LA TME des IST I - PowerPoint PPT Presentation

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LA TME des IST I

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Transmission l'accouchement lors du passage dans la fili re g nitale. ... l'enfant et inciter lui administrer pr ventivement de l'aciclovir comme dans ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: LA TME des IST I


1
LA TME des IST (I)
  • FREQUENTE
  • CONCERNE
  • - La syphilis
  • - La gonococcie
  • - Les infections à Chlamydiae
  • - Lherpès
  • - HIV (rôle du paludisme)
  • - H P V - H B V
  • Sans oublier leffet délétère sur la grossesse et
    laccouchement de
  • - Infection à trichomonases
  • - Bactériose vaginale.

2
La TME des IST (II)
  • Les mécanismes sont divers
  • - Transmission in-utéro
  • - Syphilis
  • - HIV ( rarement)
  • - HBV
  • - Transmission à laccouchement lors
    du passage dans la filière génitale.
  • - Gonococcie
  • - Infections à chlamydiae
  • - Herpès
  • - Infections HPV
  • - Transmission par lallaitement
  • - HTLV I
  • - HBV
  • - HIV

3

H T L V 1
Le provirus, intégré dans le génome cellulaire ,
peut - Rester quiescent-Déclencher la synthèse
de nouveaux virus- Immortaliser la
celluleLa protéine TAT joue une rôle dans la
transplantation cellulaire.
4
(No Transcript)
5
La répartition dHTLV-I a été étudiée dans 7
villages voisins peuplés principalement par 2
ethnies(K et B)
  • Le taux de prévalence global danti HTLV.I était
    de 8,5 (106/1240)il augmentait avec lâge,
    était plus élevé chez les femmes que chez les
    hommes(10,7, 75/801 vs 5,8 ,31/539X2 11,30
    plt0,002) et dans lethnie K par comparaison avec
    lethnie B (11,0,88/799 vs 3,4,11/333,X216,7
    plt0,001).Il variait significativement selon les
    villages.Ces données montrent lhétérogénéité de
    répartition danti-HTLV-I à léchelle dune
    communauté géographiquement circonscrite

6
TABLE 3 .Seroprevalence rates of HTLV-1 according
to village
  • VILLAGES
  • A B C D E F G Total
  • Total 185 380
    188 73 300 57 57
    1240
  • HTLV-I N 33 30 13
    8 15 4 3
    106
  • 17,8 7,9
    6,9 11,0 5,0 7,0 5,3
    8,5

7
Sexual Transmission of Human T-Lymphotropic Virus
Type I (HTLV-I)
  • Two urban , primary care clinics for persons with
    sexually transmitted diseases run by the Jamaican
    Ministry of Health.
  • Overall HTLV-I seroprevalence was 5,7 ,
    prevalence increased with age from 1,6 to 5,1,
    in men and from 5,3 to 14,1 in women.
  • Independent risk factors for HTLV-I infection in
    women included having had more than ten lifetime
    sexual partners and a current diagnosis of
    syphilis.
  • ConclusionsWe conclude that HTLV-I is
    transmitted from infected men to women during
    sexual intercourse.

8
TABLE 5 . Association between HTLV-I and syphilis
seropositivity
  • HTLV-I

  • - Total
  • SYPHILIS 19
    83 102
  • - 87
    1051 1138
  • TOTAL 106
    1134 1240

9
Male to Female Transmission of Human
T Cell Lymphotropic Virus Types I and II
Association with Viral loadSummaryRisk factors
for male-to-female sexual transmission of human T
lymphotropic virus types I and II were
investigated among HTLV seropositive volunteer
blood donors and their long term (gt 6 month) sex
partners.Among 31 couples in whom HTLV-infected
men likely transmitted infection to their
partners and 25 male-positive female-negative
couples, HTLV transmitter men had been in their
relationships longer, and had higher viral loads.
10
Risk Factors for HTLV-I Among Heterosexual
STATUS Clinic Attenders
  • Summary Human T-Cell Lymphotropic virus type 1
    (HTLV-I status assessed in 994 patients attending
    a sexually transmitted disease (STD) clir
    Kingston, Jamaica.
  • In world associations were shown for two or more
    sex partners in the 4 weeks prie complaint
  • OR 4.9 aged lt15 years at first sexual
    intercourse.
  • OR 2,7 microhaemagglutination-treponema
    pallidum positivy .
  • OR 3,6 STDs and bruising during sex
    may facilitate sexual transmission of HTLV-I
    whereas sexual activity is a more important risk
    factory women tan men.

11
Mother-to-child transmission of human T-Cellule
lymphotropic Virus Types I and II (HTLV-I/II) in
Gabon A prospective Follow-up of 4 years
  • For 4 years, we determined the mode and risk of
    mother to-child transmission of HTLV-I in a
    prospective cohort of 34 children born to
    seropositive mothers in Franceville, GABON.
  • The risk of seroconversion to anti-HTLV-I for the
    4 years of follow-up was 17 ,5
  • The lack of detection of HTLV-I/II proviral DNA
    in cord blood and amniotic fluid and ,
    furthermore, the late seroconversion observed in
    the children indirectly indicate that
    mother-to-child transmission occured postnatally
    probably through breast milk.

12
EPIDEMIOLOGIE de lHERPES NEO NATAL
  • Estimation US de lincidence
  • -1/2 000 à 1/5 000
    accouchements
  • -ce qui fait en France 250
    cas par an en
    moyenne.
  • Lorigine est 9 fois sur 10 une infection
    génitale de la mère
  • Le principal mécanisme est le passage à travers
    les voies génitales infectées lors de
    laccouchement
  • Dans une minorité de cas lenfant est infecté
  • - in utéro (voie
    ascendante à travers les membranes
  • ovulaires ou lors
    dune virémie contemporaine
  • de la primo infection
    maternelle).

13
DESCRIPTION de lHERPES NEONATAL
  • A FORMES DISSEMINEES
  • - les signes apparaissent dès la 1ère semaine,
    voire parfois à la naissance
  • -signes neurologiques convulsions (50 des
    cas)
  • -signes non spécifiques refus de boire,
    vomissement,fièvre,ictère, atteinte respiratoire
    ?
    intense
  • -érythème vésiculeux (50 des cas) souvent
    retardé
  • -80 de mortalité par polydéfaillance viscérale
  • -avec aciclovir mortalité à 1 an de 50 mais
    lourdes séquelles neurologiques chez 40 des
    survivants.

14
DESCRIPTION de lHERPES NEO NATAL
  • B- F localisées au SNC
  • -début plus tardif , vers le 10 ème
    jour , mais parfois jusquà 4 semaines.
  • -méningo encéphalite à début progressif
    avec convulsions
  • -lésions cutanées dans 50 des cas.
  • -LCR non spécifique mais images spécifiques de l
    EEG
  • -mortalité immédiate de 15 sous ACV mais 50
    de séquelles
  • C- F localisées superficielles
  • -Kérato conjonctivite rare, mais séquelles
    fréquentes
  • -atteinte cutano muqueuse isolée (10 des cas)
    avec bouquet de vésicules au niveau de la
    présentation
  • -lésions isolées de la cavité buccale.

15
Les manifestations de lherpès génital maternel
en relation avec lherpès néo-natalquatre
situations et propositions de conduites à tenir
16
SITUATION I
  • La situation à risque maximale est la
    manifestation initiale dun herpès génital en
    pré-partum(période que par précaution on peut
    étendre jusquà un mois avant le terme, pour
    tenir compte de la longue durée de lexcrétion
    virale en pareil cas).. Par définition , la
    primo- infection résulte de la première
    rencontre, à loccasion dun contact sexuel, dun
    virus herpès simplex de type 1 ou de type 2
    (HSV/1 ou HSV/2) par un sujet qui aurait échappé
    à la primo -infection orale HSV/1 survenant
    habituellement dans lenfance.
  • En pratique ,les deux formes dherpès génital
    initial en pré-partum commandent sans discussion
    la césarienne, à faire si possible avant la
    rupture de la poche des eaux. Mais les échecs de
    la césarienne en matière de prévention de
    lherpès néonatal, estimés en moyenne à 10 des
    cas, sont à craindre ici plus quailleurs. Les
    craintes conduisent à compléter la césarienne par
    une administration daciclovir à la femme
    elle-même avant lacte chirurgical, ainsi quà
    lenfant après la naissance.
  • Lheureuse rareté de cette situation rend
    difficile lévaluation scientifique de ce double
    traitement.
  • En tout cas ,ladministration daciclovir par
    voie veineuse simposerait chez lenfant qui
    naîtrait après un herpès génital primaire en
    pré-partum alors que la césarienne na pu être
    faite ,ou quelle a été faite trop tard (on la
    considère comme inefficace quatre à six heures
    après la rupture de la poche des eaux mais cette
    limite est arbitraire).

17
SITUATION II
  • La seconde situation, plus fréquente que la
    première ,est une récidive dherpès génital dans
    la semaine précédant le terme.
  • Le risque dherpès néonatal se trouve ici réduit
    par la discrétion des lésions, leur charge virale
    moindre et la réponse immunitaire pré-existante
    chez la future mère. Il est considéré de lordre
    de 2 ou lt 5 selon les estimations. Cest assez
    pour imposer laccouchement par césarienne si les
    lésions sont présentes lors du travail ou dans
    les quelques jours qui précèdent, mais la
    prescription daciclovir na plus ici de place.
    Même en cas daccouchement intempestif par voie
    basse, une surveillance clinico-virologique de
    lenfant devrait suffire,surtout si lon a
    procédé, comme il convient en pareil cas, à une
    désinfection préalable des voies génitales de la
    mère, de la peau et des conjonctives de lenfant
    comme cest décrit plus loin pour la situation
    III .Seuls les facteurs de risques additionnels
    (tableau IV)pourraient majorer les risques pour
    lenfant et inciter à lui administrer
    préventivement de laciclovir comme dans la
    situation I.

18
Les facteurs additionnels de risque dherpès
néonatal
  • Prématurité
  • Rupture prématurée de la poche des eaux
  • Pose délectrodes sur le scalp
  • Lésions herpétiques cervico-vaginales importantes
  • Prélèvements cervicovaginal ECP massif et rapide
    , en un jour.

19
Prévention et prise en charge des IST/IAR chez le
nouveau-né
  • 1-Prophylaxie oculaire néonatale
  • On administrera à tous les nouveau-nés, quil y
    ait ou non des signes ou des symptômes
    dinfection chez la mère, un traitement
    prophylactique contre la conjonctivite du
    nouveau-né, due à une infection à gonocoque ou à
    chlamidia. Les pommades et gouttes oculaires à
    utiliser sont présentées ci-dessous.
  • Prévention de la conjonctivite du nouveau-né
  • Instiller à la naissance une goutte dans chaque
    il dans lheure qui suit la naissance, de lun
    des produits suivants
  • -tétracycline pommade
    ophtalmique (1) en une seule application
  • -goutte diode à 2,5 ,
    en une seule application
  • OU
  • -nitrate dargent,
    solution aqueuse à 1 fraîchement préparée, en
    une seule application.
  • 2 Syphilis congénitale
  • Cest à ce stade quil faut reprendre
    les résultats du test de la syphilis, et
    rechercher chez le nouveau-né des signes de
    syphilis congénitale. Chez les femmes qui nont
    pas encore été testées, on effectuera un
    dépistage de la syphilis. Les résultats doivent
    être obtenus le plus rapidement possible, de
    façon à mettre en route sans délai un traitement
    pour le nouveau-né dont la mère a un résultat
    positif au test. Les nouveau-nés seront pris en
    charge, que la mère ait eu ou non un traitement
    contre la syphilis pendant la grossesse. La mère
    et son partenaire seront traités aussi, si tel
    na pas encore été le cas.

20
  • Douleurs pelviennes
  • GEU (50)
  • Stérilité (80 )

Infection génitale basse à C. trachomatis asymptom
atique dans plus de 50 des cas
BB
Anne Bianchi, Laboratoire départemental. Conseil
Général de Seine Saint Denis.abianchi_at_cg.93
21
(No Transcript)
22
Fréquence des formes cliniques de syphilis
congénitale d'une série de 53 Nouveau-nés CHAWLA
(13)
  • POURCENTAGE Nbre DE CAS
  • Faible poids de naissance 77 41
  • Hépatomégalie 53 28
  • Splénomégalie 51 27
  • Hépatosplénomégalie 49 26
  • Ictère 47 25
  • Lésions cutanées 38 20
  • Thrombopénie 38 12
  • Détresse respiratoire 19 10
  • Anasarque 6 3
  • Pseudoparalysie 4 2
  • Corysa 4 2
  • Anémie 50 16

Les numérations de la formule sanguine n'ont pu
être réalisées que pour 32 nouveau-nés.
23
(No Transcript)
24
(No Transcript)
25
(No Transcript)
26
(No Transcript)
27
(No Transcript)
28
(No Transcript)
29
(No Transcript)
30
Tricia J. Brown, Angela Yen-Moore and Stephen K.
Tyring,. J AM ACAD DERMATOL OCTOBER 1999
31
(No Transcript)
32
SYPHILIS CONGENITALE (Epidémiologie)
  • AFRIQUE SUBSAHARIENNE
  • 7 des femmes enceintes sont séropositives (2
    à 17 selon les statistiques)
  • ROYAUME UNI
  • 13 CAS regroupés en 4 ANS
  • MOSCOU
  • 230 CAS RECENSES EN 6 MOIS

33
(No Transcript)
34
(No Transcript)
35
(No Transcript)
36
(No Transcript)
37
(No Transcript)
38
TABLE 1. Reasons for cases of congenital
syphillis ,in ATLANTA,GA ,USA ,1990 -93
  • REASON NUMBER OF CASES
  • No antenatal care 70 (52) (a)
  • Positive test following previous negative test(b)
    27 (20)
  • Positive test ,but no treatment 17 ( 13 )
  • Therapy failure or reinfection(c) 15 (11)
  • No test or delayed test 5 (4)
  • TOTAL 134
  • a - figures in parentheses are percentages
  • b - Thes e could have been either cases of
    syphilis acquired during pregnancy or the result
    of an inaccurrate,initial negative test.
  • c -Ten women had a fourfold rise in titre
    following an initial decline in titre, suggesting
    reinfection, the remainder had an initial
    indeterminate response to therapy , suggesting
    treatment failure.

39
TABLE 2 Results of re-testing ad delivery women
who were seronegative earlier in pregnancy, in
selected developing countries
  • City Year Prevalence of
    Syphilis Prevalence among
  • at retesting (a) alla ttendees
  • Durban South Africa(54) 1993 5/178(2.8) (b) 11,0
  • Durban South Africa(54) 1995 9/329 (2.7) 9,4
  • Nairobi Kenya (47) 2000 155/12 414 (1.3) 3,0
  • Three Continents (35) 2002 78/20 320 (0.4) 0,9
  • Mwanza Tanzania (12) 2002 8/1001 (0.8) 7,7

a-positive by both reaginic and treponemal
antibody testing b-figures in parentheses are
percentages
40
TABLE 3 . Reported obstacles to universal
antenatal syphilis screening in sub -Sahara
Africa (n21)
  • Obstacle reported Number of project
  • to be important managers reporting each
    obstacle
  • Cost to patient of testing 10
  • Organization of services 7
  • Cost to patient of treatment 6
  • Transport costs to testing facility 4
  • Inadequate priority given by ministry of
    health 3
  • Social/cultural resistance 3
  • Holidays, absence of health workers 2
  • Lack of provider compliance/awareness 2

41
(No Transcript)
42
(No Transcript)
43
REFERENCE M. TEMMERMAN, F. MOHAMED ALI, L
.FRANSEN Syphilis prevention in pregnancy an
opportunity to improve reproductive and child
health in Kenya. Health planning and policy 8
(2) 122-127.1993 Follow-upsubmitted for
publication
44
Intervention
  • IMPUTS
  • Reogarnisation
  • - No referral for bleeding or treatment
  • - Immediate testing at the place of visit
  • - Quality control and supervision
  • Inclusion of counselling and partner
    notification.
  • Same inputs as earlier budget, diagnostics,
    drugs

45
BASELINE/ INTERVENTION

46
COSTS (DIRECT and INDIRECT)
  • 2.50 US per patient visiting
  • 11 Woman out of 291 tested (540 visiting) were
    found positive
  • Cost detecting one case66 US (only 1 out of 11
    adequate treatment)
  • Cost for preventing one case of congenital
    syphilis 730 US

47
Cost to prevent 1 CASE congenital syphilis
  • BEFORE INTERVENTION 730 US
  • AFTER INTERVENTION 57 US
  • ? Those costs could even decrease further if
    women visit earlier during pregnancy

48

Traitement de la syphilis du nouveau-né
(premier mois de vie)
Traitement 1 Benzylpénicilline aqueuse ,100 000
150 000 unités/kg de poids corporel /jour,
administré à raison de 50 000 unités/kg de poids
corporel, en injection intramusculaire ou
intraveineuse toutes les 12 heures pendant les 7
premiers jours de vie, et ensuite toutes les 8
heures pendant 10 jours. Traitement 2 Procaine
benzylpénicilline 50 000 unités/kg de poids
corporel, en injection intramusculaire, en dose
unique journalière pendant 10 jours. Traitement
3 Benzathine benzylpénicilline 50 000 unités/kg
de poids corporel, en injection
intramusculaire en dose unique.
49
CONGENITAL SYPHILIS
  • Recommended regimens
  • Early congenital syphilis (up to 2 years of age)
  • Infants with abnormal cerebrospinal fluid
  • aqueous crystalline benzathine penicillin G 50
    000 IU.KG by intramuscular or intravenousi
    injection,daily in 2 divided doses for a minimum
    of 10 days.
  • OR
  • aqueous procaine benzathine penicillin G ,50 000
    IU/KG by intramuscular injection,as a single
    dailydose for 10 days.
  • Infants with normal cerebrospinal fluid
  • benzathine penicillin G ,50 000 IU/Kg by
    intramuscular injection, at a single session
  • NOTE Some experts treat all infants with
    congenital syphilis as if the cerebrospinal fluid
    findings were abnormal. Antibiotics other than
    penicillin (i.e erythromycin) are not indicated
    for congenital syphilis except in cases of severe
    allergy to penicillin. Tetracyclines should not
    be used in young children.

50
SYPHILIS GROSSESSE
  • PNC en rapport avec stade evolutif
  • Tetracycline/Doxycycline
  • Allergie PNC desensibiliser !OMS (efficacite
    ?)Erythromycine 500mg p os x 4 x 30 j

(CDC)
51
(No Transcript)
52
Vaginose pendant la grossesse
  • Associations démontrées entre VB et
  • - accouchement prématuré ou FCS tardive
  • - rupture prématurée des membranes
  • - hypotrophie
  • même en tenant compte des biais, notamment niveau
    socio-économique
  • Notion physiopathologique d inflammation
    chorio-déciduale

53
Inflammation chorio-déciduale
  • Activation des macrophages chorio-déciduaux
  • Production de cytokines pro-inflammatoires
  • Rôle dans le déclenchement du travail

54
RETENTISSEMENT DES IST SUR LA GROSSESSE EN
AFRIQUE ( Petit poids de naissance et mortalité
infantile périnatale)
  • -T. Vaginalis peut être responsable de 20 à 25
    des naissances prématurées.
  • -Pas de données sur les conséquences
    obstétricales de B. Vaginale,
  • -Infections à Gonocoques

  • responsables de 14 de P P naissance
  • R R 6
    pour la prématurité.
  • Infections à Clamydia
  • ( 3 études toutes aux U S A) avec
  • R R 2,7 pour PP
    naissance,
  • R R 2,4 pour rupture
    prématurée des membranes,
  • R R 4 pour
    prématurité,
  • Sans oublier  lO . N. N.

55
RETENTISSEMENT DES IST SUR LA GROSSESSE EN
AFRIQUE
  • 1) Données de départ
  • A NAIROBI  incidence de
    P P N (lt 2500 G.) 7,5

  • mortalité périnatale chez PPN 22
  • 2)Résultats dun Tt ATB pendant la grossesse 
  • (USA) Erythromycine entre S 26 et S 30
    réduit lincidence des R P M
  • de 6
    à 16 ( p lt 0,001)
  • (NAIROBI) 1 dose IM de CTX entre S 28 et S
    32 augmente le poids de naissance (3210 versus
    3060 pour placébo p 0, 01 )mais sans grand
    effet sur les PPN (lt 2500) (4 versus 9,2 p
    0,08).
  • 3) Rakaï (OUGANDA) Azi 1g cefixime 400
    Metro 2 g réduit lincidence de mort néonatalité
    (RR0,83) et le PPN (R0,68)

56
Les IST chez la Femme Enceinte Evaluation des
IST/IAR pendant la grossesse, laccouchement et
le post-partum (I)
  • POINTS ESSENTIELS
  • . Encourager les femmes à se rendre au
    dispensaire prénatal en tout début de grossesse ,
    ce qui permet de détecter ou de prévenir à temps
    tout problème et notamment la présence dune
    IST/IAR.
  • -Proposer aux femmes le dépistage de la syphilis
    à la première consultation prénatale. Le
    dépistage de la syphilis doit être effectué sur
    place, et la femme recevra ses résultats et un
    traitement avant de repartir du dispensaire.
  • -Offrir si possible ,le dépistage des autres
    IST/IAR, et notamment les infections cervicales ,
    la vaginose bactérienne et le VIH.

57
Les IST chez la femme enceinte.Evaluation des
IST/IAR pendant la grossesse, laccouchement et
le post-partum (II)
  • - A chaque consultation prénatale, demander aux
    femmes si elles et leur partenaire ont des
    symptômes dIST. Offrir le dépistage et/ou le
    traitement des partenaires, au moins pour les IST
    symptomatiques, la syphilis et le VIH.
  • -Expliquer que la prévention des IST pendant la
    grossesse constitue un moyen de protéger à la
    fois la mère et lenfant , et de préserver la
    fécondité.
  • -Les services de conseil et de test VIH, les
    interventions pour la prévention de la
    transmission mère-enfant , et les soins à la
    mère, doivent être offerts sur place, ou par le
    biais dune orientation vers un service
    spécialisé.
  • -Le traitement prophylactique de la conjonctivite
    néonatale doit être systématiquement administré à
    tous les nouveau-nés.

58
ETAPE 3 TRAVAIL et ACCOUCHEMENT
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