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Volatilit du prix des actifs et du taux de change. Contexte politique, ... Syst me bancaire bien capitalis (actifs du syst me bancaire = 330 ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Prsentation PowerPoint


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Le risque-pays au Liban
Shirley Rizk Jérémy Ghez Etienne Tellier
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2
Les risques au Liban
Enjeux des réformes
Conclusion
Introduction
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2
Les risques au Liban
Enjeux des réformes
Conclusion
Introduction
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Introduction rappel historique
  • Une des économies les plus dynamiques du
    Moyen-Orient jusquen 1975
  • 1975 1990 guerre civile opposant les
    différentes communautés religieuses libanaises,
    après la déstabilisation du pays par larrivée
    massive de réfugiés palestiniens.
  • Bilan à la sortie de la guerre
  • 150 000 morts, un quart de la population est
    déplacée, un cinquième sest expatrié (départ de
    nombreux hauts potentiels)
  • Destruction dactifs physiques estimée à 25
    milliards de dollars
  • Institutions publiques affaiblies, contrôle de
    la Syrie sur le Liban, occupation du Sud par
    Israël
  • Revenu par habitant divisé par 3 par rapport au
    niveau davant-guerre (1000 en 1990)
  • Depuis 1990
  • Reconstruction, endettement, tentatives
    damélioration de la situation économique
  • Affrontements quotidiens dans le Sud entre le
    Hezbollah et larmée israélienne, bombardements
    israéliens occasionnels dans dautres régions,
    jusquau retrait de Tsahal en 2000
  • Persistance du contrôle de la Syrie sur le pays

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Introduction contexte géographique
  • 10 000 km²
  • Capitale Beyrouth
  • Monnaie la Livre Libanaise
  • 3,7 millions dhabitants
  • 17 confessions différentes (principalement
    Musulmans chiites et sunnites, Chrétiens
    maronites et grec-orthodoxes, Druzes)
  • Une diaspora très importante, présente sur les
    cinq continents

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Introduction contexte économique
  • Reconstruction
  • Secteurs dynamiques secteur bancaire et
    tourisme, surtout depuis le 11 septembre. La
    place financière et commerciale de Beyrouth veut
    retrouver limportance quelle avait au
    Moyen-Orient avant la guerre.
  • Problème de la dette souveraine, que le pays ne
    semble pas pouvoir résoudre sans une aide
    internationale
  • Persistance du risque géopolitique

Le Liban présente des opportunités
dinvestissement intéressantes, mais subit de
nombreuses contraintes externes, qui font planer
sur léconomie un risque souverain et un risque
politique. Comment arbitrer au mieux ces
opportunités et ces risques ?
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Les deux temps de notre développement
1
2
Les risques au Liban
Enjeux des réformes
Conclusion
Introduction
Principe recherche dune méthode danalyse du
risque-pays, appliquée au Liban étape par étape
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2
Les risques au Liban
Enjeux des réformes
Conclusion
Introduction
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LES RISQUES AU LIBAN
Risque souverain
Risque politique
Risque de non-transfert
Risque de marché
Risque systémique
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Le risque souverain
  • Méthode dévaluation du risque souverain
  • Évolution du service de la dette remboursement
    du principal et paiement des intérêts
  • Composition de la dette dette bancaire
    /obligataire /interétatique, créanciers,
    maturité, taux dintérêt
  • Poids du service de la dette relativement aux
    indicateurs macro-économiques du pays, pour
    évaluer la soutenabilité de cette dette
  • Impact de la dette sur léconomie du pays (effets
    déviction, érosion de la confiance)

11
Le risque souverain évolution de la dette
  • En 1992, début de la reconstruction, le
    gouvernement doit emprunter. La dette représente
    40 du PIB.
  • En 1996, la dette atteint 80 du PIB alors que
    le PIB sest accru de 80 depuis 1990 gt problème
    de solvabilité
  • Après 1996, cercle vicieux de hausse du déficit
    budgétaire et de croissance plus lente gt hausse
    de la dette
  • En 2001, paiement des seuls intérêts 80 des
    revenus de lEtat gt Paris I.
  • 2003 première baisse du ratio dette/PIB depuis
    1990

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Le risque souverain composition de la dette
  • 35 de la dette libanaise est une dette de
    marché (obligations)
  • les principaux prêteurs étatiques sont la France
    et lArabie Saoudite
  • Plus de 50 de la dette est une dette en monnaie
    locale
  • Une partie importante de la dette est financée
    par des dépôts à court terme
  • En 2002, intérêts de la dette 18 du PIB. Taux
    dintérêt global 14 (agrégation de la dette en
    monnaie locale et en devise)
  • En 2003-2004, suite à Paris II, série de mesures
    pour alléger le service de la dette swap
    dEurobonds pour obtenir des taux plus bas et
    allonger la maturité de la dette.

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Le risque souverain poids de la dette
  • Le poids de la dette alourdit les déficits
    budgétaires (données ci-dessous en du PIB)
  • En 2001-2002, le paiement des intérêts de la
    dette absorbe 80 des revenus du gouvernement
    (supérieur au revenu fiscal)
  • En 2004, dette 42 des revenus de la balance
    courante (52 en 2003). La balance commerciale
    est déficitaire malgré une augmentation des
    exportations. Ce phénomène est compensé dans la
    balance courante par lafflux de capitaux
    étrangers.
  • Résultat un besoin de financement de 14 Mds
    en 2004. La Banque du Liban doit débloquer
    léquivalent de 14 du PIB, à un taux
    préférentiel de 4, pour aider le gouvernement.

14
Le risque souverain effets déviction
  • Le besoin permanent de refinancement de la dette
    a des effets déviction sur les emprunts du
    secteur privé. Or, la faiblesse des marchés de
    capitaux obligent les entreprises à emprunter
    pour investir (peu de possibilités de faire appel
    à lactionnariat)
  • Le service de la dette absorbe la majeure partie
    des revenus de lÉtat, et limite donc ses
    capacités dinvestissement.

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Le risque souverain conclusion
  • La dette libanaise est une des plus lourde au
    monde, relativement au PIB. Elle est classée B.
  • Le gouvernement libanais est un des seuls pays
    du groupe B à ne jamais avoir fait défaut.
  • Besoin dun important soutien extérieur pour ne
    pas étouffer sous le poids de la dette
    (rééchelonnement, baisse des taux)
  • Les perspectives pour 2005 sont optimistes
    baisse des taux dintérêt, équilibre budgétaire,
    hausse de la croissance, baisse du ration
    dette/PIB
  • Cependant, un équilibre fragile le
    refinancement de la dette repose sur la
    confiance, et la bonne gestion de la dette est
    elle-même un facteur crucial de confiance.

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Risque politique
  • Au Liban, une situation toujours complexe
  • communautarisme religieux
  • contrôle de la Syrie / front anti-syrien, quelle
    issue ?
  • crise politique
  • des disparités sociales très fortes
  • activités du Hezbollah, groupe fondamentaliste
    chiite.
  • Le Moyen-Orient, une région perturbée
  • guerre en Irak, conflit israélo-palestinien,
    litige du Golan
  • pression américaine sur la Syrie et lIran
  • terrorisme en Arabie Saoudite
  • risque damalgame de la part des investisseurs

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Risque de non-transfert
  • Méthode dévaluation du risque de non-transfert
    (incapacité de la Banque Centrale à transformer
    la monnaie locale en moyen de paiements
    internationaux, pour payer les importations, les
    intérêts de la dette en devise)
  • État des réserves de la Banque Centrale
  • Part de la dette en devises étrangères
  • Besoin structurel de financement (solde de la
    balance des paiements courants remboursement du
    principal de la dette)

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Risque de non-transfert
  • Réserves de la Banque Centrale
  • stabilisées à 10 Mds , soit 2 fois plus que la
    moyenne des pays du même groupe de risque
  • représentent 35 de la masse monétaire M3 gt
    capacité de la Banque Centrale à défendre la
    libanaise.
  • Part assez importante (mais décroissante) de la
    dette en monnaie locale, qui limite le risque de
    non-transfert
  • Besoin de financement 14 Mds en 2004, soit
    plus de 70 du PIB

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Risque de marché
  • Méthode dévaluation du risque de marché
  • Évolution du financement privé et
    désintermédiation
  • Volatilité du prix des actifs et du taux de
    change
  • Contexte politique, fragilité de la confiance

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Risque de marché
  • Taux dintermédiation bancaire élevé 86 du
    PIB gt effet stabilisateur
  • Crédit privé stable, pas demballement
  • Marchés boursiers peu développés, ce qui freine
    lactivité mais limite les risques liés à la
    volatilité
  • Risque de change très faible arrimage au qui
    reste cohérent selon le FMI
  • Inflation faible.
  • Problème le climat de confiance peut se rompre
    facilement, car il est subordonné à la gestion de
    la dette et aux évolutions politiques nationales
    et régionales.

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Risque systémique
  • Méthode dévaluation du risque systémique
  • Évolution du crédit
  • Sécurisation du système financier (réserves
    obligatoires, créances douteuses,
    provisionnement)
  • Interdépendances stratégiques entre les
    institutions financières

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Risque systémique
  • Risque de système important à prendre en compte,
    car le secteur bancaire libanais est très
    développé
  • Taux dintermédiation important
  • Évolution du crédit stable
  • Système bancaire bien capitalisé (actifs du
    système bancaire 330 du PIB), profitant des
    capitaux extérieurs provenant de la Diaspora et
    des pays du Golfe et de la croissance du taux
    dépargne au Liban (15 en 2003)
  • Proportion assez faible de créances douteuses,
    provisionnement satisfaisant
  • Lutte contre le blanchiment dargent
  • Problème dinterdépendance avec le gouvernement
    les banques libanaises détiennent des
    obligations dÉtat et participent au
    refinancement de la dette
  • Le cercle vertueux actuel est fragile car repose
    sur la confiance
  • Vulnérabilité aux chocs externes car 80 des
    prêts sont en devises étrangères, et croissance
    des investissements en obligations étrangères.

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Conclusion risque
Risque souverain
Risque de non-transfert
Problème de la confiance
Risque de marché
Risque politique
Risque systémique
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2
Les risques au Liban
Enjeux des réformes
Conclusion
Introduction
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Le rôle fondamental de létat de confiance
  • Vulnérabilité aux retournements rapides de
    situation, au volte-face de lopinion et donc
    possibilité dune dégradation rapide de létat
    financier.
  • Surveiller le niveau et lévolution des
    fondamentaux, pour évaluer la situation
    économique et financière dun pays, et se couvrir
    contre les risques.
  • Évaluer la confiance quont les marchés et les
    institutions internationales dans la politique
    menée par un pays jouera également un rôle
    prépondérant, même si le but nest pas de ne pas
    se calquer sur cette opinion.

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Quels efforts exercés par le Liban?
  • Un des indicateurs pertinents pour évaluer la
    confiance actuelle et future est leffort fait
    par le pays en question, afin dévaluer la
    crédibilité éventuelle dont il peut jouir.
  • Dans le cas du Liban, on observe une relative
    transparence des objectifs, clairement exprimés
    dans le cadre des négociations de rééchelonnement
    de la dette
  • Dans le cadre de Paris I, négociation des
    objectifs.
  • Dans le cadre de Paris II, renégociation de la
    dette et de laide financière extérieure.

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Les objectifs de Paris I
  • Quatre objectifs fondamentaux
  • Ajustement fiscal
  • Diminution de la dette publique
  • Privatisations
  • Réformes structurelles
  • Améliorer lefficacité globale de léconomie
  • Mais le tout reste fondamentalement difficile
    sans aide externe

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Les objectifs de Paris I
  • Lenjeu fondamental est laide externe.
  • Une preuve parmi dautres que les efforts sont
    reconnus.
  • Estimations faites en 2002 par les autorités
    libanaises.
  • Baisse de la dette publique en du PIB se fait,
    selon les estimations du gouvernement, bien plus
    rapidement.

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Les objectifs de Paris I
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Des réformes efficaces?
  • Se limiter aux simples effets dannonce et
    dintention nest pas réaliste.
  • Mais les efforts des autorités ont été reconnus
    par les institutions financières, car le Liban a
    obtenu de laide extérieure dans le cadre de
    Paris II.
  • Une réussite des réformes fiscales.
  • Mais une coordination des politiques fiscales et
    monétaires à améliorer.
  • Un programme de privatisation non amorcé.

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Le scénario actuel est globalement favorable.
  • En se fondant sur le modèle déquilibre de
    développement, une dynamique favorable peut mener
    à un équilibre satisfaisant.
  • Un scénario favorable
  • Des taux dintérêts en baisse
  • Un contexte politique et géopolitique stable
  • Une grande attraction des IDE qui financent le
    déficit courant
  • A court terme, le scénario favorable reste le
    plus probable.

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Mais à long terme
  • Dautres scénarios ne peuvent être écartés pour
    autant
  • Et ce dautant plus que les vulnérabilités
    restent évidentes
  • Un choc externe?
  • La politique de change?
  • La politique monétaire?
  • A moyen et long terme, les scénarios pour le
    Liban sont plus flous et plus risqués.

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1
2
Les risques au Liban
Enjeux des réformes
Conclusion
Introduction
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Court terme ou long terme?
  • Les obligations le placement porteur au Liban
  • Le gouvernement libanais na jamais fait défaut
  • Lendettement sest stabilisé sortie du cercle
    vicieux et on orientation vers un renouvellement
    de la dette. Ratio dette/PIB baisse depuis 2003.
  • Choix entre deux stratégies court terme et long
    terme
  • Linvestissement le plus porteur au Liban les
    obligations?
  • Le court terme est moins risqué au Liban
  • Tendance de fond augmentation de la part des
    titres en court terme sur le marché des
     émergents 
  • Cause durée maximale des crédits commerciaux non
    provisionnables 18 mois
  • Un déterminant-clé laversion au risque

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Obligations publiques ou privées?
  • Deux types dacteurs émettent des obligations au
    Liban, lÉtat et les entreprises
  • La dette est répartie de manière égale entre les
    entreprises et lÉtat
  • Les rendements des obligations sont comparables
    entre les 2 types de créanciers
  • Les Eurobonds publiques en février 2004
    Les Eurobonds privées en février 2004
  • Doù intérêt à acheter des obligations publiques?

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Obligations publiques ou privées?
  • Quelle évolution pour les obligations en 2005?
  • Avec léchéance des prochaines élections, risque
    dun rebond des dépenses publiques
  • Une reprise de laide en 2005 est compromise
    (retard dans la mise en place de réformes
    structurelles)
  • En 2003, swap dEurobonds suite aux accords de
    Paris II. En 2005 et 2006, les Eurobonds arrivant
    à maturité, besoin brut de financement important
  • Doù scénario probable nouvelles émissions
    dobligations publiques en 2005
  • Baisse probable du prix des obligations en 2005
  • Préférer attendre avant dacheter des obligations

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Les stratégies alternatives
  • Les obligations en devise locale?
  • Les placements en obligations auprès des
    émergents surtout en devises étrangères (80 des
    prêts au Liban)
  • Mais le marché des obligations en devises
    locales est en plein essor rendements et risques
    supérieurs ? choix entre les 2 dépend de
    laversion au risque
  • Les investissements directs en actifs illiquides?
  • Le potentiel de limmobilier
  • Les entreprises non cotées un potentiel?
    (privatisations prochaines)
  • Mais encore une fois, manque de données et
    risque

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Un contexte économique et politique risqué
  • Une situation économique et politique incertaine
  • Poids de la dette
  • Risque politique et incertitude sur le futur
    proche (contexte géographique, rôle de la Syrie,
    enjeux des prochaines élections)
  • Les réformes économiques tardent à être
    appliquées
  • Mais qui offre des opportunités dinvestissement
  • Stabilisation de lendettement, bonne gestion du
    problème de la dette
  • Reprise de la croissance
  • Plusieurs scénarios possibles
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