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Cours GB2

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Consid rons une g om trie stationnaire identique la g om trie habituelle mais en y ajoutant seulement une toute petite composante By constante. ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Cours GB2


1
Cours GB2
  • Reconnexion Magnétique

2
I. Notions intuitives de reconnexionLimites
3
What is magnetic reconnection ?
  • Magnetic reconnection in magnetofluids is the
    process by which magnetic field lines break and
    rejoin in a lower energy state. The excess energy
    appears as kinetic energy of the plasma at the
    point of reconnection.
  • This figure is a schematic of magnetic
    reconnection. Single line arrows are magnetic
    field and double line arrows indicate
    magnetofluid flow velocity. The merging of two
    magnetofluids with oppositely oriented magnetic
    fields causes the fields to annihilate. The
    excess energy accelerates the plasma out of the
    reconnection region in the direction of the long
    double line arrows. Note the characteristic
    X-point where the topology changes for two field
    lines

retour (reconnexion 2-D)
4
Première remarque
  • L'accélération ne se fait pas au point en X
  • la plupart des particules n'y passent pas !

5
Ne pas confondre
  • Reconnexion stationnaire
  • Schéma aucun changement de topologie magnétique
    ? "mouvement" des lignes de champ et "brisure" au
    cours du mouvement constructions théoriques
    (coloriage des lignes en rouge ?)
  • Accélération due à Ey/Bz (géométrique)
    permanente aussi.
  • Reconnexion non stationnaire
  • Changement de la topologie magnétique au cours du
    temps gt
  • Notion de minimisation de l'énergie magnétique
    seulement dans ce cas
  • car conversion globale E. magn. ? E. Cin. ? au
    cours du temps (irréversible)
  • La reconnexion non stationnaire peut être
    spontanée (instabilité de type tearing) ou
    forcée, ou mixte (e.g. induite comme une
    instabilité secondaire)

6
Il faut distinguer aussi
  • Reconnexion 2-D
  • Géométrie simple avec un point en X comme sur le
    schéma inévitable
  • ? tous modèles classiques gt
  • NB cas 2-D stationnaire assez simple à calculer
    car mouvement defini par EEycst
  • rot(E)0 ? ?x(Ey)0 et ?z(Ey)O
  • ? variations de vitesses imposées par les seules
    variations de B
  • Reconnexion 3-D
  • Nombreuses autres géométries possibles (cf.
    physique solaire) gt

7
Dans tous les cas(Reconnexion stationnaire ou
non stationnaire, 2-D ou 3-D)
  • Définition de la reconnexion ? essayer de suivre
    le "mouvement" d'une ligne de champ et identifier
    les moments et/ou les points où ça n'est plus
    possible
  • Tant que le mouvement peut être défini, avec une
    certaine vitesse vem (à définir), on dit qu'il y
    a "gel" du champ magnétique dans ce champ de
    vitesse (lié à un plasma ou pas)
  • Il ne peut y avoir re-connexion ( changement des
    "connexions magnétiques") que si le mouvement ne
    peut plus être défini de façon unique ? écart au
    gel quelque part

8
II. Mouvement des lignes de champGelCondition
9
Mouvement d'une ligne de champ
  • - On peut généralement définir un mouvement des
    lignes de champ (même dans une structure
    stationnaire !) La vitesse locale vem de ce
    mouvement est purement E.M. elle ne repose pas
    sur le mouvement du plasma (le gel vient de
    Maxwell ? notion pas MHD !). Vem est la vitesse
    du repère local où E 0 quand il existe
  • ? E -vemxB dans les autres repères et donc vem
    ExB/B2 condition sur E// (typiquement E//
    0) imposée par les électrons ? condition "grande
    échelle"
  • - Condition le mouvement d'une ligne n'est bien
    défini que s'il est unique? Même mouvement
    défini pour toute la ligne à partir de n'importe
    lequel de ses points si un point se déplace à
    vem, tous les autres points doivent se déplacer
    aussi aux vem locaux (ce n'est pas toujours vrai
    ? reconnexion)
  • - Dans toutes les régions où ce mouvement peut
    être défini, les lignes se déplacent en gardant
    leur identité elles se déforment mais ne se
    "brisent" pas? la reconnexion ne peut exister
    que lorsqu'il existe des régions où le mouvement
    de la ligne ne peut pas être défini (petites
    échelles cf. voisinage des points en X)

10
Identité et mouvement d'une ligne de champ
A la condition (suffisante) que E// 0
partout où B?0 et E 0 aux points où B 0 (s'il
en existe)
  • Ceci est imposé par les équations de Maxwell.
  • Démonstration au transparent suivant

11
Conservation de l'alignement de B dans le
mouvement a vem
12
III Définition de la reconnexion
13
Définition de la reconnexion
  • Il y a reconnexion lorsque
  • - la condition de gel est violée dans une région
    limitée de l'espace (voisinage de points
    singuliers)
  • - ceci entraine de forts gradients de
    connectivité

14
Comment les lignes se "brisent" - ou pas -lors
d'une reconnexion
L'image qu'on a de la reconnexion provient
essentiellement du cas particulier purement 2D
(variations dans le plan x-z et pas de By) qu'on
utilise généralement pour l'introduire. Dans ce
cas très particulier, on a vu que le mouvement
des lignes de champ semblait impliquer une
"brisure" de celles-ci. Cette "brisure" a même
fini, dans l'imaginaire collectif, par sembler
essentielle à la notion même de reconnexion. Voir
l'intro "magnetic field lines break and
rejoin". C'est une idée fausse. Elle n'est en
fait due qu'au caractère très particulier de la
topologie choisie, qui possède un point singulier
où B 0 et où la direction du champ n'est donc
pas définie (les lignes de champ se "croisent",
avec ou sans reconnexion) On peut se faire une
image beaucoup plus générale de la reconnexion en
choisissant un exemple qui n'implique pas une
telle singularité
15
Comment les lignes se "brisent" - ou pas -lors
d'une reconnexion
Considérons une géométrie stationnaire identique
à la géométrie habituelle mais en y ajoutant
seulement une toute petite composante By
constante. Supposons aussi que le champ Ey
constant n'a pas changé. Ceci ne nous éloigne
pas trop du modèle habituel, et il suffit de
faire tendre By vers zéro pour retrouver
exactement ce que cachait ce cas limite.
  • Loin du pseudo-point en X dans le plan x-z, la
    composante By est très petite par rapport aux
    composantes Bx et Bz et on peut considérer que
    rien n'a changé
  • Près de ce point au contraire, les composantes
    Bx et Bz tendent vers zéro et le champ total tend
    à devenir By? Le champ Ey tend dans cette zône à
    devenir un champ parallèle. NB. Un tel champ
    électrique parallèle ne peut exister que grâce
    aux petites échelles qui existent dans cette
    région au point en X, la direction du champ
    tourne de presque 90 sur une distance très
    petite (voir plus loin)

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Brisure ?Zoom sur la zone de reconnexion
17
Brisure ?Zoom sur la zone de reconnexion
vem
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Brisure ?Zoom sur la zone de reconnexion
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Brisure ?Zoom sur la zone de reconnexion
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Brisure ?Zoom sur la zone de reconnexion
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Brisure ?Zoom sur la zone de reconnexion
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Brisure ?Zoom sur la zone de reconnexion
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Brisure ?Zoom sur la zone de reconnexion
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Brisure ?Zoom sur la zone de reconnexion
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Brisure ?Zoom sur la zone de reconnexion
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Zoom sur la zone de reconnexion pas de brisure
Moralité dès que B n'a pas de point
complètement nul, on comprend mieux ce qui se
passe - On peut toujours définir les lignes de
champ (bien sur!) à tout instant et partout, même
dans la zône à E//- On peut toujours définir le
mouvement d'une portion de ligne à l'extérieur de
cette zône Tous les points de cette portion se
déplacent alors à vem. Mais ce n'est pas le cas
pour le prolongement de cette ligne à l'intérieur
ni, en conséquence, pour son prolongement à
l'extérieur de l'autre côté ? Dans le cas d'une
reconnexion, l'extrêmité extérieure opposée se
déplace à très grande vitesse v gtgt vem et diverge
donc très vite du mouvement idéal dans cette
régionDans l'exemple présenté (même projection
x-z que le modèle 2-D habituel), le mouvement
très rapide se fait dans la 3ème dimension (sans
aucune brisure, bien sûr) NB le pb est
symétrique si on considère le mouvement de
l'extrêmité 2 d'une ligne à la vitesse vem, c'est
l'extrêmité 1 qui diverge à toute vitesse et se
replie de l'autre côté
27
NB autres reconnexions
  • Spécialistes de MHD ? reconnexion reconnexion
    magnétiqueMais même notion aussi en hydro B ?
    Vorticité
  • Mêmes équations et mêmes conséquences -
    Mouvement gelé des lignes de vorticité
    (tourbillons)- Effets de petite échelle (couches
    fines visqueuses) venant perturber ces
    mouvements idéaux et autoriser la reconnexion
    entre ces lignes (et donc les appariements de
    vortex, la création d'enstrophie, ... )

28
IV. Mouvement et rôle du plasma pour la
reconnexion
29
Mouvement des lignes de champ et mouvement du
plasma
  • Partout où le mouvement des lignes de champ est
    bien défini (E//0), le plasma suit bien ce
    mouvement (perp.)avec un glissement fort là où
    l'accélération des lignes est forte (inertie
    des ions)
  • On peut le comprendre facilement de deux façons
    différentes- trajectoires individuellesen
    l'absence de champ électrique E, les particules
    sans dérive tournent en rond ? elles restent en
    moyenne attachées à leur ligne de force v
    0(particules sans dérive de gradient, de
    courbure, ? particules peu énergétiques ou
    champs uniformes et stationnaires)? Si on change
    de repère, leur vitesse moyenne est naturellement
    la vitesse vem du repère où E 0
  • La formule de changement de repère qui donne vem
    est bien purement électro-magnétique (Maxwell)?
    Les particules sans dérive suivent donc le
    mouvement du champ ce ne sont pas elles qui le
    fixent. Les particules avec dérive s'écartent de
    ce mouvement électromagnétique (? glissement par
    rapport au mouvement "idéal")
  • - raisonnement fluide (loi d'Ohm) E -vxB
    ? v vem (composante perp.)

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Accélération et géométrie
  • Dans la géométrie traditionnelle (point en X avec
    angle très fermé), la ligne de champ a une
    vitesse qui augmente beaucoup entre l'entrée et
    la sortie
  • NB. Ceci est lié à la simple géométrie, pas à une
    réaction du plasma où à un quelconque effet
    résonnant
  • Exemple si 2-D stationnaire (?y0, By0, ?t0),
  • mouvement x-z ? champ Ey avec Ey cst (car
    Faraday ? ?x(Ey) ?z(Ey) 0)
  • ? vem Ey/B augmente quand B diminue
  • Conservation du flux ? vx/vz Bz/Bx ? Lx/lz
  • Puisque le plasma suit , il y a aussi
    accélération forte du plasma

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Rôle du plasma dans la reconnexion
magnétique(mouvement parallèle des électrons)
  • Le mouvement des électrons réagit sur le champ
    électriqueC'est leur mouvement parallèle qui
    tend à annuler E// à grand échelle
  • En l'absence de collisions (résistivité), seule
    l'inertie finie des électrons peut autoriser un
    taux de reconnexion non nul ? Il faut des
    échelles suffisamment petites pour que cette
    inertie ait un rôle
  • Démonstration quantitative loi d'Ohm
    généralisée (composante parallèle)

32
Quelles petites échelles pour la reconnexion ?
  • Loi d'Ohm ? échelles électroniques nécessaires
    pour créer E// et violer le théorème du gel

échelles électroniques le longueur d'inertie,
re rayon de Larmor longueurs ioniques idem
avec indice i lh longueur résistive
  • Epaisseur d'équilibre de la magnétopause ? 1000
    km, trop grande pour expliquer un taux de
    reconnexion suffisant

? nécessité d'échelles plus petites points
singuliers (X) et/ ou turbulence
33
V. Les modèles de reconnexion stationnaire
34
Ce qui distingue les modèles
  • Modèles non-sationnaires Equilibres instables
    considérés (jamais de driving de la reconnexion
    par des forçages non stationnaires)? question du
    "triggering"- Temps de montée de l'instabilité
    (ou taux de croissance g)- Causes de
    l'instabilité déchirement de B seul,
    déchirement de vitesse, gradient de densité
    (instabilité secondaire de K-H, R-T, ...)
  • Modèles stationnaires (et état final des cas
    instables)- Taux de reconnexion t v1/VA1
  • Proxy possible pour les simulations taux de
    reconnexion t ? F(t) flux reconnecté au cours
    du temps (taille des ilots formés)

35
Les modèles historiques (stationnaires)
d
Sweet-Parker
Petschek
Géométrie 1 couche de courant fine ? 1 petit
paramètre géométrique eg d/L
Géométrie 2 couches de courant fines (chocs) ?
2 petits paramètres géométriques eg1 d1/L et
eg2 d2/L
evacuation du plasma ? t eg
evacuation du plasma ? t eg2
Physique MHD résistive ? 1 petit paramètre
physique eplh/L
Physique MHD résistive ? 1 petit paramètre
physique eplh/L
(lh h/moVA)
dégel ? t ep/eg
dégel ? t ep/eg1
Géométrie physique t 1 (si eg1 ep ltlt
eg2) ? rapide, mais transitoire car d2 ?d1
Géométrie physique t eg ep1/2 ltlt 1 ?
beaucoup trop lent (ep ltltlt 1)
36
Tous les modèles récents ("collisionless")
Post-Petschek (Gem)
Même géométrie globale (point en X), mais 2
régions emboîtées aux échelles ionique et
électronique
? 2 petits paramètres dans la physique li and
le Tous les modèles autres que la MHD résistive
supportent ce modèle (voir loi d'Ohm)
? la reconnexion peut être rapide et durer
37
Géométrie des modèles post-Petschek
Attention B pas uniquement dans le plan de la
figure structure quadripolaire en sus dans la
région ionique, vxB ? jxB
Résistivité sans importance Géométrie de la
région "e-MHD" (diffusion des ions due à l'effet
Hall vi?vevem) ? fixe le taux de reconnexion
(fort car l'angle ne se ferme pas) Taux
quasi-indépendant des électrons (qui permettent
la reconnexion) Description bi-fluide ou MHD-Hall
suffisante
38
Physique de la région e-MHD (gamme
"whistlers")Pourquoi la taille de la région
électronique importe peu
  • La gamme de fréquences wci ltlt w ltlt wce se
    caractérise par - les ions sont immobiles ( mi
    ?? leur inertie n'intervient pas dans la
    dynamique)- les électrons sont ?t mobiles ( me
    0 ? leur inertie n'intervient pas dans la
    dynamique)
  • Les équations valides dans cette gamme sont
    simplement ?x(B) - mo neqve ?t(B) ?x(vexB)
  • Le milieu n'intervient que par le courant
    électronique aucune masse !Mode propre de
    propagation dans cette gamme whistler la
    vitesse de phase de ces ondes donne donc une
    bonne idée de la vitesse des structures par
    rapport au plasma et réciproquement w
    k2Dcosq avec D Bo/ monoqVitesse
    d'évacuation w/k beaucoup plus grande que la
    vitesse d'Alfvén et proportionnelle à k ?
    compense exactement la diminution de la taille de
    sortie
  • ? évacuation du plasma très efficace et t
    indépendant de la petite échelle le

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NB
  • La gamme e-MHD est celle des ondes whistlers ?
  • Les calculs d'ordre de grandeur sur les whistlers
    sont pertinents pour toutes les variations dans
    cete gamme
  • ? On les applique à la structure stationnaire du
    point en X supposé.
  • Ne pas croire que des ondes ou de la turbulence
    whistler viennent nécessairement s'ajouter à la
    structure générale en X !!

40
Comparaison des différentes modélisations
41
Ce qui reste des estimations Sweet-Parker/
Petschek
  • - 1. C'est la géométrie magnétique au voisinage
    de la région de reconnexion qui fixe
    l''efficacité de la reconnexion (quand elle
    existe, cf. E// et donc électrons)Dans les
    modèles de type Petschek, cette géométrie est
    caractérisée par l'angle eg du boyau de sortie.
    Il fixe l'accélération et le taux de reconnexion
    par v1 ? VA2 ? eg VA1 v2 ? VA1 ? VA2/eg?
    Taux t v1/VA1 ? eg? Accélération v2/v1 ?
    VA1/VA2 ? 1/eg
  • - 2. La géométrie proche est fixée par le forçage
    et par la microphysique locale.Les résultats
    récents montrent que c'est la longueur d'inertie
    des ions li (effet Hall) qui fixe eg. (Dégel des
    électrons nécessaire mais pas déterminant)

42
Autres géométries Modèle de Levy
Dissymétries propres à la magnétopause ?
modification du modèle de Petschek
Petschek
Levy
Retournement sur 1 discontinuité rotationnelle au
lieu de 2 chocs lents
43
VI. Reconnexions non stationnaires
44
Reconnexion non stationnaire instabilité de
déchirement (tearing mode)
  • Traitée essentiellement pour une géométrie
    initiale tangentielle (Bz 0) couche de Harris
    en cinétique
  • ? formation d'îlots qui croissent
  • Peut marcher aussi dans le cas Bz ? 0 en MHD
    résistive, mais pas en cinétique (R. Pellat)
  • Méthode de calcul de l'instabilité linéaire en
    MHD résistive
  • Résolution sans résistivité à l'extérieur de la
    couche
  • Résolution simplifiée dans la couche (gradients
    forts ? dérivées termes dominants)
  • Recollement des 3 solutions

45
Reconnexion non stationnaire flux transfer
events
événements de reconnexion localisés et
sporadiques
46
NB Non-stationnaire ne veut pas dire instable
  • Les non-stationnarités peuvent être dues à des
    fluctuations (ondes et turbulence) dont
    l'origine n'est pas locale (cf. magnétogaine et
    magnétopause)
  • Ces fluctuations peuvent être la cause de
    reconnexion sur une frontière parfaitement stable
    par les petites échelles qu'elles apportent (peu
    de travail là dessus)

47
VII Quelques exemples astrophysiques
48
Disconnexion dans la queue de plasma d'une comète
Comète Encke, rencontre avec un CME (Stereo)
49
Disconnexion dans la queue de plasma d'une comète
Comète Encke, rencontre avec un CME (Stereo)
On notera la formation d'un îlot magnétique à la
fin de la simulation
50
Reconnexion et CME
  • Soho/ Lasco

51
Reconnexion et CME
52
Reconnexion et CME
53
X-Flare et autres (soho)
54
Eruptions de filaments (soho/ eit)
55
Eruptions (échelles plus petites)
  • Moralité générale variations de topologie pas
    toujours évidentes sur les images (plus visibles
    dans les modèles)mais conversions d'énergie
    brutales bien claires (attribuées à des
    instabilités reconnectantes)

56
Reconnection de boucles coronales(chez les
modélisateurs)
57
Chauffage de la couronne("magnetic carpet")
  • Reconnexion ? conséquences énergétiques

58
Fin du cours GB2
59
Divers
60
Reconnexion et turbulence
Les liens entre turbulence et reconnexion
existent dans les deux sens1) La turbulence
peut favoriser la reconnexion en créant les
petites échelles nécessaires sur des couches
existantes cf. magnétopause (Belmont/ Rezeau,
2001)
2) Simulations 3-D MHD Turbulence ? Tendance à
former des couches fines ? possibilité de mener à
la reconnexion? La reconnexion peut participer à
la dissipation de la turbulence MHD (Magnétogaine
Retino et al., 2007)
Minnini et al., 2004 (dynamo)
61
Un peu de philosophie phénomènes "cross-scale"
  • Turbulence et reconnexion sont des phénomènes
    "cross-scale"
  • ? Les grandes échelles ne peuvent pas se calculer
    sans connaître les petites et réciproquement
  • Différent de la vision classique où l'on suppose
    qu'on peut calculer successivement les grandes
    échelles (MHD) , puis les petites (cinétiques)

62
Diagnostics in-situ
  • Uniquement pour la magnétosphère? Grand nombre
    d'articles (Nature et autres) "first evidence
    of reconnection"Que mesure-t-on vraiment ?
  • 1) Magnétopause "connectée" ? Bn ? 0Sinon,
    géométrie tangentielle B BT (possiblement
    "discontinuité" tangentielle)? Preuve indirecte
    d'une re-connexion quelque part et à un certain
    momentMesure difficile car Bn toujours petit
    (MVA) problèmes de précision? peu (ou pas)
    fait. Dommage
  • 2) Magnétopause "discontinuité" ? 1-D (plan)
    et stationnaire, épaisseur pas forcément
    négligeableSans rapport avec le schmilblick de
    la reconnexion, mais plus facile pour interpréter
    les donnéesTest existence d'un repère de
    deHoffman-Teller E 0 (v v//)

63
Diagnostics in-situ
  • 3) Magnétopause discontinuité rotationnelle 4
    types de discontinuité lorsque Bn ? 0- 3 chocs
    lent, intermédiaire, rapide- 1 dicontinuité
    rotationnelle (mode d'Alfvén)Magnétopause DR
    ? validation du modèle de Lévy plus que de la
    reconnexionTest de discontinuité rotationnelle
    test de Walen v VA VHT
  • 4) Existence de "jets" (flot accéléré) le long de
    la magnétopauselocalement redondant avec le
    test de Walen là où VA diminue? Accélération de
    l'ordre de VA1 (de zéro à VA1 environ,quel que
    soit le mécanisme chocs ou discontinuité
    rotationnelle)

64
De Hoffman-Teller, Walen
  • Faraday-Ohm ? ?x(vxB)?t(B)1-D stationnaire ?
    vnBT - BnvT cst ? 0 dans le repère dHT? E
    0 partout (v v//)(rappelle la vitesse u de P.
    Demoulin)
  • Equation d'impulsion ? r ?t(v) r v. ?(v)
    ?(pT) B. ?(B)1-D stationnaire ? r vn v n pT -
    BnB cstComposante tangentielle ? r vn vT -
    BnBT cstDans le repère dHT (r vn2 - Bn2)BT
    cst? BT colinéaires (chocs) ou r vn2 - Bn2 0
    partout (disc. rot)? vn VAn ? v VADans un
    repère quelconque v VA VHT

65
Reconnexion notion intuitive
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Reconnexion notion intuitive
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Reconnexion notion intuitive
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Reconnexion notion intuitive
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Reconnexion notion intuitive
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Reconnexion notion intuitive
71
Reconnexion notion intuitive
72
Reconnexion notion intuitive
73
Reconnexion notion intuitive
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Reconnexion notion intuitive
retour
75
Changement de topologie
?
Apparition d'un point en X, création d'îlots
magnétiques, etc
gt
76
Reconnexion 3D quelques géométries
Mouvement des lignes de champ dans ces
géométries 3-D les tubes de champ ont
généralement l'air de "s'effilocher" plutôt que
de se briser
retour (reconnexion 3-D)
77
Interaction vent solaire/ magnétosphère
78
Interaction vent solaire/ magnétosphère
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Interaction vent solaire/ magnétosphère
80
Interaction vent solaire/ magnétosphère
81
Interaction vent solaire/ magnétosphère
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Interaction vent solaire/ magnétosphère
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Interaction vent solaire/ magnétosphère
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Interaction vent solaire/ magnétosphère
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