Title: Projet de Session
1Projet de Session
- La libéralisation des échanges
- Brahim Bouslikhane
2Scénario
- Le rôle des institutions internationales
- La coopération économique Nord -Amérique- ALENA
- La coopération économique Européenne - UE
- La coopération économique en Amérique du
Sud-MERCOSUR - La coopération économique Asie Pacifique- APEC
- La coopération économique Asie du Sud-Est - ASENA
- La coopération économique de Taiwan et de Hong
Kong avec la Chine - Cas synthèse
- LÂ ampleur de la mondialisation sur
l industrie des semi-conducteurs
3Partie I
- Le rôle des institutions internationales
- Le GATT
- LÂ OMC
- Sa mise en place
- Les négociations en cours
- Vers une nouvelle approche de la libéralisation
- Le FMI
- LÂ organisation du FMI
- Les politiques d ajustements
- La Banque Mondiale
4Le GATT
- En 1948 Accord général sur les tarifs douaniers
et de commerce, signé entre 23 pays - Objectifs Faciliter le développement du
commerce international - Réduction des droits de douane
- Réduction des barrières non tarifaires
- Les accords préférentiels
- Application de deux principes
-
Réciprocité
La nation la plus favorisée
5LÂ OMC
- En 1995 , la première Organisation mondiale du
commerce a été officiellement créée - Ses fonctions
- Faciliter la mise-en-œuvre , l administration et
le fonctionnement des accords commerciaux - Action
- Les engagements spécifiques conclus par les États
membres
6 LÂ OMC
- Développer une nouvelle approche de la
libéralisation - Intégration plus étroite des différents
pays par - la progression de la production assurée par des
entreprises étrangères - La mobilité accrue de certains facteurs de
production - Pour adhérer
- Les pays acceptent de se soumettre aux principes
multilatéraux - Une première libéralisation des dispositions de
leur politique commerciale
7Le FMI
- Fondé en 1944 ( comptait 144 pays en 1988)
- Objectifs
- Promouvoir la coopération monétaire entre ces
membres - Favoriser la croissance du commerce international
- Étendre la convertibilité des monnaies en
éliminant les contrôles des changes - Atténuer les déséquilibres des balances des
paiements - Assurer la stabilité des changes
8 Le FMI - Son organisation
- Les décisions sont contrôlées par les pays
développés ( Nb de voix 62) - Les décisions importantes doivent être prises Ã
une majorité de 85 - Les États Unis (19 voix) un droit de Véto
- Les prêts
9 Le FMI Les politiques dajustement
- Préconise une politique de libéralisation et de
retour aux mécanismes du marché - Rétablissement de la liberté des prix
- Réduction des subventions
- Privatisation des entreprises et des circuits de
distribution - Rationalisation du secteur public
- Ouverture à l extérieur
- Libéralisation des échanges
- Politiques agir sur l offre
- Critique
- Politiques plus adaptées aux payés développer
10La Banque Mondiale
- Même membres que le FMI
- Son objectif est le développement des pays du
tiers-monde par l accord des prêts à faibles
taux d intérêts - Secteur de financement
- Infrastructure
- Développement rural et agricole, ...
- Concurrencer par les banques régionales de
développement
11 Partie II
- La coopération Nord Amérique
- ALENA
12ALENA
- Présentation de l ALENA
- Bilan de l intégration
- Les enjeux de l accord
13 Présentation de l ALENA
- A été créée sous l impulsion des Américains
- L idée du président Bush est de multiplier les
accords de coopération avec les deux autres
Amériques, de favoriser leur développement ainsi
que d assurer aux États Unis un marché étendu
pour ses produits - Les objectifs de l accord du libre échange sont
- L élimination des tarifs, soit immédiatement ou
bien par cinq ou dix tranches, pour une
disparition complète en 1999 - L élimination de toutes les entraves au commerce
et à l investissement non protégé - ...
14 Présentation de l ALENA
- Les restrictions d investissement seront
diminuées progressivement pour disparaître le 1er
janvier 2004 - Les obligations d exporter seront libéralisées
- 34 en 1994-1998
- 29 en 2003
- 0 en 2004
- Les tarifs sur les textiles et les vêtements
échangés entre le Canada et le Mexique seront
éliminés au cours d une période de 8 ans
15 Bilan de l intégration
- A- Mexique
- Un accès à un marché de 250 millions de
consommateurs ayant un pouvoir d,achat élevé - Les réformes dans la hausse du taux croissance
réel et le ralentissement de l inflation ( 329
en 1986, 20 en 1996 ) - Engager des reformes structurelles dans les
secteurs de l,automobile, des textiles et de
l habitation, des services financiers, des
télécommunication et des transports. - La solution de créations nette d emplois au
nombre de 600 000 en cinq ans
16Bilan de l intégration
- B- Canada
- Le Mexique avec ses 81 Millions d habitants,
représente un élément stratégique de la politique
étrangère commerciale du Canada - Selon Hufbauer et Schott le Canada ne fera pas
de gains importants grâce à l ALENA (
38importations et 24exportations ) , Ex - La rationalisation du secteur de textile au
Québec - La concurrence féroce entre le Canada et les
États Unis sur les marchés agricoles du Mexique - Les institutions financières ont tiré profit de
l accès au marché mexicain ( mieux capitalisés
et elles sont habituées de fonctionner en réseau
) - Le Mexique pourra remplacer la production
canadienne de voitures de basse de gamme et
concurrencer les producteurs canadiens de pièces
17Bilan de l intégration
- C- États Unis
- Impact marginal sur le chômage ( création nette
d environ 100 000 emplois en cinq ans ) - Réduction des tensions engendrées par les
problèmes de migration massive des Mexicains - Propagation des usines américaines sur
l ensemble du territoire mexicain - Les effets économiques sont à peine perceptibles
... cet accord représente pour eux la mise en
place d un bloc géopolitique pouvant servir de
contrepoids aux autres blocs et leurs permettant
d établir des règles du jeu dans le domaine
commercial
18 Les enjeux de l accord
- A- Canada
- Rivaliser avec le Mexique et les États Unis comme
lieu pour l investissement - Profiter des effets de détournement de commerce
aux dépens des pays non membres de l ALENA - Concurrencer les Mexicains sur les marchés
américains et domestiques ( les produits de la
haute technologie et à valeur ajoutée fabriqués
dans le Maquiladoras )
19Partie III
20 L Union Européenne
- Les nouveaux enjeux principaux du Traité
- L Union économique et monétaire ( UEM )
- La Politique étrangères et la Sécurité commune
(PESC) - La mise en place
21 UEM
- Selon, le traité de Maastricht, l UEM doit être
réaliser en trois phases - Phase I - Marché unique ( 1er juillet 1990)
- Phase II - Mise en place des institutions ( 1er
janvier 1994) - Phase III - Établissement d une monnaie commune,
au plus tard 1er janvier 1999
22 UEM- Phase I II
- Marquée par la libéralisation des mouvements des
capitaux entre les pays membres - Création de l Institut Monétaires Européen (IEM)
- Objectifs
- Aucun gouvernement na un accès privilégié aux
institutions financières ( ex. Banque centrale ) - Renforcer la coordination des politiques
monétaires - Exercer des pressions sur les États pour
appliquer les politiques monétaires et fiscales
23 UEM- Phase III (Euro)
- Le Conseil Européen déterminera quels États
seront admis à cette phase en fonctions du
respect de plusieurs critères -
- Le taux d inflation ne devra pas dépasser plus
de 1.5 - Les taux d intérêts ne devront pas dépasser de
plus de 2 - Le déficit budgétaire devra être inférieur à 3
du PIB - La dette nationale n excédera pas 60 du PIB
- etc
- Les États qui ne remplissent pas les conditions
peut rentrer sur la base d un examen qui a lieu
tous les deux ans
24UEM- Phase III (Critiques)
- Ces exigences entraînent de grandes difficultés
pratiques ( les critéres de convergence sont trop
rigides) - Exemples reliés à des critères
- L Allemangne ne satisfait pas ces critères
(Fortes pressions inflationnistes, le déficit
budgétaire est de 5) - L Italie et la Belgique ont une dette cumulée
représentant plus de 120 du PIB - Seuls le Luxembourg et l Irlande remplissent les
conditions pour réaliser la troisième phase
25 PESC
- Selon le traité de Maastricht, les objectifs de
la PESC sont - La sauvegarde des valeurs communes et
l indépendance de l Union - Le renforcement de la sécurité de l Union et de
ses États membres sous toutes ses formes - Le maintien de la paix et le renforcement de la
sécurité internationale - La promotion de la coopération internationale
- le développement et le renforcement de la
démocratie et de l État de droit
26 AvantagesLa mise en place - Euro
- La suppression des bureaux de change
- La fin des coûts associés aux transferts
bancaires entre les pays - La facilité de gestion et la suppression du
risque du change - La transparence des prix et l accentuation de la
concurrence - Les taux d intérêts réels égaux entre les
différents pays - L Euro bénéficierait d une autonomie accrue par
rapport au Yen et au
27Partie VI
- La Coopération Amérique du Sud
- MERCOSUR
28 MERCUR
- Bilan de l intégration en Amérique du Sud
- La dynamique actuelle de l intégration
- Le poids de l intégration sur la scène
internationale - Les perspectives de l intégration
29Bilan de l intégration
- A- Les échecs du passé
- Une mauvaise stabilité politique
- Manque de volonté politique de la part des
dirigeants pour soutenir le processus - Groupes d intérêts nationaux opposés à la
libéralisation des échanges - L absence d un tarif extérieur commun et de
mesure favorisant la coordination des politiques
intérieures et extérieures - L  absence de dispositions équitables des
bénéfices en raison de la hausse des échanges
intra-régionaux
30Bilan de l intégration
- B- Les formes d intégrations aujourd hui
- Une nouvelle vision de l intégration économique
( axée sur des réformes économiques et une
libéralisation du commerce ) - Vision tournée vers l extérieur ( stratégie
d exportation ) - Une orientation vers une stratégie de marché
- Un vaste mouvement de privatisation des
entreprises d État - Selon Julian Castro Rea Le changement de
stratégie de développement résulte de la réalité
internationale actuelle, mais aussi d un climat
idéologique nouveau en vertu duquel
l élimination des barrières commerciales se pose
comme moyen privilégié pour réveiller les
industriels locaux et relancer la croissance
31Bilan de l intégration
- Les différents types d intégration économique
- Accord de libre échange
- Le groupe des trois
- En juin 1994, la Colombie, le Mexique et le
Venezuela ont signé le traité économique, son but
était de - Créer un bassin énergitique
- Créer une zone de libre-échange
- Les Unions douanières
- Le Mercosur
- En décembre 1994, les présidents des quatres
pays se sont rencontrés pour mettre en œuvre - Un tarif extérieur commun pour 85 des produits
importés - Chaque pays avait droit à toute une série
d exceptions à la libéralisation des échanges
32Bilan de l intégration
- Accords préférentiels
- Accords bilatéraux avec le Chili
- Le Chili a négocié une série d accords de libre
échange - Le Mexique (1992), la Colombie (1994),
L Équateur (1995), Canada (1996) - Veille à la libéralisation des échanges en
respectant l échange de biens - Les autres accords régionaux
- Divers accords bilatéraux ont vu le jour
- Mexique/Bolivie
- Chili/Pérou
- Colombie/Venezuela/Amérique centrale
33L impact de l intégration économique
- En 1995
- La croissance moyenne du Chili est de 8, de la
Colombie de 5,5, et Pérou de 7,5 - Une décélération des prix
- Maintien de l inflation
- Pour le Chili au dessous de 10
- À peine supérieure à 20 pour le Brésil ( 929
en 1994) - Grâce aux exportation la balance des paiements
est positive à 2.3 milliard de -
34L impact de l intégration économique
- A - Les principaux exportateurs et les
principaux produits échangés au sein de
l Amérique de Sud - Les pays les plus exportateurs
- Bolivie et le Paraguay avec 44
- Uraguay avec 39,4
- Argentine avec 28,2
- Les produits exportés
- Les produits manufacturés
- Les produits chimiques
- L équipements de transport
- Les machines non électriques
35L impact de l intégration économique
- B - Les limites
- Les infrastructures insuffisantes et les pénuries
commencent à apparaître - Manque d un certains nombre de services urbains
( les logements , la lutte contre la pollution,
l eau potable, les déchets ) - Manque de routes ( frein à la compétitivité des
produits locaux) - Crise des finances publiques ( pour financer les
infrastructures ) - Les infrastructures Les principales ports
Brésiliennes et Argentins
36Le poids de lintégration sur la scène
internationale
- Un climat de confiance La vision des
investisseurs étrangers a été améliorée pour
plusieurs raisons - La stabilité politique
- La vague de privatisation
- Un meilleur climat économique ( stabilité des
prix, équilibres budgétaires, reconstruction
des systémes de crédit) - De nouvelles opportunités de profit dues aux
- Au démantèlement des entraves au commerce et aux
investissements étrangers - Apparition de nouvelles niches dans des secteurs
variés - ( alimentation, automobile, biens d équipements
)
37Le poids de l intégration sur la scène
internationale
- Les retombées de l intégration au niveau
international - MERCOSUR Considéré comme un espace où se
trouvent les grands centres de consommation ( 60
du pouvoir d achat ), donc investir dans les
pays tels que l Argentine ou le Brésil devient
une stratégie de pénetration du grand marché - Ex Secteur automobile ( plusieurs constructeurs
mondiaux se sont instalés sur place (GM, Toyota,
Mazda) - La compagnie Fiat produit en Argentine certains
moteurs de voitures réaliser au Brésil - La compagnie Renault profite de Mercosur pour
vendre au Brésil, où elle n a pas d usine, des
modèles fabriqués en Argentine
38C- Les principaux partenaires étrangers
- L Union Européenne
- Le premier partenaire commercial de huit pays
d Amérique et la première destination des
exportations de MERCOSUR ( 28) - 42 des investissements étrangers sont origines
des pays européen ( pontentiel de ses marchés,
ses capacités d expansion et les liens qui
l unissent à l Europe ) - Entre 1993 et 1995, les exportations européennes
ont augmenté de 44 - Le 15 Déc 1995, un accord inter-régional de
coopération et commercial a été signé par l UE
et le MERCOSUR ( union douanière est une première
historique ) - Accord de coopération aux niveaux politique ,
culturel,social et scientifique - Les aides financières sont passées de 3.4M en
1985 Ã 75M en 1994
39Les principaux partenaires étrangers
- LÂ Asie
- Les investisseurs japonais voyaient la région
essentiellement comme une source de matières
premières - Les entreprises sud-coréennes ont annoncé cette
année leur intention dinvestir dix fois plus que
leurs investissements en 1991 (170Millions/3ans) - Des entreprises comme Hyndai, Samsug,Daewoo
envisagent d ouvrir des usines au Brésil, en
Colombie ou au Venezuela( le président sud coréen
Kim Young est venu en Amérique du Sud avec les
présidents des trentes plus grandes compagnies
coréennes ) - Selon Sebastien Edward, professeur Ã
l université de Californie - cet intérêt s explique par le fait que la
libéralisation a rendu les consommateurs plus
avides de biens durables, notamment les secteurs
de l électronique et de l informatique, ce qui
n a échappé aux compagnie asiatiques
40Les principaux partenaires étrangers
- Les États Unis
- Un partenaire important de part sa situation
géographique - Les barrières commerciales sur les produits
agricoles sont relativement faibles ( secteur où
les pays ont largement développé) - Les pays du Pacte Andin voient 40,20 de leurs
exportations totales - Le MERCOSUR n y exporte que 16.7 (chiffres
1994) - Le Chili est celui qui a réussi le mieux Ã
diversifier ses exportations en direction des
États Unis en baissant la part de produits
primaires traditionnels
41Les limites à l expansion internationale
- Le manque de diversification de ces exportations
( un tiers de la production de produits
manufacturés correspond à des exportations vers
le reste du monde) - LÂ augmentation ou le maintien de mesures
protectionnistes des pays industrialisés - Aux États Unis, les barrières non tarifaires Ã
l importation de produits manufacturés (
habillement) a réduit les recettes de pays (
Argentine, Bolivie ) - Les mesures agricoles de l Union Européennes (
Argentines et le Brésil les plus touchés )
42Les perspectives de l intégration
- A- Le point de vue macro-économique face Ã
l ALENA - L  intégration à l ALENA est prématurée, vue
la capacité et la disponibilité des pays Ã
pénétrer dans un l ère nouvelle de libéralisme (
économie de petite taille ) - l adhésion à l ALENA implique une perte
importante de l autonomie en terme de politique
économique (le contrôle sur le solde de la
balance de paiements )
43Les scénario d un rapprochement nord-sud
- Keith Christie envisage trois possibilités
- Construire l ALEA ( Accord de Libre Échange des
Amériques) - Laisser chacun des pays de l ALENA négocier un
accord bilatéral de libre échange avec le
MERCOSUR - L accession de MERCOSUR à l ALENA
44Partie V
- Coopération Asie Pacifique
45APEC
- La présentation de l APEC
- La difficile construction de l APEC
- LÂ APEC et ses impacts sur les exportations
- Les perspectives davenir
46 Présentation
- Contexte
- Créée en 1989
- 60 de la population, 50 du PIB mondial et 40
de la consommation mondiale ( Locomotive de
l économie mondiale ) - Membres
- Formée de 18 membres ( dont les trois partenaires
de l ALENA, le Japon , les six membres de
l ASEAN, les trois Chine, la Corée du sud,
l Australie et le Chili ) - Pour l instant, il n a pas ni le contenu ni la
structure
47 Présentation
- Comité et groupe de travail
- Comité du commerce et de l investissement (CCI)
- Objectif Accroître le commerce et les
investissements régionaux par l application des
principes de transparence et de la libéralisation - Comité économique (CE)
- Objectif Favoriser une croissance mutuelle des
politiques et des développements économiques - Comité du budget et de l administration (CBA)
- Raison du développement institutionnel de
l APEC - Groupes de travail
- Sont formés d experts des économies membres (
GT de pêches, GT des ressources humaines, GT
sciences et technologies industrielles...)
48La difficile construction
- Objectifs de la constitution
- Lutter contre la monté des regroupements tels que
la CEE, et l ALENA - Créer un forum multinational axé sur le
développement économique de la région asiatique (
ne soit dominé par le Japon ) - Les E-U et le Canada ont fait pression pour
participer à l APEC. Bill Clinton parle
de cette coopération en ces termes - Le Pacifique peut être et sera une vaste
source d emplois et de revenus, de coopération
et de croissance, non seulement pour ses
populations mais aussi celles de l Amérique,
déjà 40 du commerce se fait avec l Asie
49La difficile construction
- Certains groupes japonais s opposent à cette
coopération ( l arrivée des EU nuit au système ) - Difficultés pour réunir des pays aussi différents
dans leur taille, leur niveau de développement et
de croissance, et aussi leur culture et leur
régime politique. - Entraîner des perspectives, une image, et une
vitesse de réalisation de l APEC différentes qui
divisent les pays - Les tensions augmentent entre la Chine et la
Corée du sud, d une part, et le Japon accusé de
vouloir dominer la région
50 Impacts sur les exportations
- Les exportations américaines vers l APEC
- 1980-1992 40 Ã 48.8
- Les importations américaines en provenance de
l APEC - 1980-1992 42.6 à 58.9
- En provenance de l UE 15.6 à 17.7
- Selon le secrétaire générale CCI l Asie
pacifique possède déjà l économie la plus
intègre au monde, et représente l avenir de
l économie -monde
51Perspectives d avenir
- Suscite actuellement des controverses
l expansion des échanges commerciaux
intra-régionaux - Les divergences croisées dintérêts entre les
membres - Sous quelle influence sera l APEC asiatique ou
américaine ? - L Europe n a pas d intérêts à ce que cette
coopération aboutisse ( le centre d intérêts se
déplace vers le Pacifique ) -
- Très tôt pour parler d identité commune dans
l APEC
52Partie VI
- La coopération Asie du Sud Est
- ASEAN
53ASEAN
- Présentation de l ASEAN
- Une nouvelle priorité le développement
économique - Les relations de l ASEAN avec l extérieur
54Présentation de l ASEAN
- Fondée en 1967 par 5 pays Singapour, Thaïlande,
Indonésie, Malaisie et Philippines - Objectifs
- Une volonté politique des États pour unir leurs
efforts pour lutter contre le communisme - Renforçaient l idée pour éviter les tensions
internes et externes - ( coopération pour la paix et la stabilité
régionale) - Assurer une croissance économique à ces pays et
une coopération avec les organisations
internationales
55 Une nouvelle priorité le développement
économique
- Coopérer afin de créer de grandes industries
pour satisfaire les besoins régionaux - Prioritaires dutiliser la matière première des
pays membres - Projet réaliser à 60 du pays hôte
- 10 par chacun des membres
- Le pays hôte devait investir au minimum 30 des
capitaux nécessaires - Accord sur l instauration de tarifs
préférentiels sur une base produits par produits - Financement des importations et des exportations
sur des prêts à faible intérêt - Suppression progressive des barrières
non-tarifaires
56La nouvelle coopération économique des pays de
l ASEAN
- Restrictions douanières aux importations qui
pourraient concurrencer des productions locales - Développer leurs industries par des capitaux
étrangers ( profiter des avantages comparatifs de
la zone pour produire à moindre coûts des
produits destinées à l exportation- MOD bon
marché) - Accord AFTA vise à réduire les barrières
tarifaires entre les six pays à un maximum de 5
d ici 2008( cela incite les investisseurs
extérieurs à produire dans l ANASE pour
profiter des tarifs douaniers. - Risque majeur
- Baisses significatives des investissements
étrangers ( récession au Japon et aux États
Unis ) -
57Les relations de l ASEAN avec l extérieur
- Les principaux partenaires UE - Les États-Unis
- le Japon - APEC a fixé comme objectif
- Une zone de libre-échange à compter de l an
2000 - Quels vont être les répercussions de cette
libéralisation au sein même des pays les moins
avancés ? - Les pays de l Asie de l Est restent prudents
dans leurs place au sein de l APEC ( fragilité
de leurs économies)
58Partie IV
- La coopération de Taiwan et de Hong Kong avec la
Chine - CEA
59La coopération de Taiwan et de Hong Kong avec la
Chine
- La zone Asie dans un contexte de mondialisation
60La zone Asie dans un contexte de
mondialisation
- Un enjeu économique
- Un enjeu inter-asiatique
- Un enjeu politique
- Un enjeu stratégique
61Un enjeu économique
- La CEA détient les réserves du change étrangères
les plus importantes du monde - Les projets d infrastructures ( énergie,
transport, télécoms et environnement ) les plus
significatifs à l échelle internationale en
nombre et en valeur ( 500Millards concernant les
équipements reliés à l infrastructure à la
technologie et à l expertise)
62Un enjeu inter-asiatique
- Les relations entre la Chine et Taiwan ont
changé rapidement et intensément - Les entrepreneurs de Taiwan sont attirés par la
MOD bon marché du continent - De l autre coté , importer l expérience de
gestion et les systémes de production à haute
technologie de Taiwan - On peut dire que
- La complémentarité économique est forte
- Les affinités culturelles sont évidentes
- les obstacles politiques sont formidables (
absence de reconnaissance mutuelle ) - Très tôt pour annoncer la grande Chine
63Cas synthèse
- LÂ ampleur de la mondialisation sur lindustrie
des semi-conducteur
64- Contours de l industrie
- Enjeux technologiques et stratégiques
- Intensifications des échanges des produits
- La multinationalisation des entreprises
- La restructuration des entreprises et
l extension mondiale des fonctions - Le développement des accords internationaux
- Accords technologiques internationaux
65Contours de l industrie
- Ex Les microprocesseurs, les mémoires et les
dispositifs spécialisés - Secteur où les entreprises et les gouvernements
font le plus de RD en matière d innovation de
produits - Adoption d une nouvelle structure horizontale (
producteur QEM spécialisé ) - le développement de cette industrie est
indispensable pour bien être placé dans les
industries en aval à fort potentiel de croissance
66Les principaux acteurs
- La progression des firmes japonaises au sein des
premières entreprises mondiales ( ont mis tout le
savoir faire industriel au service du
développement rapide, à grande échelle, de
composants standardisés à très large diffusion ) - La combinaison des stratégies fondées sur la
baisse des coûts et sur l avance technologique
renforce l imprévisibilité du domaine - Les principales firmes mondiales de
semi-conducteurs -
67Enjeux technologiques et stratégiques
- A- Dynamique de l innovation
68Enjeux technologiques et stratégiques
- B- Le défi des entreprises de semi-conducteurs
- Rester en contact avec une technologie aux
avancées et progrès aveugles - Accèlèrer le programme et de développement de la
recherche pour répondre à la technologie - Être capable d être sur le marché au bon moment,
et de supporter la pressions concurrentielles
pour conserver sa position compétitive - Être toujours plus rapide au niveau des
orientations des produits
69Intensifications des échanges commerciaux de
produits
- Les États-Unis délocalisent de nombreuses unités
d assemblage et des accords d approvisionnements
avec les pays de l Asie du Sud - Le taux de croissances des exportations et des
importations incite la mise en place d un
système de production qui dépasse les frontières
des territoires nationaux ( fabriqués dans des
zones spécialisées ) - L extension interne des firmes par la
multinationalisation de leur production ( Flux de
type QEM) - Les États Unis ont adopté des tarifs
préférentiels - ( échanges intra-firmes )
70La multinationalisation des entreprises
Sites de production des principales firmes
71La restructuration des entreprises et
l extension mondiale des fonctions
- La mondialisation de Philips
-
72La restructuration des entreprises et
l extension mondiale des fonctions
- Avantages recherchés
- Rapprochement d un environnement propice Ã
l innovation ou à l acquisition de technologies - Rapprochement de la production afin de réduire
les délais de mise en fabrication des nouveaux
produits et d améliorer la qualité - Proximité avec la clientèle afin de mieux adapter
les produits à la demande locale
73Le développement des accords internationaux
- Alliances stratégiques
- ( Étude faite aux É-U sur 455 responsables de
firmes américaines de l électronique ) - 82 ont considéré important l accès à de
nouveaux marchés comme motif à la conclusion
d accords - 64 l accès à des marchés étrangers
- 55 l accès à des nouvelles technologies
- 64 de ces responsables choisissent des
partenaires étrangers ( alliances un moyen
d internalisation privilégié )
74Accords technologiques internationaux
- Ils sont importants pour deux raisons
- Partage les frais de recherche et de
développement - Partage des compétences permettant de faire face
à un jeu concurrentiel qui élargit jour à jour
l éventail des disciplines
Alliances technologiques internationales entre
firmes (1990-1992)
75Conclusion
- S  interroger sur l avenir des politiques
industrielles dans un secteur où la
mondialisation a provoqué l éclatement des
frontières et des notions de nationalités. - S interroger sur les objectifs que doivent
poursuivre dorénavant les États en terme de
politique industrielle