Title: RECHERCHER LINFORMATION
1RECHERCHER LINFORMATION
- CRED BORDEAUX
- Intervenante Françoise COMET
- 26 février 2007
2PLAN
- 1 - DEFINITION
- 2 - RECHERCHE DINFORMATIONS
- Travail Pratique
- 3 - EVALUATION
- Travail Pratique
3DEFINITION
- L'intelligence économique et stratégique (IES)
est "Une démarche organisée, au service du
management stratégique de l'entreprise, visant Ã
améliorer sa compétitivité par la collecte, le
traitement d'informations et la diffusion de
connaissances utiles à la maîtrise de son
environnement (menaces et opportunités). Ce
processus d'aide à la décision utilise des outils
spécifiques, mobilise des salariés et s'appuie
sur l'animation de réseaux internes et externes".
- L'intelligence économique, quelles perspectives ?
J.F DAGUZAN et H. MASSON, Collection perspectives
stratégiques
4DEFINITION
- L'intelligence économique peut aussi être définie
comme "l'ensemble des actions coordonnées de
recherche, de traitement et de distribution en
vue de son exploitation, de l'information utile
aux acteurs économiques. Ces diverses actions
sont menées légalement avec toutes les garanties
de protection nécessaires à la préservation du
patrimoine de l'entreprise, dans les meilleures
conditions de qualité, de délais et de coût - L'information utile est celle dont ont besoin les
différents niveaux de décision de l'entreprise ou
de la collectivité, pour élaborer et mettre en
uvre de façon cohérente la stratégie et les
tactiques nécessaires à l'atteinte des objectifs
définis par l'entreprise dans le but d'améliorer
sa position dans son environnement
concurrentiel." - Rapport MARTRE Intelligence Economique et
Stratégie des Entreprises, 1994.
5DEFINITION
- La République de Venise a pu maintenir sa
puissance pendant plus de 2 siècles grâce à un
remarquable système d'intelligence en utilisant
un réseau d'ambassadeurs dans toute l'Europe et
un réseau de 10 000 prostituées qui faisaient
parler les voyageurs de passage. - les Anglais Parcourant et dominant le monde
grâce à leurs bâtiments de guerre et de commerce,
ils partaient ainsi à la découverte de nouvelles
richesses, développaient le commerce et
scellaient des alliances politiques. Très tôt,
ils ont compris quune organisation efficace
repose sur le partage dinformations, le travail
en réseau, les échanges didées et de
connaissances et la diffusion de synthèses.
6DEFINITION
- Les Japonais, dans les années 1950, ont développé
un système dintelligence économique sappuyant
sur le MITI et le JETRO pour relancer leur
économie. - Ce dispositif a pu voir le jour grâce Ã
lutilisation du réseau télex international de
leurs grandes entreprises, au goût des Japonais
pour le renseignement et à la motivation de tous
pour moderniser léconomie. La quantité de
données traitées journellement en provenance du
monde entier et la fourniture des analyses à tous
les opérateurs leur donnaient un avantage
concurrentiel majeur.
7DEFINITION
- Les Américains ont découvert lintelligence
économique vers le milieu des années 1980, grâce
à Michael Porter. Ce professeur à Harvard en
stratégie dentreprise a été le premier Ã
formuler le concept en sappuyant sur deux
constats - Le marché nétant plus national mais mondial, il
faut intégrer cette dimension dans la stratégie
de lentreprise - La maîtrise de lensemble des informations
requises implique lutilisation de moyens
techniques performants de recueil et danalyse.
8DEFINITION
- lintelligence économique sest implantée
progressivement aux Etats-Unis, dans les
entreprises comme dans ladministration. La mise
en place sest terminée, sous le mandat du
Président CLINTON, par la création de lAdvocacy
Center, qui permet de mobiliser toutes les
administrations sur la cinquantaine de contrats
considérés comme essentiels pour le gouvernement
américain. À ce stade, le partenariat
public-privé devient total.
9DEFINITION
- Le retard de la France un problème culturel
- Information pouvoir
- Tradition jacobine et organisations cloisonnées
(entreprises et administrations) - Fort clivage entre les administrations et les
entreprises
10DEFINITION
- Les rapports déclencheurs
- Le rapport Martre en 1995
- Suite à la perte dun contrat
- Le rapport Carayon en 2003
- Suite à laffaire GEMPLUS
- Selon le député, lintelligence économique doit
être définie en termes de contenu, articulé selon
cinq axes - améliorer la compétitivité de la France et des
entreprises, - passer de la défense économique à la sécurité
économique, - repenser notre politique dinfluence,
- former à lintelligence économique,
- mettre en oeuvre lintelligence économique dans
les territoires. - Pour y parvenir, la clé est de mettre les acteurs
en réseaux, en réconciliant les mondes de
luniversité, des entreprises et des pouvoirs
publics.
11DEFINITION
- Nomination dun Haut Responsable à lIE auprès du
Premier Ministre Alain JUILLET en 2004 - Création dun chargé de mission IE auprès de
chaque Haut Fonctionnaire de la Défense (HFD) - Maîtrise et Protection de lInformation
Stratégique pour tout acteur économique - Lintelligence économique nest pas réellement
une discipline en soi, cest une démarche
globale, un volonté, un état desprit dont les
enjeux sont stratégiques. Sont concernés - LEurope et lEtat stratégies de puissance
- Les entreprises compétitivité au niveau
mondial - Les salariés et chercheurs au service de
lintérêt collectif
12DEFINITION
- Source Bernard DOUSSET IRIT/UPS Cristelle ROUX
GFI - Léconomie est complexe
- méconnaissance de l environnement
- La concurrence est mondiale
- Les produits et les besoins des clients changent
rapidement - Les dirigeants sont confrontés à un problème de
sur ou de sous information
13DEFINITION
ENTRANTS POTENTIELS
Menace de nouveaux entrants
CONCURRENTS DU SECTEUR Rivalité entre les
firmes existantes
FOURNISSEURS
CLIENTS
Pouvoir de négociation des clients
Pouvoir de négociation des fournisseurs
Menace des produits ou services substituables
SUBSTITUTS
14DEFINITION
- Face à ce besoin d'information, les entreprises
sont souvent - confrontées à des pièges qui les menacent de
paralysie ou - d'engourdissement. Ces pièges connus de tous sont
surtout - la surinformation qui noie dans un bruit de fond
l'essentiel qui est la symptôme d'une fuite
devant la décision responsable - la spécialisation technique qui enferme les
esprits et cloisonne les activités, ce qui
empêche tout dialogue et vision d'ensemble - la montée de l'incertitude et de l'instabilité
dans l'environnement décisionnel qui encourage
les dirigeants à la gestion de l'acquis plutôt
qu'au risque de l'innovation.
15DEFINITION
- Il ressort de toutes ces constatations que
l'Intelligence - économique a des répercussions très pratiques et
ne doit pas - rester à l'état de concept. Elle aide Ã
- rechercher l'information utile pour prendre des
décisions et pour agir - apporter une aide aux décisions à caractère
stratégique pour les organisation afin de
minimiser le risque - lier la vision à long terme et la gestion
quotidienne de l'activité de l'entreprise en
prévenant des changements à venir et en orientant
la recherche. - Elle sert donc Ã
- surveiller son environnement
- se défendre contre les attaques externes
- conquérir de nouveaux marchés
16DEFINITION
- LIntelligence Economique est donc une démarche
qui associe à la stratégie de lentreprise et Ã
sa culture, - le recueil,
- le suivi,
- le traitement,
- la diffusion
- et la protection
- de linformation stratégique pour développer ses
- activités
17DEFINITION
- LIntelligence Economique est surtout une
- culture collective de linformation
- Culture stratégique fondée sur la maîtrise de
linformation - Culture collective interne (partage de
linformation et émulation interne) - Culture collective externe (logique de réseau)
- Culture subversive fondé sur linformation
(influence, désinformation, contre-information)
18DEFINITION
- LIntelligence Economique nest pas
de lespionnage - Son activité se restreint aux activités qui sont
à la - fois déontologique et légales.
- 80 des informations qui nous intéressent sont
publiques - 60 des informations recherchées se trouvent au
sein du patrimoine de l'entreprise
19IMPORTANCE DE LINFORMATIONÂ
- 1 - Le contexte de la  société de
l information  - 2 - Les enjeux sociétauxÂ
- 3 objectifs fondamentauxÂ
- recherche et utilisation des ressources
documentaires, - action et décision,
- apprentissage tout au long de la vie avec un
objectif déducation à la citoyenneté et de
formation à lautonomie.
20IMPORTANCE DE LINFORMATION
- Compétences indispensables
- savoir préciser linformation dont on a besoin et
déterminer limportance de ce besoin
dinformation, - savoir où et comment trouver l'information,
- savoir sélectionner de manière pertinente les
documents que lon souhaite retenir, - utiliser les données et l'information pour
étendre sa base de connaissance personnelle,
explorer les façons créatives d'utiliser
l'information, - savoir identifier les sources et les critiquer,
21IMPORTANCE DE LINFORMATION
- savoir lire, comprendre et extraire linformation
essentielle, - savoir évaluer un document, mettre en perspective
linformation proposée et faire lanalyse
critique de son contenu, - savoir communiquer une information de manière
efficace oralement ou par écrit à laide des
différents types de supports, - comprendre les questions économiques, juridiques
et sociales entourant lusage de linformation,
accéder à utiliser à linformation.
22RECHERCHE DINFORMATIONS
23COMMENT RECHERCHER LINFORMATION ?
- 1Â Les modes de classement de linformation
24COMMENT RECHERCHER LINFORMATION ?
- 2 Comment définir la recherche dinformation ?
-  l'ensemble des opérations effectuées pour
retrouver une information répondant à une
question précise formulation de la question,
extraction des informations souhaitées et
exploitation de ces informationsÂ
25COMMENT RECHERCHER LINFORMATION ?
- Source primaire
- Publication à lorigine dune information
(article, brevet) - Source secondaire
- Permet la diffusion dune information, analyse
cette information, compilation et
améliorationpar la mise en perspective
26COMMENT RECHERCHER LINFORMATION ?
- Information informelle / formelle
- Information formelle
- Information écrite
- Informations qui ont un support papier
numérique - Journaux spécialisés, revues professionnelles,
magazines, cours, articles scientifiques,
brevets, bases de données scientifiques et
documentaires, Internet - Plutôt veille
- Information informelle
- Information sans support
- Ce qui est ditPartenaires de lentreprise,
Réseaux dexperts internes/externes,
Reverse-engineering, Foires et salons - Plutôt IE
27COMMENT RECHERCHER LINFORMATION ?
- Information stratégique / tactique /
opérationnelle - Information opérationnelle
- Information très ciblée, précise, de faible
volume - Information brute ou peu retraitée
- A destination des techniciens, ingénieurs,
opérateurs - Veille brevet et technique par exemple
- Information tactique
- Volume dinformations plus élevé
- Subissant un lourd traitement
- Veille concurrentielle, tarifaire
- Information stratégique
- Ne concerne pas directement lentreprise
- De grande ampleur
- Permet détablir des indicateurs
- Veille marché, prospective, statistiques
28COMMENT RECHERCHER LINFORMATION ?
- Information blanche / grise / noire
- Information blanche
- Facilement accessible par tous
- Peu de valeur
- Nécessite tri et traitement important
- Veille, bibliométrie, data-mining
- Information grise
- Information difficilement accessible
- A forte valeur
- Souvent informelle
- Indiscrétions, salons,
- Intelligence économique
- Information noire
- Information ne pouvant être acquise que de façon
illégale - Information décisive pour lentreprise
- Espionnage industriel
29OU RECHERCHER LINFORMATIONÂ ?
30OU RECHERCHER LINFORMATIONÂ ?
31AVEC QUELS OUTILSÂ ?
- 1 - Les différentes manières de rechercher
linformation - La recherche par navigation arborescenteÂ
- La recherche par navigation hypertextuelleÂ
- La recherche par requêteÂ
32AVEC QUELS OUTILSÂ ?
- 2Â - Qu'est-ce qui permet de rechercher de
l'information ? - La structuration de l'information et du
document, - L'indexation de l'information et du document,
- La syntaxe d'interrogation.
33AVEC QUELS OUTILSÂ ?
- 3 Comment poser une question pour sa
recherche ? - analyser la question pour définir les concepts
essentiels, - traduire les concepts en termes de requête / mots
clés consulter éventuellement les listes de
termes disponibles liste d'autorité / index (ou
lexique) / thésaurus, - formuler une requête en utilisant les opérateurs
booléens, les troncatures, les parenthèses et/ou
en se servant des possibilités de recherche sur
certaines zones du document.
34AVEC QUELS OUTILSÂ ?
- Exemple
- Recherche de données sur la RTT pour les femmes
dans la région Bretagne de 2005 à 2006. - (RTT ou  réduction du temps de travail ) et
(femme ou féminin ou bretonne) et (Bretagne
sauf Grande-Bretagne) et (2005 ou 2006)
35AVEC QUELS OUTILSÂ ?
- 4 - Les banques de données
- 4 - 1 Définition
- Ensemble de données relatif à un domaine défini
de connaissances et organisé pour être offert aux
consultations dutilisateurs AFNOR - Typologie
- les banques bibliographiques
- les banques factuelles ou répertoires
- les banques textuelles
- les banques numériques
- les banques d'images
36AVEC QUELS OUTILSÂ ?
- 5 - InternetÂ
- annuaires
- moteurs
- métamoteurs
- agents intelligents
37EVALUATION DE LINFORMATION
38EVALUATION DE LINFORMATION
- L'évaluation se pratique dans tous les domaines
- L'évaluation est quantitative et qualitative.
- Elle consiste à mesurer l'efficacité et la
performance. - Elle a donc pour objectif la validation des
- services, leur amélioration voire la création
- de nouveaux services
39EVALUATION DE LINFORMATION
- "examen systématique pour déterminer dans quelle
mesure une entité est capable de satisfaire aux
exigences spécifiées" (ISO/DIS 8402, 1991). - "appréciation qualitative / quantitative d'un
produit, service, des moyens et méthodes mis en
uvre par la mesure , AFNOR, 1993
40EVALUATION DE LINFORMATION
- Le processus d'évaluation
- Il porte tout dabord sur lobjet à évaluer
définir ce qu'on mesure ou analyse les
prestations, un produit, les besoins, la
satisfaction. L'objet peut être - - une prestation.
- - un outil
- - un contenuÂ
- - une personne
- - un produit logiciel
- - un marché, une situation
- - un processus
- Toute évaluation suppose aussi de se doter
d'outils, donc de passer du temps à les concevoir
ou à se les procurer. Ils sont de deux ordres
informatifs, comme par exemple les grilles et
tests comparatifs et humains (conseils pour
acheter, installer, pour mettre à niveau).
41EVALUATION DE LINFORMATION
- Démarche dévaluation
- 1 - définir l'objet à évaluer et les résultats
attendus - 2 - collecter et traiter des informations,
- 3 - comparer et juger de la conformité (ou non)
avec les hypothèses de départ. C'est
l'interprétation. - Évaluer linformation consiste à se poser des
questions - surÂ
- le contenu,
- les responsables,
- lorganisme de linformation,
- les possibilités de recherche,
- laccessibilité.
42EVALUATION DE LINFORMATION
- Quelques préalables sont indispensablesÂ
- vérifier la source dorigine de chaque
information trouvée, - croiser plusieurs informations,
- obtenir un renseignement cohérent,
- contrôler la véracité,
- essayer de dater le document identifié.
43EVALUATION DE LINFORMATION
- Labsence de l'évaluation de l'information a des
- conséquences diverses notamment pour les
- internautesÂ
- abdication de lesprit critique, fuite,
renoncement au travail de sélection, - paresse intellectuelle devant la facilité de
l'accessibilité générale, - risques de relativisme total, mettant tous les
types dinformations et toutes les sources sur le
même plan, - dangers dintoxication par les rumeurs., et Ã
linverse, méfiance systématique, paranoïaque,
envers les informations diffusées, notamment
officielles ou médiatiques, - illusion de l'information, confondue avec la
connaissance, la culture.
44EVALUATION DE LINFORMATION
- Lévaluation de linformation amène Ã
sinterroger sur les notions de - pertinence et de qualité de linformation. Or ces
2 notions ont un - caractère toujours localisé, relatif, contextuel.
- 1/ Identifier, évaluer, valider quelle
différence ? - lidentification, de la description dun site ou
dune ressource, cad tous les éléments permettant
de situer, de référer, de classer, didentifier
sans possibilité (ou sans intérêt) de jugement,
de notation, - lévaluation ce qui peut donner lieu à jugement
critique, - la validation les éléments de sélection, de
référencement.
45EVALUATION DE LINFORMATION
- 2/ Evaluer pour quels objectifs ?
- Toute évaluation se fait dans un contexte donné,
par des acteurs et pour - des objectifs donnés.
- les bibliothécaires, les documentalistes, les
professionnels de linformation, mais aussi les
enseignants, les étudiants. Leurs objectifs sont
le recensement de ressources validées,
pertinentes, pouvant répondre à des besoins
dinformation. On peut dire que lévaluation du
contenu est prioritaire par rapport à finalité de
sélection. - les webmasters, graphistes, ergonomes,
spécialistes du référencement de sites web, dont
l objectif consiste à lamélioration de la
visibilité, de la diffusion, du référencement, de
la notoriété d'un site. Dans ce cas, l
évaluation du contenant est prioritaire par
rapport à la finalité de diffusion. - Il faut donc bien définir ses objectifs
dévaluation, et les hiérarchiser en - finalités /objectifs généraux / objectifs
spécifiques, en fonction de ses - objectifs de recherche, ou de ses objectifs
professionnels.
46EVALUATION DE LINFORMATION
- 3/ Quest-ce qui est évalué ?
- Il faut délimiter l'objet de l'évaluation selon
les objectifs fixés et - identifier les problèmes sous-jacents posés, en
clair se demander - de quoi il sagitÂ
- un site web ? une partie du site ? Une page web ?
un document autonome ?. - un document électronique ou bien linformation
contenue ?, il sagit de bien distinguer le
document et linformation, le support et le
contenu. - linformation contenue ou son organisation, sa
structuration ? Il faut alors faire une
distinction entre linformation et son
organisation, entre le contenu informationnel et
la mise en forme. - la structuration du site et/ou du document ou son
esthétique, son graphisme, sa lisibilité ?
47EVALUATION DE LINFORMATION
- 4/ Evaluer selon quels critères ?
- Evaluer quelque chose (ou quelquun) signifie Ã
la fois juger, - comparer, parfois quantifier, selon des critères
externes posés a - priori, plus ou moins explicités et détaillés.
Par conséquent il faut - expliciter ses critères d'évaluation, personnels
ou non, - établir une liste de ces critères, classés en
différentes parties, - viser l'exhaustivité des critères les critères
doivent pouvoir cerner tous les composants dun
site, ou tous les aspects dune information, - hiérarchiser les catégories et les critères
toutes les catégories ne peuvent être mises sur
le même plan, tous les critères ne se valent pas.
Cette hiérarchisation nest pas absolue et
dépendra des objectifs de lévaluation.
48EVALUATION DE LINFORMATION
- 5/ Evaluer selon une grille universelle ou des
grilles - spécifiques?
- Lévaluation est-elle universelle ou spécifique ?
Peut-il exister une - grille universelle dévaluation de linformation
? A priori, il y a - plusieurs grilles dévaluation à élaborer et
utiliser selon  -
- lobjectif et lobjet de lévaluation
évaluation du contenu différente de celle du
support, - létendue "de la ressource évaluation dun
site entier, dune partie, dun document précis, - le type de ressources électroniques, il y a des
différences selon la nature des sites (documents
scientifiques évalués différemment de sites
grands publics), la nature des documents
(textuels ou non textuels) Â
49EVALUATION DE LINFORMATION
- Par conséquent, la méthodologie consiste à Â
- adapter les grilles dévaluation à lobjet et Ã
lobjectif de lévaluation, - bien distinguer les critères communs, "
universels " pour lidentification dune
information de qualité avec les critères propres
à chaque catégorie, chaque type dinformation, - ne pas senfermer dans des grilles dévaluation
trop figées l'évaluation de linformation est
surtout un questionnement.