Coopration dans des ordonnancements multiorganisations - PowerPoint PPT Presentation

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Coopration dans des ordonnancements multiorganisations

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Etudier la possibilit de coop ration pour un meilleur usage global du syst me. ... charge sont possibles: on peut ainsi obtenir des solutions ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Coopration dans des ordonnancements multiorganisations


1
Coopération dans des ordonnancements
multi-organisations
  • Fanny Pascual
  • Travail en collaboration avec Krzysztof Rzadca
    et Denis Trystram
  • GOTHA, 12 octobre 2007

2
Introduction
Plateformes dexécution haute performance
impliquent des entités distribuées
(organisations) qui ont leurs propres règles
locales/intérêts. Etudier la possibilité de
coopération pour un meilleur usage global du
système.
On montre que en coopérant il est toujours
possible davoir une bonne solution globale qui
satisfasse les intérêts individuels des
organisations.
3
Plan
  • Problème
  • Contexte
  • Motivations et limites
  • Résolution
  • Algorithme
  • Analyse de lalgorithme
  • Conclusion

4
Contexte grille de calcul
m1 machines

Organisation O1


m2 machines
Organisation O3

Organisation O2


m3 machines
Grille de calcul collection de clusters
indépendants appartenant chacun à une
organisation.
5
Applications tâches parallèles rigides
Des utilisateurs soumettent des applications
(tâches). Par exemple
Lutilisateur demande alors
Durée dexécution pi
Tâche i
de machines nécessaires qi
6
Ordonnancer des tâches rigides
Ordonnancer des tâches rigides indépendantes
Problème de packing en 2D (strip packing).
Ordonnancement
Tâches
m
temps
7
Les utilisateurs soumettent les tâches à leur
organisation.

O1


O3

O2


8
Les organisations peuvent coopérer

O1


O3

O2


9
Contraintes
Cmax(O3)
Ordonnancements locaux
Cmaxloc(O1)
O1
O1
Cmax(O1)
O2
O2
Cmax(O2)
O3
O3
Cmax(Ok) date de fin maximum des tâches de
Ok. Chaque organisation veut minimiser son
makespan.
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Définition du problème
  • MOSP (Multi-Organisation Scheduling Problem)
  • Données n organisations, chacune ayant mi
    machines et des tâches locales.
  • But minimiser le makespan global OPT
    max(Cmax(Ok)) sous la contrainte que aucun
    makespan local nest augmenté.
  • Conséquence Si n1 (une organisation) m2
    les tâches sont séquentielles (qi1) problème
    (P2Cmax) qui est NP-difficile.
  • gt MOSP est NP-difficile.

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Coopérer peut substanciellement améliorer la
solution (1)
Solution non-cooperative chaque organisation
exécute ses tâches locales. Cette solution peut
être arbitrairement loin de loptimal.
Exemple
O1
O1
O2
O2
O3
O3
avec coopération
sans coopération
12
Coopérer peut substanciellement améliorer la
solution (2)
Des algorithmes autres quun simple équilibrage
de charge sont possibles on peut ainsi obtenir
des solutions profitables pour toutes les
organisations.
2
1
O1
O1
2
O2
O2
1
avec coopération
sans coopération
13
Limites de la coopération
Si on ne peut détériorer aucun makespan local,
alors loptimum global ne peut être atteint.
Ordonnancement local
Optimum global
2
1
O1
O1
1
1
1
2
2
2
O2
O2
2
2
1
2
O1
1
Meilleure solution qui naugmente pas Cmax(O1)
O2
2
2
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Limites de la coopération
  • Borne inférieure sur le rapport dapproximation
    3/2.

Ordonnancement local
Optimum global
2
1
O1
O1
1
1
1
2
2
2
O2
O2
2
2
1
2
O1
1
Meilleure solution qui naugmente pas Cmax(O1)
O2
2
2
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Plan
  • Problème
  • Contexte
  • Motivations et limites
  • Résolution
  • Résultats préliminaires
  • Algorithme
  • Analyse de lalgorithme
  • Conclusion

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Bornes inférieures
Soit OPT le makespan optimal. Bornes inférieures
de OPT
W ? (qi li) / ? mi surface totale des
tâches / nombre de machines
pmax max(pi) longueur de la plus grande
tâche.
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Ordonnancement sur un seul cluster
Algorithme de liste rapport dapprox.(2-1/m)  
Resource constraint list algorithm  (Graham
1975), revu dans IPDPS 2006 (Eyraud et al) avec
une preuve plus simple pour une contrainte.
  • Ordonnancement HighestFirst ordonnance les
    tâches par hauteur décroissante. Même garantie
    théorique mais meilleur dun point de vue
    pratique.

gt On suppose que chaque ordonnancement local est
un ordonnancement HighestFirst.
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Algorithme MOLBA(?)
(Multi-Organization Load Balancing Algorithm)
  • Chaque organisation exécute ses tâches
    localement avec Highest First.
  • Retirer les tâches qui commencent après ? W et
    quiappartiennent à une organisation dont le
    makespan est ?W pmax. (où 1 ? 3 dépend
    de la version de lalgorithme).
  • Ordonnancer ces tâches en utilisant un algo. de
    liste.

W
3W
W surface totale / ? mi
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Exemple (simulations)
O1
O2
O3
Ordonnancement local
O4
O5
O1
O2
O3
MOLBA(3)
O4
O5
O1
?
t
3W
3W
t
O2
O3
MOLBA load balancing
O4
O5
3W
t
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Rapports dapproximation
  • Cas général MOLBA(3) est 4-approché.
  • Cas particuliers
  • W a pmax ou W a pmax algo. 2 2/(1a)
  • n2 algorithme 3-approché
  • Clusters identiques algo. 3.5- approché
  • Petites tâches algo. 3-approché
  • Tâches séquentielles algo. 2- (1/ ?mi) approché

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Analyse de performance un cluster avant MOLBA(?)
  • Propriété 1 Tous les ordonnancements
    HighestFirst ont la même structure - une zone
    de forte utilisation
  • - une zone de faible utilisation
  • Preuve
  • Les grandes tâches (qigtm/2) sont ordonnancées à
    la suite.
  • Aucune petite tâche (qi m/2) commence après la
    fin de (I)

zone de faible utilisation (II)
zone de forte utilisation
(I) (plus de 50 des machines sont occupées)
t
22
Analyse de performance un cluster avant MOLBA(?)
  • Propriété 2 A la fin de lalgorithme, il y a au
    moins un cluster dont la zone (II) commence avant
    2W.
  • Preuve argument de surface.

zone de faible utilisation (II)
zone de forte utilisation
(I) (plus de 50 des machines sont occupées)
t
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Analyse de performance un cluster après MOLBA(?)
pmax
t1
t2
  • Propriété 3 La longueur de la zone de faible
    utilisation
  • est au plus pmax.
  • Preuve par contradiction.

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MOLBA(3) est 4-approché
  • Preuve. par labsurde
  • hyp une tâche se termine après 4 OPT.
  • commence après 3 OPT.
  • Zone de faible utilisation/cluster lt pmax lt OPT .
  • gtZone de haute utilisation par cluster gt 2 OPT
    gt2W
  • gt Travail effectué au total gt travail disponible.

pmax
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Amélioration de lalgorithme
On rajoute une étape déquilibrage de charge.
O1
O2
O3
Ordonnancement local
O4
O5
O1
O2
O3
MOLBA(3)
O4
O5
O1
O2
O3
MOLBA(3) eq. de charge
O4
O5
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Expérimentations(MOLBA(2.5))
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Lien avec la théorie des jeux ?
Approche utilisée optimisation
combinatoire. En utilisant la théorie des jeux
? Joueurs organisations objectif min. leur
makespan Théorie des jeux coopérative suppose
que les joueurs (organisations) communiquent et
forment des coalitions. Théorie des jeux non
coopérative équilibre de Nash situation où
les joueurs nont pas intérêtà changer de
stratégie. Prix de la stabilité meilleur
équilibre de Nash/solution opt.
stratégie collaborer ou non obj. global min
makespan
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Conclusion
  • Coopérer peut aider pour avoir une meilleure
    performance globale, sans détériorer les
    performances locales (pour le makespan).
  • Perspectives
  • Améliorer les bornes
  • Cadre online
  • Objectifs individuels/global différents
  • Co-scheduling (tâches de grandes taille
    partagées entre plusieurs clusters).
  • Chaque organisation donne une limite de temps
    quelle ne veut pas dépasser pour coopérer.
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