DIAGNOSTIC FINANCIER APPROFONDI - PowerPoint PPT Presentation

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DIAGNOSTIC FINANCIER APPROFONDI

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Analyse financi re des comptes consolid s, Bruno Bachy et Michel Sion, ... affectant le r sultat sont limin es : marge sur stock, plus-values de cession, dividendes, provisions) ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: DIAGNOSTIC FINANCIER APPROFONDI


1
DIAGNOSTIC FINANCIER APPROFONDI
  • Master ULP
  • Mathias Coiffard

2
PROGRAMME
  • Cours 12 séances
  • TD 8 séances
  • Contrôle continu 50 (semaine du 24/04)
  • Contrôle terminal 50 (UE 4 finance et
    comptabilité internationale)

3
Bibliographie
  • Analyse financière des comptes consolidés, Bruno
    Bachy et Michel Sion, Dunod, 2005
  • Analyse financière et gestion des groupes,
    Jacques Richard (sous la direction de),
    Economica, 2000
  • Analyse financière, concepts et méthodes, Alain
    Marion, Dunod, 2004
  • Gestion financière, Gérard Charreaux, Litec
  • Normes IAS/IFRS, Anne Le Manh et Catherine
    Maillet, Foucher, 2005

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PLAN DU COURS
  • Partie I  Lanalyse financière des groupes
  • Chapitre 1  Le groupe et ses stratégies
  • Chapitre 2  Les spécificités de lanalyse
    financière des groupes
  • Partie II  Le diagnostic prévisionnel
  • Chapitre 1  Les prévisions dactivité
  • Chapitre 2  Le plan de financement
  • Chapitre 3  Le diagnostic du banquier

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Quelques rappels en matière danalyse financière
  • Problématique
  • Méthodes et méthodologie
  • Démarche opérationnelle
  • Analyse de la performance économique
  • Analyse du risque
  • - Analyse du potentiel de développement
  • Analyse contingente

6
La problématique de lanalyse financière
  • Pas dentreprise sans création de richesse
    (évolution de lactivité, marge et EBE, effet
    ciseaux et point mort),
  • pas de création de richesse sans investissement
    (actif  immos et BFR),
  • pas dinvestissement sans financement (passif 
    analyse statique du bilan, analyse dynamique par
    les tableaux de flux),
  • pas de financement sans projet rentable
    (rentabilités économique et financière,
    comparaison des taux de rentabilité dégagé et
    exigé)

7
Méthodes et méthodologie
  • Analyse en tendance (évolution de lentreprise
    sur plusieurs exercices)
  • Analyse comparative (ratios, méthode des scores)
  • Analyse normative (ratios  activité,
    rentabilité, rotation, structure)
  • Analyse du compte de résultat  évolution de
    lactivité
  • Analyse statique du bilan  analyse de la
    solvabilité (bilan financier) et de la structure
    financière (bilan fonctionnel)
  • Analyse dynamique du bilan  analyse des flux à
    travers les tableaux de financement (flux de
    fonds / flux de trésorerie) afin détablir un
    plan de financement et un bilan prévisionnel
  • Analyse synthétique  analyse de la rentabilité

8
Analyse de la performance économique
  • évolution de lactivité (chiffre daffaires)
  • évolution de la marge brute (influence prix de
    vente , influence coût dachat)
  • évolution de la productivité (VA / effectif)
  • formation des résultats (SIG, répartition de la
    VA)
  • évolution de léquipement productif
    (investissements / dotation aux amortissements)

9
Analyse du risque
  • Risque dexploitation
  • sensibilité du résultat dexploitation (point
    mort, levier opérationnel, marge de sécurité)
  • Risque financier
  • sensibilité du résultat net (rentabilités
    économique et financière, levier financier)
  • Risque de défaillance
  • adéquation de la structure financière (mode de
    financement du capital économique, structure des
    ressources stables, degré dindépendance
    financière, capacité dendettement disponible)
  • adéquation des flux physiques et financiers (le
    tableau de financement permet de vérifier que les
    investissements sont soutenables)

10
Analyse du potentiel de développement
  • la cohérence croissance / rentabilité
  • les capitaux propres doivent progresser plus vite
    que lactif économique
  • la rentabilité financière doit être supérieure au
    taux de croissance du chiffre daffaires
  • la capacité financière à rivaliser
  • analyse de la capacité dendettement par rapport
    à celle de la concurrence
  • mesure de la valeur créée pour lactionnaire

11
Analyse contingente
  • 60s  économie peu concurrentielle
  • Outils  FR, CAF, ratios de liquidité et
    dautonomie financière
  • 70s  économie dendettement
  • Outils  BFR, bilan fonctionnel
    emplois-ressources, ETE
  • 80s  économie de marché concurrentielle (taux
    dintérêt positifs, risque conjoncturel)
  • Outils  EBE, résultat dexploitation, actif
    économique, rentabilité économique, effet
    ciseaux, point mort, effet de levier
  • 90s  lillusion comptable et la théorie de la
    valeur (valeur actuelle des flux futurs)
  • Outils  flux de trésorerie disponible, tableau
    de flux, taux de rentabilité exigé par les
    prêteurs (le coût moyen pondéré du capital)

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Partie I  Lanalyse financière des groupes
  • Chapitre 1  Le groupe et ses stratégies
  • 1. La notion de groupe
  • 2. Les avantages de la structure de groupe
  • 3. La spécificité des stratégies de groupes
  • Chapitre 2  Les spécificités de lanalyse
    financière des groupes
  • 1. Les états financiers consolidés selon les
    normes IAS/IFRS
  • 2. Analyse des activités
  • 3. Analyse de la profitabilité
  • 4. Analyse de la solvabilité
  • 5. Analyse de la rentabilité

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Une analyse financière spécifique ?
  • Si groupes entreprises gt critères usuels de
    lanalyse financière
  • Or constitution de groupes donc il y a des
    avantages
  • leviers spécifiques pour procéder à
    loptimisation de ses performances
  • objectifs différents de la somme des objectifs
    des entreprises qui le composent

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Chapitre 1  Le groupe et ses stratégies
  • La notion de groupe
  • La définition économique  holding et
    portefeuille dactivités
  • La définition juridique  la notion de contrôle
  • La définition comptable  la consolidation des
    comptes
  • Les avantages de la structure de groupe
  • Taille critique et internationalisation
  • Avantages structurels
  • La spécificité des stratégies de groupes
  • Les 4 leviers stratégiques du groupe
  • Des comportements très spéciaux
  • Impact du comportement stratégique sur lanalyse
    financière des groupes

15
La notion de groupe
  • La définition économique  holding et
    portefeuille dactivités
  • La définition juridique  la notion de contrôle
  • La définition comptable  la consolidation
  • des comptes

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Typologie des groupes
17
(No Transcript)
18
La définition juridique
  • La définition juridique du groupe
  • autonomie juridique des différentes sociétés
  • contrôle exercé par la société mère
  • existence dune stratégie commune initiée par la
    société mère
  • La notion de contrôle
  • contrôle de droit / contrôle de fait / contrôle
    présumé
  • contrôle indirect / filiale / participation

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La définition comptable
  • Comptes consolidés obligatoires
  • Les groupes qui dépassent pendant deux exercices
    successifs deux des trois critères suivants 
  • bilan gt 15 millions d
  • CA gt 30 millions d
  • Salariés gt 250
  • les sociétés émettant des valeurs mobilières
    cotées et des billets de trésorerie.
  • Consolidation dune entité
  • contrôle exclusif (de droit, de fait ou présumé à
    40 des droits de vote)
  • contrôle conjoint (contrôle partagé)
  • influence notable (présumée à 20 des droits de
    vote).

20
(No Transcript)
21
Les avantages de la structure de groupe
  • Taille critique et internationalisation
  • Avantages structurels
  • - Elle permet daugmenter le contrôle des
    capitaux pour une mise de fonds identique (cest
    le principe de la holding)
  • - Elle permet dobtenir des capitaux demprunts
    plus importants
  • - Elle facilite la circulation des capitaux
  • - Elle permet de payer moins dimpôts
  • - Elle offre de meilleures possibilités
    dorganisation

22
Contrôle supérieur pour une mise de fonds
identique
23
Obtention de capitaux demprunts plus importants
24
Circulation des capitaux facilitée
25
La spécificité des stratégies de groupes
  • Les 4 leviers stratégiques du groupe
  • Des comportements très spéciaux
  • Impact du comportement stratégique sur lanalyse
    financière des groupes

26
Les 4 leviers stratégiques du groupe
  • La différentiation des rendements 
  • Le découplage du profit et de linvestissement 
  • Des opportunités multiples de levée de capitaux
  • La cession des activités facilitée

27
Soutien croisé
28
Réallocation des profits
29
Financement en capital
30
Financement par cessions
31
Typologie des stratégies groupes
  • Croissance interne
  • Croissance externe
  • Ramification du portefeuille dactivités
  • Logique économique du portefeuille
  • Logique financière du portefeuille

32
(No Transcript)
33
Des comportements très spéciaux
  • Objectif de lentreprise
  • optimisation du rendement des capitaux dun
    actionnariat stable par la croissance de son
    activité ou de ses marges
  • prise de risque, constitution de nouvelles
    activités, la levée de capitaux complémentaires,
    cession dactifs sont des moments exceptionnels
    soumis à la conviction de lactionnaire
  • Objectif du groupe complexe
  • conviction permanente dactionnaires volatils

34
Des comportements très spéciaux
  • Allier les stratégies de profit et de plus-values
  • Découpler les stratégies de croissance et de
    rendement
  • Des investissements très volatils

35
Impact du comportement stratégique sur lanalyse
financière des groupes
  • Impact sur lanalyse de lactivité 
  • Impact sur lanalyse des marges et rentabilités 
  • Impact sur lanalyse du bilan et des flux

36
Matrice BCG
  • Etoiles
  • investissements importants et forte croissance
  • Dilemmes
  • faible PDM mais fort potentiel de croissance
    investissements massifs ou abandon
  • Vaches à lait
  • marché à maturité. Utiliser les liquidités pour
    le financement des autres activités, sans
    investir outre mesure.
  • Poids morts

37
Impact sur lanalyse financière
  • Marges, rentabilité, cash flows
  • secteurs contributeurs
  • secteurs en surinvestissements stratégiques
  • Bilan et flux
  • Opérations courantes (E, I, F)
  • Opérations stratégiques (variation des capitaux
    investis)
  • Opérations de financement (recomposition de la
    structure financière)

38
Chapitre 2  Les spécificités de lanalyse
financière des groupes
  • Les états financiers consolidés selon les normes
    IAS/IFRS
  • Analyse des activités
  • Analyse de la profitabilité
  • Analyse de la solvabilité
  • Analyse de la rentabilité
  • Diagnostic du risque

39
Les états financiers consolidés selon les normes
IAS/IFRS
  • Les règles de consolidation
  • Retraitements
  • Méthodes de consolidation
  • Présentation des états financiers
  • Le bilan
  • Le compte de résultat
  • Létat de variation des capitaux propres
  • Le tableau des flux de trésorerie
  • Lincidence des normes IAS sur les états
    financiers consolidés
  • Evaluation des éléments non financiers
  • Evaluation des éléments financiers
  • Incidence sur lanalyse financière

40
Pourquoi des comptes consolidés ?
  • seul le CdR consolidé mesure lactivité réelle du
    groupe avec les tiers (il élimine le CA
    intra-groupe et les opérations réciproques)
  • seul le CdR consolidé mesure la profitabilité
    densemble du groupe (les opérations intra-groupe
    affectant le résultat sont éliminées marge sur
    stock, plus-values de cession, dividendes,
    provisions) 
  • seul le bilan consolidé permet dappréhender la
    rentabilité dégagée pour les actionnaires de la
    société mère (élimination des liens financiers
    intra-groupe capital et prêt) 

41
(No Transcript)
42
(No Transcript)
43
Méthodes de consolidation
  • Pourcentage de contrôle
  • Ce pourcentage détermine le degré de contrôle et
    la méthode de consolidation
  • Pourcentage dintérêt
  • Ce pourcentage détermine la quote-part du
    résultat et des capitaux propres dune entreprise
    consolidée revenant au groupe

44
Intégration globale
  • Intégrer les comptes de SM la totalité du bilan
    et du CdR de F
  • Répartir les CP et le résultat de F entre les
    intérêts majoritaires et minoritaires
  • Eliminer les titres de SM dans F

45
Intégration globale
46
Intégration proportionnelle
  • Intégrer dans les comptes la quote-part des
    actifs et dettes de F correspondant au
    pourcentage dintérêt de SM
  • Eliminer les titres de SM dans F

47
Intégration proportionnelle
48
Mise en équivalence
  • Au bilan consolidé
  • on substitue la quote-part des capitaux propres
    correspondant à la valeur des titres de F
  • Au compte de résultat consolidé
  • On reprend la quote-part de résultat revenant au
    groupe sur une ligne spécifique

49
Mise en équivalence
50
Comparaison des 3 méthodes
51
Bilan
52
(No Transcript)
53
Létat de variation des capitaux propres
54
Létat de variation des capitaux propres
55
(No Transcript)
56
(No Transcript)
57
(No Transcript)
58
Les incidences des normes IAS/IFRS sur les postes
de bilan
  • Les actifs non financiers
  • Les actifs incorporels 
  • Lécart dacquisition (goodwill)
  • Les immobilisations corporelles 
  • Les contrats de location financement
    (crédit-bail) 
  • Les passifs non financiers
  • Engagements envers le personnel 
  • Les avantages sur capitaux propres 
  • Les provisions 

59
Les actifs financiers
60
Les passifs financiers
61
Opérations de couverture
62
Lincidence des normes IAS sur les états
financiers consolidés
  • présentation des états financiers différente
  • évaluation économique des actifs et passifs basée
    sur la juste valeur gt volatilité accrue du
    résultat mais aussi de la structure financière
  • absence de retraitement préalable à lanalyse
    financière, les états financiers étant censés
    procurer demblée une vision économique de
    lentreprise gt primauté du bilan sur le compte
    de résultat
  • intégration au bilan des engagements financiers
    qui ne létaient pas auparavant (instruments
    dérivés de trésorerie tels que les options,
    swaps, opérations sur les marchés à terme)

63
Lincidence des normes IAS sur les états
financiers consolidés
  • hausse de lendettement net du fait de la
    comptabilisation des engagements de retraite (si
    lon considère ces engagements comme des dettes)
    et des contrats de location financement (crédit
    bail)
  • baisse des capitaux propres du fait de
    limputation des écarts actuariels sur les
    régimes de retraite et de la baisse des
    immobilisations incorporelles
  • hausse du résultat net publié, du fait de la
    disparition de lamortissement des écarts
    dacquisition

64
Guide de lecture des états financiers
  • La juste valeur 
  • La dépréciation des actifs 
  • Les nouvelles zones de risque de linformation
    financière
  • Létat des performances (état de résultat
    global) 

65
Les nouvelles zones de risque de linformation
financière
  • absence de standardisation des états financiers
  • application du principe de la prédominance de la
    substance sur lapparence
  • il est par exemple obligatoire de consolider une
    entreprise sur laquelle on exerce un contrôle
    indirect, quand bien même on nen est pas
    actionnaire
  • délicate mise en uvre dune comptabilité de
    valeur 
  • le coût historique nest plus le fondement de
    mesure du résultat et du patrimoine  on
    introduit donc la notion de risque en
    comptabilité
  • valorisation plus difficile des actifs 
  • comment va-t-on apprécier chaque année les
    avantages économiques futurs générés par chaque
    actif ? Il conviendra aussi de mesurer les pertes
    de valeurs à partir des prévisions dactivité et
    de rentabilité.

66
Létat des performances (état de résultat
global) 
67
Létat des performances (état de résultat
global) 
  • facilite la lecture des états financiers en
    donnant une vision synthétique des variations de
    valeurs des postes du bilan
  • facilite la prévision des résultats futurs en
    distinguant les revenus dactivité (récurrents),
    les ajustements de valeur (non récurrent), le
    résultat des activités abandonnées
  • prend en compte la préoccupation de lactionnaire
    à travers la mesure de la variation globale du
    patrimoine de lentreprise

68
Analyse des activités
  • Analyse du périmètre de consolidation 
  • Les variations de périmètre
  • Les comptes pro forma
  • Analyse du résultat
  • Analyse globale du résultat
  • Analyse sectorielle ou géographique

69
Analyse du périmètre de consolidation
  • Périmètre de consolidation analyse du niveau
    de contrôle exercé par la société mère sur les
    entités consolidées
  • Méthodes de consolidation analyse de la nature
    du contrôle
  • Variations de périmètre analyse de la stratégie
    de croissance du groupe
  • stratégie de croissance interne na pas
    dinfluence sur le périmètre de consolidation
  • stratégie de croissance externe génère des
    variations de périmètre

70
Analyse du périmètre de consolidation
  • Le périmètre de consolidation ne mesure pas
    toujours lexacte envergure du groupe 
  • Les variations du périmètre de consolidation, par
    acquisition ou cession dentreprise, impactent
    les évolutions dactivité et de soldes de
    gestion, les flux financiers annuels et la
    variation de bilan
  • Lexistence dintérêts minoritaires doit venir
    infléchir les appréciations sur la rentabilité
    des capitaux pour lactionnaire direct du groupe
  • Lorganisation du groupe exprime le type de
    synergies quil recherche, le mode de
    développement quil privilégie
  • La liste des filiales et des participations
    recèle parfois des plus-values potentielles, ou
    des actifs cessibles sans impact sur la stratégie
    du groupe

71
(No Transcript)
72
Les variations de périmètre
  • Variations de périmètre
  • pas de variation des capitaux propres consolidés
    part du groupe hors résultat
  • pas de remise en cause de la valeur patrimoniale
    du groupe (les réserves consolidées part du
    groupe)
  • Pas dinfluence sur le tableau de variation des
    capitaux propres part du groupe
  • Entrées dans le périmètre
  • pas dincidence sur la variation des capitaux
    propres consolidés part du groupe, ni sur le
    résultat de lexercice
  • Sorties du périmètre et certaines variations de
    pourcentage dintérêt ont un impact sur le
    résultat consolidé

73
Entrée dans le périmètre
  • SM a acquis 60 de F pour 250
  • Juste valeur des actifs F 180
  • Juste valeur des passifs F 80
  • Incidence sur les comptes conso ?

74
Entrée dans le périmètre
  • Ecart dacquisition coût dacquisition
  • SM x JV actifs F JV passifs F
  • EdA 250 60 (180 80) 190
  • Intérêts minoritaires 40 (180 80) 40

75
Sortie de périmètre
  • SM a acquis 75 de F pour 8 000 k au 1/N. SM
    cède F au 1/N1pour 10 000 k . EdA non déprécié,
    CP de F 10 387 k.

76
Sortie de périmètre
77
Les comptes pro forma
  • Les variations de périmètre impactent les comptes
    consolidés
  • Pour faciliter les comparaisons, on présente des
    comptes pro forma (à périmètre constant)
  • Lors dun changement significatif du périmètre de
    consolidation
  • Lors dun changement de méthode comptable

78
Analyse du résultat
  • Objectif évaluer lefficacité de la gestion
    opérationnelle dans le cadre dune stratégie
    choisie
  • Problème
  • bons résultats à partir dune gestion
    opérationnelle médiocre dun portefeuille
    dactivités présentant de bonnes situations
    concurrentielles
  • bons résultats à partir à partir dune bonne
    gestion opérationnelle dun portefeuille
    dactivités présentant des situations
    concurrentielles médiocres

79
Analyse du résultat
  • Objectifs diagnostic sur la gestion
    opérationnelle, la gestion stratégique et leur
    cohérence au sein dun groupe
  • Trois types de difficultés se présentent à
    lanalyse des résultats dun groupe 
  • les spécificités comptables et les nombreuses
    options de présentation des résultats consolidés
    gênent la comparaison entre groupes
  • les obstacles rencontrés dans lanalyse des
    résultats divisionnels
  • larticulation entre stratégie globale et
    stratégie dactivité

80
Analyse globale du résultat
  • Lévolution du chiffre daffaires dun groupe
    agrège trois composantes 
  • les variations de périmètre
  • les variations de change
  • lévolution économique des activités

81
Mesure des causes de variation du résultat groupe
  • Variation du résultat dexploitation consolidé
  • - effet de périmètre
  • Variation du résultat à périmètre constant
  • - effet de la variation des parités monétaires
  • Variation du résultat à périmètre et taux de
    change constants
  • - effet des variations de prix des matières
    premières cycliques
  • Variation intrinsèque du résultat

82
Mesure des causes de variation du résultat groupe
  • Cette variation intrinsèque du résultat peut
    alors être décomposée 
  • effet volume
  • effet prix
  • effet coûts de revient
  • variation des coûts de restructuration (en
    exploitation)

83
Performances du groupe 
  • Marge industrielle (EBE net des provisions)
  • - dotation aux amortissements dexploitation
  • Résultat dexploitation
  • /- autres produits et charges (éléments
    exceptionnels du PCG considérés comme récurrents)
  • Résultat opérationnel (résultat dexploitation
    élargi)
  • /- Résultat financier
  • /- Résultat extraordinaire (les seuls éléments
    vraiment exceptionnels)
  • - impôts
  • Résultat net des sociétés consolidées en
    intégration
  • part du résultat net des sociétés mises en
    équivalence
  • - part des intérêts minoritaires
  • Résultat net part du groupe

84
Analyse sectorielle ou géographique
  • Lanalyse par division doit être intrasectorielle
    et internationale afin de mettre en évidence 
  • la qualité globale du portefeuille dactivités en
    terme de position concurrentielle
  • les stratégies et politiques de résultat
    différenciées par activité
  • le découplage profit / investissement par
    activité
  • la répartition par activité des résultats et
    risques liés
  • On pourra alors porter un jugement sur la
    stratégie globale du groupe et son efficacité
  • croissance et résultat comparés aux autres
    groupes
  • cohérence entre les activités pourvoyeuses de
    financement et activités consommatrices de
    financement

85
Informations obligatoires
86
Analyse de la profitabilité
  • Les sources de variation de la profitabilité
  • Les prix  leffet ciseaux
  • Les coûts  leffet point mort
  • Les indicateurs classiques de la profitabilité
  • Les soldes intermédiaires de gestion
  • Les indicateurs mesurant lexcédent financier
  • Les nouveaux indicateurs de profitabilité
  • Ebitda et Ebita
  • Cash flows opérationnels et free cash flows

87
Lanalyse de la profitabilité
  • Profitabilité des ventes rapport entre un
    résultat et le chiffre daffaires
  • Le compte de résultat dun groupe mesure la
    performance dun portefeuille dactivité 
  • 1) profitabilité par secteur dactivité
  • 2) profitabilité globale
  • Le compte de résultat consolidé se lit de la même
    façon que celui dune entreprise individuelle
    jusquau résultat net des entreprises intégrées 

88
Difficultés danalyse
  • Analyse comparative sectorielle des taux de
    marges afin dévaluer la position concurrentielle
    du groupe sur ses secteurs dactivités
  • Problèmes
  • le produit des activités opérationnelles est une
    notion plus large en normes IAS/IFRS
  • la compensation des produits et des charges est
    autorisée dans certains cas 
  • les normes IAS/IFRS ne définissent pas de
    résultats intermédiaires tels les SIG 

89
Les sources de variation de la profitabilité
  • Objectif de lanalyse expliquer les causes de
    la dégradation de la profitabilité
  • deux sources de dégradation 
  • leffet ciseau
  • leffet point mort

90
Les prix  leffet ciseaux
  • Effet ciseaux évolution défavorable du prix de
    vente par rapport au coût unitaire dune charge
    dexploitation
  • Sources de leffet ciseau
  • baisse du prix de vente (stratégie de conquête ou
    surproduction)
  • hausse du coût dachat des matières non
    répercutable sur le prix de vente
  • hausse salariale plus forte que celle du prix de
    vente (dans les entreprises de service)
  • effet de change défavorable (à lachat ou à la
    vente)
  • évolution défavorable du mix produit (on vend
    davantage de produits à faible marge)
  • Identification de leffet ciseau
  • par lévolution de lactivité exprimée en volume

91
Les coûts  leffet point mort
  • Effet point mort sensibilité du résultat aux
    variations dactivité
  •  
  • plus la part de charges fixes est importante,
    plus le résultat est sensible au variations
    dactivité (MCV CF)
  • Conséquences sur les choix de financement  les
    frais financiers sont une charge fixe,
    lendettement augmente le point mort
  • Lanalyste externe ne peut calculer le point mort
    (répartition CV/CF)
  • Identification du point mort baisse de la
    profitabilité

92
Les indicateurs classiques de la profitabilité
  • Indicateurs de profitabilité exhibés du compte de
    résultat
  • Le résultat par nature facilite lextraction des
    indicateurs
  • Le résultat par fonction (majoritaire) permet de
    mesurer les performances relatives des salariés

93
(No Transcript)
94
(No Transcript)
95
Choix de lindicateur
  • Indicateur fiable le résultat opérationnel
    avant impôt
  • cest le résultat global des opérations
    industriels et commerciales consolidées en
    intégration
  • ce résultat est indépendant de la structure
    financière et fiscale du groupe
  • cest le résultat à prendre en compte pour
    mesurer la rentabilité économique des capitaux
    investis
  • il est conforme aux normes internationales (IASC)
    et proche de lEBIT (Excedent Before Interests
    and Taxes)

96
Les soldes intermédiaires de gestion
  • Marge brute  production vendue immobilisée et
    stockée consommation de MP
  • sa dégradation est le signe dun effet ciseaux
  • Marge commerciale  équivalent de la marge brute
    pour une société de négoce
  • Valeur ajoutée  marge brute marge commerciale
    autres achats
  • mesure le supplément de valeur créée par
    lentreprise
  • mesure le degré dintégration dun secteur (faire
    ou faire faire)  lexternalisation réduit le
    taux de VA mais pas la profitabilité
  • EBE  VA subventions frais de personnel
    impôts et taxes
  • mesure la performance économique de lentreprise
    (PC en(dé)caissables hors PC calculés)
  • Résultat dexploitation  EBE PC calculés
    dexploitation
  • une baisse de linvestissement améliore ce solde
    puisquil réduit les amortissements
  • Résultat courant  résultat dexploitation
    résultat financier

97
Les indicateurs mesurant lexcédent financier
  • Résultat net des entreprises intégrées
  • dotations aux amortissements et pertes de
    valeur
  • dotations aux provisions pour dépréciations des
    actifs circulants, pour risques et charges,
    nettes de reprise
  • - plus-values de cession des immobilisations
  • moins-values de cession des immobilisations
  • - subventions dinvestissement virées au résultat
  • CAF (capacité dautofinancement)
  • dotations aux provisions pour dépréciations des
    actifs circulants, pour risques et charges,
    nettes de reprise
  • MBA (marger brute dautofinancement)

98
Les indicateurs mesurant lexcédent financier
  • Ils mesurent un simple excédent de trésorerie
    potentiel ils ne tiennent pas compte des
    décalages de paiement du cycle dexploitation
    (crédits clients et fournisseurs)
  • Le compte de résultat en normes IAS/IFRS ne
    distingue plus le résultat courant du résultat
    exceptionnel les plus ou moins-values de
    cession napparaissent plus de façon distincte

99
Les nouveaux indicateurs de profitabilité
  • Eléments de lactivité courante selon lIASC
  • cession dactifs non stratégiques
  • restructurations ne conduisant pas à un arrêt
    dactivité importante
  • pénalités sur affaires
  • créances irrécouvrables
  • Groupes français présentent les éléments
    exceptionnels du PCG dans le résultat
    dexploitation élargi (lEBIT américain)

100
Ebitda / Ebita
  • Ebitda indicateur très proche de lEBE
  • Non prise en compte de lamortissement des écarts
    dacquisition
  • indicateur très favorable aux groupes se
    développant par croissance externe
  • Son calcul nest pas homogène 
  • avant ou après dépréciation dactifs circulants
  • avant ou après PC non récurrents
  • avant ou après part des minoritaires dans le
    résultat du groupe
  • avant ou après quote-part de résultat des
    sociétés mises en équivalence
  • Ebita Ebitda dotations aux amortissements des
    immobilisations corporelles

101
Cash flows
  • cash flow opérationnel ebitda variation du
    BFRE
  • il mesure lexcédent de trésorerie réellement
    généré par lexploitation, avant tout choix de
    financement et dinvestissement, avant toute
    incidence fiscale
  • cet indicateur est le pendant de lETE ( EBE
    variation du BFRE).
  • Cash flow libre Ebitda résultat financier
    impôts variation du BFR investissements de
    renouvellement
  • il mesure le flux de trésorerie disponible après
    financement de linvestissement

102
Analyse de la solvabilité
  • Les spécificités de lanalyse bilantielle des
    groupe
  • Les préalables à lanalyse bilantielle
  • - Analyse des comptes
  • - Valorisation des éléments
  • Analyse statique du bilan
  • Analyse de léquilibre financier par le bilan
    financier
  • Analyse de léquilibre financier par le bilan
    fonctionnel
  • Analyse de léquilibre financier par le bilan
    économique
  • Les ratios utiles à lanalyse du bilan
  • Analyse dynamique du bilan
  • - le tableau des flux de trésorerie
  • - le TPFF

103
Les spécificités de lanalyse bilantielle des
groupe
  • Objectif de lanalyse bilantielle solvabilité
    et la solidité financière dune entreprise 
  • Problème les filiales présentent souvent un
    profil bilantiel atypique, voire déséquilibré
  • Conclusion distinguer la solvabilité des
    filiales de la solvabilité du groupe car il
    existe des mécanismes de centralisation de la
    trésorerie et de la gestion financière

104
Les composantes des capitaux propres consolidés
  • les capitaux propres individuels de lentité
    consolidante
  • laugmentation des capitaux propres des entités
    consolidées (résultats accumulés)
  • laugmentation des capitaux propres des entités
    étrangères (variations de cours de change)
  • la quote-part des capitaux propres des entités
    intégrées globalement détenus par des
    actionnaires minoritaires

105
Les pratiques de centralisation financière
  • La décentralisation historique
  • La centralisation systématique des ressources
  • La normalisation systématique

106
La décentralisation historique
  • Manifestations 
  • structures de bilan reflétant laccumulation
    historique du capital et les profils historiques
    de la rentabilité
  • accumulation des résultats dans les filiales
    bénéficiaires
  • recapitalisation par exception des filiales ayant
    consommé leurs fonds propres
  • Avantages 
  • vérité des charges et des produits financiers
  • replacement interne des trésoreries toujours
    possible
  • Inconvénients 
  • non optimisation financière et fiscale
  • risque de surmobilisation de capitaux
  • centralisation aléatoire de ressources

107
La centralisation systématique des ressources
  • Manifestations 
  • rationnement des fonds propres des filiales (par
    distribution de réserves le cas échéant)
  • distribution quasi-intégrale des résultats
  • existence dune banque interne centralisée
  • Avantages 
  • contrainte maximale pesant sur les gestionnaires
    de filiales
  • optimisation financière et fiscale
  • sensibilisation permanente à léconomie de
    capitaux
  • Inconvénients 
  • fragilisation des activités consommatrices de
    trésorerie (saisonnalité, cycles)
  • frein potentiel à linvestissement et au
    développement

108
La normalisation systématique
  • Manifestations 
  • mise aux normes du groupe de léquilibre
    financier de chaque filiale défini par le fonds
    de roulement ou le taux dendettement net
  • pratique de distribution de résultats là où
    léquilibre financier risquerait de devenir
    excédentaire
  • pratique dabandon de créance ou recapitalisation
    là où léquilibre financier risquerait de devenir
    déficitaire
  • Avantages 
  • les filiales sont également dotées et concentrées
    sur leurs équilibres dexploitation
  • Inconvénients 
  • existence de nombreuses opérations sur fonds
    propres

109
Une solvabilité difficile à appréhender
  • Spécificités de lanalyse 
  • solidarité juridique et financière du groupe
    envers ses filiales
  • origine des financements de la filiale (externe
    ou intragroupe)
  • localisation des placements de la filiale
    (externe ou intragroupe)
  • rôle de sous-holding de la filiale
  • plus-values potentielles recelées par le
    portefeuille de participations du
    groupe (reconfigurations du périmètre)
  • Ratios classiques
  • Endettement net / Fonds propres lt 1
  • Endettement net / CAF lt 3 à 5
  • Frais financiers / Résultat brut dexploitation lt
    1/3
  • Evolution de lanalyse bilantielle
  • analyse classique en désuétude (fonds de
    roulement / BFR / trésorerie)
  • nouvelle approche (actif économique / fonds
    propres / endettement net)

110
Préalable à lanalyse bilantielle
  • Analyse des comptes et retraitements
  • Point de vue économique
  • Point de vue comptable (PCG / IAS)
  • Point de vue financier
  • Valorisation des éléments du bilan
  • Valeur historique
  • Coût amorti
  • Juste valeur
  • Cours de conversion

111
Lanalyse des comptes
  • Les capitaux propres
  • Les provisions
  • Les obligations
  • Les impôts différés
  • Les engagements hors bilan
  • Les immobilisations incorporelles
  • Les écarts dacquisition
  • Les comptes de régularisation
  • Les écarts de conversion

112
Les capitaux propres
  • Compta
  • capital, réserves, résultat, écarts de
    réévaluation et déquivalence, subventions
    dinvestissement
  • Retraitements
  • - les actions autodétenues (dans les immos fi ou
    les VMP)
  • - CSNA (non valeur)
  • Provisions pour RC à caractère de réserves

113
Les provisions
  • Provisions pour dépréciation baisse probable de
    lactif
  • Provisions pour RC hausse du passif exigible
    (retraite)
  • Provisions réglementées liées à la fiscalité et
    non pas à lanticipation dune charge (nexistent
    pas en conso)

114
Les obligations
  • ORA capitaux propres
  • PRO ce poste équilibre la dette et
    lencaissement mais cest une non valeur à
    retrancher de lactif et des FP
  • Obligations et emprunts convertibles
  • Les répartir en dettes et CP (en fonction du
    cours de laction et des conditions de
    conversion)

115
Les impôts différés
  • Différence entre les valeurs fiscale et comptable
  • Fiscalité latente liée aux décisions de gestion /
    fiscalité différée liée aux différences
    temporelles
  • Retraitement
  • contrepartie dun ida produit dimpôt qui
    réduit une perte (déficit reportable)
  • déduire lida des capitaux propres pour revenir à
    leur montant initial

116
Impôt différé
  • Un même bien a une VNC de 400 dans les comptes
    fiscaux et une VNC de 300 dans les comptes conso
    en raison damortissements différents
    VCltVFgtida
  • Impôt différé différence temporelle x taux dIS
  • Différence temporelle valeur fiscale valeur
    comptable

117
Les engagements hors bilan
  • EENE à réintégrer (actif circulant dette CT)
  • Retraite selon IAS, en dette ou provision pour
    le montant non couvert
  • Crédit-bail obligatoirement réintégré en immos
    corpos et en dettes

118
Les immobilisations incorporelles
  • Frais détablissement, frais de RD, concessions,
    brevets, fonds commerciaux, marques, logiciels,
    écarts dacquisition
  • Charges selon IAS FdE, frais de recherche (mais
    pas les coûts de développement)

119
Lécart dacquisition
  • Ecart dacquisition prix dacquisition part
    acquise des capitaux propres comptables
  • Faire apparaître dans les immos incorpos les
    actifs incorporels acquis
  • 2004 fin de lamortissement (test de
    dépréciation)

120
Les comptes de régularisation
  • Concernent un exercice ultérieur CCA, PCA, CAR
    (frais dacquisition dimmos, frais démission
    demprunts)
  • PCA, CCA éléments du BFRE dans le bilan
    éconmique
  • CCA à annuler dans une optique liquidative
  • CAR non valeurs à annuler

121
Les écarts de conversion
122
Le coût historique
  • Valeur au bilan VNC coût dacquisition
    amortissements cumulés
  • Test de dépréciation VNC gt juste valeur
  • Inscription au bilan à la valeur recouvrable
  • Dépréciation au compte de résultat (VNC - valeur
    recouvrable)
  • Modification du plan damortissement
  • Eléments visés
  • Immobilisations corporelles
  • Capital et réserves (absence de normes IAS)

123
Le coût amorti
  • Valeur au bilan valeur actuelle des flux futurs
  • Variation de valeur au compte de résultat
  • Évaluation des charges/produits (créance/ dette)
    financiers théoriques à partir de la valeur
    actuelle (au taux actuariel)
  • Constatation au compte de résultat de la
    variation de valeur (coût amorti fin de période
    coût amorti début de période)
  • Comptabilisation charges/produits financiers
    réels théoriques
  • Eléments visés
  • Prêts et emprunts à taux fixe
  • Crédits clients / fournisseurs gt 1an

124
Vente à crédit et coût amorti
  • 1 000 k payés dans 2 ans. Cest une vente
    assortie dun financement comptabilisation à la
    valeur actuelle
  • VA 1 000 / 1,052 907,3 (en N)
  • VA 1 000 / 1,05 952,4 (en N1)
  • VA 1 000 (en N1)
  • Bilan inscription des VA
  • CdR produits fi théoriques (45,1 puis 47,6)

125
La juste valeur
  • Valeur au bilan juste valeur max valeur
    vénale, valeur dutilité max prix de cession,
    valeur actualisée des CF futurs
  • Variation de valeur au compte de résultat
  • Eléments visés
  • Titres financiers
  • Option sur les immobilisations avec test de
    dépréciation annuel
  • VNC lt juste valeur gt réévaluation
  • Inscription au bilan à la valeur recouvrable avec
    contrepartie au passif en écart de réévaluation
  • Modification du plan damortissement

126
Le cours de clôture
  • Conversion des actifs et passifs hors capitaux
    propres au cours de change de clôture
  • Conversion des capitaux propres (capital et
    réserves) au cours de change historique
  • Conversion des charges et produits au cours de
    change à la date de transaction (cours moyen)
  • Ecarts de conversion (dans les capitaux propres)
    écarts de change entre capitaux propres au CC et
    au CH, entre résultat au CC et au CM

127
Le bilan financier
  • Approche privilégiée par les normes IAS/IFRS
  • Comparer des emplois et des ressources de même
    durée
  • Classement liquidité croissante / exigibilité
    croissante
  • Indicateur clé fonds de roulement liquidité
  • Fonds de roulement liquidité actifs courants
    dettes à court terme gt 0
  • Ratios de liquidité degré de solvabilité de
    lentreprise
  • Ratio de liquidité générale actifs courants /
    dettes CT gt1
  • Ratio de liquidité réduite (actifs courants
    actifs courants à rotation lente) / dettes CT gt1

128
Le bilan financier IAS
129
Le bilan fonctionnel
  • Rattachement des emplois et ressources aux cycles
    dopération (financement, investissement,
    exploitation)
  • Lapproche fonctionnelle suppose que les
    entreprises se financent selon une logique
    dadossement entre des emplois et des ressources
    de même durée
  • Les normes IAS/IFRS sont fondées sur lapproche
    liquidité car les économies anglo-saxonnes sont
    caractérisées par des délais inter-entreprises
    courts
  • Fonds de roulement fonctionnel  capitaux
    permanents (CP DLT) actifs stables
  • BFRE actifs circulants dexploitation dettes
    dexploitation
  • Trésorerie nette FR BFR tréso active
    tréso passive
  • Variation de trésorerie nette ?FR - ?BFR

130
Typologie des crises de trésorerie
  • crise de croissance 
  • Hausse rapide du CA et par suite du BFR alors que
    le FR augmente lentement par la mise en réserve
    de bénéfices insuffisants pour financer une telle
    croissance.
  • crise de gestion du BFR 
  • Le BFR augmente plus vite que le CA (le BFR
    exprimé en jours de CAHT augmente).
  • mauvaise politique financière 
  • Investissements réalisés sans recours à un
    financement à moyen ou long terme  le FR diminue
    ou devient négatif. Cest un cas
    dautofinancement excessif.
  • crise de rentabilité 
  • Des pertes viennent réduire les CP et par suite
    le FR. Comme les charges excèdent les produits,
    les décaissements sont supérieurs aux
    encaissements ce qui dégrade la trésorerie.
  • baisse dactivité 
  • En cas de mauvaise conjoncture, les prises de
    commande peuvent baisser. Si lentreprise ne les
    anticipe pas, le stock et le BFR vont augmenter.

131
Le bilan fonctionnel pour un groupe
multi-activités
  • lanalyse du BFR global na pas dintérêt pour un
    groupe qui gère de multiples activités
  • le bilan fonctionnel est adapté aux entreprises
    empruntant selon la logique de ladossement 
  • sur les marchés financiers, la maturité des
    emprunts est fongible puisque lémission dun
    emprunt obligataire ne nécessite pas de
    justification dinvestissement (donc du LT
    finance du CT) 

132
(No Transcript)
133
Le bilan économique
  • Analyse potentiellement dynamique 
  • variation de lactif économique (actif immobilisé
    net BFR)  il exprime un besoin de financement
    en cas de croissance, une ressource en cas de
    décroissance
  • capacité daccumulation de fonds propres
    (résultat net variation des réserves
    réglementées et provisions à caractère de
    réserves dividendes)
  • niveau souhaitable dendettement net
  • Mise en évidence de
  • la capacité de lentreprise à maîtriser ou
    contenir la croissance de son actif économique
  • sa capacité à accumuler les fonds propres
    souhaitables (ajustement à la hausse par
    renforcement du capital ou à la baisse par
    distribution de dividendes)
  • son objectif de désendettement net (ou de
    réendettement)
  • lopportunité daccroître leffet de levier,
    défini par le taux dendettement
  • Deux difficultés  
  • montée de lactif incorporel (goodwill, brevets
    )
  • poids très variable des provisions réglementées
    (pas en conso)

134
Capacité de Mobilisation des Ressources
  • CMR capitaux propres endettement net
  • Un groupe sain peut à tout moment lever autant
    dendettement net que de fonds propres.
  • CMR mesure la capacité dun groupe à participer
    (par croissance externe) à la restructuration
    capitalistique et à la croissance dun secteur (à
    racheter ses concurrents)

135
(No Transcript)
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