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- (1062-1063)Thermocline une mince couche à
gradient thermique abrupte séparant deux autres
couches - Une couche superficielle
- lépilimnion ou zone limnétique
- bien éclairée,
- Une couche profonde
- Lhypolimnion,
- privée de lumière
-
2Page 5 46.7
- Fig 4 Stratification thermique dun lac
- Dans nos zones
- tempérées, les eaux franchissent le seuil
critique de densité à - 4 C
- 46.7 Dessinerla courbe
3Page 5
- Fig 4 Stratification thermique
- Ici exemple de thermocline océaniques, plus
profonds - Variation aussi
- au fil des saisons
4Page 5 46.7Courbe de densité de leauautre
graphique
5Page 6 46.8État de la stratification par
saison hiver
- Voir fig. 46.28 Campbell
- Hiver 0C en surface puis progression vers 4C
qui senfonce. - Pourrait-on avoir 2C au fond par réchauffement
de la croûte terrestre? - Non revoir notion densité!!
-
6Page 6 - 46.8État de la stratification par
saison printemps
- Voir fig. 46.28 Campbell
- Au printemps, la glace et leau qui passe de 0 à
4C senfonce avec oxygène et minéraux. - Le vent mélange les eaux. Les minéraux en
profondeur remontent pour le phytoplancton, et
renouvellement de O2 et de nutriments en
profondeur (zone aphotique). -
7Page 6 - 46.8État de la stratification par
saison été
- Voir fig. 46.28 Campbell
- En été, stratification thermique (thermocline)
- Les masses de densité différentes sont obstacle
au mélange. (épuisement de O2 et minéraux en
profondeur
8Page 6 - 46.8État de la stratification par
saison automne
- Voir fig. 46.28 Campbell
- En automne, la thermocline sélève à mesure que
leau refroidit. Nouveau brassage des eaux
(turnover), jusquau gel. - La stratification dhiver sinstalle alors
9Page 6 - 46.8État de la stratification par
saison synthèse (ici en degrés F)
- Memo 32F 0C
- 39C 4C
- Voir fig. 46.28 Campbell
- Hiver
- Printemps (brassage saisonnier anglais Turnover
- Été
- Automne brassage aussi
Hiver
Printemps
Été
Automne
Automne et printemps
10Page 8 Modèles daccroissement démographiques
47.1 Accroissement exponentiel-
- Dans un milieu idéal
- Ressources illimitées aucun facteur limitant
lénergie, la croissance et reproduction - Ex pour des bactéries qui se dupliquent tous les
20 minutes, - La population progresserait selon ce modèle de 1
à 2 puis 4, 8, 16, 32, 64, 128 etc. (2n
générations) - Cest le cas despèces opportunistes
- Voir fig 47.19 la population humaine
Campbell Fig.47.9 a) Voir texte p 1092
11Page 8 Modèles daccroissement démographiques
47.2 Accroissement logistique- En forme de S ou
sigmoïde
- Laccroissement logistique suppose que le milieu
limite le nombre dindividus - On appelle capacité limite du milieu le nombre
maximal dune population dindividus qui peuvent
vivre dans un milieu au cours dune période
relativement longue - Un départ approchant lexponentiel
- Un point dinflexion ou laccélération passe par
0, et laccroisssement diminue à mesure que la
taille approche la capacité limite du milieu
Campbell Fig.47.9 b) Voir texte p 1093-94
12Page 8 Modèles daccroissement démographiques
47.2 Laccroissement logistique
- Représente un modèle de la compétition
intraspécifique - Concurrence existant entre 2 individus ou plus
dune même espèce pour une même ressource
limitée. - Facteurs qui déterminent la capacité limite du
milieu - Cette ressource peut être nourriture, site de
reproduction, espace. - La capacité limite du milieu repose aussi sur
laccumulation des déchets
Voir Campbell p 1093-95
13Page 8 Modèles daccroissement démographiques
47.3 Types de fluctuations des populations
- Les populations à maturité (voisinage de la
capacité limite) peuvent - Demeurer relativement stable (ex nombre
dérables dun peuplement dérablière) - Fluctuer de façon -cyclique, éruptive,
décliner..voire séteindre.
Campbell p ??
14Page 8 Modèles daccroissement démographiques
47.3 fluctuations des populations Exemple de
population cyclique
- Voir diapo page 9 - 47.5 les interrelations
prédateurs proie
15Page 9 47.4 Facteurs de régulation de la taille
des populations
- Facteurs dépendants de la densité dont leffet
sintensifie à mesure que la population saccroît
(par réduction de natalité ou augmentation de
mortalité) - Exemples de facteurs extrinsèques Les
ressources alimentaires, les sites de
nidification (Fous de Bassan) La prédation
Voir Campbell p 1097-99
16Page 9 47.4 Facteurs de régulation de la taille
des populations
- Exemple de facteurs intrinsèquesLa souris à
pattes blanches extrême sud du Québec, même en
abondance de nourriture et de gîtes, eles cesse
daugmenter sa population au stade de 30-40
individus dans une parcelle
Voir Campbell p -99
17Page 9- 47.5 Cycles démographiquesRelations
prédateurs-proies Lièvre dAmérique et Lynx du
Canada
- Les cycles démographiques du lièvre dAmérique et
du lynx du Canada - On pense à tort que la population dune proie
dépend des prédateurs. On observe des cycles
semblables dans des îles sans prédateurs. De fait
linverse est plus probable, la population des
lynx ici serait davantage reliée à la population
des proies.
Voir Campbell fig. 47.18
18Page 9 -47.6Accroissement de la population
humaine
- Montée en flèche depuis la révolution
industrielle - Largement soustrait de sa sélection naturelle
- Stabilisation future par la voie de la dénatalité
ou mortalité massive?
Voir Campbell fig. 47.19
19Page 10Chap. 48 Lécologie des communautés
- Communauté ensemble des en interaction dans une
aire donnée. - 48.1 Alors que les interactions intraspécifiques
concernent les individus dune même espèce, les
interactions interspécifiques sont entre les
individus despèces différentes
Voir Campbell p 1108
20Page 10Relations interspécifiques
- une relation positive
- une relation négative
- 0 une relation neutre, sans effet
- -
-
0
21Page 10Relations interspécifiques
- Prédation relation où un animal (carnivore ou
herbivore), le prédateur, en dévore un autre,
appelé la proie (animal ou plante). (p1109) - Compétition (p1111) interaction entre deux
espèces ou plus dune communauté, qui font usage
des mêmes ressources limitantes.
Voir Campbell p 1109 1111
22Page 10Relations interspécifiques
- Prédation relation où un animal (carnivore ou
herbivore), le prédateur, en dévore un autre,
appelé la proie (animal ou plante). (p1109) - Compétition (p1111) interaction entre deux
espèces ou plus dune communauté, qui font usage
des mêmes ressources limitantes.
Voir Campbell p 1109 1111
23Page 10Compétition principe dexclusion
compétitive
- Principe Deux espèces ayant des besoins
semblables (i.e. même niche écologique) ne
peuvent cohabiter. - Lune saccapare des ressources et élimine
lautre de la communauté. - Illustration
Voir Campbell p1112
24Page 10Compétition principe dexclusion
compétitive
- Ci-haut deux espèces de Paramécies (P. aurelia et
P. caudatum) en culture distinctes avec constance
de bactéries atteignent touts deux la capacité
limite du milieu. - Cultivées conjointement (illustré en bas), P
aurelia se nourrit plus efficacement et élimine
P. caudatum de la culture.
Voir Campbell Fig.48.11
25Page 10La niche écologique
- Lensemble des conditions dans lesquelles vit et
se perpétue la population constitue la niche
écologique. - Cest plus que lhabitat, cest comme sa
fonction sociale ajoutée à son espace, son
mode de nutrition, son emploi du temps.
Voir Campbell Fig.48.11
26Page 10Les interactions symbiotiques
- Une symbiose est une interaction qui nécessite un
contact direct entre deux organismes despèce
différente. - Lun, dit lhôte , accueille lautre, le
symbionte. - Les types dinteraction symbiotiques
- Le commensalisme
- Le mutualisme
- Le parasitisme
Voir Campbell p 1115
27Page 10Le parasitisme
- Interaction nuisible pour lhôte au profit du
symbionte. - Lun des partenaires exploite lautre avec
nuisance. - On distingue
- des endoparasites (à lintérieurde lhôte)
(vers) - des ectoparasites à lextérieur(poux, sangsues,
moustiques)
Voir Campbell p -1116
28Page 10Le commensalisme
- Interaction ou lun des partenaires na aucune
influence sur lautre - Peu dexemples de commensalisme absolu
- Exemple du nid doiseau.
- Exemple du héron garde-buf(profit des insectes
levés par le bétail sans nuisance apparente -
Voir Campbell p 1117
29Page 10Le mutualisme
- Interaction ou les deux tirent profit de
lassociation
Exemple bactéries fixatrices dazote
(Rhizobium) et les légumineuses La bactérie
fournit une forme dazote assimilable à la
plante, et la plante en retour nourrit la
bactérie qui vit en nodules sur ses racines.
Le vacher qui se nourrit en débarrassant le
bétail de ses parasites La pollinisation
Voir Campbell p 1115
30Page 11La succession écologique
- Modification de la composition dune communauté
dans le temps
Lien à Campbell p 1121
31Page 11La succession écologique
- Climax stade relativement stable dans le temps,
qui sétablit à la fin dune succession
écologique - A ce stade, les conditions engendrées sont telles
que les espèces en place sont favorisées. - Exemple lérable à sucre
Voir Campbell p 1121
32Page 11La succession écologique
- Succession primaire débute en territoire
stérile (roche nue, roche mère, sans sol - Exemple sur lave après éruption volcanique
- Sur rocher ou matériaux stériles, après retrait
dun glacier
Voir Campbell p 1121
33Page 11La succession écologique
- Succession primaire débute en territoire
stérile (roche nue, roche mère, sans sol - Exemple sur lave après éruption volcanique
- Sur rocher ou matériaux stériles, après retrait
dun glacier
Voir Campbell p 1121
34Page 11La succession écologique
Voir Campbell p 1121
35Page 11La succession écologique
Voir Campbell p 1121
36Page 11La succession écologique
Voir Campbell p 1121
37Page 11La succession écologique
- Succession secondaire débute en territoire
après une perturbation, mais qui a laissé le sol
intact - Exemple une prairie abandonnée
- Feu de forêt
- Retrait des eaux après inondation prolongée (si
sol présent en sédiments)
Voir Campbell p 1121
38Page 11La succession écologique
Voir Campbell p 1121
39Page 12Écosystèmes
Voir Campbell p 1135
40Page 12Écosystèmes bioamplification
- Concentration des toxines aux niveaux supérieurs
des chaînes alimentaires
Voir Campbell p 1149