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Ni ici, Ni L -bas: Les Maisons qui s effrondent De Calixthe Beyala Ayo Abi tou Coly Doroteya Nikolova FR4101 Spring 2005 Dr. Cotille-Folley – PowerPoint PPT presentation

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Title:


1
Ni ici, Ni Là-bas Les Maisons qui seffrondent
De Calixthe BeyalaAyo Abiétou Coly
  • Doroteya Nikolova
  • FR4101
  • Spring 2005
  • Dr. Cotille-Folley

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Introduction
  • L'article examine la présentation d'Europe et
    Afrique dans  Cest le soleil qui ma brûlée ,
     Tu t'appelleras Tanga ,  Le petit prince de
    Belleville ,  Maman a un amant . Tous ces
    travaux représentent des écritures dans l'exil.
    Les quatre premiers romans peuvent être tombés en
    panne dans deux mouvements. Les deux premiers
    sont réglés dans lAfrique post-coloniale et
    offrent un coup d'oeil en arrière. Les deux
    dernier se déroulent en France. L'article avance
    que chaque mouvement montre une reformulation de
    lidée que Beyala a de la maison.

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(No Transcript)
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Ou est sa maison?
  • En exil volontaire du Cameroun, sa terre natale,
    Calixthe Beyala a choisi la France comme son
    espace d'articulation. Ce mouvement de l'ancienne
    colonie à l'ancien pouvoir colonial suscite la
    question de l'identité de la maison pour Beyala.
  • Lequel peut-on nommer maison la France le pays
    qui a colonisé votre terre natale et refuse
    calmement de reconnaître votre existence, ou
    lAfrique la patrie qui n'a pas rempli sa
    fonction nourrissante ?
  • Le déplacement de l'auteur a eu pour résultat une
    ambiguïté et une ambivalence vers l'idée de la
    maison qu'elle a exprimé dans son travail et ses
    entretiens.
  • Dans  La Poétique d'Espace , le phénoménologue
    français Gaston Bachelard définit la maison comme
    le site crucial d'une vie intime et un refuge.
    Bachelard utilise le terme espace heureux pour
    désigner la maison.

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La première étape et LAfrique
  • Il y a un contraste entre l'image du continent
    selon Beyala et la description de Bachelard de la
    maison comme un espace heureux. Les personnages
    dans ses deux premiers romans évoluent dans une
    Afrique frappée par la pauvreté et la corruption,
    un continent seffondrant.
  • Ainsi dans  Cest le soleil qui ma brûlée ,
    les habitants du Quartier Général, un taudis,
    sont peints de la manière suivante
  • Ils croupissent dans des maisons
    infestées de bestioles . . . Ils ne rentreront
    plus chez eux, ils attendront là, crevant la
    dalle avec des accès de fièvre nostalgiques et
    des diarrhées progressistes, se liquéfiant dans
    la crasse comme un morceau de chocolat au
    soleil. (96)
  •  Tu t'appelleras Tanga  se déroule dans un
    environnement similaire Partout des odeurs de
    poisson fumé, de bière, de cacahouètes et de
    morts de rats, mélangés, brassés dans
    l'écoeurement. Je chemine en méditant sur ces
    effluves de bouffe et de crasse.(98)
  • L'abondance d'images de pourrissement, le
    détritus, et la présence des nausées et des
    odeurs indiquent la condition désastreuse du
    continent.

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  • Les enfants du monde de Beyala sont nés dans une
    société où l'enfance est un luxe. Tanga fait
    référence à elle-même comme  femme-fillette 
    mais cette appellation s'applique à Ateba et à
    toutes les autres jeunes filles dans les deux
    romans qui sont vendues dans la prostitution.
    Jeunesse mutilé et persécuté est symptomatique
    d'une société mourant. Dans les deux romans, les
    parents abusent leurs enfants et leurs mères ne
    nourrissent pas. Tanga est violé par son père
    sous les yeux de sa mère qui pousse Tanga et sa
    plus jeune soeur dans la prostitution. Non
    seulement faire des filles manquent la protection
    de leurs mères, mais aussi les filles finissent
    par fournissant le soutien émotif et financier
    aux mères.
  •  Cest le soleil qui ma brûlée  et  Tu
    tappelleras Tanga  offrent une assortiment de
    preuve qu'Afrique est un monstre vorace et un
    continent mourant. Tandis qu'à la maison, dans la
    description de Bachelard, est un endroit où un
    hommes et une femmes trouvent le confort et
    nourrissent, les protagonistes de Beyala ne sont
    pas à l'aise dans leur environnement africain.
    Ils ne sont pas à à la maison.
  • Tanga et Ateba sont conduits au bord de folie par
    leurs environnements. Ateba cherche le refuge
    dans l'écriture de lettres aux femmes
    imaginaires. Les protagonistes sont attrapés dans
    une société qui apparaît comme un piège et ils
    essaient désespérément de s'échapper. Les mots
    récurrent échapper, oublier, mémoire,
    rêve, partir ,s'évader, et dormir indique
    que cette imagination joue un rôle important dans
    la survie des protagonistes. L'usage fréquent du
    temps futur dans les deux romans suggère une
    tentative pour échapper le cadeau sordide et
    sortir du continent.

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Le second étape et lexile
  • Avec le premier deux romans ayant projeté le
    continent comme un effondrer à la maison et
    Europe comme une maison provisoire, pas c'est de
    surprise qui le deuxième mouvement, transmis dans
    l'après deux romans, serait réglé en France.  Le
    petit prince de Belleville  et  Maman a un
    amant  nous prend dans la communauté d'immigrant
    en France. Tous ces immigrants sont venus en
    France à la recherche d'un meilleur avenir. Les
    deux romans nous introduisent au monde de Abdou
    Traoré, un immigrant de Mali qui habite avec ses
    deux femmes et les enfants dans Belleville, une
    communauté d'immigrant à Paris. Loukoum, Traoré
    fils de dix vieux par les années, raconte les
    deux romans avec Abdou et Mam respectivement
    comme le co-narrateur dans  Le petit prince de
    Belleville  et  Maman a un amant . Les deux
    romans décrivent les luttes de la famille de
    Traoré pour ajuster à leur nouvel environnement
    et être à l'aise en France. Comme Mam, la
    première femme de Abdou, déclare vigoureusement
    dans  Le petit prince de Belleville  Nous
    sommes ici chez nous. (13) Selon Abdou La
    fortune a ouvert ses ailes, lexil a commencé. Je
    suis venu dans ce pays tenu par le gain, expulsé
    du mien par le besoin.

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France la nouvelle maison
  • Ces espoirs de faire de France que leur nouvelle
    maison sont brisées comme nous voyons que les
    caractères dans les deux romans luttant pour
    faire un habiter décent et ajuster dans leur
    nouvelle communauté. Belleville est symbolique
    des rêves brisés de ces immigrants. Un ghetto
    d'immigrant dans les banlieues de Paris,
    Belleville montre la marginalisation des
    immigrants.
  • La restriction d'espace d'immigrant est plus
    ample soulignée par les références fréquentes
    quAbdou fait pour sa maison. Il la compare a un
    cercueil Dans cette pièce aussi vaste qu'un
    cercueil MA MAISON (77) L'image de cercueil
    indique aussi que cette maison, la maison
    française, n'est pas l'espace heureux que
    Bachelard affirme à la maison être. Les
    conditions vivantes de ces immigrants ne sont pas
    une amélioration majeure par-dessus leurs
    conditions vivantes dans Afrique comme décrit
    dans les autres romans de Beyala. Abdou Traoré
    partage un appartement de deux chambre à coucher
    dans un bâtiment sans un ascenseur avec ses deux
    femmes et quatre enfants. Ils manquent des
    nécessités fondamentales telles que gaz.

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La nostalgie
  • A travers les deux textes les références
    nombreuses au racisme de racisme et Le Pen un
    rappel constant de la xénophobie en France et du
    fait que France ne peut pas accueillir ces
    immigrants. Dans cet environnement hostile, Abdou
    sent profondément son exil. Donc le retour de
    l'exil de mot dans son discours, signifiant de
    cette façon qu'il n'est pas à à la maison mais
    dans l'exil Moi l'immigré, l'étoile exilée,
    j'avance la tête renversée. (Belleville 77)
  • La narration de Abdou révèle des rêves cassés et
    une nostalgie profonde pour Mali. Il est
    nostalgique pour le système patriarcal fort dans
    lequel il a habité et qui lui a assuré l'autorité
    illimitée par-dessus les femmes. Il s'est déplacé
    du centre aux marges. En France, il est
    transparent (81) et invisible Qui suis-je?
    Un immigré. Une bouche encombrante. Un courant
    qui passe. Je n'ai plus de repère.

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Abdou entre Afrique et France
  • Aussi, il ne peut pas ajuster aux changements
    dans les relations de sexe et aux rôles que cette
    relocalisation a causé Oh l'ami, la
    catastrophe a sonne a ma porte. Les femmes se
    sont vidées, à mon insu. Je ne reconnais plus la
    géographien du pays dessiné dans MA MAISON. . .
    .
  • Confronté avec son insignifiance sociale en
    France, Abdou souffre une défaillance
    psychologique. Dans Le petit prince de
    Belleville, il mentionne fréquemment des
    sensations de perte et de défaillance mentale
    Je suis perdu . . . Je suis envahi, l'ami, je
    me perds (197-98) et Je crois que je deviens
    fou (207) et finalement Je suis devenu fou
    (236). Comme Mam décide d'obtenir une éducation
    et devient plus vocal, Abdou se sent émasculé. Un
    renversement progressif de rôles de sexe arrive.
    Ayant perdu son travail, Abdou est limité à la
    sphère domestique et hérite le rôle de
    gouvernante, tandis que Mam obtient une
    éducation. Pris au piège dans la sphère
    domestique, Abdou devient féminisé et il souffre
    de boulimie.

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Mam entre LAfrique et France
  • L'Afrique dans le compte de Mam est une maison de
    prison pour les femmes africaines, tandis que
    France est la terre promise. La France est à la
    maison Et pourtant, l'enfant, la prison de
    nulle de que de pressentais de je le un de soit
    de ne de qui de n'existe la prairie de une de sur
    de donnant de temple. Bien que Mam semble
    manifestement mieux en France que dans Afrique,
    plus à à la maison en France que dans Afrique, il
    y a toujours un degré d'ambivalence vers sa
    nouvelle maison. Elle apprécie beaucoup de
    possibilités que France lui offre cependant,
    elle doit faire face au racisme qui n'elle permet
    pas appeler France à la maison. Donc
    l'effondrement de France comme une maison
    provisoire Lillusion est tombée. Le rêve
    sest effrité. Tous ces grands désirs, ces
    enthousiasmes, ces petites fiertés, tout est
    mort, pour toujours, a existé en vain. Me voici
    soudain femme nue. Abandonnée, stupéfaite, une
    femme nue qui veut comprendre, une pensée emplie
    de pierre dans ce cercueilma maison. . . .
  • Malgré sa désillusion suivant l'effondrement de
    la maison française, Mam pas le besoin pour
    rentrer à Afrique La peur dêtre
    réexpédiée en Afrique dans un bateau, dans une
    cale, là où crèvent les exilés.
  • Avec sa maison ni ici, ni là-bas, Mam est
    dans ses propres mots un oiseau apatride

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Calixthe Beyala un oiseau apatride
  • Par la représentation de Beyala d'Afrique, il
    paraît que le continent est un effondrer à la
    maison à elle. Cette représentation peut être lue
    comme une raison de son propre exil. A vrai dire,
    Beyala déclare dans son entretien avec Matateyou
    la terre de cette de devenir de va de Que le
    mourir de bientôt de va de qui ? Un peuple qui me
    le fait le honte la voiture nous le sommes les
    seuls au le pouvoir de pas de ne de à de monde
    nous en sortir. . . . L'Afrique est folle.
  • Ces déclarations qui dénigrent Afrique comme
    implique à la maison que France, où l'auteur a
    relogé comme, est à la maison le seul endroit
    pour habiter. Le mouvement de protagonistes de
    Beyala d'Afrique reflète en France le mouvement
    de Beyala d'Afrique en France. Commenter sur son
    expatriation, Beyala écrit   Jai quitté ma
    société pour la votre sans me retourner. Jai
    rompu mes chaînes et cétait fantastique comme la
    mort. 

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Conclusion
  • L'ambivalence vers France que les surfaces dans
    ces textes brisent la possibilité de France est
    la nouvelle maison. Cette ambivalence est
    perceptible dans Beyala aussi. Il semble que pour
    Beyala aussi, la maison française s'est
    effondrée. Dans elle interviewe plus tôt elle a
    loué les beaucoup de possibilités que France
    offre elle comme un écrivain. Par ses entretiens
    ultérieurs, Beyala documente la lutte
    quotidiennement comme un écrivain de femme
    africain en France, le dédain qui enveloppe
    l'écrivain noir en France, et l'image de
    sexualité qui est associée avec les jeunes
    noires. Elle ainsi se trouve le sans-abri, comme
    les immigrants qu'elle décrit. Belleville, la
    communauté d'immigrant où les deux romans sont
    réglés, symbolise la condition de ces immigrants.
    Belleville est un hybride. C'est ni France ni
    Afrique. Comme avec Belleville, la maison de
    Beyala de Calixthe est ni ici ni là-bas.

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Questions
  • Dapres vous ou est la vraie maison de Beyala?
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