SmithKline Beecham - PowerPoint PPT Presentation

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SmithKline Beecham

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Actionnaires. Clients. De nombreuses personnes (y compris le management) sont int ress es ... l'assembl e g n rale des actionnaires. 12. Les m tiers de l'audit ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: SmithKline Beecham


1
Université Paris X Nanterre
Master 1 Gestion
METHODOLOGIE DE LAUDIT
Cours de Christophe Chapuis
2
Présentation de lUV
3
Présentation de lUV
  • Objectifs de lUV  Méthodologie de laudit 
  • 1. Appréhender les différents métiers de laudit
  • 2. Connaître les principales réglementations
    affectant les métiers de laudit
  • 3. Comprendre les enjeux dun audit et la
    méthodologie appliquée
  • 4. A partir de cas pratiques, être capable
    didentifier une approche daudit pertinente

4
Introduction
5
Introduction
  • Laudit une image de sérieux et defficacité
  • Bien que mal connu du grand public, le mot audit
    revêt toujours une image de sérieux et
    defficacité.
  • Laudit reste un terme générique commissariat
    aux comptes, audit interne, audit qualité, audit
    logistique, etc. Il va parfois au-delà du simple
    constat pour apporter des solutions.
  • Les récents scandales financiers (Enron / Arthur
    Andersen) ont jeté un doute quant à la capacité
    des auditeurs à répondre à leur mission initiale.

6
Introduction
  • La réponse des institutionnels aux scandales
    financiers et à la perte de confiance des tiers
    dans les auditeurs
  • Aux USA Adoption de la loi Sarbanes-Oxley du 30
    juillet 2002
  • En France Adoption le 1er août 2003 de la loi
    sur la sécurité financière faisant suite à la loi
    NRE du 15 mai 2001 (loi relative aux nouvelles
    régulations économiques).
  • Refonte du code de déontologie du commissaire aux
    comptes le 16 novembre 2005.
  • Ces nouvelles règlementations ont structuré les
    rapports entre auditeurs et audités.

7
Introduction
  • Laudit une méthode de contrôle
  • Laudit est une technique de travail précise et
    efficace qui permet lémission dopinions
    précises.
  • Néanmoins, cette méthode ne garantit pas un
    succès certain, les nombreux et récents scandales
    financiers en témoignent Enron, Parmalat.
  • Lémission dune opinion sur les états financiers
    dune société reste pourtant indispensable dans
    lenvironnement économique actuel. En effet, il
    donne un niveau de confiance aux lecteurs de
    linformation financière et participe ainsi
    indirectement au dynamisme de lenvironnement
    économique.

8
Missions et fonctions de lauditeur
9
Audit pour qui ?
  • De nombreuses personnes (y compris le
    management) sont intéressées par lentreprise et
    limage quelle donne delle-même

Administration fiscale
Actionnaires
Marchés / Concurrents
Organismes réglementaires, AMF, places boursières
ENTREPRISE
Clients
Etablissements financiers
Fournisseurs
10
Audit pourquoi ?
  • Lentreprise doit donner des informations pour
    être acceptables, ces informations doivent être
    contrôlées
  • Laudit est un examen critique

11
Les métiers de laudit
  • Le Commissaire aux Comptes (audit légal)
  • Est chargé par le législateur de certifier les
    comptes produits par lentreprise
  • Est garant de la fiabilité de linformation
    financière
  • Est chargé de contrôler linformation financière
    de la société qui le mandate
  • Bénéficie dun mandat de 6 ans renforçant son
    indépendance vis-à-vis de son client
  • Il rend compte à lassemblée générale des
    actionnaires

12
Les métiers de laudit
  • Lauditeur (audit contractuel)
  • Identifie et évalue les risques
  • Est un spécialiste dun secteur dactivité
  • Formule des propositions
  • Soit l'auditeur fait partie de l'entreprise,
    soit il intervient comme partenaire extérieur

13
Lévolution de la profession
  • Séparation audit et conseil
  • Renforcement de lindépendance des CAC
  • (Rotation, délai de viduité, ..)
  • Révision des normes professionnelles et nouvelles
    dispositions légales
  • Des groupes de plus en plus complexes
  • Un besoin de confiance accru des marchés

14
Organisation dune mission daudit
15
Les différentes phases
  • Accepter la mission
  • Planification
  • Rencontrer le client
  • Composer léquipe
  • Identification des risques et notamment prise en
    compte des risques inhérents
  • Appréciation du contrôle interne
  • Evaluation et validation de lefficacité du
    contrôle interne
  • Identification des risques de contrôle
  • Détermination de la stratégie daudit
  • Elaboration de programmes de travail en fonction
    du niveau de confiance accordée au contrôle
    interne
  • Couverture du risque de non détection

16
Les différentes phases
  • Contrôle des comptes
  • Toutes les assertions doivent être couvertes
  • Finalisation
  • Emission des rapports

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Rôles et responsabilités au sein de léquipe
daudit
  • Lassocié
  •  
  • Coache l'ensemble de l'équipe, 
  • S'assure que les rôles et responsabilités au sein
    de
  • l'équipe sont correctement définis,  
  • Revoit les points critiques,
  • Approuve les produits délivrés au client,
  • Approuve et signe les états financiers,

18
Rôles et responsabilités au sein de léquipe
daudit
  • Le chef de mission
  •  
  • Assure la gestion du projet,
  • Coache les collaborateurs,
  • Revoit leurs travaux,
  • Assure la coordination avec les spécialistes,
  • Revoit les points critiques,
  •  Reporte  à lassocié.
  •  
  •  

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Rôles et responsabilités au sein de léquipe
daudit
  • Le collaborateur
  •  
  • Réalise les travaux d'audit,
  • Sollicite le responsable de mission sur la
    résolution des problèmes dès leur identification.

20
Règlementation actuelle
21
La règlementation actuelle
  • Limportance du référentiel
  • A la différence des missions de conseil qui ne
    sont pas encadrées par un référentiel stricte,
    les missions daudit seffectuent dans un
    référentiel strict et déterminé.
  • Ainsi, selon le cadre dans lequel la mission
    daudit seffectue, le référentiel appliqué
    pourra varier.
  • En France, le référentiel est celui des normes de
    la CNCC (Compagnie Nationale des Commissaires aux
    Comptes).
  • Cependant, dans certains cas spécifiques,
    lauditeur peut se référer aux normes
    internationales (International Standards on
    Auditing) ou américaines (International Standards
    Board).

22
La règlementation actuelle
  • Le référentiel français
  • La Loi sur la Sécurité Financière
  • Le référentiel CNCC
  • Le nouveau code de déontologie
  • Les normes CNCC
  • Les autres référentiels
  • International International Standards on
    Auditing
  • USA Auditing Standards Board

23
La règlementation actuelle
  • Quel référentiel utiliser ?
  • Pour les missions se déroulant en France, le
    référentiel standard est celui de la Compagnie
    Nationale des Commissaires aux Comptes.
  • Cependant, il peut être demandé à des auditeurs
    français démettre une opinion, à destination
    dautres auditeurs, intervenant eux-mêmes dans un
    référentiel non-français.
  • Cest le cas des inter-office reports dans le
    cadre de laudit de groupes étrangers. Le
    référentiel peut alors être celui des ISA ou de
    lASB.

24
La règlementation actuelle
  • Quid du référentiel comptable ?
  • Pour les missions se déroulant en France, le
    référentiel comptable est celui du Plan Comptable
    Général.
  • Cependant, il peut également être demandé à des
    auditeurs français démettre une opinion dans un
    référentiel comptable étranger. Cest notamment
    le cas des inter-office reports dans le cadre
    de laudit de groupes étrangers.

25
Acceptation de la mission daudit
26
La lettre de mission
  • Pourquoi une lettre de mission ?
  • Lobtention dune lettre de mission approuvée par
    la Direction de la société est nécessaire avant
    deffectuer toute mission daudit, légal comme
    contractuel.
  • Celle-ci confirme les dispositions relatives à la
    mission daudit et détermine notamment létendue
    de la mission, lorganisation de celle-ci et les
    honoraires afférents, ainsi que la responsabilité
    et les obligations de la Direction et des
    auditeurs.

27
Modèles dopinion
28
Les modèles dopinion
  • Limportance du référentiel
  • Lopinion émise dépend directement du référentiel
    dans lequel la mission daudit se déroule.
  • Les modèles dopinion sont stricts et normés.
  • Exemples dopinions
  • France Compagnie Nationale des Commissaires aux
    Comptes
  • International International Standards on
    Auditing
  • USA Auditing Standards Board

29
Méthodologie daudit
30
Objectif Obtenir une assurance raisonnable
Lévolution de la profession
ASSURANCE RAISONNABLE
PREUVES
RISQUES
DAUDIT
MATERIALITE
31
Risques
  • Risque inhérent
  • Risque de contrôle
  • Risque de non détection

32
Risque inhérent
  • Lactivité du client peut générer des opérations
    complexes à traduire comptablement
  • Le contexte économique fluctuant peut avoir un
    impact sur les comptes
  • La réglementation peut être mal respectée
  • gtune approche sectorielle

33
Risque de contrôle
  • Réponse appréciation des procédures de contrôle
    interne
  • Définition Le " système de contrôle interne "
    est l'ensemble des politiques et procédures mises
    en œuvre par la direction d'une entité en vue
    d'assurer, la gestion rigoureuse et efficace de
    ses activités.
  • Ces procédures impliquent le respect des
    politiques de gestion, la sauvegarde des actifs,
    la prévention et la détection des irrégularités
    et inexactitudes, l'exactitude et l'exhaustivité
    des enregistrements comptables et l'établissement
    en temps voulu d'informations financières ou
    comptables fiables.

34
Risque de non détection
  • Les contrôles mis en œuvre par lauditeur ne
    parviennent pas à détecter une anomalie
  • Les anomalies qui peuvent affecter les comptes
  • Exhaustivité (Eh) toutes les transactions et
    événements qui se sont produits et qui auraient
    dus être enregistrés l'ont bien été.
  • Exactitude (Ea) les transactions enregistrées
    sont arithmétiquement correctes.
  • Valorisation (V) les éléments financiers sont
    correctement évalués.
  • Existence et Occurrence (Ei) les actifs et les
    passifs existent à la date de clôture. / Les
    transactions enregistrées au compte de résultat
    correspondent à des événements économiques qui se
    sont produits pendant la période
  • Séparation des exercices (SE) les transactions
    ont été enregistrées dans la bonne période.
  • Droits et Obligations (DO) les actifs et les
    passifs de l'entreprise correspondent
    respectivement aux droits et obligations de
    l'entreprise à la date de clôture.
  • Présentation et information (PI) les états
    financiers sont correctement présentés (y compris
    l'information en annexe)

35
Existe-t-il des immobilisations à déprécier ?
Les contrats de crédit- bail sont-ils
correctement appréhendés ?
La société est-elle propriétaire des
immobilisations ?
Toutes les transactions ont-elles été
correctement comptabilisées ?
Valorisation
Droits et Obligations
Exhaustivité
Les immobilisations en cours sont-elles
correctement valorisées ?
Cut Off
Les immobilisations totalement amorties
sont-elles encore utilisées ?
Toutes les acquisitions/cessions
dimmobilisations de lexercice ont-elles été
comptabilisées ?
Existence
Investissements
Exactitude
Présentation
Les investissements ont-ils été autorisés ?
Les cessions dimmobilisations ont-elles
correctement enregistrées ainsi que les /-
values liées ?
La dotation aux amortissements est-elle
correctement calculée et comptabilisée ?
Les comptes dimmobilisations sont-ils
convenablement présentés au bilan ?
36
La société est-elle propriétaire des fonds ?
Les personnes mentionnées sont-elles habilitées
à faire fonctionner le compte ?
Les montants en dépôt sont-ils recouvrables ?
Toutes les transactions ont-elles été
correctement comptabilisées ?
Valorisation
Droits et Obligations
Exhaustivité
Cut Off
Tous les comptes bancaires sont-ils enregistrés ?

Toutes les transactions de lexercice ont-elles
été enregistrées ?
Trésorerie
Existence
Exactitude
Présentation Information
Les comptes bancaires existent-t-il ?
Les comptes de trésorerie sont-ils convenablement
présentés au bilan ?
Les comptes en devises sont -ils exacts ?
L'information donnée en annexe est-elle
satisfaisante ?
37
Clients / Ventes
L'information donnée en annexe est-elle
satisfaisante ?
38
Fournisseurs / Achats
L'information donnée en annexe est-elle
satisfaisante ?
39
La matérialité
Jugement professionnel
  • Seuil de
  • matérialité

Expérience
Contexte
Niveau de risque
40
Preuves daudit
  • PREUVE ECRITE Preuve orale
  • SOURCE DIRECTION Source employés
  • PREUVE EXTERNE Preuve du client

41
Preuves daudit
Techniques de collecte éléments probants
Observation physique
Inspection
Procédures analytiques
Confirmation
Entretien
Calculs
42
Un moyen le sondage
  • Sondages empiriques méthodes non statistiques
  • Éléments de valeur importante ou supérieure à un
    seuil préfixé
  • Éléments présentant un caractère particulier
  • Le résultat des travaux effectués sur des
    éléments ainsi sélectionnés ne peut pas être
    extrapolé à l'ensemble de la population.
  • Sondages statistiques
  • La mise en œuvre suppose l'utilisation d'une loi
    mathématique (en générale, la loi normale).
  • Les résultats obtenus sur l'échantillon
    sélectionné peuvent être extrapolés.
  • Sondages aléatoires

43
Contrôle interne
44
Définition du contrôle interne
  • Le " système de contrôle interne " est l'ensemble
    des politiques et procédures mises en œuvre par
    la direction d'une entité en vue d'assurer, la
    gestion rigoureuse et efficace de ses activités.
  • Ces procédures impliquent le respect des
    politiques de gestion, la sauvegarde des actifs,
    la prévention et la détection des irrégularités
    et inexactitudes, l'exactitude et l'exhaustivité
    des enregistrements comptables et l'établissement
    en temps voulu d'informations financières ou
    comptables fiables.
  • Norme CNCC 2-301.08

45
Le cube COSO
  • Les 5 niveaux de contrôle
  • permettent de couvrir les 3 objectifs du contrôle
    interne
  • pour chaque dimension de l'entreprise

46
Illustration du COSO
(Accès physique aux bâtiments dune société
Information et Communication les employés sont
sensibilisés au risque d'intrusion et exigent de
toute personne inconnue le port du badge remis
par le gardien
Environnement de contrôle Il y a un gardien
compétent à l'entrée. Il a des objectifs
clairement assignés. Il est régulièrement formé
Activités de contrôle Demander aux visiteurs leur
carte d'identité et comparer le nom avec la liste
des visiteurs.
  • Évaluation des risques
  • Vol du matériel de la société.Vol d'informations
    sur la société

Pilotage Contrôle périodique pour s'assurer que
la procédure de contrôle des accès est
correctement appliquée.
47
Démarche d'appréciation du contrôle interne
Prise de connaissance de la procédure Analyse
théorique de la procédure
Points forts
Points faibles
Tests de contrôles
Points forts infirmés
Points forts confirmés
Évaluation de l'incidence des points faibles sur
les comptes et sur les procédures d'audit
complémentaires à mettre en oeuvre
Évaluation définitive du contrôle interne
Rapport et recommandations
48
Exemple business process ventes
49
La matrice des contrôles
  • Formalisation des travaux sur les contrôles
    identifiés
  • Description (identification précise du contrôle)
  • Évaluation par référence aux assertions d'audit
  • Travaux de validation
  • Travaux complémentaires (procédures substantives)
    à mener le cas échéant

Seuls les contrôles ainsi validés et documentés
constituent une preuve d'audit
50
La matrice des contrôles (suite)
() C Completeness of records A Accuracy of
records V Validity of records RA Restricted
access to assets and records () Annually,
quarterly, monthly, weekly, daily, multiple
times a day.
() C Completeness A Accuracy CO Cut
Off EO Existence / Occurrence RO Rights and
Obligations VA Valuation / Allocation CL
Classification
51
La matrice des contrôles (exemple)
52
La matrice des contrôles (exemple)
53
Tests daudit
54
Objectif des tests daudit
  • Les tests daudit ont pour objectif de sassurer
    que les comptes annuels sont réguliers et
    sincères et donnent une image fidèle du résultat
    des opérations ainsi que de la situation
    financière et du patrimoine de la société.
  • Les tests daudit ont ainsi pour objectif de
    détecter déventuelles anomalies (exhaustivité,
    exactitude, valorisation, existence occurrence,
    séparation des exercices, droits obligations,
    présentation information).
  • Ils sont enfin orientés en tenant compte des
    risques inhérents et des risques de contrôle
    préalablement identifiés ainsi que de la
    matérialité précédemment déterminée.

55
Référence au rapport général du CAC
  •  Nous avons effectué notre audit selon les
    normes professionnelles applicables en France
    ces normes requièrent la mise en œuvre de
    diligences permettant d'obtenir l'assurance
    raisonnable que les comptes annuels ne comportent
    pas d'anomalies significatives. Un audit consiste
    à examiner, par sondages, les éléments probants
    justifiant les données contenues dans ces
    comptes. Il consiste également à apprécier les
    principes comptables suivis et les estimations
    significatives retenues pour l'arrêté des comptes
    et à apprécier leur présentation d'ensemble. Nous
    estimons que nos contrôles fournissent une base
    raisonnable à l'opinion exprimée ci-après.
  • Nous certifions que les comptes annuels sont, au
    regard des règles et principes comptables
    français, réguliers et sincères et donnent une
    image fidèle du résultat des opérations de
    l'exercice écoulé ainsi que de la situation
    financière et du patrimoine de la société à la
    fin de cet exercice. 

56
Catégories de tests daudit
  • Les tests daudit sont principalement regroupés
    en deux catégories les procédures analytiques
    et les tests de détail.
  • Procédures analytiques
  • Les procédures analytiques consistent en une
    revue de cohérence des soldes testés. Cette revue
    de cohérence nécessite une estimation préalable
    de lauditeur et lanalyse des écarts entre
    lestimation de lauditeur et le solde réel.
  • Develop an independent expectation
  • Define a significant difference or threshold
  • Compute difference
  • Investigate significant differences and draw
    conclusions

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Catégories de tests daudit
  • Tests de détail sondages
  • Sondages empiriques méthodes non statistiques
  • Éléments de valeur importante ou supérieure à un
    seuil préfixé
  • Éléments présentant un caractère particulier
  • Le résultat des travaux effectués sur des
    éléments ainsi sélectionnés ne peut pas être
    extrapolé à l'ensemble de la population.
  • Sondages statistiques
  • La mise en œuvre suppose l'utilisation d'une loi
    mathématique (en générale, la loi normale).
  • Les résultats obtenus sur l'échantillon
    sélectionné peuvent être extrapolés.
  • Sondages aléatoires

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Conclusion
59
Conclusion
  • Présentation de la méthodologie de l'audit
  • Une approche par les risques
  • Fondée sur l'appréciation des procédures de
    contrôle interne
  • Différentes techniques d'audit utilisées

60
Objectif obtenir une assurance raisonnable
  • 3 principes à retenir
  • Un niveau de risque élevé requiert des travaux
    daudit renforcés, un niveau de risque faible
    requiert moins de travaux daudit.
  • Un environnement de contrôle interne faible
    requiert des travaux daudit renforcés, un
    environnement de contrôle interne fort requiert
    moins de travaux daudit.
  • Toutes les assertions daudit doivent être
    couvertes pour chaque poste des Etats Financiers.
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