ATELIER SUR LES BONNES PRATIQUES EN MATIERE DEAU

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ATELIER SUR LES BONNES PRATIQUES EN MATIERE DEAU
DASSAINISSEMENT EN MILIEU RURAL

• CONTRIBUTION
• DU PROJET EU - WATER FACILITY
• WORLD VISION

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DONNEES GENERALES

• TITRE EU - WATER FACILITY
• Montant total du financement 3 588 234 EURO
• Financement CE 2 691 175 EURO, soit 75 du
  budget
• Autre financement (WVG) 897 059 EURO, soit 25
  du budget
• Durée 2006- 2010
• Zones bénéficiaires Régions de Thiès, Diourbel,
  Louga, Fatick, Kaffrine et Kolda, notamment dans
  8 départements, 53 collectivités locales et 150
  villages centre
• Domaines couverts Hydraulique, hygiène
  assainissement, production maraîchère,
  renforcement des capacités.

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Zone dintervention
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METHODOLOGIE

• La méthodologie utilisée par le projet est
  essentiellement participative.
• Le processus délaboration et de mise en uvre
  des activités sinscrit parfaitement dans une
  démarche
• itérative et participative.
• Hydraulique
• - stratégie du faire-faire consistant à confier
  la réalisation des ouvrages à des entreprises
  privées
• - implication des services techniques dans le
  suivi et la conduite détudes (hydrogéologiques
  et dimpact environnemental)
• - recours aux privés pour le contrôle des
  travaux et la réalisation détudes hydrauliques
• - mobilisation de la contrepartie des
  collectivités locales et des populations.

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(suite méthodologie)

• Assainissement
• - stratégie du faire-faire pour la réalisation
  des blocs sanitaires au niveau des marchés
  hebdomadaires et des écoles
• - réalisation des latrines familiales par des
  maçons qualifiés identifiés localement
• - implication des services techniques dans la
  conduite détudes dimpact environnemental,
  limplantation, le suivi des travaux
• - mobilisation de la contrepartie des
  collectivités locales et des populations.
• Sensibilisation
• Le projet sappuie sur
• - les relais communautaires
• - les facilitateurs du projet de santé
  communautaire de WVS
• - les équipes enseignantes au niveau des écoles
• - sur le Service dhygiène.

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EQUIPE

• Membres Rôles
• 1. Chef de projet coordination et gestion des
  opérations
• 2. Comptable gestion des comptes du projet
• 3. Coordinateur chargé du renforcement des
  capacités
• - élaboration mise en uvre plan
  de formations
• - développement du partenariat entre
  OCBs et secteur privé
• 4. Chauffeur conduite entretien véhicules du
  projet

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Equipe (suite)

• Organisation sur le terrain
• Pour sa mise en uvre, le projet a recours au
  faire-faire pour des raisons stratégiques.
• Il sappuie sur
• - les programmes de développements de WVS dans
  lesquels il sintègre parfaitement
• - les Services techniques déconcentrés de lEtat
  du Sénégal
• - un réseau de relais communautaires
• - les Collectivités locales
• - les OCBs et coalitions dOCBs
• - les ONG et entreprises privées.
• Connaissance de la zone de travail
• La zone dintervention est bien connu car WVS y
  est présente ou y a conduit des
• Opérations
• - régions Louga et Thiès 1986 2005
• - région de Kaffrine 1996 à nos jours
• - région de Diourbel 1997 à nos jours
• - région de Kolda 1998 à nos jours
• - région de Fatick 1999 à nos jours

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Equipe (suite)

• Partenaires techniques rôles
• - Services techniques (hydrauliques, Service
  dhygiène, IDEN, Développement communautaire,
  Service de lagriculture appui-conseil,
  formation et suivi / évaluation
• - Entreprises privées réalisation douvrages
  hydrauliques et dassainissement, fourniture
  déquipements
• - Ecole et Centre de recherche formation,
  appui au projet et encadrement techniques des
  communautés bénéficiaires
• - ONG ( Caritas Kaolack) réalisation
  douvrages hydrauliques ( AEP).

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MISE EN PLACE DU PROJET

• Organisation de sessions dorientation sur les
  objectifs et enjeux du projet
• 2. Revue des plans quadriennaux de lensemble
  des 23 programmes ADP de WVS et confection
  support pour faciliter le choix des zones
  dinvestissement 
• Elaboration dun plan dopérationnalisation
• Elaboration dun plan dinvestissement spécifique
  avec et pour chaque programme ADP pour préciser
  la répartition des tâches et le partage de
  responsabilités
• Conduite détudes (études de référence,
  Diagnostic Institutionnel Participatif, état des
  lieux des forages existants)
• 6. Sensibilisation des populations et
  Organisation des OCBs.

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ACTIVITES

• Volet hydraulique
• Etudes préalables
• - études hydrogéoliques par la Direction de
  lhydraulique
• - études topographiques par des Prestataires
  privés.
• Forages
• A réhabiliter
• - réalisés initialement par WVS
• - développement ou régénération du forage.
• - réhabilités par léquipe de WVS. A
  réaliser 03 forages profonds réalisés par
  CDE forages
• 01 dans la CR de Salikégne / région de Kolda
• 01 dans la CR de Mabo / région de Kaffrine
• 01 dans la CR de Diokoul Mbelbouck / région de
  Kaffrine.
• 03 forages de faible profondeur réalisés
  par WVS
• 01 dans la CR de Coumbacara / région de Kolda
• 02 dans la CR de Ouassadou / région de Kolda

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Volet hydraulique (suite)

• Suivi des travaux par 01 Ingénieur de la
  Direction de lhydraulique
• Dautres forages réalisés par lEtat, WVS,
  Caritas Kaolack, PARPEBA existent dans la
  zone.
• Mécanisme financier pour réparation et
  réhabilitation du forage cet aspect est pris en
  compte dans led)
• cadre du transfert de la maintenance des forages
  au secteur privé.
• Les caractéristiques du forage dont le débit
  sont connus
• Le conducteur du forage est proposé par la
  communauté et formé par le Service de
  lhydraulique avec
• lappui financier du projet.
• Equipement du forage
• 06 forages équipés
• Type pompe électrique, suivant les modèles
  homologués par le Direction de lhydraulique
  rurale
• Choix coût initial, débit.
• Durée de vie 10 ans

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Hydraulique (suite)

• Construction château-deau 06 châteaux deau
• 01 dans la CR de Kathiotte / rég. de Kaffrine
• 01 dans la CR de Ida Mouride / rég. De
  Kaffrine
• 01 dans la CR de Malem Hoddar / rég. De
  Kaffrine
• 01 dans la CR de Diokoul Mbelbouck / rég. De
  Kaffrine
• 01 dans la CR de Réfane / rég. De Diourbel
• 01 dans la CR de Ngogom / rég. De Diourbel
• Capacité hauteur 100 mc sur 15 à 20 m de
  haut réalisés par 03 Entreprises différentes.
• Suivi des travaux par un Cabinet de contrôle
  et lAgent du projet Chargé des travaux.

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Hydraulique (suite)

• Adduction deau potable Lavis de population
  est toujours requises, cependant les aspects
  techniques sont discutés avec le
  Service de lhydraulique. Le projet
  réalise des branchement communautaires et le
  choix est laissé au membre de la communauté de
  faire des branchements individuels
  en accord avec lASUFOR
• 130, 411 km de réseau hydraulique pour
  raccorder 93 villages, soit 40 039 habitants
• Travaux réalisés par des entreprises
  privées et Caritas Adduction deau
  communautaire (BF)
• 01 BF pour 300 habitants en accord avec le
  standard du PEPAM
• Contrepartie population en nature (réalisation
  tranchées)
• Contrepartie Collectivités locales espèces
  (réalisation tranchées, pose des tuyaux et
  
  construction BF)

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Hydraulique (suite)

• Eau vendue au volume (compteurs).
• Coût fixé sur la base du budget
  prévisionnel
• 01 fontainier est e n place au niveau de
  chaque BF
• une formation est dispensée à lensemble des
  membres du bureau de lASUFORs et aux
  auxiliaires
• ASUFOR
• Mise en place sur la base dun processus
• Réunion 1 et 2 information / sensibilisation
• historique du forage
• Réunion 3 échanges et information sur le
  point deau, les groupes sociaux choix des
  délégués
• Réunion 4 AG constitutive en présence du
  Service de lhydraulique, du PCR et du
  Sous- Préfeet
• - présentation et adoption statut et règlement
  intérieur
• - bilan financier
• - présentation des délégués
• - élection bureau exécutif de 09 membres
• Sont concernés les forages qui se trouvent au
  niveau des villages-centre.

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Hydraulique (suite)

• Formation
• - par des prestataires (ex-agents du
  projet REGEFOR)
• Gestion
• - le budget prévisionnel prévoit le
  renouvellement des équipements dexhaure (pompe,
  groupe électrogène)
• - le budget prévisionnel prévoit une provision
  pour lentretien du réseau hydraulique qui peut
  être utilisé pour la réalisation dextensions de
  réseau. Toutefois, lASUFOR a la possibilité de
  contracter un prêt au niveau de sa banque en cas
  de besoin
• - Un système pour lentretien des forages
  (pièces de rechange) existe . En ce qui concerne
  la maintenance des forages lintervention des
  brigades des Puits Forages ou de la Division
  Entretien Maintenance est prépondérante.

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VOLET ASSAINISSEMENT

• Blocs Sanitaires
• Type bloc à 04 cabines (VIP) pour les écoles
• bloc à 6 cabines (VIP) pour les
  marchés hebdomadaires
• Prix 2 479 810 F CFA (pour écoles)
• 2 818 050 F FA (pour marchés hebdomadaires)
• Mécanisme - construction en agglo
• - fosse étanche avec système
  dautodigestion des excrétas
• - étude dimpact environnement
  conduite na pas révélé dincidences
  environnementales
• négative.
• Durée de vie 20 ans
• 04 blocs sanitaires implantés dans 04 CR (au
  niveau marché hebdomadaire)
• 150 blocs sanitaires en cours de réalisation
  dans les écoles, soit 05 blocs / CR
• Maintenance
• - organisation des élèves en groupes
  pour lentretien sous la supervision du maître de
  service
• - mise en place dun comité de gestion
  et recrutement dun préposé à lentretien (marché
  hebdomadaire.

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Assainissement (suite)

• Réalisation par des entreprises
• Suivi par Consultant et Chargé des travaux au
  niveau projet
• Latrines familiales
• Type VIP
• Prix 131 200 F CFA
• Mécanisme - construction en agglo
• - fosse étanche avec système
  dautodigestion des excrétas
• Durée de vie 20 ans
• Approche par la demande
• 20 latrines par CR, soit 10 latrines / villages
• Réalisation par des maçons professionnels
• - formation du maçon assuré par un technicien
  supérieur
• - formation théorique et pratique en
  technologie autonome dassainissement (TAA)
• - identification par les communautés.
• - Suivi par le Chargé des travaux aidé par un
  Consultant.
• - Contrepartie des populations en nature et
  en espèce
• - réalisation des fouilles pour la fosse

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VOLET SENSIBILISATION

• AU NIVEAU DES ECOLES
• - - - Thèmes abordés
• - hygiène et assainissement
• - protection et gestion des points
  deau
• - maladies diarrhéiques
• - protection des aliments
• - droits de lenfant
• - environnement (péril fécal, gestion
  des ordures ménagères, hygiène de lhabitat)
• - Sensibilisation
• - La sensibilisation est faite par les IDEN
  appuyées par le Service dhygiène et léquipe du
  projet et en cas de
• besoin un recours aux collectivités locales et
  aux leaders dOCBs peut être fait.
• Stratégie de sensibilisation dans les écoles
  mobilisations sociales au cours desquelles
  différents supports sont utilisés. A cet effet,
  la participation de léquipe enseignante est
  effective dans la mesure où les modules sur les
  compétences de vie courante seront dispensés
  dans les classes.

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SENSIBILISATION (suite)

• Formation
• Le projet a déroulé une formation des maîtres de
  lélémentaire sur les compétences de la vie
  courante avec limplication des
• parents délèves.
• Les sessions de formations étaient animées par
  les IDEN concernées, où dailleurs le projet
  dispose dun point focal
• responsabilisé dans toutes les activités de
  formation et de sensibilisation touchant le
  projet.
• II revient à léquipe enseignante de procéder à
  la démultiplication à grande échelle dans les
  classes.
• Mécanisme dévaluation
• Le projet a prévu un mécanisme dévaluation de
  limpact de la sensibilisation qui sinterroge
• - Sur les types de comportements
  développés par les élèves et les maîtres
• - le degré d'appropriation des méthodes,
  des démarches et des approches partagées -
  la capacité à induire de nouveaux comportements
  - le degré d'innovation - les
  nouvelles démarches adoptées.

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SENSIBILISATION (suite)

• AU NIVEAU DES VILLAGES
• - Thèmes abordés
• - hygiène et assainissement
• - protection et gestion des points
  deau
• - maladies diarrhéiques
• - protection des aliments
• - droits de lenfant
• - environnement (péril fécal, gestion
  des ordures ménagères, hygiène de lhabitat)
• - Sensibilisation
• - La sensibilisation est faite par léquipe du
  projet, les relais communautaires et les
  facilitateurs du projet santé (PRN, PSSC, PMI).
  Le projet fait souvent recours en cas de besoin
  aux services techniques déconcentrés de lEtat,
  aux collectivités locales et aux leaders
  dOCBs.
• Le projet a choisi pour sa stratégie de
  sensibilisation deux approches
• Une communication de masse centrée sur le
  marketing social du projet, les mobilisations
  sociales
• Une communication de proximité articulée autour
  des causeries, visites à domicile et plaidoyer.

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Sensibilisation (suite)

• Méthode utilisée
• La méthodologie utilisée par le projet est
  essentiellement participative.
• Le processus délaboration et de mise en uvre
  des activités de sensibilisation sinscrit
  parfaitement dans une démarche
• itérative et participative.
• Mécanisme dévaluation
• Le projet a prévu un mécanisme dévaluation de
  limpact de la sensibilisation qui sinterroge
• - Sur les types de comportements
  développés par les relais - le degré
  d'appropriation des méthodes, des démarches et
  des approches partagées - la capacité à
  induire de nouveaux comportements - le degré
  d'innovation - les nouvelles démarches
  adoptées.
• Autres (émissions radiophoniques) Un plan
  national de communication sociale en langues
  locales élaboré par le projet utilisant la radio
  comme support est en cours de mise uvre.
• Mise en place et formation danimateurs relais
• - identification par les communautés villageoise
  sur la base de critères définis par le projet
• - formation des relais communautaires au
  niveau des bases dopérations de WVS par un
  Consultant
• - 150 relais communautaires
• - pas de rémunération, mais plutôt une
  motivation.
• - sensibilisation, IEC et CCC

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VOLET ORGANISATION

• Des OCBs existent ainsi quun cadre de
  concertation entre OCBs
• Le projet promeut la promotion des groupes
  existant et a comme perspective
• - damener les GPF a mettre en place des unités
  de transformations des produits locaux
• - de regrouper les ASUFORs en unions et
  fédérations
• - de regrouper les producteurs maraîchers en
  coopérative
• - de renforcer la capacité financières des
  Mutuelles dépargne de crédit et une
  institution de micro fiance leur permettant
  dapporter des services financiers et non
  financiers à leur clientèle

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VOLET UTILISATION DE LEAU POUR LE MARAICHAGE

• Utilisation irrigation goutte-à-goutte
• Périmètres maraîchers
• 30 hectares
• Ngoyé Ndoffongor / région Fatick 05 ha
• Mbassis / région Fatick 04 ha
• Ngouye / région Kaffrine 01 ha
• Keur Birame / région Kaffrine 02 ha
• Keur Malick Ndiaye / région Kaffrine 02 ha
• Sagna / région Kaffrine 05 ha
• Ndawène Saré Niama / région Kaffrine 01 ha
• Koumbidia Socé / région kaffrine 02 ha
• Saré Sonia / région Kolda 02 ha
• Bagadadji / région de Kolda 02 ha
• Gad Dior / région Thiès 05 ha
• Les exploitants sont en priorité les personnes
  vulnérables
• Le projet fournit les équipements et les intrants
  pour la première campagne (fertilisants,
  pesticides,

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Eau pour maraîchage (suite)

• Une ligne de crédit destinée aux producteurs est
  logé dans une mutuelle dépargne à Meckhé et de
  crédit et
• une Institution de micro finance à Kaolack .
• Ces organisations joue un rôle dinterface entre
  les producteurs et le projet ainsi, à la fin du
  projet, les
• producteurs ont la possibilité de couvrir leurs
  besoins financiers par des emprunts.
• Le projet prévoit deux types de formations
• - formation initiale dispensée par le CFPH de
  Cambérène
• - une supervision formative effectué par un
  prestataire.
• Consommation journalière 35 mc/j/ha
• Coût de leau 135 à 150 F CFA/ mc
• Production campagne 2009
• Kaffrine 105,469 T certifiées 10 ha
• Fatick
  7,650 T 02,5 ha
• 20,990 T 02,5 ha
• Production destinée à la vente, à la consommation
  .
• Capacité du forage suffisante à lexception du
  périmètre de Sagna ou un redimensionnement est
  envisagé.

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(suite)

• DIFFICULTES
• - limmensité de la zone dintervention
• - le personnel limité
• Volet hydraulique
• - lengagement des populations
• - lengagement des collectivités locales
• - le respect des clauses des contrats par
  certaines entreprises
• Volet Assainissement
• - le coût des latrines familiales.

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(suite)

• Points forts du projet
• - la bonne connaissance de la zone
  dintervention (présence de WVS).
• - Intégration du projet dans les programmes et
  projet de santé de WVS
• - développement du partenariat avec les
  Services techniques et le secteur privé
• - mobilisation de la contribution des
  collectivités locales et des populations.
• Aspects à améliorer
• - renforcement du partenariat avec les
  différents acteurs (programmes WVS, Services
  techniques, collectivités locales, OCBs)
• - amélioration de la visibilité des comités de
  suivi au niveau communautaire
• - renforcement des moyens humains du projet
• - amélioration de la stratégie de communication
  avec les populations et les collectivités
  locales.

27
(suite)

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(No Transcript)
29

• Volet organisation de la population
• Volet utilisation de leau pour le maraîchage
• Volet constitution dune base de données sur
  les ouvrages existants