Title: Le%20risque%20de%20maltraitance%20en%20
1Le risque de maltraitance en établissement
médico-socialmieux connaîtrepour mieux prévenir
- Palais des congrès d Antibes-Juan-les-Pins
- Jeudi 18 novembre 2004
2Pierre BreuilPréfet des Alpes-Maritimes
3Isabelle Donniopsychologue,directrice d un
service de soins,chargée d enseignement Ã
l E.N.S.P.
- Enjeux autour de la question des maltraitances,
définir pour connaître et comprendre
4Enjeux autour de la question des maltraitances
définir pour connaître et comprendre
- Isabelle Donnio
- Psychologue, directrice de SSIAD
- Enseignant-chercheur ENSP
- Antibes- 18 novembre 2004
5(No Transcript)
6Un concept et une interrogation récents
- 1990 Des travaux anglo-saxons présentés au
Conseil de lEurope - 1992 Apparition du mot  maltraitance dans le
dictionnaire de la langue française (ou 1987 pour
A.Rey) - 1995 création de la première antenne ALMA par le
Pr Robert Hugonot à Grenoble - Aujourdhui plus de 40 antennes ALMA
7Dune interrogation des professionnels à une
prise en compte des politiques
- 2001 Une première commission de travail
- Le rapport Debout avec 8 préconisations de lutte
et de prévention de la maltraitance envers les
personnes âgées - 2003 le comité national de vigilance
- 2004 la loi de Santé Publique inscrit le Plan
Violence et Santé
8Les enfants dabord, les vieux ensuite
- Une antériorité de la réflexion et des mesures
pour les enfants avec un Numéro dappel - Linsupportable pour les vieux napparaît que
plus tardivement - Dans une société aux valeurs en évolution
- Où lon naccorde pas la même valeur aux êtres en
fonction de leur âge
9Un concept qui conduit Ã
- Revisiter tous les aspects des politiques
gérontologiques - Reconsidérer la place de la personne âgée dans la
société - Analyser et revoir le regard que chacun porte sur
les vieux
10Une évolution rapide du concept
- De la notion de maltraitance
- À la promotion de la bientraitance
11Les limites du concept
- Un mot très (trop) utilisé aujourdhui
- Attention au risque dabus dusage du mot
- Mais un mot qui recouvre trop souvent les seules
violences physiques - Alors que les choses sont plus complexes
12Définir pour connaître, comprendre puis agir
- Eliane Corbet Il y a risque de violence
institutionnelle chaque fois que lon donne
prééminence aux intérêts de linstitution sur les
intérêts de la personneÂ
13La définition du Conseil de lEurope
- La violence se caractérise par tout acte ou
omission commis par une personne (ou un groupe),
sil porte atteinte à la vie, à lintégrité
corporelle ou psychique, ou à la liberté dune
autre personne (ou dun autre groupe) ou
compromet gravement le développement de sa
personnalité et/ou nuit à sa sécurité financière
14Les différentes formes de maltraitance
- Classification du Conseil de l'Europe (1992) ...
- Violences physiques coups, brûlures, ligotages,
soins brusques sans information ou préparation,
non-satisfaction des demandes pour des besoins
physiologiques, violences sexuelles, meurtres
(dont euthanasie).. - Violences psychiques ou morales langage
irrespectueux ou dévalorisant, absence de
considération, chantages, abus d'autorité,
comportements d'infantilisation, non-respect de
l'intimité, injonctions paradoxales...
15- Violences médicales ou médicamenteuses manque
de soins de base, non-information sur les
traitements ou les soins, abus de traitements
sédatifs ou neuroleptiques, défaut de soins de
rééducation, non prise en compte de la douleur...
- Négligences actives toutes formes de sévices,
abus, abandons, manquements pratiqués avec la
conscience de nuire - Négligences passives négligences relevant de
l'ignorance, de l'inattention de l'entourage
16- Privation ou violation de droits limitation de
la liberté de la personne, privation de
l'exercice des droits civiques, d'une pratique
religieuse.. - Violences matérielles et financières vols,
exigence de pourboires, escroqueries diverses,
locaux inadaptés..
17La maltraitance par inadvertance
- Celle dont nous pouvons tous nous rendre
coupables , à un moment ou à un autre, quelle que
soit notre compétence et notre bonne volonté,
dans nos attitudes et dans nos actes quotidiens - Peut-être la plus fréquente
- Exercée sans le vouloir
18- Favorisée par lignorance de ce quest le
personne âgée et ce que sont ces modes
dappréhension du monde, notamment les personnes
atteintes de la maladie dAlzheimer et des
troubles apparentés - Et par lépuisement des aidants
19Une appréciation difficile des situations Ã
risque car
- Les situations  maltraitantes ont un caractère
polymorphe - Avec une intrication entre domicile et
institution - Entre événements récents et histoire parfois très
longue - La maltraitance ne surgit pas sur nimporte qui,
ni dans nimporte quelles circonstances
20La nécessaire analyse pluridisciplinaire pour
- Mettre en mots la situation avant de la
caractériser - Considérer et décrire nos propres comportements
individuels et pratiques collectives - Et engager les mesures correctives adéquates (en
interne et en externe)
21Conforter la compétence gérontologique
- Vieillissement physique, sur un sujet unique, au
psychisme singulier, dans un environnement humain
et matériel particulier - Notions de handicap, incapacités, dépendances,
vulnérabilité - La spécificité des processus dégénératifs
22Mais aussi lorganisation institutionnelle
- En pensant la vie institutionnelle en terme de
projets - En renforçant la qualification des personnels
- En privilégiant les relations interpersonnelles
- En renforçant les transmissions
23La nécessité dun langage commun
- Que chacun, quelles que soient sa fonction et sa
position hiérarchique entende les mêmes concepts,
si possible dans le même temps - et développe une capacité danalyse des
situations problème autant quune vigilance
propre à dépister les risques et prévenir leur
survenue
24Pour un projet institutionnel
- Intégrant le questionnement sur la maltraitance
dans la structure institutionnelle - Dans lesprit présidant à la rédaction des
procédures - Dans létablissement des méthodes de transmission
- Dans lacceptation de la parole de tout agent
- Dans la substitution de lanalyse clinique au
jugement de valeur
25Rien nest jamais vraiment gagné!
- La prévention des maltraitances oblige à une
vigilance de tous les instants - À tous les niveaux
- Avec la plus extrême rigueur
- Et la plus grande des modérations
26Isabelle Donniopsychologue,directrice d un
service de soins,chargée d enseignement Ã
l E.N.S.P.
- Enjeux autour de la question des maltraitances,
définir pour connaître et comprendre
27Michèle GUEZGérard MARIinspecteurs de l action
sanitaire et sociale
- Données statistiques sur le phénomène de la
maltraitance en établissements médico-sociaux
28Prévention et lutte
- contre la maltraitance des personnes vulnérables
29Les axes prioritaires de la politique de lutte et
de prévention de la maltraitance
- Mieux contrôler
- Mieux connaître pour mieux prévenir
- Respect des droits des usagers et amélioration
continue de la qualité
30Mieux connaître pour
31Renforcer les procédures de signalement
Circulaire n 2002/265 du 30 avril 2002
- Prévention des situations de maltraitance
- Rappeler lobligation de signalement à la DGAS
- Améliorer le traitement des signalements,
- Conduire des enquêtes administratives
- Assurer la protection juridique des personnes
32Progression des signalements entre 2001 et 2003
33Signalements de maltraitance dans les
établissementssociaux et médico-sociaux 2002
34219 signalements de violences et maltraitances
3582 des signalements concernent les
établissements accueillant des personnes
handicapées, 52 accueillent des mineurs
36Nature des maltraitances
11
Violences sexuelles
12
Violences physiques
Violences physiques
atteintes sexuelles
7
Négligences graves
Évocation de
maltraitance, autres
48
22
37Nature des maltraitances signalées dans les
établissements accueillant des personnes âgées
38Les auteurs présumés de maltraitance
59
39Le personnel incriminé
Éducatif, pédagogique et social
13
Médical, paramédical
16
Cadre de direction
48
Personnel technique
23
40Établissements pour personnes âgées le personnel
incriminé dans plus de 9 cas sur 10
41Établissements pour mineurs handicapés 50 des
auteurs présumés sont des co-résidents
42Origine du signalement(tous établissements)
Personnel
Victime
Famille
Autres
18
43Les suites administratives
44Suites judiciaires
15
85
45LES OUTILS DE CETTE POLITIQUE
- Sensibiliser et informer le public
- Renforcer les procédures de
- signalement
- Améliorer le traitement des plaintes
-
- Développer les réseaux daccueil, de
- traitement et de suivi des situations
- de maltraitance
-
- Former les professionnels
-
-
46Michèle GUEZGérard MARIinspecteurs de l action
sanitaire et sociale
- Données statistiques sur le phénomène de la
maltraitance en établissements médico-sociaux
47Annelise BLETTRYjuristeconseillère technique de
l URIOPSS PACA Corse
- De la reconnaissance à l application concrète
des droits des personnes à travers la loi du 2
janvier 2002, quelle place donnée à la prévention
de la maltraitance ?
48Catherine Marand-Fouquethistorienne,membre du
comité de rédaction de CLIO, histoire, femmes et
sociétésprésidente d ALMA 13
- Les maltraitances au regard de l histoire
49 BON APPETIT
50Table ronde animée par Dr. Monique
Piteau-Delord,directrice du CREAI PACA
Corseavec Philippe Regior, directeur général,
AFPJRDr. Fabien Josseran, médecin coordonnateur
général, CCAS de Nice Dr. Brigitte Haist,
médecin territorial, conseil généralRoger
Aublet, inspecteur hors classe, DDASS
51Table ronde animée par Dr. Monique
Piteau-Delord, directrice du CREAI PACA Corse
avec Philippe Regior, directeur
général, AFPJRDr. Fabien Josseran, médecin
coordonnateur général, CCAS Nice Dr. Brigitte
Haist, médecin territorial, conseil
généralRoger Aublet, inspecteur hors classe,
DDASSinvités usagers Danielle Laboz,
responsable de développement dAlmazurM et Mme
BESLAY, parents dun travailleur handicapé .
52Table ronde animée par Dr. Monique
Piteau-Delord, directrice du CREAI PACA Corse
avec Philippe Regior, directeur
général, AFPJRDr. Fabien Josseran, médecin
coordonnateur général, CCAS Nice Dr. Brigitte
Haist, médecin territorial, conseil
généralRoger Aublet, inspecteur hors classe,
DDASSinvités professionnelsDr. Annick
Bousquet, praticien hospitalier, psychiatre des
hôpitaux, CH Ste Marie et MAS St Antoine ( APREH
)Marion Strater, psychologue, infirmière EHPAD
lOlivier à LEscarèneMansoureh Taffazzoli,
responsable de la vie sociale, maison de retraite
Croix Rouge Russe de Nice
53 Service de la vie sociale un outil de
prévention des risques disolement socialÂ
( intervention de Mme Taffazzoli )
54Problématique
- LInstitution accueille de plus en plus de
personnes âgées - souffrant disolement social
- atteintes de la maladie dAlzheimer
- porteuses de démences
- présentant une détérioration mentale
- Porteuses dun ou plusieurs handicaps sociaux,
physiques - et / ou psychologiques.
55- Les professionnels
- observent la façon dont les comportements de ces
personnes se diversifient et se détériorent - vivent des moments de désarroi
- Sont en interaction permanente avec le résident
et de ce - fait ils peuvent renforcer le mal être de ce
dernier - éprouve un sentiment de dispersion, de doute,
de désorganisation et de paralysie dans
laccomplissement dacte professionnel.
56Comment caractériser ce moment ?
- Privé de ses outils habituels, le professionnel
se pose la question de la légitimité de ses
actions. Il sinstalle dans - un sentiment disolement
- Baisser les bras
- Tenter de répondre à la violence par la violence
- Tenter de sapproprier son acte professionnel
par la recherche de réponses adaptées auprès de
léquipe professionnels.
57Vers quelle piste de travail peut-on sorienter ?
- Se former et sinformer aux spécificités des
personnes accueillies - Participer à des rencontres formalisées comme les
- entretiens dexplicitations avec les
responsables de service - Définir les axes de travail, les objectifs Ã
atteindre - Développer ses capacités dobservation et
danalyse des comportements - Se donner une méthode de résolution de problème.
58 Quelle Méthode ?
- Travailler en équipe à deux niveaux
- en équipe pluridisciplinaire
-
- en groupe homogène de travail.
59outils
- Mise en place des projets de vie sociale
individualisés
60Projet de vie sociale
- Il est défini comme un projet
daccompagnement de la personne dans les
domaines social, culturel et psychologique. - Objectifs
- Maintien des liens sociaux avec lextérieur
- Développement de lexpression des personnes, Ã
lintérieur de létablissement. - Il sinscrit dans la politique de
linstitution avec plusieurs axes - 1) Maintien de lautonomie individuelle de la
personne 2) Intégration sociale et
institutionnelle 3) Promotion des capacités
individuelles.
61Acteurs
- Directeur
- Personnel du service vie sociale
- Personnel du service soins
- Personnel du service Hébergement
- Personnel du service administratif
- Service généraux
- Personnel du service restauration.
62Actions
- Différentes formes
- Accompagnement lors des toilettes
- Activités et ateliers créatifs et artistiques en
partenariat avec les artistes (Jean Mas) - Activités physiques
- Activités récréatives.
63Conclusion
- Projet de vie un outil de prévention du risque
de maltraitance en permettant d assurer, par sa
fonction - une coordination et des prises de décisions
concertées - une mobilisation de léquipe autour de la vie
sociale - des résidents . Rompre lisolement du
personnel.
64Conclusion ( suite)
- une participation des résidents aux solutions
- une participation plus importante des familles et
- de lentourage non familial
- une valorisation du travail du personnel
- une autre vision de linstitution et des
personnes âgées. -
65Table ronde animée par Dr. Monique
Piteau-Delord, directrice du CREAI PACA Corse
avec Philippe Regior, directeur
général, AFPJRDr. Fabien Josseran, médecin
coordonnateur général, CCAS Nice Dr. Brigitte
Haist, médecin territorial, conseil
généralRoger Aublet, inspecteur hors classe,
DDASSinvités professionnelsDr. Annick
Bousquet, praticien hospitalier, psychiatre des
hôpitaux, CH Ste Marie et MAS St Antoine ( APREH
)Marion Strater, psychologue, infirmière EHPAD
lOlivier à LEscarèneMansoureh Taffazzoli,
responsable de la vie sociale, maison de retraite
Croix Rouge Russe de Nice
66Table ronde animée par Dr. Monique
Piteau-Delord, directrice du CREAI PACA Corse
avec Philippe Regior, directeur
général, AFPJRDr. Fabien Josseran, médecin
coordonnateur général, CCAS Nice Dr. Brigitte
Haist, médecin territorial, conseil
généralRoger Aublet, inspecteur hors classe,
DDASSinvités institutionnelsFlorence Maia,
directrice de létablissement pour enfants et
adolescents polyhandicapés  Henri GermainÂ
(Fondation Lenval)Hubert Naasz, directeur de
lEHPAD LOlivier à LEscarèneJean-Marc De
Thillot, directeur de lEHPAD Croix Rouge Russe
de Nice
67Un outil de prévention des risques de
maltraitance le Dispositif Institutionnel
Mendel
( Intervention de M. De Thillot )
68- Une démarche innovante pour la mise en place dun
plan de prévention - 1. Le Dispositif Institutionnel
- Le dispositif institutionnel est constitué de
groupes homogènes de métier qui permet aux
personnes qui les composent daborder ensemble ce
quils ont en commun dans leur acte professionnel
et dune manière générale, tout ce qui concerne
leur vie quotidienne au travail. - 2. Le développement de la communication dans
l Etablissement réunion du point du jour,
réunion résident, réunion soins, réunion cadres...
69Problématique
- Lisolement social des personnes âgées en
institution
70- La fonction du Dispositif Institutionnel en tant
que moyen de communication est de libérer la
parole qui est porteuse de sens au sein de
lEHPAD de la Croix Rouge Russe .
71Les raisons majeures de cette démarche
- La réglementation
- Les exigences des clients
- les référentiels de bonnes pratiques de
prévention de la maltraitance et de bientraitance
élaborés par la profession
72La question
- Le Dispositif Institutionnel est-il un outil de
prévention de la maltraitance ?
73Hypothèses
- Le Dispositif Institutionnel serait un outil
nécessaire à la libération de la parole porteuse
de sens et contribuerait à la prévention de la
maltraitance et à lamélioration continue de la
qualité du service rendu aux usagers. - Il serait aussi un outil de pilotage permettant
d assurer par sa fonction une coordination entre
les acteurs des différents services.
74Méthodologie
- Le Dispositif Institutionnel est constitué de 8
groupes homogènes, 6 groupes de salariés, 1
groupe résident et 1 groupe famille - Les thèmes abordés font lobjet dune
concertation intra-groupe et relèvent de
lintérêt commun des membres parce quils sont
traités selon le même angle dexpérience de la
vie institutionnelle - Ces thèmes sarticulent autour des difficultés
rencontrées sur les conditions de travail, la vie
des résidents dans linstitution et de
propositions - Synthèse rédigée par chaque groupe et communiquée
au Comité de Pilotage - Réponse argumentée du Comité de Pilotage à chaque
groupe - 4 rencontres par an encadré par un membre de
lADRAP.
75- Conclusion
- Le Dispositif Institutionnel Mendel (DI) a pour
objectif daccompagner le mouvement
dappropriation de lacte de travail permettant
une réflexion du salarié à lintérieur de
 groupes homogènes de métier . - Le DI est un outil de management au service de la
qualité et a une application effective dans le
cadre de la lutte contre la maltraitance.
76- Le Dispositif Institutionnel
- Est un dispositif au long court
- Permet le développement de la psychosocialité
- Développe la responsabilisation des
professionnels, leur capacité à réfléchir, Ã
négocier de manière argumentée - Améliore le climat social
- Sinscrit durablement dans lorganisation
- Rompt lisolement des familles et les fait
participer à la vie de leur proche - Permet aux résidents de sapproprier leur lieu de
vie - Est un outil de management de qualité qui se
réalise avec peu de moyen.
77Table ronde animée par Dr. Monique
Piteau-Delord, directrice du CREAI PACA Corse
avec Philippe Regior, directeur
général, AFPJRDr. Fabien Josseran, médecin
coordonnateur général, CCAS Nice Dr. Brigitte
Haist, médecin territorial, conseil
généralRoger Aublet, inspecteur hors classe,
DDASSinvités institutionnelsFlorence Maia,
directrice de létablissement pour enfants et
adolescents polyhandicapés  Henri GermainÂ
(Fondation Lenval)Hubert Naasz, directeur de
lEHPAD LOlivier à LEscarèneJean-Marc De
Thillot, directeur de lEHPAD Croix Rouge Russe
de Nice
78Catherine Marand-Fouquethistorienne,membre du
comité de rédaction de CLIO, histoire, femmes et
sociétésprésidente d ALMA 13
79Danielle Pinatdirectrice départementale
desaffaires sanitaires et socialesdes
Alpes-Maritimes
80 BON RETOUR