bonne politique macroéconomique est
    essentielle pour que la déréglementation soit un
    succès.
  • gestion prudente des finances publiques déficit
    budgétaire, dette

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Prerequisits à la libéralisation financière
  • 2. assainissement du système bancaire
  • ne pas libéraliser le système bancaire intérieur
    ni l'ouvrir entièrement à l'intermédiation des
    entrées de capitaux lorsque des éléments
    importants de ce système sont insolvables ou
    risquent de le devenir par suite de la
    libéralisation.
  • En règle générale, éliminer les institutions non
    viables avant de libéraliser ou d'ouvrir le
    système bancaire intérieur.

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Prerequisits à la libéralisation financière
  • Régler les problèmes du système financier
    intérieur avant d'abolir les restrictions aux
    opérations financières internationales
  • Adopter des pratiques adaptées en matière de
    comptabilité, d'audit et d'information financière
    dans les secteurs des finances et des entreprises
  • Supprimer les garanties publiques implicites qui
    encouragent les comportements trop risqués
  • Améliorer la surveillance et la réglementation
    prudentielles des institutions financières et des
    marchés intérieurs.
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