Title: Canc
1Cancérologie et Examen National Classant
2Menu
- 3 nouveautés intégrées au cours des deux
dernières années - 4 axes Transversaux prioritaires
- 4 aspects environnementaux à ne pas oublier
- 10 stratégies consensuelles à comprendre
- 3 horreurs qui valent zéro
- 2 Ordonnances incontournables antalgiques et
anti-émétiques. - 5 réflexes devant un dossier de cancérologie
31- 3 nouveautés
- intégrées au cours des deux dernières années
4la définition dun traitement adjuvant
- traitement SYSTEMIQUE (/ chirurgie,
radiothérapie) - APRES traitement carcinologique local OPTIMAL
(sans maladie résiduelle) - DUNE MALADIE (en apparence) LOCALISEE
- pour traiter précocement des MICROMETASTASES, UN
RISQUE.
5Traitements adjuvants
- Donc
- -adénocarcinome colique opéré pT3N1M0.
- Conduite à tenir ?
- -patiente opérée dune tumorectomie du sein. T2N1
(1N/6). Marges de tumorectomie envahies. - Conduite à tenir ?
6Nouveauté 1 nouvelles indications de
traitement adjuvant
- Côlon
- FOLFOX pour les stades III (et les stades II ht
risque) - Poumon NPC
- chimiothérapie comportant du cisplatine
- Prostate
- agonistes de LHRH
- Sein
- intérêt des taxanes (6 FEC -?3 Taxotère et 3 EC)
- Intérêt du trastuzumab (Herceptin) dans les
formes HER2 - Intérêt de lhormonothérapie dans les formes RE
7Nouveauté 1 message Connaître
- COLO-RECTAL le stade III N
- les effets du fluoro-uracile (mains-pieds,
muqueuses, cytopénie) et de loxaliplatine
(neuropathie) - SEIN N
- Penser à la recherche de HER 2 sur une tumeur
maligne du sein - les effets indésirables des anti-HER2 CŒUR
- Les anthracyclines cytopénie, CŒUR
- taxanes cytopénie, neuropathie
- POUMON gtT1N0
- Cisplatine //aminoside NTA et cochlée
- en simplifiant, N traitement adjuvant
8Nouveauté 2 larrivée des anticorps
monoclonaux et des thérapies ciblées
- Anti-rec EGF Epidermal Growth Factor
- Cetuximab ERBITUX (colon M1, ORL)
- Et Panitumumab (VECTIBIX colon M1)
- -Toxicité allergie, folliculite aigue
( acné ), diarrhée. - Anti HER-2 trastuzumab HERCEPTIN
- SEIN HER2 (IHC) ou (IHC) et FISH
- En adjuvant 1 an
- En première ligne métastatique jusquà
progression. - Toxicité allergie, insuffisance cardiaque
- Ce nest pas une hormonothérapie !
9Anti-rec EGF oraux
- erlotinib (Tarceva) et gefitinib (Iressa) dans
les adénocarcinomes pulmonaires M1. - Efficacité si mutation du gène du rec EGF
- Profil clinique particulier
- CPNPC
- femme
- asiatique
- non fumeuse
- adénocarcinome,
- bronchiolo-alvéolaire
10Nouveauté 2 message Connaître
- Penser à demander la recherche de HER2 devant
tout cancer du sein - HERCEPTIN pour tout cancer du sein HER2
- Risque dinsuffisance cardiaque
11Nouveauté 3 les anti-angiogenèse
- Cancer dialogue cellule/environnement
- Anticorps anti-VEGF Vascular Endothelial Growth
Factor - bévacizumab (AVASTIN)
- Cancer colorectal, mammaire, pulmonaire, rénal,
OVAIRE, métastatique. - Effets secondaires cicatrisation, embolies
artérielles, HTA, néphropathie glomérulaire. - Anti-rec VEGF oraux sorafénib (NEXAVAR) et
sunitinib (SUTENT) dans le cancer du rein
métastatique, le CHC inopérable, certaines
tumeurs endocrines.
12Thérapies ciblées
- Donc
- Anti rec EGF (Epidermal Growth factor)
- -?toxicité cutanée aigue
- Anti-VEGF et anti rec VEGF (Vascular Endothelial
Growth Factor) - ?HTA, troubles de la cicatrisation
132- 4 axes transversaux
14Le cancer nest pas que le syndrome tumoral
- 1-Maladie VEINEUSE thrombo-embolique
- 2-DENUTRITION détecter et évaluer
- 3-ANALGESIQUES modalités de prescription,
relais, différences - 4-ETHIQUE de la décision, soulagement en fin de
vie
15Prophylaxie MVTE
- Premier mois post-opératoire (chirurgie
viscérale, orthopédique) - Décubitus
- Risque accru si
- Masse compressive sur un axe veineux
- Dénutrition (sarcopénie),
- Inflammation,
- Maladie métastatique
- Progression tumorale
- Chimiothérapie
- Corps étranger, site implantable
16Stratégie de dépistage de la dénutrition chez
ladulte hospitalisé
PNNS 2003
17Analyse sémiologique du type de Douleur
- Excès de nociception versus neurogène
- Neurogène
- Paresthésies, picotements, brulure, douleurs au
froid, au chaud - Allodynie (déclenchée par leffleurement, le
pinceau, les vibrations, les draps) - Territoire neurologique
- hypoesthésie
18Evaluation de la douleur
- Intensité (échelle EVA)
- Type (éléments en faveur dune douleur neurogène
?) - Topographie
- Retentissement sur la vie quotidienne, le
sommeil, létat psychique, émotionnel (anxiété,
dépression) - Effet des traitements antalgiques pris
(efficacité, effets indésirables) - ITi fait un Topo retentissant
- sur les antalgiques
19Modalités de prescription des antalgiques de
niveau 3 (1)
- Ordonnance sécurisée
- Nom, prénom, date (âge)
- Identification du médecin lisible avec signature
- Nom du médicament, posologie en toutes lettres,
durée en toutes lettres (28j) - Nouvelle ordonnance avant que la précédente soit
achevée en chevauchement de lordonnance du.
20Modalités de prescription des antalgiques de
niveau 3 (2)
- Un traitement du fond douloureux opiacé daction
prolongée - ET
- Un traitement daction rapide si besoin (1/10e)
- ET
- Co-médications laxatifs systématiques,
anti-nauséeux si besoin.
21Questions pratiques
- Vous avez prescrit un laxatif osmotique mais le
patient na pas de selle depuis 2 jours. - Conduite à tenir en 1ère intention ?
22Conduite à tenir en 1ère intention ?
- Toucher rectal si doute sur un fécalome
- 2e laxatif associé laxatif de type stimulant
(ou irritant) cascara séné - Conduite à tenir en 2ème intention ?
23Conduite à tenir en 2ème intention ?
- Progrès récent
- antagoniste périphérique des opioides
- Méthyl-naltrexone (RELISTOR)
- Amp 12 mg dans 0,6 ml
- 1 inj SC dose adaptée selon poids et fonction
rénale. - 8 mg si P lt 62 kgs 12 mg si Pgt 62 kgs
- 1 dose unique 1 jour sur 2.
24Dans quelles circonstances loxycodone est
préférable au sulfate de morphine ?
- Insuffisance Rénale modérée (durogésic si IR
sévère) - Composante neurogène
- 2O mg de morphine 10 mg doxycodone (cps 5,10,
20, 40, 80 mg)
25Relais oral-?parentéral
- Morphine IV dose/24h 1/3 dose per os
- Morphine SC dose/24h ½ dose per os
26Signes de surdosage en morphiniques ?
- Somnolence
- Myoclonies
- Bradypnée
- (PAS MYOSIS CONSTIPATION PRURIT HALLUCINATIONS)
27Refus de traitement.
28Que dit la loi Léonetti ?
- Le malade a le droit de refuser tout soin, y
compris vital, hors urgence. - La demande doit être réitérée par le patient
(hors urgence). - Le médecin doit sêtre donné les moyens de le
convaincre et peut recourir à un 2e avis médical. - Le médecin doit alors organiser et prodiguer des
soins palliatifs .
29Conduite à tenir devant un refus de traitement
- Contrat de temps pour re-évaluer la situation et
rediscuter du projet médical en expliquant le
rapport bénéfice/risque et donc le bien-fondé du
traitement. - Proposer lintervention dun second médecin pour
2e avis. - Avis psychiatrique pour identifier une dépression
et évaluer sa sévérité. - Si le patient persiste dans son point de vue en
ayant compris lenjeu vital, respect du principe
dautonomie rappelé et valorisé dans la loi
Léonetti et mise en place de soins palliatifs.
30Soulagement en fin de vie et risque de
précipitation du décès
- Douleurs nécessitant des opioides
- et insuffisance hépatique sévère ou BPCO sévère
- Conduite à tenir ? Justifier
31- Conduite à tenir
- Titration Recherche progressive de la dose
minimale efficace Adaptation des doses de
morphine en fonction de la douleur augmentation
possible si douleurs persistantes malgré BPCO,
encéphalopathie hépatique.. - Justifier
- -Justification éthique Principe du double-effet
lintention de soulager autorise davoir comme
possible effet indésirable de raccourcir la vie. - -Inscrit dans la loi Léonetti (Avril 2005)
32Le patient a peur dêtre victime dacharnement
thérapeutique
- Quelles mesures peuvent être mises en œuvre pour
len protéger ?
33Quelles mesures peuvent être mises en œuvre pour
len protéger ?
- Il est invité à rédiger des directives anticipées
au cas où elle deviendrait incapable dexprimer
sa volonté. Ces directives sont valables 3 ans.
Révocables à tout moment. - Il peut désigner une personne de confiance.
Lavis de cette dernière prévaut sur tout autre
avis non médical, à l'exclusion des directives
anticipées. - Donc directives anticipées gtgt personne de
confiance
34Que fera le médecin ?
- Le médecin nest pas lié par ces directives mais
doit sinterroger en les intégrant dans sa
réflexion. - La démarche darrêt de traitement doit être
interrogée collégialement, et justifiée dans le
dossier médical. - La responsabilité et la décision incombe
uniquement au médecin. - Elle implique la mise en œuvre de soins
palliatifs.
354- 4 aspects environnementaux à ne pas oublier
- Dimension psycho-sociale
- Dépistage
- Prévention
- Oncogénétique
361 la dimension psycho-sociale
- ATTENTION compétence sur-représentée parmi les
enseignants qui font des questions .. - ALD 30
- arrêt de travail
- évaluation des conditions de vie
- conditions daccès aux soins remboursés (CMU,
AME) - accompagnement psychologique INFORMATION EN
RESPECTANT LES MECANISMES DE DEFENSE PSYCHIQUE
DU PATIENT ET DE LENTOURAGE. - DISPOSITIF D ANNONCE
37Lannonce du cancer Temps médical Ne pas
confondre avec le dispositif dannonce du plan
cancer
- -Sassurer des conditions de la consultation
(disponibilité, absence dinterruption, être
assis au calme). - -Consacrer un temps à la personne tenir compte
de sa biographie, de son environnement, de ses
priorités. - -Donner linformation pas à pas de manière
progressive. - -En respectant les mécanismes de défense de la
patiente. - -Evaluer le retentissement de lannonce.
- -Conclure sur un projet de traitement positif en
décrivant les objectifs réalistes, accessibles et
comment les atteindre, réalisant un contrat
dobjectifs.
38Le dispositif dannonce comporte 4 temps
- Un temps médical dannonce du diagnostic.
- Un temps paramédical écoute, reformulation,
réponses aux questions pratiques. - Un temps daccès aux soins de soutien
psychologue, diététicienne, traitement de la
douleur, - Un relais avec le médecin généraliste.
39Dépistage-Vaccination-Prédisposition
- Dépistage du cancer du sein
- Vaccin anti-HPV
- Facteurs évoquant une prédisposition génétique et
justifiant une enquête familiale
40Dépistage du cancer du sein
- La cible du programme est la population féminine
de 50 à 74 ans - une mammographie à deux incidences, tous les deux
ans chez le radiologue de son choix inscrit sur
une liste de radiologues habilités. - La réalisation de la mammographie est gratuite
pour la patiente, la CNAM assurant la prise en
charge du coût. - Chaque femme est informée directement par le
radiologue des résultats de la première lecture. - Elle est informée par son médecin traitant ou par
la structure de gestion des résultats de la
deuxième lecture. - Elle reçoit les clichés de mammographie après la
deuxième lecture. - Elle peut demander à ne plus recevoir
dinvitation pour le dépistage.
41Dépistage du cancer colorectal
- Un dépistage gratuit
- proposé aux Français âgés de 50 à 74 ans.
- Tous les 2 ans
- Par recherche de sang dans les selles (test
Hémoccult)
42Dépistage cancer de lutérus
- FROTTIS CERVICO-VAGINAL
- Périodicité tous les 2 ou 3 ans jusqu'à la fin
de la ménopause, - mais à maintenir selon le même rythme si
traitement substitutif de la ménopause.
43La vaccination anti-HPV
44Discussion sur intérêt, limites du vaccin ?
- Risque infectieux ? (/BCG)
- Réactions locales ?
- la surveillance par frottis nest plus nécessaire
?
45Anti-HPV
- Vaccin recombinant adsorbé anti papillomavirus
humain (HPV). - Il est dirigé contre 4 sérotypes 6,11, 16,18.
- Les sérotypes 16 et 18 sont impliqués dans 70
des cancers du col de lutérus. - Les sérotypes 6 et 11 sont responsables de 90
des condylomes acuminés. - Prévention des dysplasies de haut grade du col de
lutérus et de la vulve (C/V IN 2 et 3), des
cancers invasifs du col de lutérus, des
condylomes acuminés.
46Le vaccin anti-HPV
- préparé à partir de pseudo-particules virales,
elles ne contiennent pas dADN viral. - Le vaccin ne peut donc pas provoquer de maladie
infectieuse. La réponse immunitaire est humorale. - Efficacité élevée
- dans 95 des cas pour la prévention des CIN2/3
- de 93 pour les CIN1
- De 100 pour les VIN2/3
- De 100 pour la prévention dinfections
persistantes à HPV 16 ou 18.
47Limites
- Effets secondaires fièvre, douleur ou
inflammation au point dinjection. - Uniquement préventif chez JF non infectées.
Sujets antérieurement infectés ou ayant une
infection évolutive - Aucune protection démontrée
- Aucun effet thérapeutique
- Le dépistage du cancer du col de lutérus demeure
indispensable car efficacité inférieure à 100 et
le vaccin ne protège que contre 4 sérotypes. - Ne prévient pas des MSTs, ne dispense pas du
préservatif.
48la consultation doncogénétique
- 1- présence dau moins TROIS cas de cancers dans
la même branche parentale - 2- présence de DEUX cas de cancers chez des
personnes apparentées entre elles au PREMIER
DEGRE, associée à lun au moins des critères
suivants - survenue PRECOCE dun des cas de cancers, par
rapport à lâge habituel - BILATERALITE de latteinte (pour les organes
pairs) - MULTIFOCALITE de latteinte
- 3-survenue de plusieurs cas de cancers CHEZ LA
MEME PERSONNE.
493 horreurs qui valent zéro
50Le chiffon rouge devant les yeux du correcteur
- Confondre maladie métastatique (diffuse) et
projet palliatif (intention du projet) - Erreur de stratégie
- Ex Ignorer ce quest un T4 du sein et ses
conséquences - Neutropénie fébrile
- URGENCE MEDICALE /HOSPITALISATION /ATB SANS
ATTENDRE DE RESULTATS.
51Cancer du sein T4rappel
- Nodule de TOUTE TAILLE
- Avec lun des éléments suivants
- Sein inflammatoire
- Peau dorange
- Nodule de perméation
- Ulcération cutanée
- La rétraction cutanée ou du mamelon nest pas un
signe denvahissement cutané.
52Donc
- Tumeur de 2 cm T1
- Tumeur de 8 cm T3
- Tumeur de 2 cm avec rétraction du mamelon T1
- Tumeur de x cm avec inflammation/peau
dorange/ulcération/nodule de perméation T4
53Cancérologie et stratégie thérapeutique
54Stratégie généralités
- Chirurgie et radiothérapie sont des traitements
locaux. - Chimiothérapie, hormonothérapie, biothérapies
sont des traitements systémiques. - MAIS.
- On peut faire un traitement local (sur métastase)
au cours dune maladie métastatique et un
traitement systémique au cours dune maladie
locale (néoadjuvant, adjuvant).
55Indications types de chimiothérapie néoadjuvante
- traitement systémique EN PREMIER dans un cancer
LOCALISE - NON
- Prostate
- Colon
- OUI
- Sein T3-T4 (T2) ou N1
- Ostéosarcome
- Estomac opérable T3
- ORL T3-T4
- à part radio-chimiothérapie concomitante
première discutée dans ORL, œsophage, col
utérin, vessie A DISCUTER EN RC
PLURIDISCIPLINAIRE
56effets secondaires et précautions avec la
chimiothérapie
57Quand opérer la tumeur primitive ?
- Quand la maladie est localisée (ex sein,
mélanome, poumon) - Quand la maladie est métastatique complètement
résécable et très lente (thyroide, tumeurs
endocrines) - Quand la maladie est diffuse mais très
chimiosensible et quil faut une histologie
(testicule, ovaire) - Quand laction sur la tumeur primitive modifie le
comportement des métastases (rein) - Pour prévenir une complication aigue (occlusion).
58Quand opérer un site métastatique ?
- À visée curative
- site unique, métachrone tardif, maladie par
ailleurs contrôlée par les traitements médicaux
ou lente - Exemples métastases hépatiques de cancer
colo-rectal, métastases pulmonaires de cancers
rénaux ou de la thyroide. - Maladie très chimiosensible dont on veut réduire
la masse totale de lorganisme carcinose
péritonéale de cancer de lovaire. - À visée fonctionnelle compression médullaire,
métastase cérébrale unique, lésion osseuse
pré-fracturaire
59Donc
- On nopère pas
- les métastases diffuses dun cancer peu sensible
au traitement médical - Ex estomac, pancréas, œsophage, poumon, vessie
- ..Jusquà ce que de futurs traitements
systémiques efficaces remettent en question cette
attitude.
60Voyons cancer par cancer
- 10 stratégies consensuelles
61Ce qui est tombable est ce qui a UNE réponse
- 10 stratégies consensuelles
621-Cancer lovaire
- IIIc chirurgie première (dt OMENTECTOMIE) puis
chimiothérapie (Taxol carboplatine).
632-Cancer du col
- macroscopique localisé
- Wertheim.
- Ne pas oublier IRM, cystoscopie
- la petite question transversale sur le vaccin.
643-Cancer de lendomètre localisé
- chirurgie puis
- pouvoir citer les facteurs pronostiques
justifiant un traitement complémentaire
(curiethérapie, radiothérapie externe) - envahissement du myomètre
- Atteinte du col
- Ganglions
- Tumeur peu différenciée (grade 3)
654-Le cancer du sein
- Nodule isolé (QSE) TNM, Tum Cur, RTE,
indications de traitement adjuvant - Traitement adjuvant définition, N, SBR3,
- Pas de traitement adjuvant Tlt1 cm, ET SBR1 ET
N-. - Sein T4 chimiothérapie première
665-Poumon oesophage
- Le bilan dopérabilité
- Bilan dextension
- Bilan du terrain avec EFR
- La chimiothérapie adjuvante dans NSCLC au-delà de
T1.
676-pancréas
- CAT devant un ictère
- Description de la DPC
- Dénutrition, analgésie, soins palliatifs
687-Prostate
- Métastases osseuses ou IRA
- Mise en route dune hormonothérapie
(anti-androgène puis agoniste de LHRH)
698-Testicule
- Nodule testiculaire la chirurgie, les anapath et
marqueurs - Maladie métastatique (ggs ou poumons) idem
chimiothérapie (BEP)
709-Vessie rectum larynx
- Décrire le montage chirurgical (stomieanastomose.
.)
7110-colon-rectum
- Indications de radio-chimiothérapie première
(mais alternative 5x5) bas ou moyen rectum
T3-T4, N. - Haut rectum ou colon pas de traitement
néoadjuvant. - Colon ou rectum pTxN stade III 12 cycles de
chimiothérapie adjuvante (FOLFOX-4).
72Ordonnances
- Effets indésirables des chimiothérapies
- Anti-émétiques
73effets indésirables des chimiothérapies
- COMMUNS
- Immédiats allergie, nausées, vomissements,
risque dEXTRAVASATION et de nécrose cutanée,
veinotoxicité - Aigus retardés anorexie, amaigrissement,
pancytopénie vers J8 (anémie, neutropénie,
thrombopénie), alopécie vers J21, Tératogènes
(CONTRACEPTION) - Oligoazoospermie, aménorrhée secondaire
- Cumulatifs asthénie, anémie, stérilité
- SPECIFIQUES
- mutagènes, leucémogènes (alkylants, poisons topo
II) - CISPLATINE REIN
- ANTHRACYCLINES et TRASTUZUMAB (HERCEPTIN) CŒUR
- BLEOMYCINE POUMONS
- TAXANES et OXALIPLATINE neuropathie sensitive
74chimiothérapie et co-morbidités
- Diabète et chimiothérapie
- Sulfamides hypoglycémiants STOP
- Corticoides surveillance du diabète
- Risque infectieux
75Traitement anti-émétique préventifsi
chimiothérapie hautement émétisante ?
- EX cisplatine.
- Prévention le jour du traitement
- trithérapie associant
- Corticoïdes 1 mg/kg
- sétronsanti 5-HT3 (8 mg Zophren ou 3 mg
Kytril) - aprepitant anti-NK1 (125 mg Emend)
- vomissements retardés (au delà de 24 heures)
- bithérapie associant
- corticoïdes 1 mg/kg et aprépitant (80 mg Emend)
765 réflexes devant un dossier de cancérologie
775 Réflexes devantun dossier de cancérologie
- Il faut une preuve anapath
- La stratégie est définie en réunion de
concertation pluridisciplinaire - Le traitement comprend
- Le traitement anti-tumoral
- Le traitement symptomatique DOULEURS dans
lénoncé ????? - La prise en compte des co-morbidités
- La prévention des complications DENUTRITION MVTE
MOS - Laccompagnement psychologique à toutes les
étapes et la prise en charge globale des besoins
de la personne malade
784 mots qui déclenchent une réaction
- Métastases osseuses-?bisphosphonates
- Décubitus-?kiné, HBPM
- Douleur-?antalgiques
- Asthénie-?dépression masquée associée ? Cause
somatique curable ?
79Causes dasthénie
- Dénutrition
- Progression tumorale
- DEPRESSION MASQUEE
- Anémie
- Endocriniennes hypogonadisme, hypocorticisme.
80Métastases osseuses repérer la lésion à haut
risque de fracture
- métastases des os longs le risque majeur est la
FRACTURE PATHOLOGIQUE. Il faut redouter sa
survenue lorsque - la lésion est LYTIQUE (les métastases
condensantes cassent rarement), - surtout au membre INFERIEUR,
- et quand lostéolyse concerne une CORTICALE
(faible risque pour les métastases
centromédullaires à corticale intacte), - surtout si, dans un plan horizontal, elle atteint
PLUS DUN QUART DE LA CIRCONFERENCE CORTICALE, - et enfin quand la lésion est DOULOUREUSE (douleur
pré-fracturaire).
81Les derniers conseils.
- Repérer les lieux, prévoir large pour le
transport - Vérifier les horaires à J1 et J2
- Prévoir de quoi manger pdt lépreuve
- Plusieurs stylos
- Se battre avec sa feuille jusquau bout.
82Qui êtes-vous ? Ultime moyen mnémotechnique
- la promotion reçue à lENC
- lannée de la présidentielle de 2012
83Bonne chance !