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Transmissions num

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Title: Diapositive 1 Author: BOEGLEN Last modified by: boeglen Created Date: 9/25/2004 11:25:37 AM Document presentation format: Affichage l' cran – PowerPoint PPT presentation

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Title: Transmissions num


1
Transmissions numériques avancées
2
Plan
  • 1. Le canal radiomobile
  • 2. Les modulations différentielles de phase
  • 3. Les modulations multiporteuses
  • 4. CCE dans lespace des signaux les
    modulations codées en treillis

3
1. Le canal radiomobile
  • Propagation multitrajets
  • ? Distorsion du spectre du signal transmis

diffraction
LOS
scattering
reflection
FT
4
1. Le canal radiomobile
  • Effet Doppler

Le spectre du signal transmis subit une expansion
fréquentielle
La RI du canal devient variable en fonction du
temps
5
1. Le canal radiomobile
  • Analyse
  • On transmet
  • Le signal reçu est
  • Avec N nombre de trajets, et pour chaque
    trajet, sa longueur rn(t) et le retard
    correspondant ?n(t) rn(t)/c, le déphasage dû à
    leffet Doppler ?Dn et lamplitude ?n(t).

6
1. Le canal radiomobile
  • Analyse (suite)
  • On peut simplifier r(t) en posant
  • Essayons de faire apparaître la RI du canal

7
1. Le canal radiomobile
  • Deux paramètres peuvent varier ? et t
  • h(t, ?) ne dépend pas de t
  • ? canal invariant dans le temps.

Les signaux provenant des différents trajets
sinterfèrent de manière constructive ou
destructive ? SELECTIVITE EN FREQUENCE.
8
1. Le canal radiomobile
  • Influence de la durée des retards sur la fonction
    de transfert du canal
  • Le canal est dautant plus sélectif que ?max est
    grand.

9
1. Le canal radiomobile
  • Sélectivité en fréquence IES
  • Plus la sélectivité en fréquence est importante
    et plus lIES est importante

10
1. Le canal radiomobile
  • A ce stade, on peut distinguer deux types de
    canaux
  • Le canal bande étroite ou narrowband
  • ? Peu de sélectivité en fréquence et donc peu
    dIES

11
1. Le canal radiomobile
  • Le canal large bande ou broadband
  • ? Sélectivité en fréquence, IES importante

12
1. Le canal radiomobile
  • Exercice on transmet
  • sur un canal à deux trajets de retards 0,
    ?. Déterminer et représenter r(t) et H(f)2.
  • h(t,?) dépend de t effet Doppler

13
1. Le canal radiomobile
Signal transmis
Retard de propagation
La fréquence de la porteuse est décalée
( décalage Doppler )
Signal reçu passe-bande
Fréquence Doppler
Signal reçu bande de base
14
1. Le canal radiomobile
15
1. Le canal radiomobile
  • Influence de la fréquence Doppler max

16
1. Le canal radiomobile
  • Influence de la fréquence Doppler max, canal
    large bande

17
1. Le canal radiomobile
  • En résumé

18
1. Le canal radiomobile
  • Canal de Rayleigh
  • La durée max des retards ltlt Ts (narrowband)
  • Le signal reçu est une superposition dun grand
    nombre de trajets sans LOS
  • Les composantes I et Q ont une distribution
    Gaussienne
  • Dans ce cas on a
  • et z(t) suit une distribution de Rayleigh

19
1. Le canal radiomobile
  • Canal de Rayleigh (suite)
  • ?(t) la phase de r(t) suit une distribution
    uniforme

20
1. Le canal radiomobile
  • Canal de Rice
  • Le signal reçu est une superposition de trajets
    réfléchis et dun trajet LOS
  • Le facteur de Rice K (ou C) est le rapport de la
    puissance du trajet LOS sur la puissance des
    trajets NLOS

21
1. Le canal radiomobile
  • Comparaison Rayleigh et Rice

22
1. Le canal radiomobile
  • Le modèle WSSUS
  • La RI du canal h(?,t) est un processus aléatoire
    et est caractérisé par sa fonction
    dautocorrélation
  • Dans le cas de lapproximation WSSUS, on suppose
    que
  • Le processus aléatoire est stationnaire au sens
    large (WSS), autrement dit la fonction
    dautocorrélation est indépendante de t
  • Les différents trajets ne sont pas corrélés (US)

23
1. Le canal radiomobile
  • Caractérisation WSSUS

24
1. Le canal radiomobile
  • Le profil en puissance des retards
  • Il représente la puissance moyenne associé à un
    trajet en fonction de son retard. Cest une
    grandeur facilement mesurable.
  • On peut alors définir les étalements des retards
    moyens et en valeur efficace
  • Remarque si on défini la densité de probabilité
    de Tm par
  • Alors ?Tm et ?Tm représentent respectivement
    la moyenne et la valeur efficace de cette densité
    de probabilité.

25
1. Le canal radiomobile
  • Le profil en puissance des retards (suite)
  • Exercice soit le profil en puissance des
    retards suivant 
  • Calculer ?Tm et ?Tm et déterminer le rythme
    symbole maximum pour que lIES soit négligeable.

26
1. Le canal radiomobile
  • Notion de bande de cohérence
  • En général, on a Bc ? 0.2/ ?Tm
  • Exercice pour les canaux Indoor, on a ?Tm ?
    50ns alors que pour des microcellules outdoor ?Tm
    ? 30?s. Déterminer le rythme symbole maximum dans
    ces deux cas pour éviter lIES. Déterminer BC
    dans les deux cas.

27
1. Le canal radiomobile
  • Spectre Doppler et temps de cohérence du canal
  • Les variations temporelles du canal provoquent un
    décalage Doppler des fréquences du signal reçu.
    Cet effet peut être caractérisé en prenant la TF
    de ?H(?f,?t) par rapport à ?t. Dans le but de
    caractériser linfluence Doppler pour une seule
    fréquence, on fixe ?f 0. On obtient alors
  • SH(?) est la Densité Spectrale de Puissance
    Doppler du canal (cest une TF dune fonction
    dautocorrélation).
  • La valeur maximale de ? pour laquelle SH(?) est
    non nulle sappelle létalement Doppler et est
    noté Bd.

28
1. Le canal radiomobile
  • Spectre Doppler et temps de cohérence du canal
    (suite)
  • Le temps pour lequel ?H(?t) est différent de 0,
    sappelle le temps de cohérence du canal Tc. On a
    généralement Bd ? 1/Tc

29
1. Le canal radiomobile
  • Spectre Doppler et temps de cohérence du canal
    (suite)
  • Remarque la DSP Doppler est proportionnelle à
    la densité de probabilité p(fD) des décalages
    Doppler.

30
1. Le canal radiomobile
  • Spectre Doppler et temps de cohérence du canal
    (suite)
  • Exercice pour un canal de Bd 80Hz, quelle est
    la séparation temporelle nécessaire entre les
    échantillons pour sassurer quils soient
    indépendants ?
  • En résumé

Etalement des retards
Décalage Doppler
31
1. Le canal radiomobile
  • Techniques de simulation des canaux radiomobiles
  • Pour laide à la conception de systèmes de
    transmission numériques, il est important de
    pouvoir disposer doutils de simulation des
    canaux de transmissions.
  • Il y a deux techniques principales
  • La méthode du filtre

32
1. Le canal radiomobile
  • Techniques de simulation des canaux radiomobiles
    (suite)
  • La méthode de la somme de sinusoïdes
  • Illustration simulations MATLAB !

33
1. Le canal radiomobile
  • Illustration de la dégradation du TEB

34
2. Les modulations différentielles de phase
  • Lorsque que lon travaille sur des canaux
    perturbés et que lon souhaite éviter les
    techniques (généralement complexes) destimation
    de canal, les modulations différentielles de
    phases sont une bonne alternative.
  • Dans le cas des modulations MPSK différentielles,
    linformation est contenue dans les transitions
    de phase plutôt que dans la phase absolue.
  • Commençons par lexpression du signal à
    transmettre sn durant lintervalle iN ? n lt (i
    1)N 
  • où pn représente une impulsion dénergie
    unité, ?0 la pulsation de la porteuse, ? la phase
    inconnue de la porteuse et ?i la phase codée
    différentiellement 

35
2. Les modulations différentielles de phase
  • La rotation de phase ??(di) dépend du symbole
    dentrée di ?0, 1, , M-1.
  • Exemple  Pour M 4 on a une DQPSK. Dans ce
    cas, di ?0, 1, 2, 3 et il y a quatre sauts de
    phase possibles 
  • Exprimons le signal sn de façon à pouvoir
    obtenir une structure générale dencodeur
    différentiel

di ??(di)
0 0
1 ?/2
2 ?
3 3?/2
36
2. Les modulations différentielles de phase
  • avec
  • Les équations précédentes montrent que I(i)
    et Q(i) sont fonctions de leurs valeurs
    précédentes I(i-1) et Q(i-1) et des valeurs
    sin(??(di)) et cos(??(di)). Ces dernières peuvent
    être précalculées et stockées dans une table de
    LUT. Les expressions précédentes nous permettent
    détablir la structure générale dun modulateur
    de phase différentiel 

37
2. Les modulations différentielles de phase
  • Exemple modulateur DBPSK

di ??(di) cos(??(di)) sin(??(di))
0 ? -1 0
1 0 1 0
38
2. Les modulations différentielles de phase
  • On remarque que 
  • I(i) I(i-1) cos(??(di))
  • Q(i) 0
  • La structure de lémetteur se simplifie 
  • Exercice encoder la séquence binaire bk 1 0
    0 1 0 0 1 1 en DBPSK. On considérera que dk-1
    1.

39
2. Les modulations différentielles de phase
  • Décodage des signaux DMPSK  récepteur cohérent
  • On peut montrer que la structure suivante

40
2. Les modulations différentielles de phase
  • Permet dimplémenter la règle de décision
    suivante
  • Performance des modulations différentielles

41
3. OFDM
  • Pourquoi OFDM
  • Lorsque le canal est sélectif en fréquence et que
    le débit doit être important.
  • Idée de base
  • Le spectre du signal à transmettre est divisé en
    N sous-canaux en bande étroite

42
3. OFDM
  • linfluence du canal se résume à un facteur
    complexe pour chaque sous-porteuse
  • Dans le cas dune transmission en série (une
    seule porteuse)
  • Le délai maximal ?max gtgt durée symbole Ts
  • IES
  • égalisation temporelle complexe
  • Dans le cas dune transmission parallèle
    (plusieurs porteuses)
  • Le délai maximal ?max ltlt durée symbole Ts
  • peu ou pas dIES
  • égalisation fréquentielle simple

43
3. OFDM
  • Exemple
  • Rythme symbole 10 Mbits/s
  • Transmission BPSK ? B 10MHz
  • Canal multitrajet de ?max 10?s
  • Transmission monoporteuse TS,SC 0,1?s
    ?max/100
  • lIES sétend sur 100 symboles
  • Transmission multiporteuses
  • Nombre de porteuses N 1000
  • Durée dun symbole OFDM TS,MC N.TS,SC
    10.?max
  • Intervalle de garde Tg ? ?max 0,1TOFDM
  • Pas dIES

44
3. OFDM
  • Fonctionnement

45
3. OFDM
  • Cas monoporteuse
  • Cas multiporteuses

46
3. OFDM
  • Signal à temps discret du ième bloc OFDM
  • ? On peut limplémenter à laide dalgorithmes de
    FFT

(IDFT)
47
3. OFDM
  • Spectre OFDM

48
3. OFDM
  • Orthogonalité des porteuses
  • Sous-porteuse OFDM k
  • Les sous-porteuses sont orthogonales

49
3. OFDM
  • Intervalle de garde ou préfixe cyclique
  • Intervalle de garde TG
  • Pour enlever totalement lIES, la durée de
    lintervalle de garde doit être supérieure au
    retard maximum ?max du canal

50
3. OFDM
  • Paramètres de conception

Invariant en temps pendant la durée Ts dun
symbole OFDM Non sélectif en fréquence dans la
bande ?f dune sous-porteuse
51
3. OFDM
  • Transmission sur canal multitrajet
  • Les symboles OFDM peuvent être traités séparément
    puisque la présence de Tg garanti une absence
    dIES

52
3. OFDM
  • Démodulation OFDM
  • Démodulation cohérente
  • Connaissance du canal indispensable
  • Démodulation différentielle
  • Pas de connaissance de létat du canal nécessaire

Linfluence du canal est supprimée que ce soit en
phase et en amplitude
Linformation est modulée différentiellement par
rapport au symbole précédent
53
3. OFDM
  • Symboles pilotes
  • Il faut connaître les facteurs Hi,k complexes
    pour la démodulation cohérente
  • Des symboles connus (pilotes) peuvent être
    utilisés pour estimer le canal

54
3. OFDM
  • OFDM chaîne de transmission complète

55
3. OFDM
  • Les inconvénients
  • Lamplitude dun symbole OFDM subit de larges
    fluctuations ? non linéarités dans les amplis
  • Les distorsions induites affectent les canaux
    adjacents ? filtrage
  • Certaines sous-porteuses peuvent être très
    affaiblies ? flat fading dans les sous-canaux
    doù nécessité de CCE
  • Un léger décalage de la fréquence des
    sous-porteuses induit une perte dorthogonalité
    et donc lapparition dIES ? nécessité dune
    synchronisation fréquentielle précise.

56
3. OFDM
  • Exemple dutilisation dOFDM sur canal COST207 TU

57
4. Les MCT
  • Les modulations codées en treillis (MCT)
  • Le problème de lefficacité spectrale
  • Pour transmettre un débit important sur un canal
    à BP limitée on choisit des modulations à haute
    efficacité spectrales (64QAM-256QAM)
  • Malheureusement pour un Eb/N0 fixé le TEB sélève
    et il faut donc utiliser un CCE ? augmentation du
    débit global pour conserver le débit utile ?
    augmentation de BP !
  • Idée de Ungerboeck placer le CCE dans la
    modulation gt codage dans lespace des signaux.

58
4. Les MCT
  • Point de départ de lidée dUngerboeck la
    capacité du canal

59
4. Les MCT
  • Exemple on souhaite transmettre un débit utile
    de 2bits/symboles en utilisant une modulation à
    221 8 points ? 8PSK
  • Mapping by set partitioning

60
4. Les MCT
  • Création du treillis de lencodeur convolutif
    associé en appliquant les règles dUngerboeck
  • Contrairement à lapproche classique,
    lassociation entre le code de sortie du codeur
    convolutif et les points de la constellation va
    se faire dans le sens de la maximisation de la
    distance Euclidienne entre les points.
  • Règle 1 Tous les signaux doivent apparaître
    avec la même fréquence en respectant un minimum
    de régularité et de symétrie
  • Règle 2 Les transitions partant où rejoignant
    un même état reçoivent les signaux des
    sous-ensembles B0 ou B1
  • Règle 3 Les transitions parallèles (présence de
    bits non codés) reçoivent les signaux des
    sous-ensembles C0, C1, C2 ou C3.

61
4. Les MCT
  • Treillis

Sorties en fonction des entrées
62
4. Les MCT
  • Construction de lencodeur
  • Comment passer du treillis à la table de vérité
    de lencodeur ?
  • Lecture du treillis
  • Tableaux de Karnaugh et simplifications logiques

Sorties
Entrées
u(2) u(1) S3 S2 S1 S3 S2 S1 v(2) v(1) v(0)
0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
0 1 0 0 0 0 0 0 1 0 0
1 0 0 0 0 0 1 0 0 1 0
1 1 0 0 0 0 1 1 1 1 0
0 0 0 0 1 1 0 0 0 0 1
etc.
63
4. Les MCT
  • Construction de lencodeur
  • Comparaison des performances avec le meilleur
    code convolutif de R 2/3

64
4. Les MCT
  • Décodage Viterbi à entrée souple

Les entrées ne sont plus des valeurs binaires
mais directement les valeurs des points de la
constellation (réels complexes)
65
4. Les MCT
  • ? Meilleure capacité de correction avec une
    meilleure efficacité spectrale.

66
4. Les MCT
  • Gain de codage
  • Distance libre au carré minimale d2free cest
    la plus petite distance Euclidienne au carré
    entre deux séquences qui divergent puis
    convergent à nouveau.
  • Exemple précédent
  • Gain de codage asymptotique il est donné par
  • E et E représentent respectivement lénergie de
    la constellation codée et lénergie de la
    constellation non codée. d2min représente la
    distance Euclidienne au carré minimale entre deux
    points de la constellation non codée.
  • Exemple précédent
  • E E 1J, d2min 2, d2free 4,586 ? ? 3,6dB

67
4. Les MCT
  • Il existe différents codes MCT pour différentes
    modulations et différentes longueurs de
    contrainte

8PSK
16QAM
68
SUJETS DETUDE
  • Technologie MIMO et codes temps-espace
  • Les techniques détalement de spectre
  • Les télécommunications spatiales
  • Les techniques destimation de canal
  • Les turbo-codes et les LDPC
  • Les codes de Reed-Solomon
  • Les technologies de radio et de télévision
    numériques
  • Les nouvelles architectures de télécommunications
  • La technologie ULB
  • Les méthodes daccès multiple

69
SUJETS DETUDE
  • Vous devrez rédiger un document de synthèse de 4
    pages comportant obligatoirement un résumé de 10
    lignes en Anglais et une bibliographie. A rendre
    pour le mercredi 8 mars.
  • Vous devrez faire une présentation orale de 10mn
    le 10 mars de 14h à 18h.
  • Attention ce travail doit être technique ? pas du
    style comment ça marche pour les Béotiens !

70
5. Techniques avancées
  • Avantage ?
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