Mod - PowerPoint PPT Presentation

About This Presentation
Title:

Mod

Description:

Une autre attitude L hypoth se agentive homme et machine sont deux types d agents cognitifs la ... les tuteurs intelligents Premi re approche de ... – PowerPoint PPT presentation

Number of Views:126
Avg rating:3.0/5.0
Slides: 58
Provided by: lif66
Category:

less

Transcript and Presenter's Notes

Title: Mod


1
Modèles de dialogue,Application au dialogue
Homme-machine
  • 1. Problématique
  • 2. Etude d'un dialogue
  • exemple
  • éléments de spécification
  • 3. Les modèles structuralistes
  • 4. L automatisation des modèles structuralistes
  • 5. Conclusion

2
1. ProblématiqueLes enjeux du dialogue
homme-machine
  • Pourquoi un dialogue homme-machine plutôt quune
    interaction
  • par manipulation directe
  • par assistance  dirigée 
  • La réponse dépend
  • de la nature et de la complexité de la tâche
  • la catégorie d utilisateurs que lon veut servir
  • la manière dont on souhaite aborder linteraction

3
Quelles sont les tâches répertoriées ?
  • la recherche d information
  • ex recherche dun ouvrage, dun renseignement,
    requête sur une base de données
  • la réalisation dune action
  • ex réservation (transports, logements, etc.)
  • le diagnostic sur une situation
  • ex diagnostic médical, diagnostic de panne
  • lanalyse interprétative pour l aide à la
    décision
  • ex analyse de flux boursiers
  • lenseignement
  • ex les tuteurs intelligents

4
Première approche de la complexité de la tâche
  • Une complexité par le cahier des charges
  • recherche dinformation
  • information fournie oui ? non ?
  • utilisateur satisfait oui ? non ?
  • réalisation dune action
  • action demandée réalisée oui ? non ?
  • si non, autre action réalisée ?
  • utilisateur satisfait oui ? non ?
  • diagnostic dune situation
  • problèmes sur la nature de la tâche trace dun
    raisonnement ?
  • explication dun raisonnement ? ou présentation
    du résultat ?

5
  • aide à la décision
  • dépend complètement du cahier des charges fixé au
    concepteur
  • peut être vue comme une combinaison des trois
    premiers types de tâche
  • enseignement
  • le système devrait
  • fournir des informations
  • être explicatif
  • contrôler le niveau de connaissances de
    lutilisateur
  • contrôler lacquisition des connaissances par
    lutilisateur
  • réaliser des actions pédagogiques

6
Quels sont les utilisateurs visés ?
  • le tout public (recherche dinformation générale,
    ou réalisation de certaines actions)
  • les apprenants (systèmes denseignement)
  • les professionnels (diagnostic, aide à la
    décision, réalisation d une action)
  • la modélisation de lutilisateur nest pas la
    même en fonction des tâches

7
Niveau souhaité pour linteraction
  • Intérêt d'une interface en langue
  • contraindre le langage des utilisateurs
  • langage non contraintavoir une couverture
    linguistique aussi large que possible
  • circonscrire le langage-cible pour une
    application donnée.
  • Objectif dialogue finalisé orienté vers le
    traitement d'une tâche.
  • Aller au-delà d'un système de question réponsegt
    prendre en compte le dialogue

8
2. Etude d'un exemple
  • Conventions
  • Corpus de dialogue (Luzzati 1989) (V employé
    SNCF, C client)
  • Le numéro correspond au tour de parole.
  • Chaque tour de parole s appelle
     Intervention .
  • Un ensemble de tours de parole correspondant à un
     thème  donné s appelle  Echange .
  • Les échanges peuvent être
  • principaux concerner la thématique principale
    du dialogue
  • secondaires concerner un point de détail à
    éclaircir
  • Un échange est clos lorsque le but défini par
    l intervention qui amorce l échange est atteint.

9
Contenu de l exemple de dialogue
  • V1 SNCF bonjour quel renseignement désirez-vous
    obtenir ?
  • C1 jaimerais avoir un renseignement pour un
    aller pour Paris Lorient, savoir lheure exacte
    dans laprès-midi du vendredi vingt sept, douze
    quatre vingt sept.
  • V2 vers quelle heure désirez-vous partir ?
  • C2 vers cinq heures
  • V3 un corail 1ère et 2ème classe part à la gare
    de Paris-Montparnasse à 17h03mn arrive à la gare
    de Lorient à 22h07mn. Ce train comporte un
    supplément de la gare Montparnasse à la gare de
    Rennes ce train vous convient-il?
  • C3 oui . y en aurait-il un autre un peu plus
    tard ou alors un autre train qui mette moins de
    temps pour arriver à Lorient.

10
Exemple (suite)
  • V4 un express 1ère et 2ème classe part de la
    gare de Paris-Montparnasse à 19h14mn arrive à la
    gare de Lorient à 0h19mn ce train vous
    convient-il?
  • C4 oui, mais je crois que je préfère le premier
    celui là de dix sept heures trois à vingt deux
    heures zéro sept et quand on parle de supplément
    cest-à-dire que cest le tarif qui change
  • V5 oui il s'agit du tarif
  • C5 oui ça serait combien le tarif ?
  • V6 désirez-vous un aller simple ou laller
    retour?
  • C6 laller simple.

11
Exemple (suite)
  • V7 en quelle classe voyagez-vous?
  • C7 en deuxième classe .
  • V8 le biller 2ème classe aller simple
    Paris-Lorient coûte 249F avec le supplément de
    26F
  • C8 le supplément est compris dans les 249F.
  • V9 oui le supplément de 26F est compris.
  • C9 bon je vous remercie, cest tout.

12
Problèmes de la gestion de dialogues
  • Compréhension de la langue
  • ellipse
  • DEFINITIONDans certaines situations de
    communication ou dans certains énoncés, des
    éléments d'une phrase donnée peuvent ne pas être
    exprimés, sans pour cela que les destinataires
    cessent de se comprendre.
  • EXEMPLES
  • V6 désirez-vous un aller simple ou laller
    retour?C6 laller simpleellipse pour je
    désire un aller simple
  • V7 en quelle classe voyager-vous?C7 en
    deuxième classe ellipse pour je voyage en
    deuxième classe

13
  • anaphore
  • DEFINITIONL'anaphore est un processus syntaxique
    consistant à reprendre par un segment, un pronom
    en particulier, un autre segment du discours, un
    syntagme nominal par exemple. Le segment
    représenté est dit antécédent.
  • EXEMPLEC4 quand on parle de supplément
    cest-à-dire que cest le tarif qui
    changeanaphore le tarif pour le tarif du
    trajet Paris-Lorient

14
Bases de Connaissances
  • BD sur les horaires SNCF
  • Reconnaître les buts de l'usager
  • prendre un train
  • attendre quelqu'un à l'arrivée
  • EXEMPLE
  • C1 jaimerais avoir un renseignement pour un
    aller pour Paris Lorient, savoir lheure exacte
    dans laprès-midi du vendredi vingt sept, douze
    quatre vingt sept.
  • V2 vers quelle heure désirez-vous partir
    ?inférence sur le but de l'usager prendre le
    train

15
Reconnaître le thème de chaque intervention
  • Exemple
  • C5 oui ça serait combien le tarif ? prix du
    billet
  • V6 désirez-vous un aller simple ou laller
    retour? type de trajet
  • C6 laller simple type de trajet
  • V7 en quelle classe voyager-vous? classe
  • C7 en deuxième classe classe
  • V8 le billet 2ème classe aller simple
    Paris-Lorient coûte 249F avec le supplément de
    26F prix du billet
  • C8 le supplément est compris dans les
    249F supplément
  • V9 oui le supplément de 26F est
    compris supplément

16
Relation entre thèmes(McCoy Cheng 1990)
  • inter-relier les thèmes

17
Historique du dialogue
  • Mémoriser l'historique du dialogue
  • requêtes de C auquel V a répondu
  • questions de V auxquelles C a répondu
  • V6 désirez-vous un aller simple ou laller
    retour?
  • C6 laller simple
  • V7 en quelle classe voyager-vous?
  • C7 en deuxième classe
  • requêtes de C en attente
  • C5 oui ça serait combien le tarif ?en attente
    jusqu'à V8

18
3.Les modèles structuralistes
  • objectif structurer un dialogue pour pouvoir
  • anticiper (sur l intervention probable de
    lutilisateur)
  • satisfaire (lattente de l utilisateur)
  • hypothèse les dialogues finalisés suivent une
    syntaxe
  • moyens donner une grammaire du dialogue
  • montrer comment le dialogue se réécrit
  • en fonction de lunité thématique
  • en fonction de la complétude interactionnelle
    (Ecole de Genève) (Références Roulet et al. 85,
    Moeschler 85, 89)

19
Essai de structuration de lexempledaprès
lunité thématique
  • Pour organiser les interventions les unes par
    rapport aux autres.

20
Définition des unités
  • Unités discursives
  • Echange (E)
  • Intervention (I)
  • Acte discursif(A)
  • Interaction (In) une instance de dialogue.
  • Définitions
  • Echange plus petite unité dialogale composant
    lInteraction
  • Exemple
  • Voulez-vous une cigarette ?
  • Oui, merci.

21
Définition des unités (suite)
  • Intervention plus petite unité monologale
    composant l échange
  • Exemple
  • Ce que vous venez de dire me paraît
    incompréhensible. Ce serait bien si vous pouviez
    le répéter.
  • l acte discursif plus petite unité composant
    l intervention. Acte de langage.
  • Exemple
  • l intervention précédente est composée de deux
    actes discursifs différents. Lun est déclaratif.
    Lautre exprime une demande.

22
l interaction est conventionnelle
  • Elle obéit à des lois sociales protocolaires
    (Goffman 1973, Grice 1975) .
  • Elle est soumise à un principe de complétude
  • l interaction est complète si
  • les deux interlocuteurs sont satisfaits
  • les lois sociales (implicatures conventionnelles)
    sont observées.
  • la complétude est une contrainte dun dialogue
    bien mené. Il existe deux règles de complétude.

23
Règles de Complétude
  • 1. Complétude interactive
  • régule la clôture de léchange
  • satisfaite si
  • intervention initiative -gtintervention réactive
    conforme
  • non satisfaite si
  • intervention initiative -gtouverture dun échange
    subordonné
  • remarque il y a souvent dans la littérature,
    confusion entre
  • échange et intervention. (complétude interactive
    de l intervention)

24
Règles de Complétude
  • 2.Complétude interactionnelle
  • régule la complétude de l interaction
  • règle du double accord
  • satisfaite si
  • intervention réactive-gtintervention initiative
    dun nouvel échange
  • non satisfaite si
  • intervention initiative -gtintervention réactive
    de relance
  • remarque il y a souvent dans la littérature,
    confusion entre
  • interaction et échange. (complétude
    interactionnelle de l échange)

25
Une typologie des échanges
  • (Goffman 1973, Moeschler 1985)
  • Echanges confirmatifs
  • ouverture et clôture de l interaction.
    (implicature conventionnelle)
  • Exemple
  • Bonjour
  • Bonjour.
  • Echanges réparateurs
  • réparation d une offense
  • rétablissement d un équilibre interactionnel
    (implicature conventionnelle)

26
Une typologie des échanges
  • Exemple déchange réparateur
  • Excusez-moi
  • Pas de quoi.
  • les échanges réparateurs induisent parfois des
    cycles.
  • Exemple de cycles
  • peux-tu me passer le sel ?
  • mais oui bien sûr
  • merci beaucoup
  • pas de quoi.

premier cycle
deuxième cycle
27
Une typologie des échanges
  • Echanges négatifs
  • un tour de parole négatif (réponse) peut induire
    un type d échange dinsistance.
  • Exemple déchange négatif
  • A1 tu viens au cinéma ce soir ?
  • B1 ça me plairait mais j ai du travail.
  • A2 viens quand même, cela te détendra.
  • B2 tu as raison
  • A3 parfait.

28
Une typologie des échanges
  • Echanges enchâssés
  • Un échange inclus dans un autre échange. La
    reconnaissance de l échange se fait
  • selon sa typologie
  • selon sa thématique
  • Exemple déchanges enchâssés
  • A1 Quelle heure est-il ?
  • B1 Tu nas pas de montre ?
  • A2 Non.
  • B2 Il est midi
  • A3 Merci
  • B3 Pas de quoi.

unité thématique montre
29
exemple de structuration arborescente
  • E1 et E2 sont enchâssés.

A1
B1
E2
E1
A2
montre
heure
In
B2
A3
E3
clôture réparation
B3
30
Relations illocutoires
  • Les relations illocutoires relient les
    constituants dun échange
  • fonctions illocutoires initiatives
  • fonctions illocutoires réactives
  • fonctions illocutoires initiatives/réactives
  • Référence Moeschler 85

31
Exemple
  • C4b- quand on parle de supplément cest-à-dire
    que cest le tarif qui change ?
    demande de confirmation
  • V5 oui il s'agit du tarif confirmation
  • C5 oui ça serait combien le tarif ? demande
    d'information
  • V6 désirez-vous un aller simple ou laller
    retour? demande d'information
  • C6 laller simple réponse positive
  • V7 en quelle classe voyager-vous? demande
    d'information
  • C7 en deuxième classe réponse positive
  • V8 le biller 2ème classe aller simple
    Paris-Lorient coûte 249F avec le supplément de
    26F réponse positive
  • C8 le supplément est compris dans les 249F ?
    demande de confirmation
  • V9 oui le supplément de 26F est
    compris confirmation
  • C9 bon je vous remercie, cest tout.
    acceptation

32
demande de confirmation
confirmation
demande d'information
demande d'information
réponse positive
demande d'information
réponse positive
réponse positive
demande de confirmation
confirmation
acceptation
33
Une grammaire du dialogue
  • les grammaire du dialogue ont inspiré l école
    française du dialogue homme-machine (Sabah 1989,
    Joab 1990, Siroux et Bilange 1992, Prince et
    Pernel 1995, etc.)
  • la grammaire suivante est
  • issue de Sabah 1989, réaménagée selon la
    définition originelle
  • écrite en forme Backus-Naur

34
Une grammaire du dialogue
  • Interaction ltnégociationgt
  • négociation ltinitiative, réaction, évaluationgt
  • initiative ltéchangegt ltinterventiongt
  • réaction ltéchangegt ltinterventiongt
  • évaluation ltinterventiongt ø
  • intervention ltacte discursifgt
  • échange ltintervention, échange secondaire
    ltintervention, négociationgt
  • échange secondaire ltintervention,interventiongt

35
Comment instancier une grammaire du dialogue
  • Peut dépendre des éléments à mettre en valeur
  • types dactes discursifs (actes de langage)
  • type de tâche à réaliser
  • enseignement
  • information
  • diagnostic
  • Exemples sur un corpus médical

36
Relations entre unités discursives
  • Relations interactives entre les constituants de
    lintervention
  • relations argumentatives

intervention ltAs, Apgt
37
EXEMPLE rôle du connecteur car
  • exemples tirés de Joab Rossari 98, analyse du
    corpus SATIN (diagnostic médical en médecine
    néonatale)

38
Relations interactives
  • relations contre-argumentatives

39
Relations interactives
  • relations de reformulation

40
Exemple d'un échange secondaire
  • Avec une définition complémentaire de
    l intervention
  • ltinterventiongtltintervention, échange secondairegt

41
Exemple de structuration d'un dialogueargumentati
f
42
4. l automatisation des modèles structuralistes
  • Plusieurs modèles s inspirant du modèle de
    Genève
  • Intérêt dun modèle syntaxique
  • La structure du dialogue
  • isole les phases successives
  • détecte si les attentes dun locuteur sont
    remplies
  • mémorise les éléments sur lesquels les
    participants pourront revenir
  • reflète la compréhension de l'interaction vue par
    un observateur extérieur.
  • assure un suivi global de linteraction

43
Difficultés de l'automatisation
  • Reconnaissance de la fonction illocutoire(FI)
  • Caractère dynamique
  • Suivi thématique

44
Base de connaissances de structuration(ref Joab
et Rossari 1998)
  • IENCOURS intervention à analyser (FI fC)
  • IANTE intervention précédente (FI fA )

45
  • RÈGLE 1A POURSUITE DE LÉCHANGE EN COURS
  • Si fA est initiative et fC réactive
  • et fA et fC sont en adéquation
  • et IANTE et IENCOURS ont le même thème
  • Alors IANTE et IENCOURS sont au même niveau de
    léchange EENCOURS

46
  • RÈGLE 2 OUVERTURE DUN ÉCHANGE SUBORDONNÉ
    (SECONDAIRE)
  • Si fA est initiative et fC initiative
  • et IENCOURS et IANTE ont des thèmes distincts et
    en relation
  • Alors IENCOURS ouvre un échange subordonné ESUB.

47
  • RÈGLE 3B CLÔTURE DUN ÉCHANGE SUBORDONNÉ
  • Si IENCOURS et ESUB présentent des thèmes
    différents
  • et IENCOURS et IPREM de ESUB sont issues du même
    locuteur
  • alors ESUB est clos
  • construire une structure de type Ip, Es

48
Architecture d un système de dialogue
Homme-machine(Vilnat et Sabah 1989, Nicaud et
Prince 1991)
analyse linguistique
BC linguistique
BC application
interprétation thématique
stratégies de dialogue
historique dialogue
gestion de l interaction
génération
modèle de l utilisateur
49
Gestion de l'interaction
  • évalue la bonne formation du dialogue en termes
    d'échanges non clos
  • contrôle du dialogue en cas d'incompréhension
    de la phrase de l'utilisateur
  • demande à l'utilisateur de reformuler sa phrase
  • reformule la dernière question du système
  • demande de recommencer une partie du dialogue
  • si les intentions ne sont pas claires
  • demande une confirmation pour valider
    l'interprétation
  • demande une précision si l'énoncé est trop vague
  • reprend une partie du dialogue si une impasse est
    détectée.

50
  • Un gestionnaire de dialogues élaboré
  • pour mieux comprendre l'interaction,
  • pour rattraper les ratés de l'interaction,
  • pour mieux répondre aux attentes de
    l'utilisateur.
  • De nombreuses bases de connaissances
  • interpréter les buts de l'usager
  • contrôler le dialogue
  • interpréter le thème

51
5.Conclusion sur les modèles de dialogue et le
dialogue Homme-machine
  • Comment étudier une forme de dialogue qui
    n'existe pas encore ?
  • étude des interactions humaines analogues
  • dialogue oral homme-homme
  • Comment extrapoler à partir du comportement
    verbal le comportement des futurs utilisateurs ?
  • Comment transposer au DHM ?

52
Étude des interactions entre un système
d'information et un utilisateur
  • problème ce système n'existe pas encore.
  • dialogue homme-machine simulé technique du
    magicien d'Oz
  • Les sujets pensent parler à un système
    automatique.
  • Le système est simulé par un expérimentateur.

53
  • contraintes de l'expérimentation
  • Le compère est un professionnel .
  • La frappe de la réponse doit être rapide, sans
    fautes d'orthographe
  • le style des réponses doit être homogène
    (paramètre de l'expérimentation)
  • un professionnel et un expérimentateur qui frappe
    la réponse.
  • le comportement du compère
  • Il induit le comportement du sujet. Le sujet se
    forme une image des compétences de la machine.
  • Les sujets confrontés à une machine contrainte
    dans sa syntaxe et son vocabulaire utilisent des
    commandes plus brèves et un vocabulaire moins
    étendus.

54
  • protocole
  • quelles sont les limites de son domaine de
    compétences ?
  • quelles sont les limites en termes de
    compréhension ?
  • Quel style doit adopter le compère ?
  • Quel est le degré de coopération que doit marquer
    le compère ?
  • Expérimentation 75 sujets pour le corpus PLUS
    (ref Prince et Pernel 1994)
  • sujet recherche d information dans les pages
    jaunes de l annuaire
  • deux scénarios restaurant et location de
    voitures.

55
  • Bilan des expériences Magicien d'Oz
  • aucun sujet ne doute d'avoir affaire à une
    machine.
  • les dialogues allaient de 8 tours de parole à 72.
  • les dialogues sans implicature conventionnelle
    n existent pas dans le corpus.
  • Une telle expérimentation est indispensable mais
    elle ne constitue qu'une première étape dans la
    conception d'une interface en langue.

56
Une autre attitude
  • L hypothèse agentive
  • homme et machine sont deux types d agents
    cognitifs
  • la communication entre ces deux types dagent
    doit être compatible
  • avec les connaissances de chaque agent
  • le mode d expression (choix du mode)
  • l idée de coopération en vue d un but commun
  • la communication, quelle soit en langage naturel
    ou pas, peut échouer dans un certain nombre de
    cas.
  • fonction de  coût cognitif  du message.

57
que je n ai hélas pas le tempsde développer
  • ref Prince 1996
  •  vers une informatique cognitive dans les
    organisations le rôle central du
    langage ...Editions Masson, collection
     Sciences Cognitives .
Write a Comment
User Comments (0)
About PowerShow.com