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Commerce lectronique

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La communication de masse utilis e cherche influencer directement l'individu et ... des alliances qui se forment impose tous ces acteurs des strat gies ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Commerce lectronique


1
Commerce électronique
  • Cours 3

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Objectifs du cours
  • La société et son évolution
  • La communication médiatique
  • E-business et la nouvelle société
  • Ladoption du web
  • Intro au dév. dun site web

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(No Transcript)
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Une société fonctionnant par paliers
  • Pour l'être humain, l'ensemble des paliers
    devient un processus d'identification,
    d'apprentissage et d'interaction, avec  son 
    monde. à

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(No Transcript)
6
La communication de masse
  • On assiste, de la part des mégamajors du
    divertissement et du commerce électronique, à une
    offensive visant à offrir à tous les individus de
    la planète une culture mondiale uniforme.
  • La communication de masse utilisée cherche à
    influencer directement l'individu et contribue à
    l'isoler pour mieux le manipuler, en faire
    surtout un consommateur.

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(No Transcript)
8
La communication entre les paliers
  • Selon une autre hypothèse, la nouvelle société
    fonctionnerait plutôt grâce à une communication
    par paliers. Ceux-ci permettent la ventilation
    des contenus et des services dans un sens, et en
    retour, ils facilitent la canalisation de la
    participation de l'individu à cette société.
  • Cette théorie explique aussi comment se réalisent
    la fragmentation des auditoires mass médiatiques
    et l'émergence actuelle de la communautique. Elle
    explique comment il se fait que les groupes
    d'intérêts ont leur propre code de communication,
    c'est-à-dire leur propre répertoire de mots-clés
    et de symboles.
  • Cette théorie explique aussi que, placés entre
    l'individu et l'État, les groupes d'intérêts
    adoptent souvent des modes d'action plus
    revendicatifs.

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Les groupes traditionnels et les groupes
virtuels
  • Voici une lecture comparée entre les groupes
    formels traditionnels, c'est-à-dire réels, et
    leurs outils de communication, et les nouveaux
    types de groupes qui sont virtuels et qui
    utilisent les NTIC.

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(No Transcript)
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L'éventail médiatique
  • Si on répartit horizontalement la masse critique
    des utilisateurs (d'une personne à plus d'un
    million), et verticalement le délai de la
    diffusion des contenus autant en ligne que hors
    ligne (d'une heure à trois mois), on aboutit à
    une répartition des outils médiatiques dans les
    trois espaces publics.
  • La privatique, la communautique et le mass
    médiatique sont des niveaux de solidarité, de
    culture et de consommation trois paliers de
    communication dans notre société, auxquels
    répondent trois différents types de portails.

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(No Transcript)
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Une société de marchés
  • Si tous les modèles proposés par les forces
    actuelles de changements, c'est-à-dire les
    mégamajors, et observés par beaucoup de
    chercheurs se maintiennent, notre monde pourrait
    se voir imposer des tendances ayant des effets
    déculturants. Car ces modèles enfermeront la
    pensée humaine, donc les cultures, dans ces
    modèles fermés. Ce modèle économique unique
    impose, grâce à un réseau technologique unique,
    une pensée unique.
  • Le dérapage actuel de la nouvelle économie vient
    d'énormes résistances sociales, non pas face aux
    changements, mais face aux modèles proposés que
    les gens, intuitivement, sentent fermés.

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(No Transcript)
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Le modèle à visage humain
  • Les résistances actuelles au modèle fermé de la
    nouvelle économie pourraient être vaincues par le
    développement de modèles ouverts, c'est-à-dire
    répondant au respect de la différence et de
    l'accroissement du niveau de vie souhaités par
    les citoyens-consommateurs. Donc, une stratégie
    visant à desservir un plus grand nombre de gens
    grâce à des contenus adaptés culturellement aux
    groupes d'intérêts, c'est-à-dire développer un
    marché de niches. La question n'est plus celle du
    coût technique mais des coûts économiques liés à
    l'accès culturel aux informations.

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(No Transcript)
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Les paradigmes, ou les passages identifiés
  • Le passage d'une société à une autre est annoncé
    par l'apparition de nouveaux paradigmes. Un
    paradigme est une nouvelle façon d'interpréter
    une situation.
  • Plusieurs auteurs ont identifié un ou plusieurs
    de ces passages de l'ancienne société
    industrielle vers la nouvelle société du savoir.
    Le grand nombre de ces passages indique
    l'importance de la rupture que nous vivons.

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(No Transcript)
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(No Transcript)
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Les mutations technologiques et économiques
imposent de nouveaux défis sociétaux
  • Les trois forces de l'étape 1995-2005 font surgir
    plusieurs multiplicateurs technologiques qui
    développent la nouvelle société du savoir  un
    Internet plus mobile, une banalisation des
    ordinateurs, des bandes passantes acheminant plus
    de messages, etc.
  • Cependant, les modifications au niveau des
    clientèles sont beaucoup plus importantes que les
    convergences technologiques. Le passage de 50 à
    200 millions puis à plus de 600 millions
    d'internautes, dont la moitié n'auront pas
    l'anglais comme langue maternelle, fait
    apparaître plusieurs nouveaux défis  le
    plurilinguisme, le multiculturalisme, la
    diversification des contenus exigés par
    l'émergence des groupes d'intérêts et des
    ruptures générationnelles, de nouvelles formes de
    marketing, une nouvelle répartition de l'assiette
    publicitaire, la création de moteurs de recherche
    et d'interfaces plus conviviales, les besoins en
    éducation continue, etc.

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Le passage de 1995 à 2005
  • Le passage de la société industrielle à la
    société du savoir est une rupture qui s'accomplit
    en trois temps.
  • Les principaux paradigmes, ou passages, des pôles
    technologique, économique et sociétal sont
    présentés au schéma rupture 4.

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(No Transcript)
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Les étapes de la nouvelle économie
  • Si l'étape 1 fut passablement échevelée, les
    autres étapes qui suivent verront une progression
    plus  normale , c'est-à-dire peut-être plus
    lente au début, mais tout aussi importante. En
    d'autres mots, non seulement la nouvelle économie
    serait là pour rester, mais elle deviendrait un
    facteur de développement majeur de notre société
    du savoir.

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(No Transcript)
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Le commerce électronique ? Dans la nouvelle
économie
  • Y aura-t-il un jour un commerce électronique
    rentable ?
  • Le rêve de vendre directement aux consommateurs
    par Internet est apparu il y a vingt ans déjà.
    Mais il ne s'est jamais matérialisé pour
    différentes raisons. Aujourd'hui, le commerce
    électronique représente à peine 2 ou 3 du
    commerce en général.
  • L'un des handicaps fut cette pensée magique qui
    prétendait que TOUT le monde serait intéressé à
    acheter sur Internet et qu'il suffisait pour une
    entreprise d'être présente dans le réseau
    pour conquérir de nouveaux marchés. Peu de
    promoteurs ont réalisé qu'Internet est une
    technologie décentralisatrice et que la réponse
    n'était pas dans la création de portails
    généralistes (Yahoo, Altavista, etc.) mais dans
    le développement de portails thématiques,
    c'est-à-dire la création de niches ou marchés
    verticaux.

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L'évolution de la PME
  • La spirale finance-Internet force la PME à
    s'adapter aux nouveaux contextes, notamment aux
    habitudes des nouvelles clientèles, grâce aux
    nouveaux outils sous peine de disparaître ou
    d'être absorbée par les mégamajors.
  • La PME doit bâtir ses stratégies maintenant si
    elle veut faire partie du prochain bond
    économique.

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(No Transcript)
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Les flux de l'ancienne et de la nouvelle économie
  • La dynamique de l'ancienne économie était plutôt
    linéaire (flèches gris pâle ci-dessus) circulant
    des fournisseurs, via les transporteurs, vers les
    consommateurs.
  • À cause des NTIC, la nouvelle économie développe
    une dynamique différente (flèches foncées) 
  • son organisation est plus circulaire, chaque
    point pouvant être relié à un autre sans avoir à
    passer linéairement par le chemin traditionnel
  • on voit émerger de nouveaux intermédiaires,
    appelés infomédiaires
  • ce dynamisme a deux conséquences  plus de
    choix et plus de rapidité
  • et fait surgir de nouveaux défis.
  • (Schéma inspiré par les travaux du Groupe
    McKinsey)

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(No Transcript)
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Le déplacement de la chaîne de valeur
  • On assiste actuellement à un renversement de
    situation  le passage de l'architecture de
    réseaux à l'architecture de l'information. Ce
    renversement s'est fait en quatre étapes 
  • 1- Les efforts des principaux promoteurs des TIC,
    surtout ceux du domaine des télécommunications,
    se sont orientés vers le développement physique
    des réseaux (hardware). D'ailleurs ce
    développement continue (satellite, adsl, large
    bande, mobile, en route vers le grand rêve du G3)
    mais son importance n'est plus stratégique comme
    durant les années 60 et 70.
  • 2- Ensuite des efforts logiciels (software)
    furent surtout consacrés à intégrer tous les
    éléments formant ces réseaux et aider à les gérer
    en continu  sécurité, connexion entre les
    intranets et les extranets, etc information 8 .
  • 3- Afin de rentabiliser toutes ces
    infrastructures qui commencent d'ailleurs à être
    en surnombre, les promoteurs s'aventurent à
    développer des applications comme le télétravail,
    le KM, le CRM, et caressent pour demain de grands
    rêves  e-commerce, e-learning, e-government,
    etc.
  • 4- La quatrième phase qui débute voit le
    développement de la valeur ajoutée  la
    production-diffusion de données et d'informations
    pour des marchés verticaux.

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(No Transcript)
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E-business L'ensemble des connaissances requises
  • L'ensemble des compétences (ou e-knowledge)
    permettant d'accéder à la société du savoir est
    non seulement varié, mais ces connaissances et ce
    savoir doivent être utilisées différemment selon
    les niveaux d'une organisation qui doit
    développer de nouvelles façons de faire des
    affaires.

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(No Transcript)
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L'intégration des produits en ligne et hors ligne
  • La nouvelle économie suscite un environnement
    d'affaires de plus en plus hybride parce qu'il
    intègre des produits en ligne et hors ligne, une
    forme de bundling.
  • L'utilisation des techniques numériques et les
    pressions économiques des alliances qui se
    forment impose à tous ces acteurs des stratégies
    de complémentarité qui font converger des
    produits qui se vendent de façon traditionnelle
    avec des produits qui se vendent via le Web. La
    vente des uns stimulant celle des autres.

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(No Transcript)
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La complémentarité médiatique
  • Avant 1995, les médias existent isolément, chacun
    compétitionant pour conserver sa clientèle. Le
    système médiatique employé par la société est
    surtout unidirectionnel, passif et de type
    broadcast.
  • Après le raz de marée Web en 1995, les majors
    imposent la numérisation de la chaîne de
    production-diffusion pour des raisons
    économiques. Un nouveau système médiatique
    émerge. Il est beaucoup plus interactif, et de
    type narrowcast. Il emploie le plurimédia,
    c'est-à-dire une forme intégrée de traitement de
    la connaissance qui vise des marchés ciblés les
    niches.
  •  

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(No Transcript)
38
L'approche plurimédia
  • Le plurimédia permet à un éditeur de marquer
    chaque élément d'information, que ce soit un
    titre, un paragraphe, une image ou un schéma, de
    façon à ce que l'ensemble du contenu puisse être
    utilisé via différents supports médiatiques ou
    différents utilisateurs. Cette approche répond à
    deux défis
  • défi économique l'approche permet de ne pas
    avoir à médiatiser le contenu à chaque fois que
    l'éditeur change de support médiatique (d'où
    l'importance du numérique). Cette approche est au
    cur de la politique de complémentarité le Web
    ne devenant qu'une partie de la panoplie des
    outils donnant accès à la connaissance dans la
    société du savoir.
  • défi sociétal le lecteur ne se voit plus
    offrir un contenu pré-ordonné par quelqu'un
    d'autre mais sous forme d'éléments qu'il peut
    ordonner lui-même (d'où l'importance de
    développer des automatismes). Cette approche est
    au coeur de la politique de personnalisation qui
    s'appuie sur l'interactivité.

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(No Transcript)
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Comparaison entre les trois types de lecture
41
De la lecture à l'action
42
De la lecture à l'action
  • Il existe une équation entre la quantité
    d'informations que le lecteur doit traiter et les
    outils de synthèse qu'il utilise.
  • Cela se traduit par un rapport entre la vitesse
    et la profondeur plus le processus est profond
    plus la lecture est lente, donc le processus de
    synthèse est plus ardu et son coût cognitif plus
    élevé.

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(No Transcript)
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La mosaïque des clientèles
  • Au fur et à mesure que les technologies émergent
    et offrent de nouvelles applications de nouvelles
    clientèles apparaissent. Ces diverses clientèles
    ne s'additionnent pas. Elles ne forment pas une
    masse uniforme de consommateurs, mais une
    mosaïque répondant à diverses valeurs, donc
    réagissant à divers types de comportements.
  • La ligne du temps indique que l'essor de
    l'informatique débute vers 1960 avec la
    commercialisation des premiers mainframes .
    Les micro-ordinateurs et le vidéotex arrivent
    vers 1980 et le raz de marée du Web en 1995. L'an
    2000 voit la fin du premier bond de la nouvelle
    économie et, 2002, l'amorce du prochain.
  • La courbe du haut illustre le brusque passage
    d'une économie traditionnelle supportée par les
    mass media à une nouvelle économie supportée par
    les NTIC. Les forces à l'uvre et les masses
    critiques de gens concernés sont responsables de
    cette rupture que nous vivons.

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(No Transcript)
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Les trois logiques en présences
  • Le défi du Web est l'harmonisation de trois
    logiques complexes et différentes.
  • L'internaute procède à partir de sa logique
    d'utilisation qui est la somme des apprentissages
    que lui fournit son contexte culturel et
    matériel. Pour se développer, il doit acquérir
    des informations que lui fournit sa société, en
    utilisant notamment cet outil de communication
    qu'est le Web, celui-ci étant développé
    techniquement à partir d'une logique de
    fonctionnement électronique.
  • Le tout fonctionne correctement lorsque le
    webmestre emprunte la logique d'utilisation de
    l'internaute pour lui donner accès à un contenu
    dont l'architecture est aussi adaptée à son
    profil culturel.

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(No Transcript)
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Les trois mondes et leurs modèles
  • La rencontre des trois logiques lors de la
    création d'un site à valeur ajoutée ou d'un
    portail thématique rend l'entreprise ardue, non
    seulement, parce qu'elle est multidisciplinaire,
    mais surtout parce que ce sont trois mondes en
    pleine mutation, c'est-à-dire influencés par les
    forces qui façonnent l'environnement.

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(No Transcript)
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Les générations
  • Les valeurs évoluent par vagues, chacune étant le
    passage d'un système de valeurs à un nouveau
    système.
  • Étant forgée par son espace-temps, chaque
    génération de consommateurs oblige les marchés à
    s'ajuster aux changements de ses comportements.

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(No Transcript)
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Les 3 générations
  • Web 1 re génération (à partir de 1994-95 )
  • La découverte du système d'adressage, des
    hyperliens et du langage HTML.
  • Web 2 e génération (apparaît vers 1997-1998)
  • Cette génération cherche surtout à améliorer la
    présentation visuelle Java script, Applet,
    Flash, DreamWeaver, Quicktime, Streaming video,
    l'utilisation des feuilles de style (skin) et des
    techniques de compression.
  • Web 3 e génération (qui débute)
  • Un traitement de l'information offrant à
    l'utilisateur plus de pertinence et de rapidité,
    celles-ci répondant au courant de
    personnalisation, base des nouveaux marchés. Si
    les Web1 et Web2 explorent l'architecture des
    réseaux, le Web3 se développera autour de
    l'architecture de l'information.

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Les 3 générations
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Une nouvelle répartition du travail entre
l'usager et son site Web
  • Les anciennes clientèles se  débrouillaient
    bien avec les Web 1 et 2 parce qu'elles étaient
    familières avec l'informatique et les réseaux. De
    plus, le Web, alors à ses débuts, véhiculait
    beaucoup de promesses qui masquaient ses défauts.
  • Les nouvelles clientèles sont beaucoup moins
    patientes. Elles exigent des résultats immédiats
    et un accès plus simple et clair. D'où cette idée
    de réduire leur charge cognitive en leur offrant
    une lecture plus facile (grâce aux synthèses
    textuelle et visuelle) et des contenus plus
    pointus (par des catégorisations thématiques
    convenant aux niches)

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(No Transcript)
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Le modèle proposé
  • Contrairement au long texte imprimé, découpé en
    chapitres qui sert de modèle aux Web 1 et 2, le
    Web de troisième génération doit offrir plusieurs
    chapitres courts et beaucoup de liens vers des
    documents destinés à une lecture de niveau 1, 2
    ou 3.

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La carte de connaissance du Web de 3e génération
  • Si on utilise comme grille de lecture les trois
    pôles à partir desquels se développe la nouvelle
    société du savoir, un ensemble de défis se posent
    aux producteurs et aux promoteurs de sites Web,
    comme le révèle la carte de connaissances.

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(No Transcript)
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1980-1995  Les mass media
  • 1995-1998  Le Web de première génération 23
  • 1998-2000  Le Web de deuxième génération

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2000-2005/7  Le Web de troisième génération  
le scénario sémantique
  • 2000-2005  Le Web de troisième génération   le
    scénario intuitif

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(No Transcript)
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le processus traditionnel
  • Dans une chaîne de production-diffusion
    traditionnelle, le procédurier est caractérisé
    par
  • la rédaction d'un texte long et son formatage
  • sa mise en écran qui varie selon le type de
    diffusion envisagé, c'est-à-dire qui exige une
    version pour être imprimée et une autre pour être
    affichée sur tel type d'écran ou tel autre
  • et une diffusion destinée à de grands publics de
    type mass media, c'est-à-dire destinée à des
    spectateurs plus ou moins anonymes et non
    interactifs).

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(No Transcript)
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le processus dynamique
  • Ce procédurier ajoute aux activités
    traditionnelles plusieurs caractéristiques
    nouvelles
  • Le formatage sémantique et schématique d'un texte
    long qui crée une copie maîtresse (master).
  • Automatisation grâce au XML et à ses feuilles de
    style.
  • Il offre une version configurable pour les
    différentes diffusions médiatiques, c'est-à-dire
    une approche plurimédia imprimé, écran et
    autres médias en développement.
  • L'équipe de rédaction et de formatage constituée
    par l'auteur et le groupe de support, à laquelle
    s'ajoute le comité de lecture, travaille en
    réseau et reçoit les commentaires des
    utilisateurs du site. C'est l'aspect collaboratif
    qui enrichit le site.
  • La communication est de type narrowcasting,
    c'est-à-dire ciblée vers des groupes d'intérêts
    et interactifs.

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(No Transcript)
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la lecture et le phénomène de l'attention
  • Selon le contexte (besoins, valeurs, moment,
    etc.) l'être humain voit, perçoit et mémorise les
    informations de différentes façons. Ces trois
    niveaux de lecture et de mémorisation sont liés à
    l'attention, elle-même liée à la motivation.
  • Un niveau de lecture dépend de sa vitesse et de
    sa profondeur. Ce sont cette vitesse et cette
    profondeur qui créent la valeur ajoutée. Pour le
    concepteur du site autant que pour l'utilisateur,
    les stratégies d'accès à la connaissance
    dépendent de l'utilisation de ces niveaux.

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(No Transcript)
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La navigation via les textes et celle via les
schémas utilisent des modes de pensée différents
  • Un utilisateur qui circule d'un texte, ou d'un
    mot, à un autre, navigue de façon assez linéaire
    parce qu'il va d'un détail à un autre. De plus,
    parce que cette approche est de type broadcast,
    c'est-à-dire préprogrammée par le créateur du
    site pour être lu par tous les utilisateurs quel
    que soient leur profil, elle donne des résultats
    assez traditionnels. Cette lecture de troisième
    niveau, caractéristique des sites de type W1 et
    W2 et de leurs portails généralistes, donne des
    résultats sans surprise.
  • Un utilisateur qui va d'un schéma à un autre
    connaît un autre type de cheminement. Les
    résultats sont très différentes car cette
    navigation est plus personnalisée c'est-à-dire
    réagissant au vécu et aux besoins du visiteur.
    Cette approche narrowcast convient aux portails
    thématiques et personnalisés, donc aux niches. Le
    style W3 est plus visuel il utilise un degré
    différent de synthèse et un niveau
    d'interactivité plus riche. Cette lecture
    combinant les 1e 2e et 3e niveaux est plus
    intuitive et offre des découvertes par
    court-circuit (insight).

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(No Transcript)
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Le choix de la métaphore
  • La Côte Ouest américaine est le berceau de
    beaucoup d'inventions technologiques, mais les
    Américains ne peuvent s'imaginer que la
    signification de certains icônes n'a de sens
    qu'en langue anglaise, créant ailleurs, dans le
    monde, des problèmes d'interprétations
    culturelles. Ce sont des glissements de sens,
    peut-être corrects dans leur milieu d'origine,
    mais devenant erronés dans un autre
    environnement.

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(No Transcript)
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Qualités et défauts des outils NTIC
Malgré les nombreux mythes qui les entourent, les
nouveaux outils d'information et de communication
sont des outils incomplets et imparfaits. Ils
possèdent de grandes qualités mais aussi
plusieurs défauts.
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Commençons
  • Développer un site Web suppose de la part du
    conseil d'administration du groupe et de son
    comité de contenu l'acquisition d'un minimum de
    compétences à chacune des étapes
  • Analyse
  • Analyse cuturelle du contexte
  • Analyse sociologique du milieu
  • Analyse ergonomique des membres (profil des
    utilisateurs)
  • Analyse politique des objectifs du groupe et du
    site
  • Analyse budgétaire des coûts et des revenus
  • Analyse juridique des contrats (droits d'auteur,
    etc.)
  • Conception
  • Les trois types de portail (en particulier
    thématique)
  • Médiatisation, numérisation et montage
    (infographie)
  • Guides stylistique, linguistique et
    d'interactivité (défis culturels)
  • Navigation dans les contenus et les services
    (défis culturels) web 3
  • Travail collaboratif (groupware)
  • Schématique visuelle et synthèse textuelle

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Commençons (2)
  • Réalisation
  • Architecture de l'information information 10
    (serveur, documentation, catalogue)
  • Interface-utilisateur (défis de la convivialité)
  • Sécurité et confidentialité
  • Normes de production et de diffusion actuelles et
    à venir
  • Diffusion
  • Architecture et gestion des réseaux de
    télécommunication
  • Utilisation complémentaire des médias
    traditionnels
  • Promotion, création de consensus, opinion
    publique, publicité
  • Évaluation de la satisfaction des utilisateurs et
    leur fidélisation
  • Communications entre les utilisateurs (courriel,
    chat, etc.)

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Les qualités requises
  • Intuitif(amical, convivial, user friendly,
    eureka insight, centré sur l'utilisateur,
    user-focused)
  • On doit développer un site à partir des
    connaissances déjà acquises par l'utilisateur,
    c'est-à-dire permettre à l'internaute de naviguer
    à partir de cette partie de sa mémoire où sont
    enregistrés ses apprentissages (voir 6.2). Le
    site doit donc être culturellement adapté aux
    techniques ou aux systèmes que l'utilisateur
    connaît déjà. Cette qualité est liée au
    développement de la métaphore utilisée (voir
    6.3). Un système intuitif devrait offrir un type
    de communications système-utilisateur ressemblant
    à une conversation.
  • Cohérent (consistant, homogène)
  • Les commandes ou les affichages, grâce à une
    fenêtre ou un icone par exemple, doivent toujours
    avoir les mêmes conséquences à travers toutes les
    applications 1.
  • Visuel
  • Le site doit permettre à l'utilisateur de voir ce
    qu'il peut faire ou de rendre visible ce qu'il
    fait. Il doit rendre le contenu signifiant par sa
    forme 2.
  • Efficace
  • Dans une logique de finalité d'affaires ou de
    consommation, le site doit livrer ce qu'il promet
    dans un délai raisonnable.
  • Minimal
  • Le site ne doit afficher que les choix qui
    s'offrent à l'utilisateur à ce moment-là de sa
    démarche, et non pas toute la panoplie des
    fonctions logicielles développées pour ce site
    3.

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Les qualités requises (2)
  • Résilient
  • Le site doit permettre une certaine flexibilité
    dans l'emploi des mots ou des commandes 4.
  • À valeur ajoutée
  • Pour un utilisateur intéressé par une thématique
    donnée, le défi est grand. Actuellement, il
    trouve côte à côte des sites vides de contenu,
    d'autres qui ne véhiculent que des commentaires
    ou des opinions, d'autres des réalités
    partielles, etc. À l'avenir, de plus en plus
    d'utilisateurs voudront trouver toutes les
    informations sur un sujet en un même endroit,
    sous forme de guichet unique (une utopie, mais
    partiellement possible). Ces informations
    devraient être validées et accompagnées de leurs
    variantes, de leurs différents facteurs, des
    théories des différentes écoles de pensée et même
    d'un lexique expliquant les liens entre les mots
    formant la base de connaissances de ce secteur.
    Cela suppose aussi l'élimination des distorsions,
    de la désinformation et de l'exformation
    information 11 .
  • Sécuritaire
  • Après le facteur temps, le facteur
    sécurité-confidentialité est le deuxième handicap
    vis-à-vis les nouvelles clientèles du Web.
  • Bilingue
  • Le contexte actuel de la continentalisation
    (ALENA et Union européenne), puis de la
    mondialisation après 2005, impose une forme de
    plurilinguisme aux transactions et aux messages
    offerts aux usagers, donc des outils de
    traduction et des moteurs de recherche bilingues
    et probablement trilingues 5.

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Les étapes du développement d'un site
  • Les étapes (illustrées par des rectangles placés
    au centre du schéma et reliés par un gros trait
    noir) sont l'épine dorsale du développement du
    site. Les étapes placées en haut du schéma
    concernent les utilisateurs, tandis que celles
    placées en bas concernent les aspects économiques
    et technologiques.

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(No Transcript)
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Les outils nécessaires au développement d'un site
  • Il existe des centaines de logiciels qu'on peut
    utiliser pour chacune des étapes de
    production-diffusion.
  • De plus, dans chaque milieu, il existe des
    dizaines d'entreprises prêtes à développer un
    site Web. Mais ces entreprises possèdent leurs
    points forts et leurs points faibles, certaines
    sont excellentes en informatique mais faibles en
    analyse du public par exemple. C'est pour cette
    raison qu'un groupe doit demeurer le maître
    d'uvre de son site et donner certains travaux à
    forfait s'il y a lieu pour certaines étapes.

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(No Transcript)
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Les objectifs et les tâches principales
  • La complexité d'un site Web vient de la multitude
    des tâches à accomplir (voir ci-haut) et des
    savoir-faire requis pour le faire.
  • Si l'un des principaux objectifs est d'offrir un
    outil convivial de communication (e-mail,
    listeserv, faq, chat) et des contenus et des
    services pertinents, l'une des principales tâches
    sera d'évaluer la satisfaction des usagers.
  • Si l'autre objectif est de faire fonctionner le
    site en continu, c'est-à-dire évoluant avec les
    événements et les besoins, l'autre tâche
    principale sera sa mise à jour.

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(No Transcript)
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Questions ???
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