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Chapitre 2

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Objectif : tablir relations entre variables macro. et d terminer leur ... R tablissement de la sym trie agriculture et industrie. Nouvelle conception des classes ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Chapitre 2


1
Chapitre 2
  • Le modèle classique

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Introduction
  • 1ère théorie
  • Objectif établir relations entre variables
    macro
  • et déterminer leur niveau de
    stabilité
  • Apparue au cours du 18ème siècle
  • 1er auteur économiste Adam Smith

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Apport dAdam Smith
  • Rétablissement de la symétrie agriculture et
    industrie
  • Nouvelle conception des classes sociales
  • travailleurs, capitalistes et propriétaires
  • Nouvelle répartition du produit
  • salaires, profits et rentes
  • Distinction entre valeur dusage et valeur
    déchange

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Léquilibre macro-économique
  • Lanalyse de la formation de léquilibre global
    passe par la détermination des équilibres sur les
    marchés.
  • 3 marchés étudiés dans un ordre hiérarchisé.
  • Marché du travail gt marché des biens et
    services gt marché monétaire

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Le marché du travail la demande de travail
  • La demande du travail repose sur la maximisation
    du profit du producteur en régime de concurrence
    pure et parfaite
  • FN w/P
  • Nd Nd (w/P) avec Nd (w/P) lt 0

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La fonction de production
  • Y F (K,N)
  • ? A C.T. K est fixé ? Y Y(N)
  • Propriétés
  • FN gt 0 FN lt 0 ? si N ? alors Y ?
  • F (?K,?N) ?a F (K,N)

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La maximisation du profit
  • Max ? P Y wN ?K
  • Max ? P F(K,N) wN ?K
  • d?/dN P FN w 0 ? FN w/P
  • P FN w
  • Valeur de la production coût
  • additionnelle

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Le marché du travail loffre de travail
  • Ns Ns (w/P) avec Ns(w/P) gt 0
  • Les travailleurs ne sont pas victimes de
    lillusion monétaire
  • Ils font un arbitrage entre le temps de travail
    et le temps de loisir, en fonction du salaire
    reel (programme)

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Résolution graphique
U(Y,L) courbe dindifférence Y w/P (H-L) où H
volume temporel disponible
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Léquilibre sur le marché du travail
  • Zone I pression vers le bas une baisse des
    salaires nominaux (w) peut être acceptée par les
    travailleurs.
  • Zone II ce sont les producteurs qui vont
    consentir une augmentation du salaire nominal.

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  • Offre Ns Ns (w/P) Ns gt 0
  • Demande Nd Nd (w/P) Nd lt 0
  • Léquilibre est à lintesection des courbes
    doffre et de demande ? N Ns Nd ? (w/P)

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Caractéristiques de léquilibre classique
  • Cet equilibre est au plein emploi.
  • Il ny a donc pas de chômage involontaire
  • Les salaires nominaux commandent aussi les
    salaires réels

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Le marché des biens et services, loffre
  • Il est en liaison avec le marché précédent via la
    fonction de production
  • Comme Y Y(N), à léquilibre sur le marché du
    travail, on a Y Y(N) où N est le volume de
    lemploi
  • Loffre de biens et services est, donc,
    déterminée dès linstauration dun équilibre sur
    le marché du travail

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Graphiquement
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La demande sur le marché des biens et services
  • Problème de labsorption de loffre
  • Cette offre nest constitué que dun point
  • Il peut y avoir,donc, contradiction avec le plein
    emploi
  • Solution classique loi des débouchés( J.B. Say)

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Loi des débouchés
  • Loffre crée sa propre demande
  • Lobjectif principal de lactivité économique
    cest la consommation
  • Celle-ci est liée au revenu
  • Et celui-ci découle de la production
  • Tout acte de production représente, par
    conséquent, une demande
  • Toute offre est une demande en puissance, pas de
    surproduction générale du à une déficience de la
    demande globale

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  • Pas de chômage involontaire
  • Possibilité de déséquilibres partiels, rapidement
    corrigés par mécanismes des prix.
  • La loi de J.B. Say garde sa validité en cas
    déconomie de troc comme déconomie monétaire.

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  • En cas dépargne que devient la loi?
  • Ny aura-t-il pas un déséquilibre flagrant entre
    demande et offre.
  • Réponse apportée par la théorie classique de
    lépargne, de linvestissement et de lintérêt.

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Théorie classique de lépargne, de
linvestissement et de lintérêt
  • Lépargne est elle-même une demande
    particulière
  • Elle est transformée en dépense dinvestissement
    sur le marché des fonds prêtables.
  • Cette transformation se fait essentiellement
    grâce à laction du taux dintérêt

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Le marché des fond prêtables loffre
  • Loffre des fonds prêtables est constituée de
    lensemble des fonds épargnés.
  • Lépargne est donc une ressource sur ce marché
  • Comme toute ressource, elle a un prix, le taux
    dintérêt
  • La fonction dépargne S S(r) S(r) gt 0

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Le marché des fonds prêtables la demande
  • La demande émane des agents investisseurs,
    désirant trouver des ressources pour financer
    leur projets dinvestissement.
  • Il y sélection de ces projets dinvestissements,
    on ne réalise que ceux qui ont une bonne
    rentabilité.
  • Le taux de rentabilité des projets à réaliser,
    doit être supérieur au taux dintérêt.
  • La fonction dinvestissement I I(r) I(r) lt
    0

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Léquilibre sur le marché des fonds prêtables
  • I I(r) I(r) lt 0 La demande
  • S S(r) S(r) gt 0 Loffre

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  • Au point dintersection
  • Loffre est égale à la demande
  • Toute lépargne est donc transformée en dépense
    dinvestissement
  • Cette transformation est rendue possible grâce à
    laction du taux dintérêt
  • Celui-ci doit être parfaitement flexible, à la
    hausse, comme à la baisse

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  • Le point déquilibre sur le marché des fonds
    prêtables détermine
  • Le niveau du taux dintérêt
  • Le niveau de lépargne
  • Le niveau de linvestissement
  • Léquilibre préserve la validité de la loi de
    J.B. Say

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  • La demande, sur le marché des biens et services,
    se manifeste, dès lors, par 2 composantes
    différentes
  • La consommation déterminé par solde Y C I
  • Linvestissement dont le niveau est déterminé sur
    le marché des fonds prêtables
  • Linvestissement est la variable prioritaire, la
    consommation en devient la composante
    complémentaire.

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  • Sur le marché des biens et services
  • Offre Ys Ys (N) (1)
  • Demande Yd C I (2)
  • avec S S(r) S(r) gt 0 (3)
  • et I I(r) I(r) lt 0 (4)
  • Produit Ys C S (5)
  • A léquilibre Ys Yd (6)
  • ? C S C I ? S(r) I(r)
  • Ys, Yd, I, S, r, C
  • 6 équations et 6 variables

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  • Avec léquilibre sur le marché du travail,
    léquilibre sur le marché des biens et services,
    on a déterminé le volume de toutes les grandeurs
    physiques ou réelles
  • La production
  • La consommation
  • Lépargne
  • Linvestissement
  • Le salaire réel

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Le marché monétaire
  • Le niveau des grandeurs monétaires ou nominales
    reste à déterminer.
  • En particulier le niveau général des prix P.
  • Il est livré par léquilibre sur le marché
    monétaire.
  • Celui-ci est lié aux courbes doffre et de
    demande sur le marché monétaire.

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Loffre de monnaie
  • Loffre de monnaie, cest la quantité de monnaie
    disponible.
  • Par définition, elle englobe toute la masse des
    billets de banque et lensemble des dépôts à vue.
  • Elle est contrôlée par lautorité monétaire qui
    lémet.
  • Dès lors, loffre est considérée comme exogène
  • La fonction doffre Ms M

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La demande monétaire
  • La théorie classique de demande monétaire porte
    le nom de la théorie quantitativiste de la
    monnaie.
  • Les encaisses monétaires sont générées par le
    décalage entre moments de recettes et ceux de
    dépenses, les deux manifestations majeures des
    transactions auxquels les agents économiques
    prennent part.
  • Ces décalages sont stables dans le temps.
  • Ce qui permet au classiques de lier la quantité
    de monnaie demandée à la masse des transactions.

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  • Équation dIrving Fisher
  • M v P T
  • où M la masse monétaire désirée
  • v la vitesse de circulation de la monnaie
  • P le niveau général des prix
  • T le volume des transactions
  • Cette équation na aucune valeur théorique et
    comme, en plus, T est difficile à connaître, on
    passe à léquation de Cambrige
  • M v P Y
  • où T est remplacé par Y, le produit national.

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  • Cette dernière équation nest autre que la
    définition de v
  • v P Y/M
  • Elle débouche sur la théorie quantitativiste de
    la monnaie
  • Quand on émet lhypothèse que v est constant.
  • On a alors Md k P Y où k 1/v

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Léquilibre monétaire
  • Ms Md ? M k P Y
  • Comme Y Ype et k une constante, cette équation
    met en relation directe la masse monétaire et le
    niveau général des prix.
  • Selon les classiques, à CT, P est fonction de la
    masse monétaire.
  • Par conséquent toute évolution de la masse
    monétaire se traduit par un changement de P, dans
    le même sens et dans les mêmes proportions.
  • Au plein emploi, tout expansion monétaire se
    traduit par une poussée inflationniste.

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  • La monnaie nexerce aucune influence sur les
    variables réelles, seules sont affectées, via P,
    les variables nominales.
  • Léquilibre des marchés du travail et des biens
    et services est indépendant de léquilibre
    monétaire.
  • Ces 2 marchés ne sont concernés que par les
    phénomènes économiques réels.
  • Il ya, donc, une nette séparation entre le
    secteur réel (marchés du travail et des biens et
    services) et le secteur monétaire dichotomie
    classique.

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  • Lécole classique a par la suite introduit de la
    flexibilité théorique pour casser la dichotomie.
  • En rejetant lhypothèse du plein emploi, toute
    variation de M, peut se traduire par une
    modification de P ou de Y ou des 2.
  • Et si, léquilibre monétaire est maintenu au même
    niveau, à toute augmentation de Y, correspondra
    une baisse proportionnelle de P.
  • On établit, ainsi, une relation inverse entre Y
    et P

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  • Y (M/k)(1/P)

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Vue densemble du modèle
  • Progression logique allant du niveau de lemploi,
    à ceux du revenu réel, de linvestissement, de la
    consommation, du taux dintérêt réel et débouche
    sur le niveau général des prix.
  • Hypothèses du modèle
  • La loi J.B. Say qui assure le plein emploi
  • La flexibilité des prix, du taux de salaire et du
    taux dintérêt
  • Concurrence pure et parfaite
  • Pas dillusion monétaire
  • Anticipation parfaite des prix, ?a 1

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Présentation finale du modèle
  • Le marché du travail
  • Ns Ns (w/P) (1)
  • Nd Nd (w/P) (2)
  • Ns Nd (3)
  • Le marché des biens et services
  • Ys Y (N,K) (4)
  • Ys C S (5)
  • Yd C I (6)
  • S S(r) (7)
  • I I(r) (8)
  • Yd Ys ? I S (9)

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  • Le marché monétaire
  • Ms M (10)
  • Md k P Y (11)
  • Md Ms (12)
  • On a donc 12 équations à 12 variables endogènes
    et 2 variables exogènes ( M et K) et 1 paramètre
    k.
  • Le modèle est donc cohérent.

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Appréciation de la théorie classique
  • Les points fondamentaux du modèle classique
  • La dichotomie
  • Les variables dajustement des marchés (
    w/p, r, P ) ont des évolutions complètement
    indépendantes les unes des autres.
  • Plein emploi et donc pas de chômage involontaire

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  • Théorie en retrait par rapport aux
    caractéristiques des économies modernes
  • Chômage
  • Connexion permanente entre tous les marchés
  • Les évolutions des variables dajustement sont
    plus ou moins liées
  • Le modèle apparaît dans sa version première comme
    inadapté à la réalité des économies modernes.

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  • Modèle des explications primaires , des
    premiers effets.
  • Il ne tient pas compte des interactions entre les
    marchés ou effets induits.
  • Or ceux-ci peuvent aller dans le même sens que
    les effets primaires et , ainsi, les amplifier ou
    en sens inverse, les contrecarrer.
  • Toute analyse, basé uniquement sur les effets
    primaires, est partiel, voir erroné.
  • Le modèle, dans la version présenté, est donc
    inutilisable en politique économique.

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  • Pas de véritable politique monétaire, mais simple
    politique de surveillance des moyens de paiement.
  • Pas de politique financière, le rôle de létat
    réduit à la portion congrue
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