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Diab

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Diab te sucr Mercredi 12 Mars 2003 IFSI D finition : Etat d hyperglyc mie chronique relevant de facteurs g n tiques et exog nes agissant souvent ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Diab


1
Diabète sucré
  • Mercredi 12 Mars 2003
  • IFSI

2
(No Transcript)
3
(No Transcript)
4
Définition
  • Etat dhyperglycémie chronique
  • relevant de facteurs génétiques et exogènes
    agissant souvent conjointement

5
I - Physiopathologie
  • A Insuline
  • 1 - Synthèse
  • 2 - Rôle dans le métabolisme des
    glucides
  • 3 - Actions de linsuline
  • 4 - Stimulation de la sécrétion
    dinsuline
  • B Diabète sucré

6
A Insuline1 - Synthèse
  • Insuline peptide de 51 acides aminés, formé à
    partir de la pro-insuline (84 acides aminés),
    après élimination du peptide C
  • Synthèse dans les cellules B (ou ?) des ilôts de
    Langerhans du pancréas
  • - formation dans le reticulum
    endoplasmique
  • - formation de granules sécrétoires
    contenant lin-
  • suline avec lappareil de Golgi
  • - libération du contenu des granules
    par exocyto-
  • se dans le milieu extra-cellulaire
  • ?HORMONE PANCREATIQUE

7
Molécule dinsuline
8
A Insuline2 Rôle dans le métabolisme des
glucides
  • Glucose principal support énergétique du
    métabolisme chez lhomme
  • Certaines cellules, dont les neurones, en sont
    totalement dépendante
  • Glycémie concentration du glucose sanguin
  • ? donnée finement régulée

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A Insuline2 Rôle dans le métabolisme des
glucides
  • Les cellules sécrétrices des ilôts de Langerhans
    du pancréas
  • jouent un rôle prépondérant dans le
    métabolisme des hydrates de carbone
  • - les cellules A produisent du glucagon
  • - les cellules B produisent de
    linsuline
  • - les cellules D produisent de la
    somatostatine
  • Les principales fonctions des hormones
    pancréatiques sont
  • - stocker les aliments sous forme de
    glycogène et de
  • graisse ? ACTION DE LINSULINE
  • - mobiliser à nouveau les réserves
    énergétiques lors du
  • jeûne, de lexercice ? ACTION DU
    GLUCAGON
  • - maintenir ainsi la glycémie constante

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A - Insuline3 Actions de linsuline
  • Linsuline assure le stockage du glucose, grâce à
    la glycogénèse
  • Glycogénèse formation de glycogène à partir du
    glucose
  • - seffectue dans le foie et dans le
    muscle
  • - réalise le stockage du glucose
  • - ce qui permet une stabilisation de la
    glycémie
  • Autres actions stockage des acides aminés,
    croissance, répartition du potassium,

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A Insuline4 Stimulation de la sécrétion
dinsuline
  • Le principal stimulus de la sécrétion dinsuline
    est une augmentation de la glycémie
  • ? glucose plasmatique ? ? sécrétion dinsuline
  • Autres hormones favorisant la libération
    dinsuline
  • sécrétine, gastrine, GIP, ACTH, TSH,
  • Adrénaline, noradrénaline freinent la
    libération dinsuline

12
A Insuline4 Stimulation de la sécrétion
dinsuline
13
I PhysiopathologieA- InsulineB- Diabète sucré
  • Le diabète sucré peut être causé par
  • - un manque dinsuline Diabète de
    type I
  • - une diminution du nombre de
    récepteurs
  • fonctionnels à linsuline Diabète
    de type II
  • - une diminution de laffinité des
    récepteurs à linsuline
  • - une surabondance dhormones
    hyperglycémiantes
  • Caractérisé par une augmentation de la
    concentration en glucose, pouvant conduire à une
  • glycosurie

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B Diabète sucré
  • L hyperglycémie est la conséquence de 2
    mécanismes
  • susceptibles de sassocier
  • Insuffisance de la sécrétion insulinique
  • Résistance tissulaire à laction de linsuline

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B Diabète sucré
  • Lésion des ilôts de Langerhans
  • organique destruction des cellules ?, réduction
    du nombre,
  • fonctionnelle perturbations de la cinétique de
    linsulino-sécrétion

Déficit de linsulino- sécrétion
Insulino- résistance
  • Dans les tissus insulino-sensibles
  • foie
  • muscles
  • tissu adipeux

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II Diagnostic
  • A Circonstances de découverte
  • B Critères diagnostiques
  • 1 Glycémie à jeûn
  • 2 Critères diagnostiques de lADA
  • 3 Place de lHGPO
  • 4 Conversion
  • C-Surveillance des glycémies
  • 1 Auto-surveillance glycémique
  • 2 Bandelette urinaire
  • 3 Hémoglobine glycosylée

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A- Circonstances de découverte
  • Un diabète peut être découvert à loccasion
  • Dun syndrome polyuropolydipsique
  • - conséquence dune diurèse osmotique
  • - diurne et nocturne
  • - souvent accompagné dun
    amaigrissement
  • Dun examen systématique
  • Dune complication de la maladie

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B Critères diagnostiques1 Glycémie à jeûn
  • Une glycémie veineuse à jeûn
  • Inférieure à 1,10 g/l est normale (mais nexclut
    pas le diabète)
  • Supérieure à deux reprises à 1,26 g/l ( 7,0
    mmol/l)
  • affirme le diabète
  • Comprise entre 1,10 et 1,26 g/l glycémie à jeûn
    anormale

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B Critères diagnostiques 2 Critères
diagnostiques de lADA 1997
  • Les critères diagnostiques de diabète sucré
    reposent sur
  • Des symptômes de diabète (polyurie, polydipsie,
    amaigrissement inexpliqué, somnolence, voire
    coma) et une glycémie mesurée au hasard ? 11,1
    mmol/l (2 g/l)
  • Glycémie à jeûn ? 7,0 mmol/l (1,26 g/l) mesurée
    sur plasma de sang veineux
  • Glycémie 2 heures après une charge orale en
    glucose de 75 g ? 11,1 mmol/l (2 g/l) (mesurée
    sur plasma de sang veineux)

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B Critères diagnostiques3 Place de lHGPO
  • HGPO HyperGlycémie Provoquée par voie Orale
  • Mesure de la glycémie veineuse à jeûn
  • Ingestion dune solution contenant 75 g de
    glucose
  • Mesure de la glycémie veineuse 2 h après
  • Indication sujet avec GAJ entre 1,10 et 1,26
    g/l
  • - G 2h ? 2 g/l diabète
  • - G 2h entre 1,40 et 2 g/l
    intolérance au glucose
  • - G 2h lt 1,40 g/l hyperglycémie
    modérée à jeûn
  • Place secondaire

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B Critères diagnostiques4 Facteur de
conversion
  • Glycémie 1 g/l 5,5 mmol/l
  • 5,5 mmol/l 1 g/l
  • 6,6 mmol/l ? 1,20 g/l
  • 7,7 mmol/l ? 1,40 g/l
  • 8,8 mmol/l ? 1,60 g/l
  • 9,9 mmol/l ? 1,80 g/l
  • 11 mmol/l 2g/l
  • Valeurs normales de la glycémie à jeûn
  • 0,7 à 1,05 g/l 3,9 à 5,8 mmol/l

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C Surveillance des glycémies1
Auto-surveillance glycémique
  • Lauto-surveillance consiste pour le patient à
    surveiller lui-même léquilibre de son diabète
  • Détermination de la glycémie capillaire grâce à
    des bandelettes réactives
  • Goutte de sang obtenue grâce à un stylo
    auto-piqueur que le patient applique sur la 3ème
    phalange dun des trois derniers doigts des mains
  • De qqs glycémies hebdomadaires à 6-8 glycémies
    par 24 h, suivant le type de diabète, le
    traitement
  • Auto-contrôle à partir des renseignements
    fournis par lauto-surveillance, le patient
    modifie lui-même son traitement
  • Résultats notés sur un carnet de surveillance

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C Surveillance des glycémies1
Auto-surveillance glycémique
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C Surveillance des glycémies2 Bandelette
urinaire
  • Lexistence dune glycosurie signifie que pendant
    lintervalle séparant la miction actuelle de la
    précédente, la glycémie a dépassé le seuil rénal
    du glucose 1,80 g/l
  • Dés que glycémie gt 2,5 g/l, réalisation dune
    bandelette urinaire à la recherche de corps
    cétoniques
  • Autres intérêts dépistage de masse,
    leucocyturie-nitrites, protéinurie,.

25
C Surveillance des glycémies3 Hémoglobine
glycosylée
  • Lhémoglobine A1C résulte de la fixation dune
    molécule de glucose sur un acide aminé de la
    globine
  • La formation dhémoglobine glycquée seffectue
    pendant toute la vie de lhématie (120 jours),
    elle est proportionnelle à la concentration du
    glucose inra-érythrocytaire, donc à la glycémie
  • LHbA1C est le reflet des glycémies moyennes sur
    les 2-3 derniers mois
  • HbA1C 7 ? glycémie moyenne 1,50 g/l
  • 1 / 0,30 g/l
  • EXAMEN-CLE A REALISER TOUS LES 3 MOIS CHEZ TOUT
    DIABETIQUE

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Le diabète sucré est constitué par un groupe de
maladies métaboliques caractérisées par une
hyperglycémie chronique résultant dun défaut de
sécrétion et/ou daction de linsuline
  • Diabète de type 1
  • Diabète de type 2
  • Diabètes secondaires
  • Diabète gestationnel

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II Diabète de type 1
  • A Introduction
  • B Epidémiologie
  • C Physiopathologie
  • D Maladie auto-immune
  • E Insulinothérapie

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A - Introduction
  • Le diabète de type 1 correspond à la destruction
    de
  • la cellule ? pancréatique aboutissant à une
    carence
  • absolue en insuline, dorigine immunologique
    ou
  • idiopathique
  • Anciennement diabète insulino-dépendant DID

29
B - Epidémiologie
  • 10 à 15 des diabètes
  • Découverte dans lenfance, ladolescence, jeune
    adulte,
  • le souvent avant 20 ans
  • Sur syndrome polyuropolydipsique,
    amaigrissement,
  • Pas de notion dobésité
  • Facteur héréditaire

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C - Physiopathologie
  • Insulino-sécrétion effondrée
  • ?insulino-dépendance
  • Insulino-résistance nulle (ou secondaire)
  • Rémission TRANSITOIRE possible (lune de miel)
  • En labsence dinsuline, évolution inéluctable
    vers lacidocétose diabétique

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D Maladie auto-immune
  • Présence danticorps très fréquente
  • - anti-cellules dilôts (ICA)
  • - anti-insuline
  • - anti-GAD
  • - anti-IA2
  • Association possible à des maladies auto-immunes
  • (thyroïdiennes, vitiligo, maladie dAddison,)

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E Insulinothérapie1 - Généralités
  • VITALE
  • Auto-injections sous-cutanées
  • - par stylos jetables ou non
  • - par seringues et flacons
  • - par administration continue par
    pompe à insuline
  • Toujours précédées dune glycémie capillaire
  • Administration IV lors dacidocétose (IVSE avec
    glycémie capillaire horaire obligatoire, ou IVD)

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(No Transcript)
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(No Transcript)
35
E Insulinothérapie2 Types dinsuline
  • Insulines daction rapide
  • - début daction 30 mn
  • - fin daction 6 h environ après
    injection
  • - Actrapid
  • Insulines daction intermédiaire NPH
  • - début daction 1 h après injection
  • - fin daction 12 h environ après
    injection
  • - Insulatard
  • Insulines daction prolongée
  • -action sur environ 24 h
  • - Ultratard

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E Insulinothérapie 2 Différents types
dinsuline
  • Insulines biphasiques
  • - rapide NPH ou analogue NPH
  • - Mixtard 10, 20, 30, 40, 50 Profil 20,
    30
  • - Mixtard 20 20 de rapide 80 de
    NPH
  • - Injection de 18 utés de Mixtard 30
    contient
  • 6 utés de rapide et 12 utés de NPH
  • Analogues de linsuline
  • - lispro Humalog début daction qqs
    mn après
  • injection, fin daction 3-4 h après
    injection
  • - aspart NovoRapid cinétique assez
    proche
  • - Mélanges Humalog Mix 25/50, NovoMix
    30

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(No Transcript)
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(No Transcript)
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(No Transcript)
40
E Insulinothérapie3 Schémas
dinsulinothérapie
  • En général, 2 injections par jour de NPH
  • 1 le matin 1 au dîner ou au
    coucher
  • à doses fixées
  • ET
  • 3 injections de rapide (ou
    analogue)
  • avant les repas
  • Insulinothérapie fonctionnelle adaptation des
    doses de rapide en fonction des aliments prévus
    pour le repas et de la glycémie avant le repas

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E Insulinothérapie4 Aspects pratiques
  • Sassurer de la présence du repas avant une
    injection dinsuline
  • Patient à jeûn pour un examen, une intervention
    ne faire que linjection dinsuline lente, ne pas
    faire la rapide et poser une perfusion de sérum
    glucosé
  • Revoir avec le patient les techniques
    dinjection, le maniement du matériel

42
IV Diabète de type 2
  • A Introduction
  • B Epidémiologie
  • C Physiopathologie
  • D Traitement

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A - Introduction
  • Le diabète de type 2 associe un déficit
    insulino-sécrétoire relatif à une
    insulino-résistance dominante
  • Anciennement, diabète non insulino-dépendant
    DNID

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B - Epidémiologie
  • Environ 80 des diabètes
  • En général diagnostic après 40 ans, sur examen
    réalisé de façon systématique chez un sujet en
    surpoids, aux antécédents familiaux de diabète,
    en bilan des facteurs de risques
    cardio-vasculaires,
  • Possible aussi diagnostic à loccasion dune
    complication CV,
  • Facteur héréditaire

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C Physiopathologie
  • Insulino-résistance primitive, associée à un
    déficit variable de linsulino-sécrétion
  • Pas de stigmates dauto-immunité
  • Peut évoluer vers linsulino-requérance, mais
    nest pas insulino-dépendant
  • Moins dévolution vers la cétose

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D Prise en charge thérapeutique
  • Mesures hygiéno-diététiques
  • - perte de poids si surpoids
  • - régime équilibré normocalorique
    (hypo si
  • surpoids), avec 250-300g de
    glucides par jour,
  • 80 g de lipides, 80 de protides
  • - activité physique
  • Anti-diabétiques oraux
  • Insuline

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Anti-diabétiques oraux
  • Médicaments insulino-sensibilisateurs
  • - potentialisent laction de
    linsuline au niveau
  • des cellules-cibles
  • - diminuent la production hépatique de
    glucose
  • Deux grandes familles de médicaments luttant
    contre linsulino-résistance
  • - les biguanides Glucophage, Stagid
  • - les thiazolidinediones Actos,
    Avendia
  • Arrêt des biguanides 2 jours avant et après toute
    intervention chirurgicale ou examen avec
    injection de produit de contraste ? risque
    dacidose lactique

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Anti-diabétiques oraux
  • Sulfamides hypoglycémiants
  • - stimulent la sécrétion dinsuline
    par le pancréas
  • - Daonil, Diamicron, Amarel,
  • Principal risque survenue dhypoglycémies
  • Famille proche des sulfamides glinides
  • - action proche
  • - cinétique plus rapide, plus ciblée
    sur la
  • glycémie post-prandiale
  • - Novonorm

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Insulinothérapie
  • Malgré activité physique, diététique contrôlée et
    traitement anti-diabétique oral maximal, parfois
    les
  • objectifs glycémiques ne sont pas atteints,
    lHbA1C demeure gt à 8
  • ? indication à une insulinothérapie au
    cours dun
  • diabète de type 2
    INSULINO-NECESITANT
  • Insulinothérapie volontiers associée au maintien
    des biguanides
  • NPH en bed-time et ADO à doses maxi.
  • Schéma à deux injections par jour dun mélange

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V Autres types de diabète
  • A Diabètes secondaires
  • Atteintes pancréatiques
  • - pancréatectomie
  • - pancréatite chronique
  • - mucoviscidose
  • - cancer
  • Atteintes hépatiques
  • - cirrhose
  • - hémochromatose
  • Endocrinopathies
  • - corticothérapie
  • - hyperthyroïdie
  • B Diabète gestationnel
  • Anomalie de la tolérance glucidique débutant
    au cours de la grossesse

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VI Complications métaboliques aigües
  • A Acidocétose
  • B Coma hyperosmolaire
  • C Acidose lactique
  • D Hypoglycémie
  • 1 - Signes
  • 2 - Prise en charge

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A Acidocétose diabétique
  • Clinique
  • - Syndrome polyuropolydipsique, avec
    déshydratation
  • - Dyspnée dacidose, odeur acétosique de
    lhaleine
  • - Troubles neurologiques
  • - Troubles digestifs
  • Hyperglycémie entre 3 et 8 g/l, cétonurie
  • Traduit une carence en insuline
  • Traitement réhydratation, insuline, K

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B Décompensation hyperosmolaire
  • Clinique
  • - polyuropolydipsie, déshydratation
  • - pas de dyspnée dacidose
  • - troubles neurologiques avec
    obnibulation
  • Hyperglycémie entre 6 et 20 g/l, cétonurie 0 ou
  • Traitement réhydratation, insuline, K

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C Acidose lactique
  • Clinique déshydratation, polypnée dacidose,
  • Glycémie N ou peu élevée, pas ou faible cétonurie
  • Lactates gt 10 mmol/l
  • Accumulation de biguanides
  • Traitement réhydratation, alcalinisation,
    dialyse

55
D - Hypoglycémie
  • 1 Signes
  • Tout abaissement de la glycémie lt 0,50 g/l (2,7
    mmol/l)
  • Signes de glycopénie faim, asthénie
  • Signes adrénergiques sueurs, pâleur,
    tachycardie,?TA, tremblements
  • Troubles intellectuels mémoire, attention
  • Troubles caractériels agressivité,
    irritabilité,
  • Troubles neurologiques céphalées, vertiges,
    hémiplégies
  • Coma

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D - Hypoglycémie
  • 2 Traitement
  • Traitement immédiat
  • - mesure de la GC
  • - si patient conscient 3 morceaux de
    sucre, ou jus
  • de fruits sucré
  • - si patient dans le coma 2 amp de G
    30 IVD
  • - si convulsions 2 amp de glucagon
  • Prévention dune récidive
  • - si le patient peut salimenter prise
    immédiate
  • dun repas
  • - sinon, sérum G 10 IVL

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VII Complications dégénératives
  • A Complications microangiopathiques
  • 1 Rétinopathie diabétique
  • 2 Néphropathie diabétique
  • 3 Neuropathie diabétique
  • B Complications macroangiopathiques
  • 1 Coronaropathie
  • 2 Atteinte des troncs supra-aortiques
  • 3 Artériopathie de membres inférieurs

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A Complications microangiopathiques1
Rétinopathie diabétique
  • La vision du diabétique est menacée par
    lopacifiaction du cristallin, lhypertonie
    oculaire et la rétinopathie diabétique
  • La rétinopathie est due à des altérations
    microvasculaires, survient en général 5 à 15 ans
    après le début du diabète et est en principe
    empêchée par une bonne équilibration
  • Examen ophtalmologique annuel avec FO
  • Angiographie rétinienne
  • Traitement équilibration du diabète,
    normalisation de la TA, traitement par laser des
    zones ischémiques et proliférantes

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(No Transcript)
60
A Complications microangiopathiques
  • 2 Néphropathie diabétique
  • Manifestation la plus grave de la
    microangiopathie peut conduire à linsuffisance
    rénale terminale, témoigne dune atteinte diffuse
  • Exploration rénale annuelle en labsence de
    néphropathie avec recherche dune protéinurie et
    dune microalbuminurie (si protéinurie négative)
  • Premiers stades réversibles sous réserve bonne
    équilibration TA, bon équilibre glycémique et
    traitement par IEC ou AATII

61
A Complications microangiopathiques
  • 3 Neuropathie diabétique
  • Atteinte des systèmes nerveux périphérique et
    autonome
  • Atteintes des grosses fibres sensitives
    polynévrite sensitive des membres inférieurs avec
    hypoesthésie tactile, proprio-ceptive
  • Atteinte des petites fibres sensitives
    paresthésies, dysesthésies de contact,
    hypoesthésie thermo-algique

62
3 Neuropathie diabétique
  • Atteinte des fibres motrices mononévrites,
    multinévrites
  • Atteinte du système nerveux autonome
    gastroparésie, duarrhée motrice, vessie
    neurogéne, éjaculation rétrograde, neuropathie
    autonome cardiaque avec hypotension orthostatique
  • Traitement symptomatique plus ou moins efficace
  • Equilibration du diabète
  • Prévention des troubles trophiques, soins
    podologiques, chaussage non traumatique

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65
B Complications macroangiopathiques
  • 1 Coronaropathie
  • La maladie coronaire est la principale cause de
    décès des diabétiques
  • Diabète FDR cardio-vasculaire
  • Fréquence des formes silencieuses
  • Pronostic plus sévère que chez les non-diabétiques

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B - Complications macroangiopathiques
  • 2 HTA, atteinte des troncs supra-aortiques
  • HTA plus fréquente 30 des type1, 50 des
    type 2
  • Accélère lévolution de la microangiopathie et
    favorise les accidents dus à la macroangiopathie
  • Objectifs tensionnels plus stricts que chez les
    non-diabétiques
  • IEC-AATII en première intention
  • AVC plus fréquents, souffle carotidien, doppler
    TSA

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B Complications macroangiopathiques
  • 3 Artériopathie oblitérante des membres
    inférieurs
  • 20 à 40 fois fréquente chez le diabétique
  • Siège artères proximales, artères de jambe,
    artère fémorale profonde
  • Evolutivité, évolution vers la gangrène
    beaucoup plus fréquente

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