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LE CONTR

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Title: Pr sentation PowerPoint Author: tassini Last modified by: tassini Created Date: 2/22/2004 11:32:26 AM Document presentation format: Affichage l' cran – PowerPoint PPT presentation

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Transcript and Presenter's Notes

Title: LE CONTR


1
LE CONTRÔLE SUR LE DÉROULEMENT DE LANIMATION
INFLUENCE-T-IL LE NIVEAU DEFFICACITÉ COGNITIVE
DE LANIMATION ?
2
La compréhension du texte.
  • Selon les psychologues cognitifs la compréhension
    dun texte implique la construction de
    représentations mentales multiples.
  • La formation des représentations
    propositionnelles et la construction dun modèle
    mentale sont guidées par des schémas cognitifs.
  • Ces modèles peuvent être considérés en tant que
    représentations intrinsèques depictives.
  • depction ? description
  • La depiction ne décrit pas, mais montre les
    caractéristiques d'un objet.
  • Les images réalistes et logiques sont des
    représentations depictives
  • Les phrases et les textes dans un langage naturel
    sont de descriptions.
  • Un modèle mental construit sur la base d'une
    représentations propositionnelles , peut être
    employé pour expliquer la nouvelle information
    avec des processus dirigés par schéma de
    linspection du modèle.
  • L'information indiquée par le modèle doit être
    codé dans un format propositionnel et s'ajouter à
    une représentations propositionnelles .
  • Les représentations propositionnelles et les
    modèles mentaux interagissent par l'intermédiaire
    des processus conduits par schéma de la
    construction du modèle et de linspection du
    modèle.
  • D'un côte, les modèles mentaux sont construits ou
    élaborés sur la base des représentations
    propositionnelles. De l'autre, les
    représentations propositionnelles sont
    construites ou élaborées sur la base des modèles
    mentaux, quand ces modèles sont employés pour
    expliquer une nouvelle information qui est codée
    dans une forme de nouvelles propositions.

3
La compréhension de limage.
  • Les images sont codées directement en tant que
    représentations mentales depictive ou modèles
    mentaux, tandis que dans la compréhension des
    textes un enregistrement doit avoir lieu afin de
    construire un modèle mental.
  • En conséquence, il est plus facile de construire
    un modèle mental avec l'aide des images qu'avec
    l'aide des textes. (Weidenmann, 1994).
  • Pour regarder une image et pour la comprendre,
    des processus cognitifs, "attentifs", doivent
    être exécutés. Ils sont influencés par les
    connaissances antérieures et par les objectifs de
    l'individu.

4
construction du modèle
inspection du modèle
sélection thématique
organisation conceptuelle
traitement sémantique
traitement pré-sémantique
organisation verbale
organisation visuelle
perception
Modèle dacquisition des connaissances à partir
dinformations verbales et visuelles (Schnotz
Grzondziel, 1999)
5
Le modèle de Schnotz  Un modèle intégrateur de
la compréhension du texte et de limage
  • Pendant la compréhension du texte, le lecteur se
    construit une représentation mentale de la
    structure de surface du texte, il génère une
    représentation propositionnelle du contenu
    sémantique, et construit daprès ce texte de
    base, un modèle mental de la matière décrite.
  • La construction d'un modèle mental pendant la
    compréhension des textes implique la transition
    dune représentation descriptive à une
    représentation depictive.
  • Les représentations propositionnelles et le
    modèle mental sont basés sur des principes de
    représentation différents mais complémentaires.
  • Les représentations propositionnelles et les
    modèles mentaux agissent l'un sur l'autre sans
    interruption par l'intermédiaire des processus de
    la construction et de l'inspection des modèles.
  • Pendant le processus de compréhension dune image
    ou dun diagramme, l'observateur crée une
    représentation mentale visuelle ou une image
    visuelle, avec l'aide des processus perceptuels
    pré attentifs, aussi bien qu'un modèle mental et
    une représentation propositionnel de la matière
    DEPICTED (représentée).
  • Le traitement sémantique est exigé non seulement
    afin de percevoir, mais aussi pour comprendre une
    image ou un diagramme.
  • Le modèle mental est construit de telle manière
    que les structures visuo-spatiales spécifiques
    dans l'image ou le diagramme perçu, correspondent
    aux structures sémantiques significatives de
    détail dans le modèle mental et vice versa.

6
  • La construction d'un modèle mental sur la base
    d'une image réaliste ou d'un diagramme est donc
    un processus de schéma tracé, d'un système des
    relations visualo-spatiales sur un système des
    relations sémantiques. (Falken-hainer, Forbus
    Gentner 1989/90 Schnotz 1993) 
  • Il est possible de construire un modèle mental
    sur la base de l'image ou du diagramme, et il est
    aussi possible de générer une image ou un
    diagramme sur la base d'un modèle mental.
  • Pour comprendre une image réaliste, l'étudiant
    peut employer les schémas cognitifs de la
    perception journalière et de la connaissance
    générale du monde afin de tracer des structures.
  • Pour comprendre des diagrammes, les sujets ont
    besoin des schémas cognitifs spécifiques (schémas
    graphiques), afin de lire des informations sur
    les matières représentées par la configuration
    visuelle et spatiale. (Lowe 1996, Pinker 1990).
  • Un modèle mental construisant une information
    imagée diffère à plusieurs égards de la
    représentation perceptuelle de l'image ou du
    diagramme correspondant.
  • Parce que
  • 1.est plus abstrait qu'une perception visuelle
  • 2.la construction dun modèle mental implique un
    choix thématique orienté vers la tâche.
  • 3. la construction dun modèle mental implique
    lélaboration dun modèle basé sur la
    connaissance préalable

7
  • Un texte peut avoir comme conséquence soit une
    représentation descriptive propositionnelle, soit
    une représentation mentale depictive.
  • Une image peut générer une représentation
    depictive même dans une représentation
    descriptive propositionnelle
  • La compréhension des textes et la compréhension
    d'images peuvent se soutenir et se joindre dans
    la co-construction d'un descriptif spécifique et
    dune représentation depictive spécifique.

8
Le modèle de Mayer  lintégration visuelle et
auditive de la narration et lanimation.
  • Les recherches de Mayer (2001) et de Sweller
    (1999) ont permis le développement dune théorie
    cognitive de lapprentissage multimédia. Théorie
    qui se base sur lidée que les êtres humains ont
    deux canaux dacquisition dinformations, le
    canal visuel et le canal oral et, que la capacité
    dacquisition dinformation dans la mémoire de
    travail est limitée, par conséquent
    lapprentissage implique la sélection des
    informations importantes et la construction dun
    modèle mental cohérent.
  • Mayer a élaboré le principe de traitement actif
    de linformation qui se base sur les processus
    de sélection, dorganisation et dintégration de
    données.

9
Le modèle de Mayer du traitement cognitif des
instructions multimédia (Mayer 2001, traduction
Clavien (2003)
10
Le modèle de Sweller  la théorie de la charge
cognitive.
  • La théorie de la charge cognitive prévoit, comme
    dans le modèle classique, une structure de
    système cognitive composée dune mémoire de
    travail à capacité limitée dans la quelle ont
    lieu tous les apprentissages et les pensées
    conscientes, et dune mémoire à long terme à
    capacité illimité possédant un nombre important
    de schémas automatisés (Tricot, 1998).
  • La charge cognitive est composée par deux sources
    différentes 
  • 1.     La source intrinsèque  la charge
    cognitive due à la difficulté inhérente du
    matériel présenté, c'est-à-dire au nombre
    déléments qui composent le matériel et la
    manière dont ils interagissent entre eux. Par
    exemple la charge intrinsèque est basse si chaque
    élément peut être appris séparément.
  • 2.     La source extrinsèque  la charge
    cognitive extrinsèque ne dépend pas du matériel
    ou du contenu en lui-même, mais de la manière
    dont il est organisé et présenté. Le matériel
    doit être centré sur lapprennant afin de
    diminuer la charge cognitive extrinsèque.
  • a.     La source externe  la charge cognitive
    externe représente le traitement cognitif inutile
    pour lapprentissage
  • b.     La source germane  la charge cognitive
    germane représente le traitement cognitif
    directement utile pour lapprentissage, parce
    quelle permet la construction dun schéma
    cognitif qui porte à la connaissance.

11
Les systèmes dynamiques
  • On peut souvent trouver un grand optimisme parmi
    les utilisateurs, lesquels pensent que l'usage de
    différents médias, de différentes manières de
    coder l'information, et l'emploi de différentes
    modalités sont bénéfiques pour lapprentissage.
  • Les systèmes de multimédia, par exemple, semblent
    être très appropriés pour présenter des
    situations d'étude complexes et authentiques,
    pour présenter l'information dans différents
    contextes et en différentes perspectives, le tout
    d'une manière réaliste par l'utilisation
    danimations ou des vidéos, accompagnées par les
    sons originaux et les commentaires vocaux.

12
TECHNIQUES DAPPRENTISSAGE
  • Techniques dapprentissage et la charge cognitive
    extrinsèque.
  • 1) lapprentissage sans buts spécifiques (goal
    free effect), 2) létude des exemples déjà
    résolus (worked example), 3) lachèvement des
    problèmes
  • Technique dapprentissage et la charge cognitive
    germane.
  • la charge cognitive germane est utile parce
    quelle est liée à la construction de schémas
    cognitifs. elle produise des meilleurs résultats
    pendant les tests de transfert. (High contextual
    interference).
  • Le système dapprentissage dans les conditions
    dinterférence élevée est un exemple de charge
    cognitive germane.

13
Recommandations pour la conception
dinstructional design daprès Sweller
  • Chandler et Sweller (1991) postulent que si le
    format de présentation du matériel nécessite un
    traitement complexe, la capacité cognitive du
    sujet sera détournée du processus dapprentissage
    qui sera par conséquent détérioré, donc sur la
    base des résultats des recherches faites sur la
    conception de situations dapprentissage,
    Chandler Sweller (1991) ont déduit les
    principes suivants 
  • - Il ne faut pas spécifier le but 
  • -Travailler sur des exemples de problèmes résolus
    entraîne un meilleur apprentissage que travailler
    sur de problèmes non-résolus.
  • - Intégrer les informations pour éliminer leffet
    de dissociation de lattention (split attention
    effect) cest à dire il faut incorporer
    physiquement les informations textuelles et les
    informations imagées mutuellement référencées.
  • - Il est mieux dutiliser deux modalités
    sensorielles plutôt quune  La charge en mémoire
    de travail est mineure quand le même matériel est
    présenté en utilisant les canaux auditifs et
    visuels, plutôt que le canal visuel uniquement.
  • - Il ne faut pas présenter dinformation
    redondante (redundancy effet)  Quand deux
    informations redondantes sont présentées à un
    sujet, la charge cognitive est plus importante
    que quand une seule de ces informations est
    présentée.

14
Le pre-training
  • Cet entraînement est basé sur la théorie de la
    construction de modèles mentaux divisée en deux
    étapes (Mayer et Chandler, 2001).
  • Dans la première étape, lapprenant construit un
    modèle de composantes (component model) pour
    chaque partie importante du système. Chaque
    composante du système est considérée comme une
    unité qui a un nom et qui peut se trouver dans
    des états différents.
  • Dans la deuxième étape, lapprenant construit un
    modèle causal pour le système entier, lequel doit
    décrire une séquence de relations cause à effet.
  • Donc la construction de modèle mental est en deux
    étapes 
  • 1.la construction dun modèle de composantes
  • 2.la construction dun modèle causal.

15
Recommandations et principes généraux pour la
conception dinstructional design daprès Mayer.
  • 1. Le principe multimédia  Effet positif de la
    présence dillustrations. Leffet multimédia
    souligne un meilleur apprentissage des étudiants
    utilisant les mots et les images, plutôt que les
    mots seulement, autant dans le contexte des
    livres que dans les contextes des ordinateurs.
    Cet effet général est cohérent avec la théorie
    cognitive dapprentissage multimédia dans le sens
    que les apprenants qui travaillent avec des
    systèmes multimédia utilisent la mémoire visuelle
    et verbale (Paivio, 1986).
  • 2. Le principe de cohérence 
  • 3. Le principe de contiguïté spatiale 
  • 4. Le principe de contiguïté temporelle 
  • 5. Principe de modalité 
  • 6. Leffet de personnalisation,
  • 7. Principe de redondance,
  • 8. Principe des différences interindividuelles 

16
Expériences faites par Narayanan et Hegarty
  • constitution du modèle cognitif sur
    lapprentissage multimédia.
  • Lapprentissage à travers le multimédia a lieu
    quand les apprenants sont capables de construire
    une représentation mentale depuis les images et
    les textes quon leur propose.
  • Lapprentissage multimédia suppose que les
    apprenants peuvent apprendre plus profondément
    avec un message multimédia bien présenté,
    constitué de mots et dimages, par rapport à un
    document traditionnel qui présente uniquement du
    texte.
  • Quand on parle dapprentissage profond, on se
    réfère à un type dapprentissage qui amène
    lapprenant à pouvoir extrapoler les notions
    acquises à la résolution de problèmes plus
    vastes.
  • Est-ce que les étudiants apprennent plus
    profondément avec des messages multimédia ou
    oralement ?
  • Dans quelles conditions, il est utile dajouter
    des images à des mots ?
  • Comment fonctionne un apprentissage multimédia ?

17
Principes proposes par Narayanan et Hegarty pour
rendre efficaces les systèmes dapprentissage qui
utilisent des systèmes qui combinent textes,
figures et présentations orales.
  • Daprès Narayanan et Hegarty (2002) le
    développement dun système dapprentissage doit
    tenir compte de six points stratégiques
    (ci-dessous), dont les quatre premiers
    représentent les quatre étapes selon lesquelles
    on construit un modèle mental.
  • 1. Le principe de segmentation 
  • 2. Le principe de pré-connaissances 
  • 3. Le principe des références multiples 
  • 4. Le principe de simulation mentale 
  • 5. Lidentification de lenchaînement des
    événements qui se déroulent dans le système
    étudié 
  • 6. La construction dun système mental dynamique
    qui intègre les informations sur le comportement
    de chaque composante pour comprendre le mécanisme
    du système entier 

18
De lefficacité des graphiques statiques et
dynamiques.
  • lajout dune illustration graphique facilitait
    la mémorisation et la compréhension dun matériel
    verbal (Willows Houghton, 1987  Mandl Levin,
    1989  Denis, 1984), et particulièrement lorsque
    le matériel explique le fonctionnement de
    systèmes dynamiques (Mayer, 1989).
  • les graphiques fournissent un support à
    lélaboration dun modèle mental qui représente
    de façon analogique la structure de lobjet
    décrit et permet ainsi de produire des
    raisonnements inférentiels.
  • un graphique est plus performant pour représenter
    la configuration générale et la structure du
    référent
  • le texte transmet mieux les détails et
    contraintes de tâches à accomplir
  • un graphique animé aura toutes les chances de
    faciliter la compréhension du fonctionnement de
    systèmes dynamiques tels que dispositifs
    mécaniques, processus biologiques ou phénomènes
    physiques,
  • lanimation est séduisante et lon peut penser
    quelle motivera davantage lutilisateur à
    étudier le document.
  • Latout des animations est de fournir un support
    au sujet pour la construction dun modèle mental
     qui tourne 
  • Le texte reste approprié à la description dune
    séquence linéaire de procédures, cependant, dans
    le cas où les procédures sont cycliques,
    lanimation devrait être particulièrement
    adaptée.

19
  • Ainsi, lanimation devrait être le moyen le plus
    naturel pour communiquer le concept de changement
    dans le temps, de même que lespace dans les
    graphiques est le moyen le plus naturel de
    transmettre des relations spatiales.
  • En effet, lanimation na induit de bénéfices par
    rapport à des illustrations statiques que dans un
    nombre limité détudes, que ce soit en termes de
    mémorisation ou de compréhension, ou même de
    motivation.
  • on pense que le traitement dun flux continu
    dinformations, présentes dans les animations,
    provoque une surcharge cognitive qui nuit à
    lacquisition de connaissances
  • la pertinence dune interface animée ne peut
    sévaluer quen fonction du contexte dans lequel
    elle va être utilisée et sur la base de modèles
    de traitement cognitif des informations
    multimedia.
  • le contenu,
  • mise en forme
  • contexte

20
  • En définitive, les animations poseraient 3 types
    de difficultés cognitives à lutilisateur
    (Bétrancourt et al., 2001) 
  •        attentionnelles  détecter quels sont les
    éléments en mouvement, ce qui a déclenché leur
    mouvement, qui nest pas une tâche facile même
    lorsque lon peut ralentir ou stopper
    lanimation.
  •        computationnelles   liées aux
    opérations mentales que lon peut appliquer sur
    les graphiques animés  par exemple, il est très
    difficile de visualiser la trajectoire dun point
    daprès son mouvement.
  • mnésiques  comprendre lenchaînement causal des
    mouvements du système demande davoir mémorisé
    les positions absolues et relatives de chaque
    élément à différentes étapes de lanimation.
  • Nous postulons que l'animation peut faciliter la
    compréhension de phénomènes dynamiques si
    l'interface fournit à l'utilisateur les moyens de
    contrôler la charge cognitive qu'entraîne leur
    traitement. Un facteur simple est le niveau de
    contrôle que l'utilisateur peut exercer sur le
    rythme de défilement de l'animation.

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Contrôle et interactivité.
  • Daprès Mayer et Chandler (2001), un contrôle
    simple de l'utilisateur sur l'animation pourrait
    affecter les processus cognitifs
  • 1. durant la phase d'apprentissage -réduire la
    charge cognitive de l'apprenant
  • 2. et durant la phase de restitution. -construire
    un modèle mental cohérent
  • Les résultats de Mayer confirment la théorie de
    la charge cognitive mais également la théorie de
    la construction des modèles mentaux.
  • Experiences de Schwan et Riemp (à paraître)

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Effet des animations
  • Les apprenants ont souvent eu des difficultés à
    suivre le déroulement de lanimation et, en même
    temps, à en extrapoler les informations
    importantes pendant son déroulement (Lowe, 1996).
    Rieber et collaborateurs (1990, 1991) ont montré
    lefficacité des animations dans deux cas 
  • 1.     La transmission dun concept ou dune
    règle qui implique un déroulement dans le temps
    ou une relation entre temps et espace.
  • 2.     La transmission dun processus dynamique
    qui est difficile à imaginer pour lapprenant.
  • Au contraire, si la matière étudiée nimplique
    pas la compréhension dun processus dynamique,
    les animations peuvent provoquer une surcharge
    cognitive.

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Experiments sur le animations
  • Palmiter et Elkerton
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