Title: Cours Administration de bases de donn
1Cours Administration de bases de données
- Tuan-Loc NGUYEN
- Université Paris 6 -Paris 12
2Dictionnaire
- Cours proposper
- Administration de bases de données
- Administration
- Bases
- Données
- Université
- Tuan-Loc NGUYEN (dico viet-franco)
- Tuan beau, intelligent
- Loc bonheur
- Nguyen nom de la famille royale
- -gt Tuan-Loc NGUYEN
- un homme beau,intelligent,bonheur dans la
famille royale
3Contenu du cours 1
- Définition de bases de données
- Définition de SGBD
- SGBD
- Caractéristiques
- Pourquoi
- Modèles de modélisation des données
- Objectif du SGBD
- Architecture
- deux niveaux
- trois niveaux
- répartie
- Gestion daccès
- Concepts de base
- Organisations par hachage
- Organisations indexées
- Organisations multi-attributs
4Résumé
- Bases de données, définition
- Collection de fichiers reliés par des pointeurs
multiples, bien organisés, répondre efficacement
des demandes variées - Collection dinformations via la modélisation du
monde réel
5SGBD - Quest-ce cest ?
- SGBD (DBMS) Databases Management System
- Système de Gestion de Bases de Données
- Définition de SGBD
- Logiciel
- données persistantes
- accès efficace
- (Ullman)
- Ensemble de logiciels systèmes permettant de
stocker et dinterroger un ensemble de fichiers
indépendants. Il est aussi un outil permettant de
modéliser et de gérer des données (G.Gardarin)
6SGBD Caractéristiques
- Manager des données persistées
- Accéder aux larges données avec efficacité
- Supporter modèles de données
- Transaction
- Permettre de définir des données(structure,
accès, manipuler) - Recouverte de données
- Control daccès
7Objectif du SGBD
- Assurer lindépendance des programmes aux données
(architecture 2-tiers) - What non How
- Indépendance
- Physique des programmes aux données
- Logique des programmes aux données
- Administration facile
- Permettre de manipuler par langages query (SQL)
81. Objectifs des SGBD (1)
- INDÉPENDANCE PROGRAMMES/DONNÉES
- Indépendance physique
- Indépendance logique
- ACCÉS PAR DES LANGAGES ASSERTIONNELS
- Recherche (le quoi et non le comment)
- Insertion (en groupes, calculées)
- Mise à jour (basée sur la recherche)
- EFFICACITÉ DES ACCÈS
- Temps de réponse
9SGBD
logique
données
physique
10Objectifs des SGBD (2)
- SUPPORT DE TRANSACTIONS
- Atomique (tout ou rien)
- Cohérente (respect de l'intégrité)
- PARTAGEABILITÉ ET SÉCURITE DES DONNÉES
- Simultanéité lecture/écriture maximum
- Accès transactionnels décisionnels
- Confidentialité (authentification, droits
d'accès, cryptage) - Restauration après pannes (journaux, sauvegardes)
Introduction
11Objectifs des SGBD (3)
- CONCEPTION FACILITÉE DES APPLICATIONS
- Conception visuelle des BD (diagrammes E/R,
objets) - Conception des traitements (diagrammes de flux
entre modules) - Dictionnaire de données (objets BD, graphiques,
applicatifs) - ADMINISTRATION SYSTÈME FACILITÉE
- Visualisation des plans d accès
- Élaboration de statistiques
Introduction
12Niveaux de schémas
- Conceptuel
- description des entités et associations du monde
réel - Interne
- implémentation physique des entités et
associations dans les fichiers - Externe (vues)
- description des entités et associations vues par
un utilisateur (ou un groupe dutilisateurs)
Introduction
13Architectures Client-Serveur
- Définition
- modèle d'architecture applicative où les
programmes sont répartis entre processus clients
et serveurs communiquant par des requêtes avec
réponses. - Une répartition hiérarchique des fonctions
- données sur le serveur partagées entre N clients
- interfaces graphiques sur la station de travail
personnelle - communication par des protocoles standardisés
- distribution des programmes applicatifs afin de
minimiser les coûts
Architecture Client-Serveur
14Pourquoi le Client-serveur ?
- Évolution des besoins de l'entreprise
- Augmentation de productivité, de réactivité
- Utilisation des micros assurant flexibilité et
faibles coûts - Besoin de décisionnel et transactionnel sur gros
volumes - Évolution des technologies
- Systèmes ouverts permettant l'usage de standards
- Environnements de développement graphiques
- Explosion de la puissance des micros et des
serveurs - Solutions techniques séduisantes
- Les données partagées enfin accessibles
simplement - Mise en commun des services (règles de gestion,
procédures) - Gestion de transactions et fiabilité au niveau du
serveur
15Architecture 1e génération
SGBD
règles
NT, UNIX, NOVELL
SERVEUR
Données
GCOS, VMS, MVS
REQUETE
RESULTAT
Windows
NT
UNIX
CLIENTS
APPLICATIONS
APPLICATIONS
APPLICATION
Architecture Client-Serveur
16Le C/S de 2e génération
Application
Outil Applicatif
Client
- Procédure stockée
- Procédure accomplissant une fonction de service
sur les données - Exemple Entrée ou sortie de stock
- Architecture orientée services plutôt que
requêtes - Distribution des traitements
- Peut être automatisée
- Évolution et passage à l'échelle
- Possibilité de serveurs multiples, avec
redondances - Possibilité de données privées sur les clients
Outil de connectabilité
Protocole Réseau
Requêtes de services
Résultats
Protocole Réseau
Outil de connectabilité
Serveur
Procédures Stockées
Serveur BD
base de données
17Intérêt du C/S de 2e génération
- Réduction des transferts réseaux
- non nécessité de monter les données dans le
client pour les modifier - appel de services plus compact
- Distribution automatique des applications
- développement sur le poste de travail
- partitionnement par tirer-déposer (drag drop)
- Simplification des outils de développement
- principe de la fenêtre unique
- modélisation uniforme des objets applicatifs
- invisibilité du modèle de données à l'extérieur
du serveur
18Vers le 3e génération
- Intégration du Web et du client-serveur
- navigateur à présentation standard pour le client
- possibilité de petites applications (contrôles)
sur le client - très grande portabilité (Intranet, Internet)
- Architecture à 3 strates (3-tiered)
- Base de données avec procédures stockées
- Services applicatifs partagés et objets métiers
(EJB, ActiveX) - Présentation hypertexte multimédia avec contrôles
- Support de l'hypermédia
- types de données variées et extensibles (texte,
image,vidéo) - hypertexte et navigation entre documents et
applications
19Méthode dAccès
- 1. Concepts de base
- 2. Organisations par hachage
- 3. Organisations indexées
- 4. Organisations multi-attributs
201. Concepts de Base
- Le gestionnaire de fichiers est la couche interne
d'un SGBD, souvent intégrée au système
opératoire.
Gestionnaire de fichiers
21Structures des Disques
- Notion 1 Volume (Disk Pack)
- Unité de mémoire secondaire amovible.
22Notion de fichier
- Notion 2 Fichier (File)
- Récipient d'information caractérisé par un nom,
constituant une mémoire secondaire idéale,
permettant d'écrire des programmes d'application
indépendants des mémoires secondaires. - Un fichier se caractérise plus particulièrement
par - UN NOM
- UN CREATEUR
- UNE DATE DE CREATION
- UN OU PLUSIEURS TYPES D'ARTICLE
- UN EMPLACEMENT EN MS
- UNE ORGANISATION
23Quelques notions de base
- Notion 3 Article (Record)
- Elément composant d'un fichier correspondant à
l'unité de traitement par les programmes
d'application. - Notion 4 Organisation de fichier (File
organization) - Nature des liaisons entre les articles contenus
dans un fichier. - Notion 5 Méthode d'accès (Acces Method)
- Méthode d'exploitation du fichier utilisée par
les programmes d'application pour sélectionner
des articles. - Notion 6 Clé d'article (Record Key)
- Identifiant d'un article permettant de
sélectionner un article unique dans un fichier.
24Les fichiers sur les volumes
- Notion 7 Label de volume (Label)
- Premier secteur d'un volume permettant
d'identifier ce volume et contenant en
particulier son numéro. - Notion 8 Descripteur de fichier (Directory
entry) - Ensemble des informations permettant de retrouver
les caractéristiques d'un fichier, contenant en
particulier le nom du fichier, sa localisation
sur disque, etc - Notion 9 Catalogue (Directory)
- Table (ou fichier) située sur un volume et
contenant les descripteurs des fichiers du volume.
25Organisation d'un volume
26Catalogue Hiérarchisé
- Notion 10 Catalogue hiérarchisé
- Catalogue constitué d'une hiérarchie de fichiers,
chaque fichier contenant les descripteurs des
fichiers immédiatement inférieurs dans la
hiérarchie. - gt PIERRE
- gt PIERRE gt BASES-DE-DONNEES
- gt PIERRE gt BASES-DE-DONNES gt MODELES
27Exemple de catalogue hiéarchisé
28Allocation de l'espace disque
- Notion 11 Région (Allocation area)
- Ensemble de zones de mémoires secondaires
(pistes) adjacentes allouées en une seule fois à
un fichier. - Notion 12 Granule d'allocation (Allocation
granule) - Unité de mémoire secondaire allouable à un
fichier.
29Stratégie d'allocation
- Objectifs d'une stratégie
- (1) minimiser le nombre de régions à allouer à un
fichier de sorte à réduire d'une part les
déplacements des bras des disques lors des
lectures en séquentiel et d'autre part le nombre
de descripteurs de régions associés à un fichier - (2) minimiser la distance qui sépare les régions
successives d'un fichier, de sorte à réduire les
déplacements de bras en amplitude.
30Stratégie par granule à région fixe
- Ces stratégies confondent les notions de région
et de granule. Elles sont simples et généralement
implantées sur les petits systèmes. - La stratégie du premier trouvé
- le granule correspondant à la tête de liste de
la liste des granules libres, ou au premier bit à
0 dans la table des granules libres, est choisi. - La stratégie du meilleur choix
- le granule le plus proche (du point de vue
déplacement de bras) du dernier granule alloué au
fichier est retenu.
31Stratégie à région variable
- La stratégie du plus proche choix
- Lors d'une demande d'allocation, la liste des
régions libres est parcourue jusqu'à trouver une
région de la taille demandée dans le cas où
aucune région de la taille demandée n'est libre,
la première région de taille supérieure est
découpée. - La stratégie des frères siamois
- Des listes séparées sont maintenues pour les
régions libres de dimensions 20, 21, 2K
granules. Lors d'une demande d'allocation, une
région libre peut être extraite de la liste des
régions libres de taille 2i1 pour constituer
deux régions libres de taille 2i.
32Adressage Relatif
- Notion 13 Adresse relative (Relative address)
- Numéro d'unité d'adressage dans un fichier
(autrement dit déplacement par rapport au début
du fichier).
offset adresse relative
33Architecture d'un SGF
342. Organisations par Hachage
- Notion 14 Fichier haché statique (Static hashed
file) - Fichier de taille fixe dans lequel les articles
sont placés dans des paquets dont l'adresse est
calculée à l'aide d'une fonction de hachage fixe
appliquée à la clé.
35Structure interne d'un paquet
36Vue d'un fichier haché statique
37Fonction de Hachage
- DIFFÉRENTS TYPES DE FONCTIONS
- PLIAGE DE LA CLE
- CONVERSION
- MODULO P
- FONCTION PSEUDO-ALEATOIRE MIXTE
- BUT
- Obtenir une distribution uniforme pour éviter de
saturer un paquet - Mauvaise fonction de hachage gt Saturation
locale et perte de place - SOLUTION AUTORISER LES DEBORDEMENTS
38Techniques de débordement
- l'adressage ouvert
- place l'article qui devrait aller dans un paquet
plein dans le premier paquet suivant ayant de la
place libre il faut alors mémoriser tous les
paquets dans lequel un paquet plein a débordé. - le chaînage
- constitue un paquet logique par chaînage d'un
paquet de débordement à un paquet plein. - le rehachage
- applique une deuxième fonction de hachage
lorsqu'un paquet est plein pour placer en
débordement.
39Problème du hachage statique
- Nécessité de réorganisation
- Un fichier ayant débordé ne garantie plus de bons
temps d'accès (2 ? accès disque en écriture, 1
en lecture) - Le nombre de paquets primaires est fixe, ce qui
peuT entrainer un mauvais taux de remplissage - Solution idéale réorganisation progressive
- Un fichier ayant débordé devrait rester analogue
à un fichier n'ayant pas débordé. - Il serait souhaitable de changer la fonction
d'adressage.
40Techniques de hachage dynamique
- Techniques permettant de faire grandir
progressivement un fichier haché saturé en
distribuant les articles dans de nouvelles
régions allouées au fichier. - LES QUESTIONS CLÉS
- (Q1) Quel est le critère retenu pour décider
qu'un fichier haché est saturé ? - (Q2) Quelle partie du fichier faut-il doubler
quand un fichier est saturé? - (Q3) Comment retrouver les parties d'un fichier
qui ont été doublées et combien de fois ont elles
été doublées? - (Q4) Faut-il conserver une méthode de débordement
et si oui quelle méthode?
41Hachage extensible
- (Q1) Le fichier est étendu dès qu'un paquet est
plein dans ce cas un nouveau paquet est ajouté
au fichier. - (Q2) Seul le paquet saturé est doublé lors d'une
extension - Il éclate selon le bit suivant du résultat de la
fonction de hachage appliquée à la clé h(K). Les
articles ayant ce bit à 0 restent dans le paquet
saturé, alors que ceux ayant ce bit à 1 partent
dans le nouveau paquet. - (Q3) Chaque entrée dun répertoire donne
l'adresse d'un paquet. - Les 2(P-Q) adresses correspondant à un paquet
qui a éclaté Q fois sont identiques et pointent
sur ce paquet ainsi, par l'indirection du
répertoire, le système retrouve les paquets. - (Q4) La gestion de débordement n'est pas
nécessaire.
42Fichier haché extensible
Paquets
Répertoire
43Eclatement d'un paquet
- L'entrée jumelle est forcée à l'adresse du
nouveau paquet créé si elle pointe sur le paquet
éclaté, sinon le répertoire est doublé.
44Définition du hachage extensible
- Notion 15 Hachage extensible (Extended hashing)
- Méthode de hachage dynamique consistant à éclater
un paquet plein et à mémoriser l'adresse des
paquets dans un répertoire accédé directement par
les (MP) premiers bits de la fonction de hachage
où P est le nombre d'éclatements maximum subi par
les paquets.
45Hachage linéaire
- (Q1) Le fichier est étendu par paquet dès qu'un
paquet est plein. - (Q2) Le paquet doublé n'est pas celui qui est
saturé, mais un paquet pointé par un pointeur
courant qui parcours le fichier circulairement. - (Q3) Un niveau d'éclatement P du fichier est
conservé dans le descripteur du fichier afin de
préciser la fonction de hachage. - Pour un paquet situé avant le pointeur courant,
(MP1) bits de la fonction de hachage doivent
être utilisés alors que seulement (MP) sont à
utiliser pour adresser un paquet situé après le
pointeur courant. - (Q4) Une gestion de débordement est nécessaire
puisqu'un paquet plein n'est en général pas
éclaté.
46Paquets d'un fichier haché linéaire
Xo H(k) Xi (xoi) mod M i 1,2,M-1
47Définition du hachage linéaire
- Notion 16 Hachage linéaire (Linear hashing)
- Méthode de hachage dynamique nécessitant la
gestion de débordement et consistant à - (1) éclater le paquet pointé par un pointeur
courant quand un paquet est plein, - (2) mémoriser le niveau d'éclatement du fichier
afin de déterminer le nombre de bits de la
fonction de hachage à appliquer avant et après le
pointeur courant.
48Comparaison des hachages
- Exercice Comparer entre les hachages ?
493. Organisations Indexées
- OBJECTIFS
- 1) Accès rapide a partir d'une clé
- 2) Accès séquentiel trié ou non
- MOYENS
- Utilisation de tables permettant la recherche de
l'adresse de l'article a partir de la CLE - Notion 23 Index (Index)
- Table (ou plusieurs tables) permettant d'associer
à une clé d'article l'adresse relative de cet
article.
50Exemple de fichier indexé
index
51Différents Types d'Indexes
- Un index contenant toutes les cles est dense
- Notion 24 Densité d'un index (Index key
selectivity) - Quotient du nombre de clés dans l'index sur le
nombre d'articles du fichier. - Un index non dense est possible si le fichier est
trie - Il contient alors la plus grande clé de chaque
bloc avec l'adresse relative du bloc. - Il est possible de construire des indexes
hiérarchisés - Chaque index possède alors un index qui permet
d'accélérer la recherche. - Il est ainsi possible de gérer efficacement de
gros fichiers.
52Exemple d'index non dense
53Exemple d'index hiérarchisé
- Notion 25 Index hiérarchisé (Multilevel index)
- Index à n niveaux, le niveau k étant un index
trié divisé en paquets, possédant lui-même un
index de niveau k1, la clé de chaque entrée de
ce dernier étant la plus grande du paquet.
54Variantes de méthodes indexées
55Arbre-B
- Les arbres-B fournissent des outils de base pour
construire des indexes équilibrés. - Notion 26 Arbre-B (B-tree)
- Un arbre-B d'ordre m est un arbre au sens de la
théorie des graphes tel que - 1) Toutes les feuilles sont au même niveau
- 2) Tout nœud non feuille à un nombre NF de fils
tel que - m1 lt NF lt 2m1 sauf la racine qui a un nombre
NFR de fils tel que 0 lt NFR lt 2m1.
56Arbre-B d'ordre 2
i
r
c
f
o
l
u
x
v,w
y,z
g,h
m,n
p,q
s,t
d,e
j,k
a, b
57Structure d'un nœud d'un arbre-B
- Pi Pointeur interne permettant de représenter
l'arbre les feuilles ne contiennent pas de
pointeurs Pi - ai Pointeur externe sur une page de données
- xi valeur de clé.
- (1) (x1, x2xK) est une suite croissante de clés
- (2) Toute clé y de K(P0) est inférieure à x1
- (3) Toute clé y de K(P1) est comprise entre xi et
xi1 - (4) Toute clé y de K(PK) est supérieure à xk.
58Exemple d'index en arbre-B
59Insertion de la clé 25
60Hauteur d'un Arbre-B
- Le nombre de niveaux d'un arbre-B est déterminée
par son degré et le nombre de clés contenues. - Ainsi, dans le pire des cas, si l'arbre est
rempli au minimum, il existe - une clé à la racine,
- deux branches en partent avec m clés,
- (m1) branches en partent avec m clés.
- Pour un arbre de niveaux h, le nombre de clés est
donc - N 1 2 m (1 (m1) (m1)2 (m1)h-2)
- soit, par réduction du développement limité
- N 1 2 ((m1)h-1-1)
- D'où l'on déduit que pour stocker N clés, il
faut - h 1 logm1 ((N1)/2) niveaux.
61Arbre-B
- Notion 27 Arbre B (B tree)
- Arbre-B dans lequel on répète les clés des nœuds
- ascendants dans chaque nœud et on chaîne les
nœuds - feuilles pour permettre un accès rapide en
séquentiel trié. - Les arbres-b sont utilises pour gérer des index
hiérarchisés - 1) en mettant toutes les clés des articles dans
un arbre B et en pointant sur ces articles par
des adresses relatives gt INDEX NON PLACANT - 2) en rangeant les articles au plus bas niveau de
l'arbre B gt INDEX PLACANT
62Exemple d'index en arbre-B
63Avantages et Inconvénients
- Avantages des organisations indexées par arbre-b
(b) - Régularité pas de réorganisation du fichier
nécessaires après de multiples mises à jour. - Lecture séquentielle rapide possibilité de
séquentiel physique et logique (trié) - Accès rapide en 3 E/S au plus pour des fichiers
de 1 M d'articles - Inconvénients
- Les suppressions génèrent des trous difficiles à
récupérer - Dans le cas d'index non plaçant, la localité est
mauvaise pour des accès séquentiels ou sur clés
secondaires, ce qui conduit à de nombreux
déplacement de bras. - Taille de l'index pouvant être importante.
64Exercice
- Discuter de la possibilité de mettre plusieurs
indexes à un fichier - plaçant
- non plaçant
- Avantages et inconvénient
- coût de mise à jour
- coût dinterrogation