UE 503.b cours n - PowerPoint PPT Presentation

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UE 503.b cours n

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C'est quoi le multim dia (d finitions) ? Comment il est n et comment il prosp re ... tout en accordant au futur utilisateur de r elles possibilit s d'interaction ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: UE 503.b cours n


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UE 503.bcours n2
  • Analyse multimédia

Par Sahbi SIDHOM MCF. Université Nancy
2 Equipe de recherche SITE LORIA sahbi.sidhom_at_lo
ria.fr
2
Cours n2
  • Cest quoi le multimédia (définitions) ?
  • Comment il est né et comment il prospère
    (évolutions) ?
  • Comment il évolue (actuellement) ?
  • A.1. Numériser
  • A.2. Compresser
  • Cest quoi lanalyse du multimédia ?
  • Comment analyser un document multimédia ?
  • Comment se retrouve la culture multimédia dans
    lentreprise (besoins, intérêts, etc.) ?
  • Quels sont les outils (technologiques) visant à
    favoriser la diffusion et lappropriation de la
    culture multimédia en entreprise ?

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III.Comment il évolue ?
  • Domaine de connaissances
  • Évolutions actuelles

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A.Quelle est la morphologie du multimédia ?
  • Les fondements du passage au numérique

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A.1. Numériser
  • Créer un produit multimédia, cest
  • traiter,
  • Structurer,
  • Synchroniser
  • sur un même support des
  • Textes
  • Sons
  • Images (fixes ou animées), etc.
  • tout en accordant au futur utilisateur de
    réelles possibilités dinteraction (chemin,
    rythme de consultation, choix de  lecture ,
    etc.)
  • Rassembler et synchroniser sur un même support
    des médias aussi différents
  • Discrets et continus
  • Sonores et visuels
  • Fixes et animés
  • implique nécessairement quils partagent le même
    mode de représentation

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  • Dans le multimédia, tous les médias (texte, son,
    image F/A, animations 2D/3D, vidéo) partagent la
    même représentation numérique
  • Cette représentation est susceptible dêtre
    interprétée par le même appareil de restitution
  • Ordinateur
  • Assistant personnel PDA
  • i-Mode
  • Téléphone mobile 3G
  • Télévision interactive
  • Etc.

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Pourquoi une représentation numérique ?
  • Un ordinateur nétant capable que de manipuler
    des nombres (chiffres)
  • Les seules données quil est susceptible
    daccepter et de traiter doivent être
    représentées sous une forme numérique
  • La numérisation préalable des données (texte,
    image, son) est la 1ère des conditions de
    possibilité du multimédia
  • À partir du moment où les documents sont
    numérisés (digitalisés), ils peuvent être
    manipulés, stockés et modifiés par
  • ? un système apte à gérer les nombres
    (lordinateur), associé à son SE. et à sa
    panoplie de logiciels

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En quoi consiste la numérisation ?
  • Les techniques de numérisation sont complexes, le
    principe général est relativement simple
  • Puisquil sagit de transformer une variation
    continue (sons, niveaux de gris, couleurs, etc.)
    en une succession déléments discontinus
    (discrets),
  • dont on pourra représenter ensuite numériquement
    (les caractéristiques quantifiables)
  • Une représentation numérique binaire
  • à partir du moment où un texte, un son, une image
    ou une séquence vidéo sont numérisés (fr.
    digitalisés), ils peuvent être manipulés, stockés
    et modifiés par un système apte à gérer les
    nombres le PC (hardware) le SE les
    softwares (logiciels)

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Numériser les données chiffres, lettres,
symboles
  • Le morse a été le premier codage à permettre une
    communication longue distance. C'est Samuel
    F.B.Morse qui l'a mis au point en 1844. Ce code
    est composé de points et de tirets (un codage
    binaire en quelque sorte...).
  • Le 10 mars 1876, le Dr Graham Bell met au point
    le téléphone, une invention révolutionnaire qui
    permet de faire circuler de l'information vocale
    dans des lignes métalliques.
  • Ces lignes permirent l'essor des téléscripteurs,
    des machines permettant de coder et décoder des
    caractères grâce au code Baudot (les caractères
    étaient alors codés sur 5 bits, il y avait donc
    32 caractères uniquement...).
  • Dans les années 60, le code ASCII (American
    Standard Code for Information Interchange) est
    adopté comme standard. Il permet le codage de
    caractères sur 8 bits, soit 256 caractères
    possibles.

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Quelques exemples (ASCII)
  • Codage sur 1 octet
  • 8 bits
  • nombre de caractères représentés
  • 28 256 car.
  • codage de caractères (complément)
  • http//www.commentcamarche.net/base/

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Base hexadécimale
  • Les nombres binaires étant de plus en plus longs,
    il a fallu introduire une nouvelle base la base
    hexadécimale.
  • La base hexadécimale consiste à compter sur une
    base 16, c'est pourquoi au-delà des 10 premiers
    chiffres on a décidé d'ajouter les 6 premières
    lettres 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, A, B, C,
    D, E, F.
  • Conversions
  • Exemples

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Numériser les données son, image
  • Quelles sont, par exemple, les caractéristiques
    quantifiables dun son ou dune image ?
  • ? la fréquence des ondes sonores émises par un
    instrument de musique dont la combinaison définit
    physiquement la hauteur et le timbre du son
  • et
  • ? lamplitude de ces mêmes ondes qui en définit
    la  puissance 
  • Ces deux données sont purement quantitatives,
    elles désignent un nombre de période par seconde
    (fréquence), lautre un écart mesurable par
    rapport à un point central dune vibration
    (amplitude).

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Exemple son
amplitude
A
Temps (s)
0
1/4
3/4
1
1/2
- A
période
Fréquence (4Hz)
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Exemple image
  • Une image peut être considérée comme un ensemble
    de points colorés ou dobjets prédéfinis
  • Une image conçue comme un ensemble de points
    juxtaposés est appelée bitmap.
  • Ainsi, un point peut être quantifié
    numériquement par sa position dans le nuage de
    points ( coordonnées x, y, )
  • En colorimétrie (mesure de la couleur), une
    couleur quelconque de nimporte quel point dune
    image peut être définie par la quantité de chaque
    couleur primaire quelle contient
  • Ainsi, les nuances de couleur peuvent être
    distinguées numériquement.
  • Autres que des points juxtaposés, une image peut
    être construite dobjets prédéfinis tels que des
    carrés, des cercles, des ellipses, des segments,
    etc. (on parle d image vectorielle)
  • Ainsi, ces objets peuvent recevoir une
    désignation numérique assortie de
    caractéristiques quantitatives dimension,
    position, couleur, etc. et devenir manipulable
    par un ordinateur disposant du programme qui
    identifie numériquement les objets et les
    caractéristiques.

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Indices couleurs (A), textures (C), formes (D),
pixels (B)
A
B
(grenouille aux yeux rouges ou phylloméduse aux
yeux rouges - Costa Rica. )
C
D
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Indices bitmap (B 16bits couleur, C 4bits
couleur, image vectorielle (A), pixels,
image N-B
A
B
C
D
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Représentation numérique binaire
  • Contentons-nous pour linstant de noter que ce
    sont les données quantitatives qui permettent de
    transformer en une suite de nombres les images et
    les sons
  • Si lon veut que ces nombres soient manipulables
    par un ordinateur, il convient de leur donner une
    forme susceptible de trouver une équivalence
    physique dans les divers états que peuvent
    prendre les composants de la machine
  • Le mérite revient aux TRANSISTORS, un composant
    élémentaire dune machine de traitement de
    linformation pour représenter 2 chiffres (1 le
    courant passe et 0 non). 90 dans un ordinateur
    sont alloués à la mémoire de travail et 10 au
    calcul lui même.
  • Quelques statistiques

Processeur Année Nbr. transistors
8080 1974 5 000
8086 1978 29 000
Pentium I 1993 3 100 000
Pentium II 1997 7 500 000
Pentium 4 2000 42 000 000
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bit élément minimal dinformation
  • Le bit, élément minimal dinformation, est aussi
    lunité élémentaire permettant la mémorisation de
    cette information.
  • La mémoire centrale dun ordinateur peut être
    considérée comme un immense tableau dont les
    cases ne peuvent recevoir que des valeurs 0 ou
    1
  • Un mot mémoire est un paquet de bits, en
    fonction de la taille, on utilise les
    dénominations suivantes pour ces paquets
  • Unités de mesure en mémoire

Bit Octet Mot Dmot Kilo Méga Giga Téra Péta Exa Z
êta Yotta
1 0
1 1
0 0
Terme FR Terme EN Nbr. bits
Demi-Octet Nibble 4
Octet Byte 8 (1?)
Mot Word 32 (2? à lorigine)
Double mot Double word 64
Mémoire (matrice de bits)
Kilo-octet (1 K?) 210 ? 1024 ?
Méga-octet (1 M?) 210 x 210 220 ?
Giga-octet (1 G?) 210 x 210 x 210 230 ?
Téra-octet (1 T?) 240 ?

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A.2. Compresser
  • La numérisation des données génère dénormes
    fichiers qui occupent beaucoup de place en
    mémoire et exigent pour leur transport en un
    temps acceptable des débits que la plupart des
    réseaux ne peuvent offrir.
  • Exemples
  • 1 page moyenne de texte (en ASCII) représente 2 à
    3 Ko.
  • 1 image bitmap (640 x 480 pixels et 24
    bits/pixel) occupe 900 Ko.
  • 1 séquence vidéo d 1 seconde (soit 25 images/s)
    occupe 22 Mo.
  • Nécessité de compresser les données

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Principe de compression
  • À distinguer
  • La réduction du volume de données , cest ce
    quon appelle le compactage
  • ? Lorsque la réduction du volume ne cause aucune
    perte
  • La compression du volume de données
  • ? Lorsque la réduction saccompagne dune
    certaine perte dinformation
  • La compression est un vaste domaine où les enjeux
    économiques sont énormes
  • ? une des conditions de possibilité du
    multimédia sur le marché (public/privé,
    national/international)

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Principes
  • Réduire le volume des données sans dégrader
    linformation représentée par ces données ou en
    le dégradant que de façon imperceptible et
    contrôlée
  • ?Tout repose sur le constat que la quasi-totalité
    des données que nous traitons (images, sons,
    textes) présentent une distribution non uniforme
    de symboles ou de séquences de symboles.
  • Exemple
  • Quand nous manipulons un texte, les caractères
    que nous utilisons nont pas la même probabilité
    dapparition, de plus tout énoncé présente une
    structure interne forte qui est déterminée par
    les règles syntaxiques, morphologiques, etc.
  • ?or qui dit règle cela implique régularité, ie.
    formes répétitives et redondance
  • Principe de quantification de la redondance

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Quelques statistiques
  • Mémoire nécessaire pour différents types de média

Texte Image Audio Animation vidéo
ASCII Bitmap Télécopie Séq. Num. non compressées de sons, voix Séq. Sync. des images et sons à 15 - 19 images/s Image TV num. à 25 images/s
2 à 3 K?/page (Texte brut sans mise en forme) 64 K?/image (simple) 6 - 44 K?/s à 8 KHz sur 1? (Voix,téléphone) 2,5 M?/s Pour 320x640 pixels/image (2? pour la couleur) à 16 images/s 22 M?/s Pour 640x480 pixels/image à 24bits/pixel
20 K?/page Pour Word2000 (texte avec mise en forme) 7,5 M?/image (colorée, détaillée) 176 K?/s Pour audio-CD (stéréo) à 44,1KHz sur 2?
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Paramètres de la compression
  • Le paramètre clé dun algorithme de compression
    est le taux de compression qui définit sa
    performance
  • Il est calculé comme le rapport entre la taille
    du fichier original (F0) et la taille du fichier
    compressé (Fc)
  • On utilise, pour représenter ce rapport, une
    notation de type N1, qui indique que le volume
    de données dorigine a été divisé par N
  • Exemple
  • 101 ? volume du fichier original divisé par 10
  • 501 ? par 50
  • Dautres paramètres caractérisent également un
    algorithme de compression
  • Sa vitesse
  • La qualité de restitution du document original

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Compression avec ou sans perte ?
  • Principes

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Compression avec perte constat
  • La masse des images fixes ou animées à stocker ou
    à diffuser est en croissance constante
  • Télédiffusion numérique terrestre ou par
    satellite,
  • Cinéma numérique,
  • Vidéo à la demande,
  • Radio numérique,
  • Vidéoconférence,
  • Surveillance vidéo à distance
  • Bases de données multimédias,
  • Etc.
  • Les espaces de stockage et les débits exigés par
    ces nouvelles applications multimédias ont
    suscité des efforts considérables dadaptation à
    la mesure des
  • Enjeux économiques,
  • Enjeux de  tout numérique 
  • Exigences nouvelles de travail et de
    communication paradigme despace et de temps
    virtuels

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Compression avec perte solution
  • Sagissant dimage et de son, le  poids  des
    fichiers à stocker et à transmettre est tel quon
    a dû souvent accepter de perdre certaines
    informations jugées  inutiles  en fonction des
    caractéristiques spécifiques humaines de
  • La perception visuelle
  • La perception auditive
  • Lintérêt pour la compression avec perte devient
    néfaste sil sagit de
  • images contenant une grande quantité
    dinformation avec beaucoup de détails et de
    nuances colorées
  • Voix ou de sons avec des détails de timbre
    (intensité, hauteur), de phonèmes, de notes fines
    pour composer de gammes
  • Séquence vidéo exigeant laffichage de 25
    images/s
  • Autres que la conservation sans aucune perte ou
    dégradation pour le patrimoine artistique, les
    données scientifiques, etc. , lexigence de
    qualité doit accepter les contraintes dun
    stockage ou dun débit aux capacités limités.
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