Rectum et anus - PowerPoint PPT Presentation

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Rectum et anus

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Cylindre de 15 18 cm de long: portion terminale du tube digestif. Diam tre variable, ... Appareil long de 15 25 cm. Examen limit par la douleur. Une biopsie rectale peut tre ... – PowerPoint PPT presentation

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Transcript and Presenter's Notes

Title: Rectum et anus


1
Rectum et anus
  • DCEM 1

www.proktos.com
fanny.dufour_at_jvr.aphp.fr
2
Anatomie du rectum
  • Entre le côlon en haut et l'anus en bas
  • Cylindre de 15 à 18 cm de long portion terminale
    du tube digestif
  • Diamètre variable, étroit au niveau de sa
    jonction avec le côlon sigmoïde, plus large
    ensuite
  • En avant du plan osseux constitué par le sacrum
    et le coccyx
  • En arrière de l'appareil uro-génital (vessie,
    prostate chez l'homme, et vagin et utérus chez la
    femme).

3
Anatomie du canal anal
4
INTERROGATOIRE Les signes fonctionnels
  • PATHOLOGIES RECTALES
  • Rectorragies
  • Syndrome rectal
  • Ténesme
  • Epreintes
  • Faux besoins
  • PATHOLOGIES ANALES
  • Rectorragies
  • Douleur anale
  • Prurit anal
  • Suintements
  • Tuméfaction anale

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Rectorragies
  • Emission de sang rouge par l'anus
  • Discuter une coloscopie totale pour en
    connaitre lorigine
  • Mode dapparition, quantité
  • !!! Si abondant ou déglobulisation penser à
    lulcère gastroduodénal
  • ? méléna Selles noires, avec odeur nauséabonde
    caractéristique, correspondant à l'émission de
    sang digéré par l'anus.

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Syndrome rectal
  • Ténesme tension douloureuse et inefficace qui
    accompagne et suscite les efforts de défécation
  • Epreintes douleur abdominale de type colique
    saccompagnant dune contraction douloureuse et
    répétitive
  • Faux besoins Envie impérieuse de déféquer
    n'aboutissant qu'à l'évacuation de déjections
    pathologiques afécales

7
EXAMEN CLINIQUE du rectumle toucher rectal
  • En décubitus dorsal, cuisses fléchies en
    demandant au malade de pousser pour mieux
    explorer la face postérieure et la partie haute
    du rectum
  • Palpe
  • Tonus et contraction volontaire de l'appareil
    sphinctérien
  • La moitié inférieure du rectum (tumeur,
    ulcération)
  • Prostate chez l'homme, col utérin chez la femme
  • Cul-de-sac de Douglas
  • Authentifie les rectorragies

8
EXAMEN CLINIQUEde la marge anale
  • Préférer la position genu-pectorale
  • Parfois le décubitus latéral gauche

9
EXAMEN CLINIQUE de la marge anale
  • Inspection de la marge anale
  • Les mains gantées on écarte les fesses, déplisse
    lanus

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EXAMEN CLINIQUE COMPLET
  • Orienté selon la pathologie suspectée
  • Etat général du patient
  • Recherche d'adénopathies inguinales

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EXAMENS COMPLEMENTAIRES
  1. Anuscopie
  2. Rectoscopie au tube rigide
  3. Recto-sigmoïdoscopie au tube souple
  4. Echoendoscopie
  5. Défécographie
  6. Manométrie
  7. IRM pelvienne

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Anuscopie
  • Examen de la muqueuse du canal anal et du bas
    rectum
  • Pas de préparation
  • Contre indiquée en cas de contraction douloureuse
  • Peut être fait en consultation

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Visualisation de la muqueuse du bas rectum
14
2. Rectoscopie au tube rigide
  • Exploration du rectum jusqu'à la charnière
    recto-sigmoïdienne
  • Peut être pratiquée sans préparation ou après une
    préparation par mini lavement.
  • Appareil long de 15 à 25 cm
  • Examen limité par la douleur
  • Une biopsie rectale peut être effectuée.

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3. Recto-sigmoïdoscopieau tube souple
  • Exploration du rectum et du sigmoïde
  • Préparation par lavements évacuateurs
  • Pas d'anesthésie
  • Examen limité par la douleur et la présence de
    matières fécales

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4. Echoendoscopie
  • Exploration de la paroi rectale, de lappareil
    sphinctérien et des organes de voisinage
  • Utilisation dune sonde endoanale.
  • Lanneau hyperéchogène sphincter externe
  • Lanneau hypoéchogène sphincter interne

17
?
?
18
Rupture latérale gauche du sphincter interne et
aspect cicatriciel du sphincter externe en
regard.
Trajet fistuleux avec orifice interne antérieur.
19
5. Défécographie
  • Imagerie dynamique avec opacification du rectum
    et du canal anal
  • Recherche d'anomalies fonctionnelles ou
    anatomiques anorectales et du plancher périnéal

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6. Manométrie
  • Mesure du tonus sphinctérien basal (sphincter
    interne)
  • Contraction volontaire (sphincter externe)
  • Réflexe recto-anal inhibiteur
  • Utile essentiellement en cas d'incontinence anale

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7. IRM pelvienne
  • Coupes dans les trois plans de lespace.
  • Séquences en T2 différencient bien lappareil
    sphinctérien interne du sphincter externe
  • Actuellement recherche de fistule et bilan
    dextension du cancer du rectum
  • Avenir Séquences dynamiques en plein
    développement devrait permettre de mieux
    comprendre les troubles de la statique pelvienne

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PATHOLOGIE RECTALE
  • Tumeurs bénignes
  • Polype adénomateux
  • Tumeur villeuse
  • Tumeurs malignes Adénocarcinomes
  • Rectites
  • Maladies inflammatoires chroniques de lintestin
  • Rectocolite hémorragique
  • Maladie de Crohn
  • Infectieuses ou parasitaires
  • Traumatismes
  • Fécalome

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1. Tumeurs bénignespolypes et tumeurs villeuses
24
2. Tumeurs malignes Adénocarcinomes
  • Tumeur maligne
  • Altération de l'état général
  • Troubles du transit
  • Rectorragies, anémie
  • /- Douleur abdominale
  • Toucher rectal
  • Tumeur dure
  • Saignant au contact
  • Niveau par rapport à la marge anale

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3. Rectites
  • Maladies inflammatoires chroniques de lintestin
  • Rectocolite hémorragique
  • Maladie de Crohn
  • Infectieuses
  • Médicamenteuses
  • Caustiques
  • Radiothérapie

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4. Fécalome
  • Sujets âgés
  • Affections neurologiques ou sous médicaments
    neurotropes
  • Sujets en décubitus prolongé.
  • Syndrome subocclusif, une dysurie, une
    incontinence fécale ou des manifestations
    douloureuses pelviennes de type de coliques
    expulsives .
  • Diagnostic Toucher rectal
  • Ulcération thermométrique
  • Corps étranger

5. Traumatismes
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PATHOLOGIE ANALE
  1. Maladie hémorroïdaire
  2. Fissure anale
  3. Abcès de la marge anale
  4. Fistule anale
  5. Prurit anal
  6. Incontinence anale
  7. MST
  8. Cancer de lanus

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1. Maladie hémorroïdaire
  • Ensemble des complications liées aux dilatations
    veineuses sous muqueuses (hémorroïdes internes)
    ou sous-cutanées (hémorroïdes externes).

Pas de parallélisme anatomoclinique entre les
symptômes liés aux hémorroïdes internes et
externes
Hémorroïdes internes
Hémorroïdes externes
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Hémorroïdes interne
  • Procidence anale (continue ou lors de la
    défécation)
  • Douleurs (tension, brûlures)
  • Rectorragies,
  • Evoluant par intermittence par périodes de
    quelques jours (crise hémorroïdaire)

30
(No Transcript)
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Hémorroïdes externe Thrombose hémorroïdaire
externe
  • Formation d'un caillot dans le plexus
    hémorroïdaire externe accompagné d'un œdème
  • Douleur de début brutal, intense et continue,
    non influencée par la défécation
  • Tuméfaction bleuâtre siégeant à la limite
    inférieure de la zone cutanée lisse
  • En l'absence de traitement, régression en 2 à 7
    jours, parfois avec marisque séquellaire

32
Traitement incision
33
2. Fissure anale
  • Douleur déclenchée ou accentuée par le passage
    des selles
  • Brûlure souvent intense correspondant à une
    contracture du sphincter anal
  • Persistant parfois plusieurs heures
  • Constipation associée (primitive ou secondaire)
  • Rectorragies (éclabousse les toilettes)
  • Prurit
  • Le plus souvent postérieure, parfois antérieure
    chez la femme
  • Au niveau de la zone cutanée lisse

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  • Fissure anale récente aspect en forme de
    raquette, à bords nets, à fond rouge
  • Fissure anale chronique épaississement du bord
    formant un capuchon mariscal

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3. Abcès de la marge anale
  • Douleur d'intensité croissante, continue, parfois
    insomniante
  • Syndrome infectieux souvent peu important
  • Tuméfaction rouge, lisse, tendue
  • /- constipation, dysurie

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4. Fistule anale
  • Linfection part de glandes de la paroi rectale
    inférieure, donne un abcès primaire dans lespace
    inter-sphinctérien doù elle peut soit remonter
    dans le sphincter interne, soit traverser le
    sphincter externe
  • Ecoulement périanal intermittent de pus par un
    orifice souvent induré, en relief et
    inflammatoire
  • Cause d'abcès de la marge anale à répétition

37
(No Transcript)
38
4. Prurit anal
  • Souvent aucune cause retrouvée
  • Evoquer une oxyurose (scotch test)
  • Parfois dermatose péri-anale, fissure ou fistule
    anale

Lésions de grattage
Oxyures
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5. Incontinence anale
  • Perte incontrôlée de gaz et/ou de selles
  • Importance
  • Fréquence des épisodes
  • Volume des pertes
  • Mode de survenue (impériosité ou passive)

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6. MST
  • Terrain Homosexuels masculins
  • Papillomatose
  • Herpès

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Papillomatose ou condylomes ou "crête de
coq" Lésions souvent multiples, exophytique,
disséminées. Origine virale
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  • Herpès anal rarement un aspect vésiculaire
    mais plus souvent des ulcérations douloureuses
    multiples parfois polycycliques.

43
8. Cancer de lanus carcinome épidermoïde
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A vous de jouer
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  • Mr X 32 ans vient aux urgences à 2h du matin car
    il a mal à lanus.

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  • Mr X 32 ans vient aux urgences à 2h du matin car
    il a mal à lanus.
  • Douleur de début brutal, intense et continue

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  • Mr X 32 ans vient aux urgences à 2h du matin car
    il a mal à lanus.
  • Douleur de début brutal, intense et continue

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  • Mr X 32 ans vient aux urgences à 2h du matin car
    il a mal à lanus.
  • Douleur de début brutal, intense et continue

Thrombose hémorroïdaire externe
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  • Un jeune homme de 22 ans consulte pour la
    première fois en secteur de proctologie parce
    quil souffre de douleurs anales à type de
    brûlures depuis 2 mois.
  • Quatrième épisode de cette nature depuis un an
    mais les précédents avaient évolué de façon
    spontanément favorable en moins de deux semaines.

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  • Un jeune homme de 22 ans consulte pour la
    première fois en secteur de proctologie parce
    quil souffre de douleurs anales à type de
    brûlures depuis 2 mois.
  • Quatrième épisode de cette nature depuis un an
    mais les précédents avaient évolué de façon
    spontanément favorable en moins de deux semaines.
  • Douleurs intenses, discontinues et majorées par
    le passage de la selle.
  • Elles saccompagnent parfois de troubles
    mictionnels à type de dysurie imposant des
    efforts parfois importants de poussée.
  • Constipation et appréhension de la défécation.
  • Pas de fièvre ni découlement purulent.

51
  • A lexamen

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  • A lexamen
  • Fissure évoluée avec marisque et papille
    hypertrophiée.

53
  • Femme 42 ans consulte pour des rectorragies
    depuis quelques mois.

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  • Femme 42 ans consulte pour des rectorragies
    depuis quelques mois.
  • A l'examen, il n'existe aucune altération de
    l'état général.

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  • Femme 42 ans consulte pour des rectorragies
    depuis quelques mois.
  • A l'examen, il n'existe aucune altération de
    l'état général.
  • Au TR on perçoit facilement une lésion ulcérée
    et bourgeonnante du bas rectum, dure,
    hémi-circonférencielle antérieure, débutant à 1-2
    cm de la ligne pectinée semble-t-il, soit à 2 cm
    du sphincter environ en faisant contracter la
    patiente.

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  • Quel est votre diagnostic?
  • Comment le confirmer?

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  • Quel est votre diagnostic?
  • Tumeur du rectum
  • Comment le confirmer?

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  • Quel est votre diagnostic?
  • Tumeur du rectum
  • Comment le confirmer?
  • Rectoscopie et biopsies

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  • Mme G 25 ans enceinte 2 mois
  • Vient pour douleur anales évoluant depuis
    quelques jours

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  • Mme G 25 ans enceinte 2 mois
  • Vient pour douleur anales évoluant depuis
    quelques jours
  • Douleur augmentant progressivement, insomniante
    pulsatile
  • Fièvre 38.2C

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  • Mme G 25 ans enceinte 2 mois
  • Vient pour douleur anales evoluant depuis
    quelques jours
  • Douleur augmentant progressivement, insomniante
    pulsatile
  • Fièvre 38.2C

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  • Madame P R, 85 ans a comme antécédent un
    carcinome épidermoïde diagnostiqué en 2000.

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  • Madame P R, 85 ans a comme antécédent un
    carcinome épidermoïde de lanus diagnostiqué en
    2000.
  • Traitement effectué était radiothérapie externe
    de 45 Gy délivrée en 4 champs sur 5 semaines et
    15 Gy complémentaire de surdosage dans le lit
    tumoral. Cette attitude était motivée par une
    lésion ulcéro-infiltrante du canal (uT3 N0 M0) et
    le mauvais terrain cardiovasculaire (pas
    d'association chimio-radiothérapique).

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  • Madame P R, 85 ans a comme antécédent un
    carcinome épidermoïde diagnostiqué en 2000.
  • Traitement effectué était radiothérapie externe
    de 45 Gy délivrée en 4 champs sur 5 semaines et
    15 Gy complémentaire de surdosage dans le lit
    tumoral. Cette attitude était motivée par une
    lésion ulcéro-infiltrante du canal (uT3 N0 M0) et
    le mauvais terrain cardiovasculaire (pas
    d'association chimio-radiothérapique).
  • Elle a ressenti durant le traitement des brûlures
    anales permanentes soulagées par l'application
    topique d'une mousse corticoïque et régressives à
    la fin de la période d'irradiation.

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  • Madame P R, 85 ans a comme antécédent un
    carcinome épidermoïde diagnostiqué en 2000.
  • Traitement effectué était radiothérapie externe
    de 45 Gy délivrée en 4 champs sur 5 semaines et
    15 Gy complémentaire de surdosage dans le lit
    tumoral. Cette attitude était motivée par une
    lésion ulcéro-infiltrante du canal (uT3 N0 M0) et
    le mauvais terrain cardiovasculaire (pas
    d'association chimio-radiothérapique).
  • Elle a ressenti durant le traitement des brûlures
    anales permanentes soulagées par l'application
    topique d'une mousse corticoïdique et régressives
    à la fin de la période d'irradiation.
  • En fin de traitement madame P R avait été
    rassurée par le terme de rémission avancé par ses
    médecins.

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  • Après un intervalle libre de treize mois, des
    douleurs anales à type de brûlures réapparaissent
    initialement post défécatoires puis permanentes
    et imposent le recours à des antalgiques de
    classe III. Les douleurs sont actuellement
    insomniantes, très intenses et il existe un
    syndrome rectal discret, des émissions
    muco-purulentes et des rectorragies fréquentes.
    L'incontinence fécale est actuellement passive et
    totale. Les lavements et mousses corticoïques,
    les topiques hémorroïdaires et les anesthésiques
    locaux sont inefficaces.

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  • L'examen clinique impose une courte sédation par
    inhalation de protoxyde d'azote
  • Les constatations sont illustrées par la photo
    mais il existe une induration importante des
    structures sphinctériennes et de la fosse
    ischioanale en regard des lésions endocanalaires

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Rectite radique
  • L'examen clinique impose une courte sédation par
    inhalation de protoxyde d'azote
  • Les constatations sont illustrées par la photo
    mais il existe une induration importante des
    structures sphinctériennes et de la fosse
    ischioanale en regard des lésions endocanalaires

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Quest ce que cest ?
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  • Prolapsus hémorroïdaire interne

71
Quest ce que cest ?

72
  • Réaction hémorroïdaire oedémateuse et
    thrombotique.

73
Bonne soirée !
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